Derniers Avis : Orange mécanique - Page 10

On ne peut pas décrocher de la première partie, la deuxième partie est l'opposé : le génie de Kubrick...Les images reste imprégnées dans la rétine sans besoin d'écarteur.

une révolte contre la société comme conséquence ; la violence filmée à l'état brut, frontale et forcément dérangeante... mais Kubrick a le génie de la mise en scène virtuose qui rend captivante et avec une certaine beauté l’œuvre proposée. le choix des décors, la lumière, les dialogues, la musique évidemment concourent à faire de ce film un projet unique qui ne peut laisser indifférent! un vrai tourbillon dont il faut être préparé.

Un de mes films favori
Trash et psychologique a la fois
Il me semble que se film a était interdit en France ou dans une autre pays et je comprends pourquoi loll des scènes choquante et marquantes et c’est ca qui est bon
Un vrai chef-d’œuvre a avoir dans sa collection bluray meme

Un chef d'œuvre dérangeant, corrosif et violemment subversif de Stanley Kubrick avec une BO fracassante, un scénario bien écrit, une mise en scène simple mais terriblement efficace, une superbe réalisation, des musiques incroyables, une histoire intelligente et dérangeante, un acteur principal formidable, des plans parfaits et des acteurs époustouflants.

Ce film est tout simplement géniale. Il réussit à mêler violence et questionnement sur le libre arbitre d'une façon qui fonctionnent à merveille. Une intrigue plaisante, touchante et à rebondissement. Des personnages développer, intéressant et attachant avec des acteurs au jeu excellent. L'histoire de ce film est tout simplement génial. Elle est en plus couronné par des plans immersif où on a l'impression d'être dans la même pièce que les personnages ( ex : la scène du viol où on a vraiment l'impression d'être le mari) et par une musique plus que cool.

Une première partie dantesque et une seconde tout aussi excellente. "A clockwork orange" est tout simplement un chef d'œuvre à tout les points de vue. Que ce soit au niveau de l'histoire, de la réalisation où sur le propos, tout les critères sont remplis à merveille.

10/10

Un chef-d'œuvre ? Veuillez m'excuser mais nous n'avons pas tous la même définition d'un chef-d'œuvre.
Quand j'ai vu la bande-annonce (particulièrement bien faite) je me suis dit que ce film avait toutes les chances d'être très intéressant et prenant, j'étais très enthousiaste à l'idée de le regarder.
Au final, je n'y ai vu que violences, sexes, jeunes hommes complètement fou, incohérent, à la limite du ridicule.
J'ai passé plus de deux heures à avoir du dégoût à la plupart des scènes, de l'ennui, je voulais même arrêter le film, chose que je n'ai pas faite, mais que j'ai fortement regrettée en voyant la fin, aussi inutile que le reste du film.
Et pourtant je suis très loin d'être sensible, je suis plutôt ouverte aux films déclassé, qui sortent de l'ordinaire.
J'ai mis une étoile pour la musique classique, aimant beaucoup Beethoven et également pour le jeu d'acteur remarquable de Malcolm McDowell.
Cinématographiquement c'est une honte et une très grosse déception.
(Je tiens tout de même à relever l'univers du décor que j'ai particulièrement aimé, à part quand cela était à la limite du vulgaire)

Sincèrement il fallait l'enfermer avant qu'il ne recommence un autre film. Quel honte qu'un film aussi laid et écœurant connaisse un tel succès avec des critiques plus dithyrambiques les unes que les autres. Il faut ouvrir les yeux quand même, c'est d ela violence gratuite, les couleurs sont horribles, seule Beethoven relève le film...
Que Mr. Kubrick ai le désir de dénoncer des actes qu'il le fasse, mais par pitié pas de cette façon. Ce film est choisi par des professeurs pour le montrer à des élèves en classe de collège !! Notre monde ne tourne vraiment pas rond.

