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    Le Daim
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    410 critiques spectateurs

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    Rémi B
    Rémi B

    9 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 juin 2019
    Un film d’auteur certes original mais beaucoup trop lent , on ne comprend pas tout , l’intrigue est un peu légère mais on peut compter sur Jean du jardin pour jouer à merveille dans ce film globalement moyen
    rouyard74
    rouyard74

    40 abonnés 27 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 juin 2019
    Quentin Dupieux est un réalisateur qui divise car ces films ne sont pas des consensus artistiques. Dupieux impose sa patte, son univers absurde tout en l à craint assez sans le réel pour nous mettre mal à l'aise.
    Le projet de Georges est fou. Il est comme obnubilé par ce blouson en daim et ce que celui ci déclenche. C'est à la foie la libération et la descente aux enfers d'un homme et plus que d'un homme d'un cinéaste amateur. Le tout porté par un Jean Dujardin extrêmement crédible dans sa folie et son absurdité.
    Adele Haenel elle aussi crêve l'écran dans un mélange de fascination et de malaise. Comme une élève prenant au fur et à mesure les rênes d'un film Frankenstein ayant échappé à son maître.
    On peut ainsi le reflet de Dupieux et de son cinéma. Celui ci qui maintenant est en complète roue libre se permettant ces films crédible et ubuesque à la fois.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 29 juin 2019
    Les 2 étoiles pour les acteurs et les personnes qui ont travaillé sur le film. Le film lui est creux, vide. Pourtant l'idée était bonne mais on s'ennuie ferme et pour la première fois j'ai voulu sortir au milieu d'un film. Je pose la question suivante : Quentin Dupieux doit-il être réalisateur ? Je pense qu'il doit seulement être scénariste, un autre réalisateur aurait pu sortir une pépite de ce scénario. J'ai beaucoup aimé "au poste" mais là, rien. J'espère que Jean Dujardin saura mieux dans le futur choisir ses films. J'aime beaucoup la personnalité de Jean Dujardin (dans la vraie vie, du moins ce qu'il transparait dans les médias ) et lui souhaite de bons choix de films.
    lipfy
    lipfy

    7 abonnés 61 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 juin 2019
    Ce qui est bien avec le cinéma autoproclamé « décalé » (adjectif fourre-tout qui génère parfois le meilleur, souvent le pire), c’est que l’image a beau être laide, la réalisation approximative, le scénario inconsistant, la vraisemblance nulle, cela n’a pas la moindre importance puisque c’est « décalé » (on peut aussi dire « déjanté », au choix). Ce mot suscite immédiatement indulgence et tendresse auprès de certains branchés agaçants. Bref. La désinvolture, la fainéantise, voire l’amateurisme qui suinte de ce film laisse pantois. Et une certaine presse de tomber la tête la première dans ce panneau si tendance. (Soupir). Restent Jean Dujardin et Adèle Haenel, tous deux excellents. Pour eux, on ne quitte pas la salle.
    John C
    John C

    3 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 29 juin 2019
    Oh my God! Prétentieux, nullissime, malsain. On était prévenu: Elle et les Cahiers du Cinéma l'ont aimé!
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 28 juin 2019
    Bon j’ai tenu pour laisser sa chance au film, mais quel ennui 😴 C’est lent, très lent, les acteurs dont bons mais l’absurde n’est ni drôle ni même amusant.
    Monica Donati
    Monica Donati

    115 abonnés 2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 juin 2019
    Film d‘une intelligence et d‘une originalité rare. Tellement drôle et tellement profond à la fois. Noir et pourtant réjouissant. Dupieux est le roi de la comédie qui fait rire mais qui fait aussi réfléchir. Comedie et drame à la fois. Résolument film de genre. Mais d‘un genre unique. Le genre Dupieux !
    deessedoree
    deessedoree

    28 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 28 juin 2019
    J'ai beau chercher, je ne comprends pas vraiment l'intérêt d'un tel film. Mais peut-être que si j'étais restée jusqu'au bout cela m'aurait sauté aux yeux... sauf que je n'ai pas supporté le côté glauque de ce film. Comme une sorte de dégoût qui m'a poussé à ne pas me torturer davantage en voulant rester coute que coûte...
    Michel C.
    Michel C.

