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    Orange mécanique
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    Arishem
    Arishem

    1 abonné 417 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 8 octobre 2024
    Probablement le film où j'ai le plus rien compris comment il a eu sa réputation. A part de voir des femmes à poil, il y a rien de vraiment choquant et la sois disant "violences gratuites" franchement c'est vraiment une blague car on voit rien du tout et quasi pas de sang. Le film en lui même est assez mauvais avec un humour pas drôle, des musiques qui j'aurais préféré qu'elles ni soient pas présentes et j'ai pas vraiment compris quel est l'intérêt du film.
    Topaze87
    Topaze87

    8 abonnés 400 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 octobre 2024
    Un film marquant et précurseur de Stanley Kubrick qui nous présente l’ultra-violence et les moyens tout aussi dangereux de la contrôler au sein d’une société décadente.
    capirex
    capirex

    91 abonnés 295 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 octobre 2024
    Chef-d'Oeuvre de Stanley Kubrick que ce film Culte des années 70 qui se montre corrosif et subversif tout en étant une véritable satire de notre Société !
    Malcolm McDowell est inoubliable, malsain et charismatique dans son rôle !
    Eliott RUEN
    Eliott RUEN

    4 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 3 octobre 2024
    Première fois avec ce film et je l’ai trouvé tellement déjanté mais connaissant le bonhomme (Stanley Kubrick) je me suis dis qu’il fallait que je le revois encore et encore. Juste… faites votre propre opinion aucun avis ne seras mauvais ou bon sur ce film délirant.
    Yony
    Yony

    1 critique Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 septembre 2024
    Un Chef d’œuvre ce film ! Choquant, malsain, vicieux et de la violence encore et encore jusqu’au retournement de situation… La 9 eme symphonie de Beethoven une merveille pour amplifier les scènes et la manière dont c’est filmé du Grand Kubrick 👏
    SwanK!
    SwanK!

    1 abonné 78 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 septembre 2024
    L’une ou peut être la plus réussite des œuvre de kubrick. Ce film est d’un génie inégalée aujourd’hui encore.
    BillBoo
    BillBoo

    14 abonnés 270 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 31 août 2024
    Le problème de la satire, c'est qu'on peut avoir du mal à distinguer la bonne de la mauvaise, car la mauvaise peut soutenir qu'elle a fait exprès de raconter n'importe quoi sur un sujet, car elle s'en moque. Pirouette difficile à défendre, cependant, dans le cas d'Orange mécanique, qui traduit, une fois de plus, la psychorigidité kubrickienne, doublée d'une lubricité affichée et d'un amour esthétique pour les procédures militaires.

    Le film s'ouvre sur un travelling arrière partant d'un détail de l'image pour nous laisser savourer, en mirifique photographe que Kubrick est, sa composition magistrale… C'est miser sur le pari discutable que le cinéma trouve sa beauté dans l'immobilité. Les personnages prennent la pose, ainsi qu'il l'a prendrait pour être peints. Kubrick fabrique donc des tableaux qu'il nous laisse admirer. Ce procédé se répète au moins cinq fois dans le film.

    Mise à part cette fascination ayant peu trait à ce qui constitue l'essence du cinéma – le mouvement, contrairement à bien d'autres arts –, on est amenés à suivre des brailleurs criminels, poussant la chansonnette classique lorsqu'ils commettent des atrocités. Les délinquants sont pris hors de toute condition sociale ou systémique. Ils sont le Mal ex nihilo, sauvages, surtout en groupe, la nuit, face aux sans-abris comme face aux bourgeois. Mais alors de quoi nous parle Kubrick ?

    Si ce ne sont pas des circonstances poussant les individus à la délinquances, peut-être s'agit-il de leur traitement pénitentiaire. À cela, la satire de Kubrick critiquerait l'aliénation des détenus par le système carcéral, qui ne se contente plus seulement de les priver de liberté, mais de leur infliger un traitement "médical", pour leur ôter le Mal. Une lobotomie effectuée en diffusant des images répulsives, sur fond de musique classique.

