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Bumblebee – Quand une Coccinelle sauve l’honneur des Transformers
Travis Knight, ce magicien du stop motion qui a pondu Kubo, débarque dans le garage de Michael Bay pour réparer les dégâts. Et franchement, il a bossé. On remonte en 1987, époque bénie où les cheveux avaient plus de volume que la morale des clips de MTV. Fini les robots qui pètent des planètes toutes les 20 minutes, ici Bumblebee roule pépère sur un air de Take on Me. Ça sent les VHS mal rembobinées et la nostalgie bien calibrée.
Bumblebee, alias l’alien mécanique qui ne parle qu’en radios cassées, est le cœur du film. Entre ses regards de chien battu et ses gaffes façon E.T., ce robot a plus d’âme que 90 % des acteurs qu’on a vus cette année. Le duo qu’il forme avec Charlie (Hailee Steinfeld, convaincante sans avoir besoin d’en faire des caisses) est tellement touchant qu’on en oublie presque que c’est un film Transformers. Travis Knight réussit l’impossible : nous faire ressentir quelque chose d’autre que de la fatigue après deux heures de robots qui s’explosent la tronche.
Parce que c’est un film qui parle de grosses bastons entre aliens, il fallait un militaire de service. Et qui mieux que John Cena, l’incarnation vivante d’un GI Joe gonflé aux protéines ? Son personnage, Jack Burns (oui, son nom est aussi subtil que le scénario de Fast & Furious), est là pour grogner, tirer sur tout ce qui bouge et balancer des répliques dignes des biscuits chinois : inutiles mais marrantes.
C’est bien simple, Bumblebee est tout ce que Michael Bay ne sera jamais : modeste, sincère et lisible. Les scènes d’action, bien que moins spectaculaires que les orgies pyrotechniques de ses prédécesseurs, ont enfin du sens. Pas besoin de se demander quel robot est en train de démembrer quel autre robot, ici tout est clair comme de l’eau de roche. Merci Travis, on n’avait plus vu ça depuis… jamais, en fait.
Soyons honnêtes, le film capitalise à fond sur la nostalgie des années 80. Entre les tubes de l’époque, les décors vintage et les clins d’œil à E.T. et Les Goonies, on est en plein trip Amblin. Mais bon, ça fonctionne. Et après les catastrophes cinématographiques qu’ont été les derniers volets de la saga, ce retour aux sources a un goût de miracle.
Bumblebee est le spin-off qu’on n’attendait pas mais qu’on méritait. Simple, sincère et efficace, il redonne à la franchise Transformers un semblant de dignité. Travis Knight prouve qu’on peut faire un film de robots géants sans sombrer dans la débilité galactique. À voir, ne serait-ce que pour rappeler à Michael Bay que moins, c’est parfois beaucoup plus.
Plus de critiques sur https://www.instagram.com/oni_s_reviews/?hl=fr
Travis Knight, ce magicien du stop motion qui a pondu Kubo, débarque dans le garage de Michael Bay pour réparer les dégâts. Et franchement, il a bossé. On remonte en 1987, époque bénie où les cheveux avaient plus de volume que la morale des clips de MTV. Fini les robots qui pètent des planètes toutes les 20 minutes, ici Bumblebee roule pépère sur un air de Take on Me. Ça sent les VHS mal rembobinées et la nostalgie bien calibrée.
Bumblebee, alias l’alien mécanique qui ne parle qu’en radios cassées, est le cœur du film. Entre ses regards de chien battu et ses gaffes façon E.T., ce robot a plus d’âme que 90 % des acteurs qu’on a vus cette année. Le duo qu’il forme avec Charlie (Hailee Steinfeld, convaincante sans avoir besoin d’en faire des caisses) est tellement touchant qu’on en oublie presque que c’est un film Transformers. Travis Knight réussit l’impossible : nous faire ressentir quelque chose d’autre que de la fatigue après deux heures de robots qui s’explosent la tronche.
Parce que c’est un film qui parle de grosses bastons entre aliens, il fallait un militaire de service. Et qui mieux que John Cena, l’incarnation vivante d’un GI Joe gonflé aux protéines ? Son personnage, Jack Burns (oui, son nom est aussi subtil que le scénario de Fast & Furious), est là pour grogner, tirer sur tout ce qui bouge et balancer des répliques dignes des biscuits chinois : inutiles mais marrantes.
C’est bien simple, Bumblebee est tout ce que Michael Bay ne sera jamais : modeste, sincère et lisible. Les scènes d’action, bien que moins spectaculaires que les orgies pyrotechniques de ses prédécesseurs, ont enfin du sens. Pas besoin de se demander quel robot est en train de démembrer quel autre robot, ici tout est clair comme de l’eau de roche. Merci Travis, on n’avait plus vu ça depuis… jamais, en fait.