2013, votre humble narrateur, alors âgé de 12 ans (OUI 12 ANS), qualifié depuis peu comme étant assez grand pour pouvoir visionner des films d'horreur, décide d'insérer la VHS du chef d'oeuvre de Stanley Kubrick dans le magnétoscope entre deux DVD de Saw... Un écran rouge sur lequel le crédit du film apparait, puis précédant un espace futuriste inquiétant, le personnage principal : ALEX DELARGE. ALEX ****** !!!!!!! Au commencement, le monologue du personnage. 2 minutes d'appréhension sur une perle minimaliste et inquiétante composée par Wendy Carlos. Et dire que Kubrick ne fut même pas satisfait de la musique du film, quelle erreur ! Ce synthé, reprenant de fameux airs classiques pour les rendre contemporains, tout est là pour installer en douceur une ambiance froide et d'attente de quelque chose. Le casting d'inconnus présenté, le travelling du vaste et mystérieux Korova Milkbar laisse place à un cadre spatio-temporel plus sombre et plus usé que notre monde d'aujourd'hui. Par conséquent plus fascinant... La caméra nous entraîne alors pour plusieurs séquences dans une déambulation de démonstrations des différentes activités de notre héros, garçon sadique, sans scrupule et brutal passionné par l'"Ultra-violence", et de ses trois meilleurs amis ("droogs" comme il les appelle) dans un Londres futuriste du XXIème siècle... pas si rapidement que ça, vu que le film prend largement son temps, et tant mieux, car c'est bien pour faire durer le ressenti du spectateur. spoiler: La scène du viol de Mrs. Alexander, cette situation ayant suscité maintes et maintes controverses, est l'une des celles qui ont le plus contribué à pouvoir exprimer la violence au cinéma.
Cependant, le film connu une censure durant une vingtaine d'années, comme quoi le film forcerait ses spectateurs à imiter les antagonistes... Des gens qui n'ont rien compris au sens du film. L'air de rien, le film a beau être adapté de l'oeuvre romanesque de l'anglais Anthony Burgess, nous ne pouvons tirer la même morale des deux supports: spoiler: le roman montre qu'on ne peut changer l'Homme (puisqu'après avoir été hospitalisé, il redevient comme au début de l'histoire) tandis que le film montre qu'un Homme doit se rendre compte lui-même de ses erreurs, en dénonçant ainsi le gourvernement totalitaire.
Ce film, j'ai beau l'avoir vu bon nombre de fois, jamais je n'ai réussi à m'ennuyer durant la seconde partie, alors qu'il ne se passe pourtant pas grand chose. Ces scènes de dialogues lents et poseurs, cette musique minimaliste qui accompagne sans jamais dominer, cette dystopie fourmillant de détails exploitant tout le talent de Stanley Kubrick, l'esthétique torturée et cauchemardesque londonien, cela fait déjà un paquet d'éléments remarquables. Cette première partie nous ouvre la porte de la plus mauvaise passion Humaine traitée sur le personnage d'Alex, cette passion brusquement rompue spoiler: par la justice qui l'a rattrapé, qui laissera place au début d'un long cauchemar pour Alex... Car le film devient maintenant un drame psychologique dans lequel toutes ses victimes s'amuseront chacun leur tour de la faiblesse du personnage dominante depuis le traitement Ludovico. Et ce sont de grandioses scènes de suspense qui s'ensuivent. Trahi par deux de ses anciens amis devenus policiers (ce qui n'empêche pas leur volonté à le torturer à son tour, encore une fois une critique du gouvernement cette fois sur la police), notre Alex se réfugie dans une demeure qui lui est familière: celle de l'écrivain Mr. Alexander. Celui-ci le reconnait petit à petit et nous fait part du décès de sa femme, violentée et violée par notre héros et sa bande au début du film
Ici, la mort, n'est pas montrée à l'écran: par exemple, juste avant d'être rattrapé par la justice, Alex tente de tuer une riche femme, surnommée "La femme aux chats" en l'assommant avec une statue de pénis en plâtre (charmant ^^) néanmoins ni elle ni l'épouse de l'écrivain n'apparaissent mortes. Tout simplement parce que Kubrick n'a pas souhaité faire ressentir de la pitié pour elles, mais plutôt pour le parcours d'Alex DeLarge, à la fois protagoniste, anti héros et antagoniste qui réussit à avoir un look provocateur, dégueu et pourtant très classe ! Toutes ces scènes ou il subit à son tour prennent le spectateur à la gorge, et leur prouve que le véritable danger vient finalement des hommes contrôlés par le totalitarisme et certaines mauvaises décisions et envies humaines. Tout le film fonctionne du début à la fin, ou presque, de la même manière : on ne nous montre pas tout pour maintenir ce que Kubrick cherche à prouver, et c'est sans doute pour ça que ce film est le meilleur de sa filmographie, bien qu'il ne soit visuellement pas le plus beau (on lui préférerait à ça 2001) : on ne voit finalement presque jamais de scènes violentes (mis à part au début du film), ce qui crée en nous un sentiment d'attente de quelque chose de terrible qui peut arriver à tout moment. Pour parler du personnage d'Alex, j'ai un sentiment d'attirance-répulsion avec cette Homme: répulsion, parce que c'est d'abord quand même un sacre p'tit con. Attirance, parce que j'aime l'évolution morale du personnage. Monument du cinéma d'anticipation, mais aussi monument du cinéma tout court élevé au rang de film culte pour beaucoup, "Orange mécanique" est un de mes moments personnels d'admiration sans limites devant ce que permet de faire le cinéma. Je dois ça au casting dans son ensemble, bien sûr l'époustouflant Malcolm McDowell, mais aussi le reste du panier, non élevé aux rangs de spécialistes mais très bon quand même, particulièrement Patrick Magee, glaçant et malsain, Warren Clarke ou encore Michael Bates ! Je dois ça à la magnifique musique de Wendy Carlos, reprenant à merveille Rossini, Purcell et surtout Beethoven. Je dois ça à la VHS que possédait mon père, ce qui m'a permis de découvrir ce film en cachette alors que je n'y étais pas vraiment autorisé. On aura beau relever si on est spectateur de "Faux raccord" quelques petites mais peu importantes incohérences, tout est parfaitement maîtrisé, dans ce grand classique de l'anticipation qu'est Orange mécanique, qui fut pendant longtemps le numéro 1 de mon top 10 films et celui qui aura véritablement lancé ma passion pour le cinéma, ou peut-être qui m'a rendu cinéphile tout court... Longue vie à ce long métrage indispensable, et longue vie au cinéma tout court !!