    Non content d'avoir fait un parallèle douteux entre l'art et la délinquance – alors qu'on prête à l'art, au contraire, des vertus émancipatrices –, Kubrick relie la musique à un réflexe pavlovien de désincarnation humaine. Le sujet de laboratoire, à l'écoute de Beethoven, éprouve désormais un sentiment de soumission, allant jusqu'aux vomissements, lorsqu'il ressent une pulsion barbare.

    En bref, en souhaitant satiriser la répression politico-militaire d'une société gangrénée par la délinquance, Kubrick produit un film crypto-fasciste, et tente d'imprimer, de force, quantité d'images chocs, exemplairement celle, gratuite et insoutenable, de la méthode Ludovico.
    Hugo Bardou
    Hugo Bardou

    2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 août 2024
    "Tout en longeant avec eux la Marina, j'étais calme en apparence mais je réfléchissais ferme. Donc, à présent, c'était Géorgie le Général. C'était lui qui nous disait quoi faire et quoi ne pas faire ; avec ce benêt ricaneur de Dim comme bulldog. Et brusquement j'ai miris que réfléchir s'est bon pour les gens gloupides et qu'un malin puise dans son inspiration et dans ce que le vieux lui envoie. Justement, une musique divine venait à ma rescousse. Par une fenêtre ouverte la stéréo me parvenait et j'ai soudain miris mon plan d'action."
    Critiquetoi
    Critiquetoi

    18 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 18 août 2024
    La violence (même si depuis on fait pire) esthétique en fil rouge du film drape le spectateur dans une atmosphère dérangeante et malsaine. Dans une ambiance étonnamment futuriste on suit le narrateur Alex, seul protagoniste principal, tour à tour lyncheur et lynché, dans son avant/pendant/après-prison. Par cette oeuvre unique et marquante, Kubrick impose une réflexion, sans apporter de solution, sur les excès des politiques sécuritaires
    Albert
    Albert

    9 abonnés 340 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 août 2024
    Chef d'oeuvre absolu, même si le film a vieilli (on a parfois l'impression d'être dans un vieux grenier rempli de mobiliers d'une autre époque) mais il y a tellement de lectures possibles, de détails cachés, même dans l'horreur le film atteint des moments de grâce nous laissant imaginer les possibilités du cinéma et nous révélant dès lors la déception qu'est le cinéma d'aujourd'hui. Qu'est ce que l'acteur principal joue bien son personnage qui a sa propre morale, sa vérité sa religion c'est l'art son sacré c'est l'art, c'est Beethoven et cette étrange fascination qu'on a pour lui et presque de l'empathie doit on en comprendre qu'on pardonne tout à l'artiste, à celui qui nous effraie, à l'homme raffiné ?
    spoiler: "la vertu est un choix, quand un homme ne peut plus choisir, il cesse d'être un homme"

    La clé est dans cette citation, qui sont les vrais monstres, ces jeunes qui visiblement sont ultra violent par nature sans qu'il aient pu choisir ou l'humaniste qui lui a la possibilité de faire le choix, sans parler des hommes de lois en tout genre qui pratiquent leur expériences sans aucun scrupule au nom du bien, et puis s'arrangent avec le jeune homme, non pas par empathie mais par intérêt personnel, alors entre celui qui n'a pas choisi d'être un fou ultra violent et l'humaniste qui fait le mal intentionnellement et se venge en se délectant qui est le pire ? Kubrick nous offre le plus grand film de tous les temps, peut être aujourd'hui plus dans le fond que dans la forme (et encore) mais à ma connaissance aucun film n'explore la morale humaine aussi loin. Un monument.
    Verobisson
    Verobisson

