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    Orange mécanique
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    1 355 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 24 avril 2019
    J'ai adoré. Du pur plaisir avec une grande réflexion à se faire sur notre société, et notamment sur ceux qui nous gouvernent.
    Rodrigue B
    Rodrigue B

    20 abonnés 220 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 mars 2019
    « La vertu vient de l'intérieur, la vertu est un choix. Quand un homme ne peut plus choisir, il cesse d'être un homme »
    Il était des réalisateurs en qui on pouvait mettre toute sa confiance quel que soit le sujet traité, quel que soit le genre utilisé et Maître Kubrick en faisait incontestablement partie ! « Orange Mécanique » est un classique indémodable car toujours hors surface temporelle tant les décors et l'ambiance générale ne trouvent aucune comparaison. Rien que le dialecte utilisé par les protagonistes (un anglais à la fois proche et lointain) nous emmène dans un autre monde, un monde un peu fou qui représente le 21ème siècle pour un cinéaste qui ne l'aura pas connu ! Notre société vue par Kubrick fait très peur, il n'y a pas que l'immoralité d'Alex qui nous refroidira... Tout l'univers créé renvoie à l'excès et à la pornographie (les infirmiers qui font l'amour à côté d'Alex alors qu'il se trouve dans le coma, les objets décorant les maisons, etc...)... Et cette technique au stade expérimental, la Ludovico, qui nous dirige vers un régime totalitaire faisant de nous des presque-robots... Le débat est ouvert, avons-nous confirmé les suspicions du cinéaste ?
    « Orange Mécanique » se présente donc comme un film d'anticipation mais également comme une satire de la société moderne et Kubrick n'hésite pas à nous déranger là-dessus dénonçant le fascisme latent de la science au service de la morale. Il était convaincu que le conditionnement psychologique était une arme nouvelle utilisée par un gouvernement totalitaire afin d'imposer un vaste contrôle sur les citoyens.
    Le film milite vers cette thèse : forcer l'éducation des « déviants » sans tenir compte de leur volonté (principe de la technique Ludovico), c'est presque se révéler plus immoral que ces déviants ! L'une des qualités premières de l'être humain, c'est sa liberté et c'est précisément ce qu'attaque la technique Ludovico ! Alex, au début du métrage représente l'homme à l'état de nature (un barbare), il est trahi par ses complices et se retrouve en prison, on lui propose cette technique et une libération anticipée. Cette technique fonctionne sur lui et, une fois libéré, il devient alors le bourreau de ses anciennes victimes !
    On sait que, généralement, Kubrick se détache de l'oeuvre littéraire qu'il adapte cinématographiquement, on en aura la preuve avec son excellent « Shining » que Stephen King a détesté car ne rendant pas service au propos de son roman. Paradoxalement, avec « Orange Mécanique », Kubrick est assez fidèle à l'oeuvre de Burgess sortie 10 ans avant le film. Une grosse différence de taille néanmoins : le final. Pour le livre, Alex aurait dû reprendre ses activités délinquantes avec d'autres complices, il recroiserait ensuite Pete qui se serait rangé (femme et enfants). Touché par cela, Alex déciderait alors de se ranger à son tour songeant à fonder une famille... Ce final a simplement été écarté par Kubrick. Le jargon utilisé dans le film est également bien moins présent que dans le livre, reconnaissons que Kubrick utilise ce jargon à juste dose.
    Soyons francs, hors contexte, il n'est pas difficile de trouver un film plus violent qu' « Orange Mécanique » ! Ce qui a choqué (et continue), c'est l'association de ces scènes barbares (viols, meurtres, etc...) avec une esthétique toute particulière. Le choix musical est très ingénieux (comme à l'habitude du cinéaste), cette allure festive qu'il confère à certaines séquences hard nous déboussole complètement ! Plus jamais nous n'écouterons les musiques utilisées de la même façon ! Les décors improbables ont également cet impact ! Cette perte de repères nous effraie, le message de l'oeuvre n'en est que plus intense !
    Il fallait être Stanley Kubrick pour arriver à un tel résultat avec un budget aussi minime ! Son perfectionnisme a fait en sorte que ce film reste une référence et une leçon presque 50 ans après ! J'ai eu l'occasion de profiter de l'exposition lui étant consacrée à la cinémathèque de Paris, j'y ai vu un témoignage fort intéressant où Malcolm McDowell parlait de la mise en scène du cinéaste comme d'un cadeau. Kubrick s'est montré comme un père pour son acteur principal, un lien très fort entre les deux hommes s'est créé de sorte que le jeune acteur prenait énormément de plaisir et n'avait aucune difficulté à cerner son personnage ! Il est intéressant de souligner que la danse culte de McDowell est une pure improvisation de l'acteur, ce qui est fascinant car il s'agit sans doute de la plus « belle » scène du film ! « Belle » est un très mauvais choix de qualificatif car il s'agit de la séquence la plus hard ! McDowell achevait son témoignage en précisant qu'une fois le tournage terminé, Kubrick était passé à autre chose du jour au lendemain... Plus aucune relation n'était envisageable entre les deux hommes ! Kubrick, c'était le moment présent, il savait exactement ce qu'il fallait faire pour obtenir le meilleur et il l'obtenait, après il allait voir d'autres horizons ! « Orange Mécanique », pourquoi ce titre ?
    Voilà une question que je me suis posée sur le tard... Pour moi, « Orange Mécanique » était associé au roman et au film culte, point ! Je ne me posais pas cette question du titre. Burgess nous offre la réponse: cela vient d'une vieille expression londonienne « il est bizarre comme une orange mécanique », cela renvoie donc à l'étrange, à l'inhabituel. En Malaisie, « Orang » signifie « être humain », en traduisant le titre : l'homme mécanique, on comprend plus facilement le rapprochement logique de l'homme sortant du fameux traitement Ludovico. Après tout, pourquoi chercher une explication ? « Orange Mécanique », ça en jette non ?
    Audrey L
    Audrey L