Soyons honnêtes, le film capitalise à fond sur la nostalgie des années 80. Entre les tubes de l’époque, les décors vintage et les clins d’œil à E.T. et Les Goonies, on est en plein trip Amblin. Mais bon, ça fonctionne. Et après les catastrophes cinématographiques qu’ont été les derniers volets de la saga, ce retour aux sources a un goût de miracle.
Bumblebee est le spin-off qu’on n’attendait pas mais qu’on méritait. Simple, sincère et efficace, il redonne à la franchise Transformers un semblant de dignité. Travis Knight prouve qu’on peut faire un film de robots géants sans sombrer dans la débilité galactique. À voir, ne serait-ce que pour rappeler à Michael Bay que moins, c’est parfois beaucoup plus.
Plus de critiques sur https://www.instagram.com/oni_s_reviews/?hl=fr
Pas aussi étonnant et amusant que le transformer 1 mais il reste tout mignon ce robot ! L’histoire n’est pas innovante puisqu’on reprend les bases du transformer 1 mais c’est un divertissement familial très correcte !
3,3/5
3,3/5
À mon sens, Bumblebee dispose d'une bien meilleure OST, d'un meilleur scénario, de plus d'émotion, et d'une meilleure photographie que les opus précédents (hormis peut-être le 1er opus mais il date tellement que j'en ai que de vagues souvenirs). Même le design des autobots est mieux, bien plus fidèle aux comics et dessins animés. La petite séquence d'intro est superbe. En bref, il fait tout mieux que les autres opus de la saga. Le seul qui pour moi le surpasse est le film d'animation sorti récemment.
Hormis quelques dialogues grotesques ( Surtout pour Cena ), et des personnages très caricaturaux ( Cena, encore... ), ce Bumblebee est plutôt rafraîchissant, surtout grâce a relation entre Bee et Charlie. Le reste est sans surprise. Les CGI ne sont pas mauvais, mais clairement en dessous des opus signés Michael Bay. Un petit Transfosrmers sympathique, avec de la comédie, pour un plus jeune public.
J'adore,
Bien que ce ne soit pas en continuité avec les précédents.
j'ai eu tord, je l'ai comprit à la fin. Ce n'est pas lui le suivant.
Mais c'est lui le précedent, et surtout à mon avis, le meilleur.
Bien que ce ne soit pas en continuité avec les précédents.
j'ai eu tord, je l'ai comprit à la fin. Ce n'est pas lui le suivant.
Mais c'est lui le précedent, et surtout à mon avis, le meilleur.
Le film est vraiment bien et je trouve que le film est améliorer et je trouve que ça montre beaucoup de détails et je trouve qu'en fait le film il est un petit peu au monde ancien comme le géant de l'ancien G1 et je trouve que Bumblebee est un peu drôle et ça fait un peu donner la vie que ce film est bien
Ce film est très certainement le meilleur opus en live-action sortie à ce jour. D'abord pensé pour être un préquel au Bayverse (ce qui aurait été assez casse-gueule vue les énormes incohérences entre les cinq premiers épisodes), ce film qui s'avère être au final un reboot, effectue tout ce que la saga devrait faire au minimum depuis 2007 : des robots présentées comme des vrais personnages, des personnages au minimum intéressants, des scènes d'actions lisibles et bien filmées ainsi qu'un scénario qui se suit facilement. Alors bien sur, le film n'est pas parfait, mais comparée au cinq premiers films de Michael Bay, c'en est d'une considérable amélioration.
Frédéric M.
Un bel opus moins nerveux et fatiguant que les précédents opus de Bay. ça sent bon les années 80, et les personnages ont mieux travaillés et se défendent. Bon divertissement
Honnêtement, je ne m'attendais pas à un tel résultat : c'est tellement touchant, l'alchimie entre Charlie et BumbleBee est surprenante et je me suis bien amusé devant. Dès les premières minutes, on sait que Michael Bay n'est plus à la barre et que ce qu'on va voir se focalise moins sur l'action, mais plus sur ses personnages. Il apporte des éléments à BumbleBee qui ont des raisons d'y être.
Hailee Steinfeld reste une drôle d'actrice qui apporte de la naïveté à son personnage et BumbleBee cherche seulement à créer une bonne liaison avec les autres. D'ailleurs, les 2 personnages sont très similaires et ça apporte du corps à l'histoire. Je suis étoné du rôle de John Cena (surtout avec sa VF de Chris Pratt et de The Rock) : ce n'est pas le genre d'antagoniste qui veut se venger, mais plutôt à se défendre. Les 2 Decepticons ont des ambitions différentes des derniers volets et représentent une bonne menace.
Les scènes d'action restent fluides et tombent pas dans la surenchère : ça tombe aux bons moments. La musique est très rétro et est introduit intelligement dans le film. Le design des Transformers est original (j'sais pas si c'est pour faire référence à la série animée), mais je trouve les effets spéciaux de moyenne qualité.
