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    La Vie domestique
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    167 critiques spectateurs

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    John Henry
    John Henry

    104 abonnés 707 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 15 novembre 2013
    Il y a du savoir-faire, il y a une manière de tenir la caméra et capter les lumières à la Todd Field (Little Children). Mais la comparaison s'arrête là, le film ici n'arrive jamais à donner corps à ce vide, à ces existences poreuses, La vie domestique, c'est un truc désincarné et osseux et vaguement laid qui se promène, boiteux, tout le long de la corniche. Le vide peut être filmé autrement que par le vide. Les hommes peuvent être filmés autrement qu'en caricatures d'eux-mêmes. Ca commence comme une série qui ne débute jamais vraiment. Sans humour, sans peine, sans tristesse, sans intelligence, sans tension, sans suspense. Sans enjeu. On le voit. On l'oublie. Parce qu'il n'y a rien de plus que les gens que vous rencontrez, parce qu'il n'y a rien de plus qu'une journée que vous passez à faire les courses ou à aller chez le coiffeur. Parce que filmer le quotidien c'est ce qu'il y a de plus compliqué, sinon, ce n'est qu'un futile intermède dans sa propre existence.
    alain-92
    alain-92

    318 abonnés 1 078 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 octobre 2013
    Loin de Paris, mais tout près de Pontault-Combault en Seine et Marne, "un jardin c'est mieux pour les enfants" Isabelle Scajka nous invite à partager le quotidien de quatre jeunes femmes esseulées dans un cadre idyllique. Une pâle imitation du décor de Wisteria Lane, ou du Hameau de la Reine à Trianon, façon 21ème siècle.
    Derrière la nature généreuse pour se cacher du béton environnant, une alignée de pavillons identiques sert de décor pour une vie qui ne semble pas être celle qui avait été initialement prévue.
    Si le scénario s'accorde quelques invraisemblances, il démontre néanmoins avec fraîcheur et une impudence certaine des situations connues de tous.
    Un brin d'humour au beau milieu du quotidien et le poids que représente l'habitude quand celle-ci a pris le pas sur les sentiments. L'ensemble est bien vu, malgré quelques passages ressassés depuis longtemps, tels l'enfant retrouvée morte dans l'étang ou encore les dialogues du début du film.
    Il n'en reste pas moins une mise en scène efficace et légère à la fois, dans laquelle s'impose, j'ai envie de dire comme souvent, Emmanuelle Devos.
    Julie Ferrier est tout à fait étonnante.
    Marie-Christine Barrault ne fait qu'une apparition mais envoie quelques vérités que beaucoup préfèreront certainement ne pas entendre.
    Tout en demi-teinte, il n'en reste pas moins un portrait au vitriol pour une certaine classe de notre société et celui, hélas, d'une jeunesse malheureuse ou totalement perdue.
    vidalger
    vidalger

    320 abonnés 1 249 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 3 novembre 2013
    On s'ennuie un peu à accompagner ces femmes de la petite bourgeoisie de la banlieue parisienne, qui s'ennuient beaucoup dans leurs vies minuscules. Et oui, semble découvrir la réalisatrice, la vie qu'on vit n'est pas souvent celle qu'on a rêvée à l'adolescence. Grand message! Un peu d'humour, quelques maladresses, une poignée de caricatures, beaucoup de simplisme...Il manque à ce film un soupçon de finesse dans le scénario et le parti de parier sur l'intelligence du spectateur. Emmanuel Devos campe plutôt bien ce personnage mi-falot, mi révolté de femme à mi-chemin de la vie. Elle sauve le film de la caricature.
    fasskinder
    fasskinder

    27 abonnés 304 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 2 octobre 2013
    finalement ce film est une satire hyper prévisible de cette vie à la desperate housewives à la française... la sœur de Lio joue trop mal et la Devos commence à être égale à elle-même dans tous les films dans lesquels elle tourne (d'ailleurs pourquoi il n'y a qu'elle à l'affiche ?)... à quoi bon tourner des films qui sont des pâles copies de séries américaines ?
    traversay1
    traversay1