    272 abonnés 1 459 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 28 juin 2019
    Film assez court - à peine plus d'1heure ..... et c'est encore trop ! Qu'allait il ( Jean Dujardin) faire dans cette galère ? Montrer qu'il peu tout ? Comment dire, un essai abscons, incongru et sans intérêt. Cela me rappelle un essai du même genre - souvenez vous "Le passage" d'un certain Valéry Giscard d'Estaing.....avec le même genre de finalité : aucune !! dommage. Cela faisait pas mal de temps (et de visionnages) que je ne m'étais pas autant ennuyé !! **
    Cinememories
    Cinememories

    481 abonnés 1 465 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 février 2022
    Toujours difficile à convaincre Quentin Dupieux nous revient plus surprenant que jamais. Après un épuisant « Au Poste ! », ce dernier renoue avec l’absurde à l’état naturel, comme on l’avait remarqué dans « Steak », « Rubber », « Wrong » et « Réalité ». Rien ne peut mieux définir son style si tourmenté et pourtant si réfléchi. Cet homme, aurait-il des limites dans la conception de ses œuvres, dont il multiplie les casquettes entre réalisateur, scénariste et chef opérateur, entre autres ? Pas forcément. Il vient de démontrer que le surplace, ou la stase d’un personnage, suffit amplement à divertir et à ouvrir des perspectives audacieuses pour le spectateur. Il a donc pris goût dans la direction de stars et il poursuit avec un grand Jean Dujardin, dans le corps de Georges, ce même corps qui s’associe à un blouson iconique.

    Nous aurons de cesse de se poser des questions, mais la rationalité, les mathématiques et l’équilibre doivent rester à la porte de la séance si l’on veut prétendre à la comédie proposer. Peut-être un peu difficile d’accès, l’œuvre trouvera tout de même preneur, car la mise en scène surprend, autant que le cadre qui limite la lecture des enjeux. Si le programme se veut simple et intimiste : filmer pour faire un film, toute l’épopée de Georges n’a rien à voir avec une carapace en Daim. Le plus évident et le plus exploité seront à exclure de toute interprétation. Tant d’arcs narratifs sont inachevés, mais rebondissent sur un ressort comique inattendu. Souvent noire, elle occupe de plus en plus le cadre de façon impromptue, tandis que les effets sonores multiplient les faux suspenses. La subtilité de ce langage justifie à elle seule, les performances sur lesquelles les comédiens et le récit s’alignent. La magie opère rapidement et on finit par être séduit.

    De plus, il est nécessaire de porter un regard particulier sur le personnage clé d’une intrigue qui vire efficacement dans la paranoïa, puis dans le thriller horrifique. Le désordre, en mentionnant « Pulp Fiction », est un moteur singulier pour le projet de Georges et sa veste. On le personnifie alors peu à peu, jusqu’à ce qu’il abandonne son âme pour une nouvelle. On y croit, car le cadre réconforte dans la précision et dans le poids des détails. S’ensuit une croisade audacieuse et hilarante, qui les mènera vers Denise (Adèle Haenel), aspirant à réinventer le cinéma. Elle constitue le symbole de l’hommage et de l’héritage derrière la folie, qui s’apparenterait à l’aspect expérimental des précédents films. Tous ces traits de caractère sont propres au réalisateur et on devine aisément la manœuvre, presque arbitraire de sa réalisation qui s’autorise des libertés à plusieurs niveaux.