    627 abonnés 2 580 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 mars 2019
    Orange Mécanique est vraiment horrorcho et nous en met plein le gulliver... Pour la traduction, voyez le film qui utilise ce langage incompréhensible, véritable casse-tête qui amuse autant qu'il agace délicieusement. Orange Mécanique est un monument du cinéma, que l'on aime ou pas, mais ne laisse en aucun cas indifférent : plus de deux heures de violence, de sexe déluré, de dialecte bizarre et d'esthétique réfléchie (bruits d'usine...). Pour ma part, je n'apprécie pas la première partie du film (l'exposition du groupe ultra-violent et hautement lubrique) que je trouve voyeuriste et cathartique sans autre but, mais j'adore la seconde partie (lorsque le chef, Alex, se fait attraper par la police et se fait "corriger" en détention... Véritable pamphlet contre les régimes autoritaires et les croyances "bienpensantes" qui font parfois autant de mal que la crapule qu'elles corrigent...). Alex, la brute épaisse et complètement obsédée par les bas instincts, devient une pauvre victime qui nous fait pitié (si, si !), un tour de force lorsqu'on se rend compte à quel point on détestait ce personnage au début du film. Mais comment ne pas compatir à la douleur expiatoire d'Alex quand on voit les expériences atroces qu'on lui impose : les yeux écartés sur un écran, avec sa musique préférée (la Neuvième de Beethoven) qui est associé à du dégoût, les seringues longues comme le doigt, les passages à tabac par la "police" (ses anciens amis que la société a jugé bon de mettre au service de l'ordre public... Une belle tacle contre les idées absurdes lors des élections, juste pour se faire bien voir). Toute cette seconde partie est un incroyable "show grotesque et très intelligent à la fois" qui souligne d'abord la moralité "on récolte ce qu'on sème" (Alex qui passe du prédateur à la proie abrutie de façon violente) mais la dernière minute nous montre plutôt l'impossibilité de vivre contre sa nature ( spoiler: la douleur d'Alex le pousse à une tentative de suicide, ce qui remet les compteurs à zéro et replace Alex dans sa place de psychopathe obsédé
    ). Ultra-sexuel, violent, intelligent, avec un acteur principal qui a su se faire haïr et prendre en pitié en un temps record, une œuvre unique en son genre.
    Joker0959
    Joker0959

    7 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 28 octobre 2018
    Oeuvre phare des années 1970, Orange mécanique de Stanley Kubrick, est surtout connu pour sa première demi heure remplie de scènes de violence plus dérangeantes les unes que les autres. Et pourtant, selon moi, la meilleure partie, celle qui m'a permis de le classer comme chef d'oeuvre, se situe dans sa dernière heure. En effet, que dire de celle-ci, si ce n'est que son écriture ,rempli de messages, est parfaite. spoiler: Tout d'abord, la violence et le sexe presente partout dans notre société ( la loi, la médecine) transformant un homme bon en brute ( très bonne representation du mythe de l'enfant sauvage). Ensuite, l'ironie et la conséquence de nos actes: l'homme à l'agonie devient le narrateur lui même, les retrouvailles par hasard, la haine de la musique de Beethoven qui pourtant au début du film lui voué un culte qu'on ne devait pas arrété et j'en passe. Pour finir, la notion de choix qui est ici poussé à son paroxysme que ce soit au niveau du traitement médical, du gouvernement qui se veut totalitaire ou encore du suicide ratée d'Alex qui provoquera son immobilisation donc son absence de choix même de vivre ou mourir.
    Ajouté à cela un jeu d'acteur incroyable et une musique enivrante et vous avez "Orange Mécanique", un bijou du cinéma contemporain.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 13 octobre 2018
    Kubrick nous offres un chef d'oeuvre comme la quasi-totalité de sa filmographie. McDowell est grandiose dans son rôle. Une excellente adaptation du best-seller de Burgess.
    Guide de Survie du Cinéphile Amateur
    Guide de Survie du Cinéphile Amateur

