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Ricky_TV
1 abonné
6 critiques
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5,0
Publiée le 14 août 2021
Un pur chef d'oeuvre ! C'est compréhensif de lire plusieurs critique disant que le film et violent, mais de là a dire que c'est une daube ce n'est pas mérité. C'est un film qui évidemment ne doit pas être mis dans les mains de tout le monde étant donné la violence mais le film a une réalisation au top le scénario n'en parlons même pas il est parfait ! Je ne me suis pas ennuyé une seconde. Je le conseil a tout amateur de chef d'oeuvre !
Un de mes films favoris...si ce n'est pas MON film favori ! Mais je ne saurais pas dire pourquoi... Même avant de voir ce film j'y ai voué un culte grâce à son réalisateur Stanley Kubrick (le plus grand réalisateur de tous les temps ^^). J'ai regardé un tas de "Behind The Scene"et c'est grâce à ce film que aujourd'hui je suis un passionné ! Une violence qui en devient limite satisfaisante...des musiques si bien choisies et surtout des personnages et des thèmes si décalés qu'on en voit dans ce film un voyage dans l'ultra-violence !
Ce film est un grand Kubrick il merite entièrement sa catégorie d'âge, comme quand je l'ai vu ça faisait un mois que je le cherchais pour pouvoir le regarder j'avais peur qu'il ne soit pas a la hauteur de mes attentes mais finalement, c'est du grand art
Stanley Kubrick nous transporte encore une fois dans un autre monde. Peut-être même un autre univers. Difficile de faire une critique sur un tel film avec de simple mots... Premièrement, je tiens a souligné la prestation de Malcolm McDowell qui sera le protagoniste de l'histoire dans le rôle d' Alex DeLarge. Ensuite, l'ambiance du film qui nous prend dés les premières minutes et jusqu'à la dernière. Bizarrement, je ne saurais que dire de plus pour vous donner envie de voir ce film tellement c'est un ovni du cinéma. En tout cas, tout cinéphile qui se respecte se doit de voir Orange mécanique. 5/5
Évidemment c est un film inoubliable ! mais pas pour les raisons qu on peut croire . Cette ultra violence omniprésente tant dénoncée par ceux qui n ont jamais pris la peine de voir le film n est absolument pas le but du scénario mais au contraire de dénoncer l absurdité de la violence gratuite. La mise en scène maîtrisée de bout en bout n est pas prête de quitter votre esprit.
Incapable et inutile futile cinéphile qui ont mis 0 étoiles à ce film les mêmes qui aiment les films de Woody Allen parce qu’ils sont magnifiques disent ils! Incultes dirais je! Ceux là meme qui n’ont rien compris à ce film en fait vu leur cerveau absolument ramolli par une bien pensance ou tout simplement par l’inexistence de leur cerveau Ce film est culte utile et surtout bien fait! Montrez moi un film comme ça à notre époque aussi étouffant !!! Dites moi que les dialogues ne ressemble pas à du shakespeare dans la forme ou peut être est ce trop vulgaire pour vous?? Kubrick rend la une de ces œuvre les plus dystopiques et aboutit de sa pensée! Je réagis peut être tard mais je n’avais jamais pensé à regarder les commentaires sur ce film et quand j’ai vu qu’il y en avait des mauvais je me suis dit que c’est normal que la société va mal (dixit un des commentateurs) puisqu’ils n’ont pas de caractère autre que de celui de se planquer sous la couverture quand le film tourne au vinaigre! Bichons arrêtez de regarder des films et lit des oui ça te conviendra mieux!
Certains films apparaissent dès leurs premières secondes comme étant de purs chefs-d’œuvre. Orange mécanique fait partie de ceux-là. Dès le générique et le premier plan (un des travellings arrières les plus marquant du 7ème Art), le tout accompagné par le titre principal de Wendy Carlos (qui n’avait pas encore effectué sa transition et s’appelait donc encore Walter Carlos), on sait que l’on va se trouver devant une œuvre puissante et extrêmement maîtrisée. En effet, comme à son habitude, Stanley Kubrick offre une mise en scène d’une précision incroyable associant quelques plans en caméra portée avec une grande majorité à la composition parfaite typique du cinéaste. Construit en trois actes, le film débute donc avec un enchaînement de scènes toujours aussi mémorables 50 ans après soulignant la violence de son personnage principal et ainsi la décadence d’une partie de la société. Mais, en observateur froid du monde qui l’entoure, Kubrick renvoie dos à dos tous les êtres humains. Alex et ses droogs (ou droogies) sont des êtres abjects mais les classes plus respectables ne le sont qu’en apparence comme on peut le découvrir dans les seconde et troisième partiesspoiler: (la prison est représentée de manière ridicule et préfigure l’armée de Full metal jacket, la famille d’Alex le met à la rue après avoir trouvé un locataire payant en avance son loyer, les hommes politiques et les artistes militants n’agissent qu’à des fins électorales et non en fonction de leurs véritables convictions…). Le traitement d’Alex ne le rend également pas véritablement bon par volonté mais par obligation, ce qui n’est visiblement pas une solution convaincante pour le cinéaste. Ce dernier conclut donc son œuvre en revenant au point de départ et en n’offrant pas de morale à son public, à l’inverse de la version originale du roman d’Anthony Burgess dont le dernier chapitre montrait un Alex vieilli qui était rentré de son plein gré dans le droit chemin (chapitre absent de la version américaine qui était celle qu’avait lu Kubrick la première fois) . Orange mécanique est une œuvre assez subversive au sein de laquelle Kubrick s’est permis des idées osées et novatrices tant d’un point de vue du fondspoiler: (Alex s’imaginant en héros biblique) que formelspoiler: (la séquence de sexe à trois filmées en accéléré sur fond de l’Ouverture de Guillaume Tell de Gioachino Rossini) . En outre, ce cocktail de violence et de sexe est renforcé par le choix de Wendy Carlos et de Kubrick d’utiliser de nombreux morceaux classiques (Ludwig Van, comme l’appelle Alex, possède d’ailleurs une place de choix dans le récit et dans le panthéon du principal protagoniste). Cela permet aussi au cinéaste de persévérer dans la décision (qu’il avait prise sur 2001, l’Odyssée de l’espace et qu’il conservera jusqu’à sa mort) d’utiliser des œuvres musicales préexistantes afin de posséder encore plus de maîtrise sur son œuvre. Enfin, il serait injuste de ne pas souligner également l’interprétation phénoménale de Malcolm McDowell qui a trouvé ici le rôle de sa vie malgré la richesse de sa filmographie. Le comédien arrive à la perfection à jongler entre l’effroi, le grotesque et la faiblessespoiler: que revêt son personnage dans le dernier acte . Ainsi, si on excepte les costumes et certains décors fleurant bon les années 70, Orange mécanique reste un long-métrage toujours aussi marquant de nos jours (pouvant même être considéré comme étant prophétique, vu l’escalade dans la violence qu’ont connu les sociétés occidentales depuis), d’une perfection visuelle totale, au travail musical innovant et passionnant de bout en bout : en somme un pur chef-d’œuvre.