    Si la comédie populaire nous lasse de plus en plus, « Le Daim » tranche avec un rafraîchissement de premier ordre, en rappelant toutefois qu’il faut, au préalable, avoir cotisé mentalement avec Dupieux, sous peine de perdre pied ou bien plus encore. Si on cherche des réponses dans l’immédiat, aucune fortune ne sera à l’arrivée pour nous accueillir. Il faut accepter ce voyage contemplatif et paradoxal, liant un homme perdu et une veste qui pousse les désirs aux vices. Si on peut tout de même reconnaître un certain hommage écologique, sur la régression de l’humain à l’état primitif, jusqu’à devenir son propre gibier, il y a fort à parier que l’incertitude sera le fin mot de la descente aux enfers d’une panoplie 100% daim, matière capricieuse et controversée.
    islander29
    islander29

    859 abonnés 2 353 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 juin 2019
    Je me souviens du premier film de Quentin Dupieux….Rubber (l'histoire d'un pneu qui roule tout seul)…..Je trouve qu'ici le film possède la même audace scénaristique, même si le point de vue est plus psychanalytique car centré sur la lubie de Jean Dujardin, une veste en daim…..Il veut être le seul à porter une veste….C'est le début d'un scénario basé sur l'absurde et assez finement didactique sur la façon de réaliser un film , Adèle Haenel, devenant malgré elle, productrice De Jean Dujardin, devenant lui cinéaste à la Quentin Dupieux, Il y a de l'autoparodie et un humour que j'ai trouvé par moments subtil...Il y a aussi par mal d'ironie vis à vis du cinéma (comme lors de la scène gore du film, qu'il faut comprendre comme tel)....Le petit défaut du film, c'est son côté absurde qui peut faire que ça passe ou ça casse...Pour moi, c'est passé, et je m'en réjouis.....
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 27 juin 2019
    C’est drôle, touchant, gênant, absurde. Et brillant. Il y a plusieurs grilles de lecture. Celle d’un mec qui devient fou à cause de son manteau en daim / Celle d’un film sur la solitude, et le lâché prise / Celle d’un film s’urbanise le fétichisme / Celle d’un film sur le cinéma, sa place dans la société et sa manière de traiter la violence. Ou bien c’est tout ca à la fois. Chacun se fera son opinion.
    Y compris sur certaines scènes, comme ce jeune homme intriguant, qui pourrait représenter la conscience de George..?
    Les dialogues sont excellents, les acteurs aussi.
    Pour ceux qui ne connaissent pas ou n’aiment pas les films de Quentin Dupieux, il leur sera très difficile d’apprécier Le Daim (cf toutes les mauvais critiques) - évidemment. Pour moi, c’est culte.
    war m
    war m

    29 abonnés 447 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 juin 2019
    À partir de ce pitch zinzin, Quentin Dupieux réalise une sorte de western pyréneen comique qui vire au film de serial killer en poussant son concept suédé jusqu'au bout.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 26 juin 2019
    L’absurde. Tél est le thème de ce film qui réjouira ou agacera selon!
    L’absurde trouve ses supporters dans la vraie vie. Il y a une clientèle.
    L’absurde se trouve au cœur de nos problèmes d’humain.
    Ce film est déroutant dans un premier temps.
    Mais où veut en venir l’auteur?
    Mais nul part mon capitaine !!
    Quoi? Mais c’est absurde !!
    Maxime F
    Maxime F

    41 abonnés 635 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 juin 2019
    Et bien et bien ce n'est pas commun pour un film. En revanche ça l'est pour un Dupieux. On retrouve la patte de Dupieux dans chaque plan : couleur fade, son le plus réaliste et quotidien possible, musique étrange mais pas trop présente, et surtout, le tout se construit autour d'un concept étrange mais qui ne choque personne dans le film. Ici le blouson en Dain ainsi que le délire de la conception du film ( spoiler: il n'y a visiblement pas de flic dans ce monde
    ). Dujardin est impec et j'aime bien le jeu d'Adele Haenel. Le tout est une bonne métaphore de Dupieux lui même mais je ne pense pas que tout le monde puisse apprécié le film.
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