"BumbleBee" est différent de ses grands frères : ses personnages sont plus développés et je ne me suis jamais autant attaché à eux. L'ambiance en général est nostalgique et s'inscrit plutôt bien dans le réalisme. Il impose également bien ses bases de préquel à la saga.
Hailee Steinfeld reste une drôle d'actrice qui apporte de la naïveté à son personnage et BumbleBee cherche seulement à créer une bonne liaison avec les autres. D'ailleurs, les 2 personnages sont très similaires et ça apporte du corps à l'histoire. Je suis étoné du rôle de John Cena (surtout avec sa VF de Chris Pratt et de The Rock) : ce n'est pas le genre d'antagoniste qui veut se venger, mais plutôt à se défendre. Les 2 Decepticons ont des ambitions différentes des derniers volets et représentent une bonne menace.
Les scènes d'action restent fluides et tombent pas dans la surenchère : ça tombe aux bons moments. La musique est très rétro et est introduit intelligement dans le film. Le design des Transformers est original (j'sais pas si c'est pour faire référence à la série animée), mais je trouve les effets spéciaux de moyenne qualité.
"BumbleBee" est différent de ses grands frères : ses personnages sont plus développés et je ne me suis jamais autant attaché à eux. L'ambiance en général est nostalgique et s'inscrit plutôt bien dans le réalisme. Il impose également bien ses bases de préquel à la saga.
Excellent! Mon film transformers préféré ! Super reboot, touchant, beau... J'adore la dynamique de Charlie et Bumblebee. Ca fait du bien un film qui développe la personnalité d'un cybertronien. Ca fait du bien d'enfin voir dans un film que les transformers ne sont pas juste des gros robots qui se changent en voiture et qui font des explosions. Parce que Transformers depuis les 80's ça a énormément évolué et aujourd'hui c'est bien plus que ça. Donc merci à ce film d'exister.
Leur guerre fait rage et la planète Terre est leur survie [...] Ce spin off de la franchise « Transformers » fait la part belle aux scènes d'action, aux combats et aux explosions qui combleront sans problème les amateurs de blockbuster, mais pas que! Le duo formè par Hailee Steinfeld & l'Autobot B-127 (qui bourdonne comme un petit bourdon...d'où le surnom de « Bumblebee ») fonctionne et les F / X sont aussi spectaculaires que les transformations! Ok l'histoire n'est pas rèvolutionnaire pour un sou et tiendrait aisèment sur une briquette ou un timbre poste, mais l'ensemble divertit sans le moindre problème un samedi soir après une dure semaine de labeur! De plus ce film laisse une large place à l'humour avec une bande son entraînante et forcèment très 80's (Chaka Khan & Steve Winwood, a-ha, Tears for Fears...). Ce n'est pas si mal en fin de compte...
A moins d'être un mécanicien aux fantasmes étranges, aller voir un nouveau volet de la saga « Transformers » au cinéma peut être assimilé à une opération kamikaze. Hormis un premier épisode réussi, Michael Bay a entraîné la saga dans les limbes de la médiocrité avec une surenchère constante : les conflits Autobots vs Decepticons sont devenus un capharnaüm scénaristique éprouvant. Après cinq volets de surenchère, Travis Knight a pris la relève avec « Bumblebee », réussissant à renouveler la franchise. « Bumblebee » n'est ni parfait ni novateur, mais il égale les bonnes vibrations du premier volet. Knight, contrairement à Bay, revient à une époque plus simple, en 1987, et cela change agréablement l'atmosphère. « Bumblebee » reste un blockbuster avec ses défauts, mais avec une approche plus intime, il se distingue de la démesure des précédents films. Le scénario, bien qu'assez basique, est efficace, et le film parvient à évoquer un sentiment de nostalgie. Les personnages sont attachants, et les références aux années 80 sont bien intégrées. « Bumblebee » est un divertissement familial plutôt réussi. WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU (TOME 1) et LE CIMETIERE DES SQUAWS (TOME 2) (Amazon Kindle).
Une histoire vraiment attachante, entre Bumblebee et Charlie, avec un scénario assez facile à suivre et donc très "vrai".
Un prequel sympa, et assez bien joué.
Un prequel sympa, et assez bien joué.
Voilà le genre de film qui pourrait être parfait si on pouvait faire une chose : se déconnecter le cerveau. Mais c'est pas possible! Donc, pour ceux qui, comme moi, parviennent à le mettre en veille apprécieront cet opus. Bien travaillé, bien monté avec des acteurs attachants, des scènes de combat et d'action jouissives et des moments de joie, et d'amitié. C'est beau, c'est bon! Et la terre est encore sauvée! Ouf!
A voir par les amateurs du genre "superhéros robot" ==> transformers quoi!
A voir par les amateurs du genre "superhéros robot" ==> transformers quoi!
gentillet , l'héroïne est attachante mais je trouve les personnalités des méchants decepticons assez puériles , film pour pré ado , même pas d'amourette soft entre les 2 jeunes....
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