    17 abonnés 484 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 septembre 2018
    Deux lectures pour ce film culte : la violence à son paroxysme sur grand écran et un film d’anticipation (film politique même) très intelligent sur l’évolution d’une société.
    Le film est divisé en trois parties : on commence par suivre les agissements ultra violents d’un groupe de jeunes (les droogies) emmenés par un leader sadique, Alex, à travers des scènes hallucinantes et dérangeantes comme celles du clochard tabassé ou du viol, le tout rythmé par une BO fracassante à la sauce Beethoven. Puis, le héros est puni et utilisé comme cobaye dans une expérience gouvernementale qui l’entraine dans un programme de « réinitialisation du cerveau » le faisant passer par tout un panel de sensations. Enfin, l’on retrouve Alex à sa sortie de traitement, vulnérable et incapable de sa défendre, qui va subir les foudres de ses anciens camarades et victimes.
    Kubrick, dans sa maestria, instaure une atmosphère envoûtante, malsaine, cynique et subversive. A travers ce film, il dénonce les dérives d’une société ultra violente à tout niveau (que ce soit les pulsions d’Alex ou le traitement infligé par l’Etat) mais surtout l’attitude des gouvernements qui rêvent d’un peuple de moutons malléables à souhait et à la pensée unique.
    Il convient également de parler du personnage principal, merveilleusement interprété par un Malcolm McDowell totalement fascinant dans ses excès, son attitude débordante de charisme, son look improbable, ses manières et ses intonations de voix (d’ailleurs la voix off à son importance).
    Bref, une vraie claque, une incontournable du septième art et le plus grand film de Kubrick. Dérangeant, glauque, intelligent, fascinant, ironique, un film inclassable qui n’a pas perdu de sa puissance, près d’un demi-siècle plus tard.
    Auteur du livre "Guide de Survie du Cinéphile Amateur" (sortie janvier 2019)
    RealPrime
    RealPrime

    81 abonnés 1 732 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 27 juin 2018
    Encore un considéré comme culte et qui aura eu une critique superbe pour l’interprétation de ses acteurs, l’histoire et sa violence. Encore mieux, jugé -16 Ans, moi j’en donne -12 Ans car franchement, la soi-disant ultra violence décrite par celles et ceux l’ayant vue m’avait donné très envie. Je rassure de suite, j’aime le -16 si c'est réellement le cas mais quand on me dit que dans ce film, c’est violence et vulgarité à gogo, j’m’y attends, c’est le principal réflexe. Au final et une fois d’plus, aucune vulgarité, aucune violence extrême mais certaines scènes suscite chez moi une belle stupéfaction. spoiler: En effet, on y voit très clairement une scène ou le personnage principal fait l’amour dans tous les sens du thermes à une de ses conquêtes d’un jour rencontrer en espace de jeux-vidéos, en accélérer mais on voit très clairement les parties intimes. J’me suisdit, et ça ! C’est aller à Cannes en sélection officiel, bah m... alors ! Ensuite, quand la petite bande se retrouve dans un bâtiment ou la déco est très provocante, et pas des moindre. En effet, celle-ci est faite de mannequins de femmes nues très réalistes dans à peu près toutes les positions sexuelles pouvant exister. Les tables sur lesquelles les garçons sont assis montrent les fameux mannequins dans les positions les plus osées.
    Donc bref, du provoquant, sexe mais aucune violence extrême apparente. Enfin, la soit-disant thérapie de choc du principal intéresser ne montre également rien de choquant visuellement et audditivement. spoiler: Et le final du film n’est lui non plus pas renversant. Le film se termine en effet sur une conversation entre le jeune homme soigné et l'officier ayant ordonné son insertion au centre médical.
    kroston
    kroston

    4 abonnés 292 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 31 mai 2018
    De la violence gratuite qui pour moi n'a pas un soupçon d'interet.
    Je me suis profondément ennuyer dans ce film sans en apprécier la moindre scène .
    Une lutte permanente pour ne pas m'endormir.
    The Claw
    The Claw