Adapter un roman tel que "Clockword Orange" d'Anthony Burgess paraît impossible, mais Stanley Kubrick a réussi la mission avec brio et signe ici une œuvre grandiose digne du livre. Très critiquée à sa sortie, accusant Kubrick d'apologie du viol et de la violence gratuite, l'œuvre est en réalité beaucoup plus complexe... Cette expérience Ludovico subie par Alex, interprété par Alex Mcdowell, est en réalité le reflet de ce que vit le spectateur avec le film, l'immersion est totale et le film est une réelle expérience. Il met en question notre rapport à la violence, notre tolérance envers celle ci, dans une société où le gouvernement, l'éducation et l'art la tolère et la rende légitime. Celle-ci n'est dérangeante que lorsque que leur crédibilité est en danger.
Je sais pas si c'est dû à mon appartenance à la génération des "millenials", pour laquelle ultra violence et sexualité débridé sont presque des euphémismes, mais ce film ne m'a ni choqué, ni impressionné, ni même déçu. J'ai trouvé ça pas mal. Pas mauvais, mais pas extrêmement bon non plus; malgré une histoire, une narration et des décors plutôt originaux, et cette manière de filmer qui rend si reconnaissables les films de Kubrick. Un bon divertissement en somme. Mais rien de réellement marquant pour moi.
Ce titre impossible abrite un film-opéra d’une totale originalité, violent, rythmé par des scènes d’une grande créativité (reprise en main des troupes d’Alex), avec son vocabulaire, ses tenues vestimentaires, de l’humour (rapport parents/enfants), le tout irradié par la 9ème de Beethoven. Une œuvre d’auteur.
Un sanctuaire de la violence pour bâtir le mausolée d'une société pourrite jusqu'à la moile. Des montagnes russes des émotions, ici, la notion de bien et de mal devient un concept bien superflu et la critique est acérée. En y ajoutant le talent de Malcolm McDowell et le génie de Kubrick, on ne peut obtenir qu'un excellent film.
Ce chef-d’œuvre Kubrickien est un bijou d’anticipation sur la délinquance futur. Car le cinéaste comme l’auteur (livre de base) rejette, est un système dont les codes sociaux et moraux sont bafoués par un régime totalitaire. Rétablissant l’ordre sur la criminalité à commencer par la délinquance, se focalisant sur le changement du comportement humain et la suppression de son libre arbitre. [spoiler] La preuve, dans une scène mythique, il suffit d’un cobaye comme notre naïf Alex pour être sujet d’une expérience extravagante, c’est facile à constater, c’est le lavage de cerveau ou la mécanisation mentale. Une thérapie comportementaliste qu’on s’apprête à connaitre un jour, imaginez le pire - après les moutons, viennent les robots. À la fois mystique, violent, provoquant et contestataire, ce chef-d'oeuvre des années 70 nous laissera toujours yeux exorbités et bouche entrouverte, du début à la fin ! Avec Malcolm McDowell dans son premier rôle majeur qui le conduira vers la gloire.
Le film Orange Mécanique est une création de Stanley Kubrick. Il est sorti 1972. Je pense qu’il peut produire un impact très significatif pour le spectateur. Je crois qu’il transmet un enseignement très profond sur la société. Cet enseignement est que le manque de conséquences formatives et autoritaires dans un société détachent la violence. J’admire le directeur du film pour représenter et transmettre ses idées d'une manière unique. Le film est très graphique, donc c’est efficace. Les scènes provoquent des sentiments forts, et créent un environnement tendu. Cela fait que le spectateur réfléchit sur le message du film.
Quand j'ai vu ce film à sa sortie en salle, je ne savais pas trop à quoi m'attendre. Quel choc en le voyant ! Sa violence est telle que j'en ai gardé le souvenir intact des dizaines d'années plus tard. C'est un chef d’œuvre dérangeant assurément et si Kubrick sait nous effrayer, il sait aussi nous faire réfléchir.
Une œuvre culte aussi délirante et violente que brillante et captivante, à la mise en scène virtuose, portée par l’interprétation folle de Malcolm McDowell et magnifiquement chorégraphiée par la musique de Beethoven.