    3 568 abonnés 4 860 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 octobre 2013
    Vernoux, Malle, Denis, Zlotowski, Ropert, Simon, Triet, Bercot, Czajka ... Et bientôt Moreau, Quillévéré et Bruni-Tedeschi. Un point commun, peut-être ? Mais oui, ce sont des femmes cinéastes qui "envahissent" nos écrans. Une bonne nouvelle même si on est encore loin de l'égalité avec ces messieurs. Isabelle Czajka, donc, a choisi d'adapter un roman de Rachel Cusk. Avec une grande fidélité, les lieux importent peu, l'esprit est là. Portraits de femmes et de mères, sans emploi, appartenant à la bourgeoisie résidentielle. La vie domestique, titre parfait, débute et se termine par un dîner. Un concentré de banalités et de propos misogynes et racistes qui fait mouche. La réalisatrice a opté pour un ton vaguement ironique pour souligner une aliénation plus ou moins bien vécue. Le personnage d'Emmanuelle Devos, la plus lucide d'entre ces femmes, sert de catalyseur. Elle est au bord de la crise de nerfs, s'engueule avec son mari, très occupé bien entendu, et cherche à retravailler. Pas loin de la dépression mais elle tient. Pour combien de temps ? Isabelle Czajka filme la monotonie et la vacuité d'existences sans relief. En adoptant un ton neutre, lourd de sous-entendus, mais néanmoins relativement plat. Le seul élément dramatique est hors champ. Montrer l'ennui est immensément dangereux. En littérature, le style permet de dépasser cet écueil. Au cinéma, c'est plus compliqué. La vie domestique a un ton mais ni ampleur ni densité.
    No Spoiler
    No Spoiler

    19 abonnés 58 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 25 octobre 2013
    On peut voir en La Vie domestique une satire sociale... on peut aussi prendre le film pour une étude de mœurs tant la peinture de la petite bourgeoisie pavillonnaire fait mouche! Isabelle Czajka réussit le tour de force de nous tenir en haleine sans jamais user des artifices traditionnels de la dramatisation. Tout au plus entend-on parler du rapt d'une petite fille! C'est la laideur de ces vies petites-bourgeoises que l'on prend en pleine face, laideur des villes avec leurs enseignes publicitaires et leurs jardins d'enfants ultra sécurisés, laideur des intérieurs domestiques formatés, laideur de personnages cupides et cyniques! Le film bénéficie d'un casting de grande qualité et on se prend à haïr certains personnages masculins dont la seule valeur est celle du salaire mensuel. Ils se ressemblent tellement qu'ils en deviennent interchangeables à l'image de la veste de Grégory (Michaël Abiteboul) que Bertrand (Sava Lolov formidable) prend pour la sienne en fin de soirée. Notons au service de ce portrait cruel une bande son pleine de finesse qui ne manque pas d'accompagner discrètement Emmanuel Devos du rond-rond effrayant de la machine à laver.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 1 novembre 2013
    Ce film n'a strictement aucun intérêt. Il suffit de vous mettre en banlieue de prendre un couple au hasard et de le filmer. Si aller au cinéma c'est regarder son quotidien sans avoir ni surprise, ni vision différente ni esthétisme, ni réflexion profonde, alors il ne sert à rien de faire de tel film.
    Cine vu
    Cine vu

    141 abonnés 580 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 avril 2014
    Blues chez les Bobos

    Le plus troublant, c’est qu’on a l’impression qu’il ne se passe rien et c’est justement le sujet du film. Emmanuelle Devos s’ennuie et le quotidien lui pèse. Elle rêve d’une vie différente, cette actrice est magnifique elle exprime toutes ses émotions par le regard, elle est magique. Julie Ferrier est Betty, plus amusante mais elle est déçue par sa vie de couple. Natacha Régnier enceinte jusqu’aux yeux, est fatiguée, on sent la dépression qui gagne du terrain. Héléna Noguerra est belle et futile mais sa vie de mère au foyer ne semble pas l’épanouir.
    On suit le quotidien de chacune sur une journée : les courses, la sortie des écoles, le parc, le dîner à préparer, le bain des enfant, les maris qui rentrent tard, un dîner préparé avec des voisins afin de s’intégrer socialement dans cette banlieue résidentielle.
    On s’ennuie avec elles finalement.

    Marie-Christine Barrault est la mère de Juliette, lors d’une conversation avec sa fille, elle résume l’essentiel, ses vies passés à attendre autre chose, le temps fait son œuvre et il est déjà trop tard.
    Drôle de film où tout est suggéré, avec un fil conducteur : la disparition d’une gamine de deux ans. un message qui nous rappelle la vraie misère.
    Il y a une deuxième écriture dans ce film c’est l’inaptitude au bonheur et la difficulté d’être une mère.
    Film un poil ennuyeux mais intéressant.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 3 octobre 2013
    Hormis des dialogues un peu trop fournis et qui en disent trop plutôt que de laisser l'occasion au spectateur d’interpréter et de comprendre les choses, le film brille par la finesse de son constat sociologique. Les actrices sont tour à tour attachantes, énervantes, fascinantes, mais toujours véritablement crédibles, même si certains détracteurs diront qu'elles ne représentent pas toutes les femmes de notre société contemporaine. La remarque est tout à fait juste, mais "La Vie Domestique" n'a pas volonté de délivrer un message universel, c'est juste l'observation d'un microcosme banlieusard aisé et consumériste, derrière lequel se dessine un machisme et un paternalisme oppressants. On pense inévitablement à "Desperate Housewives", le côté glamour et espiègle en moins. Juste comme la réalité en somme...
    ninilechat
    ninilechat