    11 abonnés 274 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 août 2024
    « Orange mécanique » fut un séisme en son temps.
    Face « au loup qui est un loup pour l’homme », homme archi-violent et meurtrier, un programme « très spécial » (organisé par l’Etat) garantit un lavage de cerveau pour faire du loup un agneau ou comment réduire à la bienfaisance théocratique, une liberté sans limite démocratique.
    Malcolm McDowell nous offre une partition remarquable, tout au long du film, celui du jeune Alex, meurtrier fou, bénévole du « programme de redressement »
    Les scènes de violence sont fracassantes, la prison et le traitement thérapeutique choquants. Sous couvert de fantasmes caricaturaux, ce cinéma très inventif est celui d’Un grand Kubrick, une référence pour les années 70’s...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 31 juillet 2024
    Même si on peut sourire aujourd'hui de son effrayante ambiance "so british" et son décor futuriste très siste's, il faut reconnaître que ce film était visionnaire pour l'époque; car il est vrai que nos sociétés consuméristes ne savent plus quoi faire des monstres qu'elle engendre... Je crois que cet aspect échappe à ceux qui ne s'arrêtent qu'à la violence de certaines scènes pour salir le film comme j'ai pu le lire, et je me demande dans quel monde ceux là peuvent bien vivre!!
    C'est un très bon film..
    J31frites
    J31frites

    9 abonnés 212 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 juillet 2024
    "Orange mécanique", en VO "A clockwork orange" (expression utilisée pour désigner quelque chose de bizarre et aussi métaphore pour parler d'Alex spoiler: qui devient une sorte de robot, de machine automatique
    ) est un film sorti en 1971.
    Inutile de préciser que c'est un classique puisque Kubrick n'a réalisé quasiment que ça.
    Adapté d'un roman, on est sur du crime au début et de la SF/anticipation par la suite.
    L'époque n'est pas précisée mais on peut imaginer qu'on est dans le futur puisque la société a beaucoup changé spoiler: : les jeunes la dominent et de nouvelles méthodes pour enrayer la criminalité font leur apparition.

    Un acteur génialissime qui aurait mérité une plus grande popularité, Malcolm McDowell, interprète un personnage dérangeant et terrifiant : Alex, jeune délinquant spoiler: dont on nous montre les horribles méfaits dans une première partie qui a fait scandale pour son esthétisation de la violence, se retrouve dans une seconde partie le sujet d'une nouvelle expérience qui va le changer malgré lui. Dans la troisième partie ses victimes se vengent de lui, profitant de sa faiblesse
    . La fin est très différente de celle du roman mais totalement le genre de fin floue et morbide dont Kubrick est capable.
    Le scénario, très particulier et jugé malsain à raison, soulève les question du libre arbitre, du choix de la moralité, des méthodes employée sur les criminels, de la folie, et rappelle que la haine engendre la haine.
    Mais si le film est surtout resté dans les annales c'est en raison de sa mise en scène légendaire, une des meilleurs du cinémas, avec ses scènes accélérées ou ralenties, ses plans aussi iconiques que les costumes ou les décors.
    La BO est également géniale et rend le tout vraiment épique et mythique, avec au programme des morceaux légendaires de Beethoven (jusqu'à une sonnerie de maison), Rossini, Elgar, le thème principal de Henry Purcell et aussi l'utilisation à des fins très glauques et trash du tube des années 50 "Singing in the rain".
    Le film n'est quand même pas un chef d'oeuvre à mes yeux à cause de son étrangeté rebutante, son côté malsain et le surjeu de certains acteurs, qui font de lui une oeuvre pas facile à voir et revoir.
    Michel-Marie Baldocchi
    Michel-Marie Baldocchi

    2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 juillet 2024
    Ce film magnifique est malheureusement toujours d’actualité. Stanley Kubrik était visionnaire… ❤️❤️❤️
    Emmanuel Cockpit
    Emmanuel Cockpit

    59 abonnés 909 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 4 juillet 2024
    Plus de 50 ans après, le film n’a pas perdu une miette de son impact. Visionnaire, cynique et satirique, il fascine par sa vision et sa justesse. Jeunesse en quête d'identité, violence brute, sexe débridé, société à la dérive en quête de sécuritaire, les situations n’ont pas changé. Les décors, les cadrages et bien sûr la musique appuient le message et son impact est viscéral. Chef d’œuvre absolu.
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