    61 abonnés 727 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 avril 2018
    Un film culte donc, que je n'avais vu qu'une seule fois il y a plus de 20 ans (ça ne nous rajeunit pas tout ça). Je me souvenais avoir été déçu à l'époque. Et puis j'avais vu Shining que j'avais littéralement adoré, et puis régulièrement je revoyais des images de ce Orange Mécanique, des extraits, des reportages, etc... Et ça m'a donné envie de le revoir. Et j'ai bien aimé, plus que ce que j'avais vu il y a 20 ans.
    Déjà à l'époque, j'avais aimé les 45 premières minutes, montrant l'ultra violence dont font preuve ces jeunes Droogs. La deuxième partie, montrant l'emprisonnement et le traitement de choc est un peu plus faible, même si pas inintéressant. Quant à la dernière partie, j'ai vraiment bien aimé : tout se recoupe par rapport au début, et ça nous montre donc un film cohérent et bien construit, et ça j'aime.
    Ce que j'aime également beaucoup dans ce film, c'est l"imagerie". Tout ce délire avec les oeuvres d'art, les tableaux, les sculptures, mais aussi les décors avec ces couleurs ultra-vives, et puis ces plans cultes : le visage du personnage au début du film, avec sa tenue, son faux-cil, etc..., la scène avec l'écrivain et sa femme, la scène avec la femme aux chats, la scène où les drougs se baladent près du canal, la scène avec les 2 filles chez le disquaire, etc... Il y en a plein!
    Et enfin, ce que j'adore également, c'est l'argot inventé utilisé dans le film par le personnage principal : les droogs, le nozh, le gulliver, etc... Des fois, on a vraiment même du mal à comprendre ce qu'il dit. Je me demande si il existe un site internet traduisant cet argot.
    Bref, qu'on aime ou qu'on aime pas, un film à voir au moins une fois pour sa culture personnelle.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 10 mars 2018
    Un chef-d'oeuvre d'une originalité incroyable ! Cependant, âme sensible, s'abstenir ! Du début du film jusqu'à la fin, nous somme pris par une ambiance incroyable dont seul se film et capable de vous mettre ! Paradoxalement, par un procédé que je ne saurai expliqué, se film a une tendance a redonné foi en l'humanité ! Un grand classique pour tout cinéphile qui se respecte !
    Simplicissimus
    Simplicissimus

    8 abonnés 189 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 février 2018
    "Orange mécanique" paraît un peu daté aujourd'hui,surtout au niveau des décors et des costumes mais à l'époque de sa sorti, le film de Kubrick fut un évènement et fit l'effet d'une bombe...
    Il montrait,en effet,la délinquance juvénile sous un jour ultraviolent...
    Le réalisateur déploie toute les couleurs de la palette de son génie créatif,surtout dans la première partie du film,la plus spectaculaire et la plus célèbre,au cours des exactions d'Alex et de ses droogs:travellings arrière,ralentis,images accélérées etc...le tout soutenu par la bande originale inspirée du génial Walter Carlos.
    La seconde partie du film verse davantage dans le pamphlet social mais la verve satirique de Kubrick n'est jamais loin.
    Malcom Mac Dowell est si bon dans le rôle d'Alex,que non seulement le rôle lui a collé à la peau par la suite et qu'il a eu du mal à s'en défaire mais,en plus, il arrive à rendre attachant un personnage particulièrement pervers.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 25 janvier 2018
    Incroyable film, du très très très grand kubrick (jamais déçu

    Le jeu d’acteur de mcdowell est bluffant
    Bref j’adore ce film c’est un 5 pour ma part !

    Ps (⚠�SPOIL⚠�

    À la fin l’écrivain en fauteuil m’a énormément fait penser à Hector Salamanca dans breaking bad !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 23 janvier 2018
    Un film malsain, terriblement glauque, plein de violence gratuite, et pourtant quel chef-d'oeuvre ! Du grand Kubrick !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 1 janvier 2018
    Un chef d'œuvre dérangeant, corrosif et violemment subversif de Stanley Kubrick avec une BO fracassante, un scénario bien écrit, une mise en scène simple mais terriblement efficace, une superbe réalisation, des musiques incroyables, une histoire intelligente et dérangeante, un acteur principal formidable, des plans parfaits et des acteurs époustouflants.
    Chaîne 42
    Chaîne 42

    134 abonnés 3 054 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 28 décembre 2017
    Je sais que ce film était très original et avant-gardiste mais même en se resituant à cette époque cela est moins de la S.F. qu'un étalage de perversion et de violence. Ce n'est pas un film d'horreur ni un film futuriste mais un film outrancier qui affiche la violence de façon répétée et gratuite qui élève la provocation en idole. Derrière il n'y a que l'influence du mal et son affichage, il n'est montré que de vagues influences artistiques, un système corrompu, égoïste, malsain, rien que ce qui est mauvais.
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