Dérangeant, corrosif et violemment subversif, “A Clockwork Orange” est un chef d'œuvre de Stanley Kubrick avec une BO fracassante, un scénario bien écrit, une mise en scène simple mais terriblement efficace, une superbe réalisation, des musiques incroyables, une histoire intelligente et dérangeante, un acteur principal formidable, des plans parfaits et des acteurs époustouflants.

Un chef d'œuvre du septième art, du grand Kubrick, un monument. Quelles sont les limites entre le bien et le mal ? Leurs frontières sont si floues. Devient t-on bon lorsque on ne choisit pas de le devenir ? Kubrick pousse les limites de la psychologie humaine pour nous montrer que lorsque l'horreur n'a plus de nom, alors ceux qui en sont les auteurs peuvent être amenés a un chemin de la repentance. Mais ce dernier ne serait être effectué sans un choix volontaire. Car l'homme n'est plus homme s'il n'a plus ce qui le forge : la liberté d'être et de choisir son camp : celui du bien. Celui du mal.
Cru, ouvertement violent (le tout étant nécessaire à la cohérence du film qui n'est absolument pas l'apologie de la violence et de la débauche !) Orange Mécanique se dote d'une bande son magistrale qui vient tournoyer a tue-tête et on ne saurait s'en passer. Une réalisation qui, du haut de ses plus de 35 ans, laisse de marbre et prend au tripes. On ne ressort pas indemne d'un Kubrick, et encore moins Orange Mécanique !

Un film qui m'a fait ressentir de l'empathie pour la pire des ordure. Génie. L'acteur qui incarne Alex est parfait, menaçant et vulnérable à la fois. Les costumes, les décors sont 100% Kubrick.

Le génie Kubrick a su captiver mon attention dans ce second visionnage de ce pur chef-d'oeuvre !
La remise en cause de l'humain dans la société ainsi que le jeu des acteurs irréaliste mais incroyablement juste avec cette réalisation digne de ce géant qu'est Stanley Kubrick !L'histoire d'Alex, un jeune voyou dirigeant d'un gang. Alex qui suivra des semaines de redressements et de séquestration.
On ne peut pas passer à côté de ce génie !

Le meilleur film du 20ème siècle, et notamment le meilleur de Kubrick. Mais avant tout, avec Orange mécanique, on découvrit un nouveau genre de cinéma, il est impossible de voir le cinéma de la même manière. De splendides décors, de même pour la mise en scène. En revanche les effets spéciaux sont pas terribles, il y'en a peu d'ailleurs ceux que l'on imagineraient aujourd'hui pour le film étaient infaisables, Bref.
En revanche si on se met dans la peau d'un critique, vivant dans les années 70, on trouverait que l'oeuvre est la plus visionnaire de tous les temps. Un film d'anticipation et de science fiction très maitrisé.
Mais si on se met à la place d'un critique des années 2010 (ce qu'on est), on peut considérer que le film n'est absolument plus insoutenable. Regardez les horreurs qu'on sort maintenant, dans Orange mécanique on n'assiste pas à une scène où une femme se fait violer pendant un quart d'heure après une scène où un homme ravage le visage d'un autre avec un extincteur (irréversible). On ne voit pas non plus des scènes d'auto mutilation et de castration (Antichrist). On ne voit pas une bombe qui tue des millions de personnes à New York, ou encore un homme qui ravage le visage d'un autre avec un hachoir à viande (Watchmen).
Bref, Orange mécanique est une oeuvre à regarder avec 2 visions, la vision qu'on aurait si on vivait dans les années 70 et la vision qu'on a aujourd'hui, quel que soit la date d'aujourd'hui.
Kubrick est un artiste qui ne laisse aucun barrages lui faire obstacle.
Orange mécanique est 100 fois mieux que le livre, ce dernier est illisible par ses textes qui sont autant en français qu'en russe.
Orange mécanique a permis au cinéma de se décoincer, qu'il devienne un art véritable capable d'émettre un réelle expressivité, Merci Kubrick.
D'autre part le film est passionnant pour l'amas de malheurs qu'arriveront à Alex à sa sortie de prison.
C'est un film qui montre le pouvoir de l'image sur la psychologie et la neurologie, intéressant.
La bande annonce est l'une des meilleures de tous les temps, de même pour le poster.
La scène du clochard est d'une meilleure de tous les temps par sa qualité d'image merveilleuse. Un parfait contraste produit par les ombres dans le métro. Je déconseille le film aux moins de 13 ans.
Il est dans mon top 10 et pour conclure Orange mécanique est énorme, je le recommande donc. 5/5

Un chef d'œuvre d'absurde et polémique. Malcolm Dowell incarne un voyou fasciné par le viol. Un film culte.

La scène d'introduction est absolument magnifique, le long travelling arrière qui nous fait découvrir tout d'abord Alex, puis c'est droogs, puis enfin tout le décor de la pièce. Ça y est, on est déjà entré dans un film captivant.
La première partie du film expose toutes les actions crapuleuses et abjectes des droogs, et, plus particulièrement du chef de la bande. Ça passe par des multiples violences, un viol sur du singin' in the rain, et enfin une tentative de viol qui va l'amener en prison, le tout dans une mise en scène ahurissante.
La seconde partie commence, avec le changement radical de Alex et sa volonté à changer du tout au tout, puis vint l'expérience.

Kubrick pose la question éthique et morale d'un monde sans violence et sans sexe. Malheureusement, il ne laisse pas réfléchir le spectateur et lui expose directement l'idée grâce au discours du prêtre. C'est le seul point négatif du film.

Les mouvements de caméra de Kubrick remplissent toujours mon corps de frisson. Jamais un cinéaste a réussi à réitérer des travellings aussi somptueux, on a failli approcher de Kubrick avec It Comes At Night mais certains maîtres ne seront pas dépassé. Tous les plans sont des oeuvres d'arts, faites pause à n'importe quel moment du film et contemplez la beauté de l'image qui passe par les décors, les costumes, le cadrage et bien d'autres.