    71 abonnés 564 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 octobre 2013
    Elles sont quatre. Elles habitent Wisteria Lane. Dans de très jolies maisons. Pour conduire leurs enfants à l'école, elles en ont deux chacune, elle traversent un magnifique parc arboré autour d'une prairie et de plusieurs étangs. Après, elles se retrouvent chez l'une ou l'autre pour boire un café . L'après midi, elles vont essayer des robes dans un plutôt luxueux centre commercial. Quelquefois, elles se reçoivent pour des diner avec les maris qui sont architecte, haut fonctionnaire.... (en fait, tout le monde s'emmerde). Sauf que l'un des couples est de gauche! Ce qu'on comprend tout de suite, dès la première scène où, invités chez un chef d'entreprise odieusement de droite qui, découvrant que Thomas (Laurent Poitrenaux) est proviseur du lycée de la cité pourrie proche de la résidence, fait des remarques douteuses sur les petits Mohammed et lui conseille de demander sa mutation pour un établissement plus huppé, son épouse Juliette tire une tête consternée. Juliette, le plus joli poisson de tout le cinéma français, non, il ne s'agit pas de son signe astrologique, mais Emmanuelle Devos ressemble de plus en plus à un mérou. Un joli mérou, mais un mérou quand même....

    Marianne (Natacha Rénier) est enceinte et dépassée par les évènements. Son ravissant pavillon est devenu un infâme bordel. Betty (Julie Ferrier) souffre de ses origines prolottes et s'interdit tout ce qui pourrait, selon elle, la vulgariser. Inès (Hélèna Noguerra) sort tout droit de La gifle: elle a un marmot monstrueusement mal élevé qui dessine au crayon feutre sur l'élégant canapé blanc de Betty, et n'en conçoit aucune gêne. Quand à notre Juliette-de-gauche, elle attend un emploi éventuel dans une maison d'édition, et meuble son temps en faisant des animations littéraires pour les lycéennes de la cité défavorisée. Les voilà toutes pas trop mal croquées.

    Mais elles sont beaucoup moins rigolottes que l'original! En fait il s'agit de la transposition en France du roman "Arlington Park" où un infanticide bouleversait la tranquillité d'un quartier résidentiel; je l'ai lu, même si je ne m'en souviens plus très bien. Tel quel, on se demande ce que la réalisatrice Isabelle Czajka cherchait à montrer avec cette journée ordinaire de desperate housewifes à la française. Emanuelle Devos est plutôt bien: mais elle ne saurait porter un film comme la Blanchett ou la Deneuve, et finalement tout ceci n'a pas grand intérêt.
    Alain S
    Alain S

    1 abonné 43 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 20 octobre 2013
    Lamentables ces petites bourgeoises qui se regardent le nombril et se plaignent de leur vie dorée.
    Si comme mes collègues infirmières, elles se levaient à 5h00 pour embaucher à 6h00 dans un service hospitalier ou l’inconfort et la douleur dans tous les sens du mot, existe réellement, elles auraient beaucoup moins le temps de se lamenter sur leur sort et se poseraient probablement moins de questions !!!!!!!!
    islander29
    islander29

    860 abonnés 2 354 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 octobre 2013
    Tableau social, peinture d'une époque, le film nous raconte une journée de femmes dans la quarantaine, (trentaine ?), des amies lucides sur le monde et sur elles mêmes......
    Des problèmes de travail, des relations de couple émoussées, je trouve le titre très juste et en parfait accord avec le contenu du film....
    Le jeu d'acteurs est convaincant (Emmanuelle Devos met beaucoup de sensibilité dans ses expressions, Natacha Régnier, un peu plus neutre, Hélène Noguerra, pertinente dans ses interventions, Julie Ferrier, brillante) et je dois dire que les dialogues ont une acuité plus profonde en seconde lecture...
    ( école, proviseur ('Laurent Poitrenaux), salle des profs, cours devant de jeunes élèves trop naturelles, repas de famille le film parle de tout et de rien mais avec précision, il y a même un sinistre infanticide, en écho avec une actualité douloureuse)......
    Techniquement le film est de qualité ( il manque hélas de musique) et avec une lumière et une caméra sans aucune agressivité....
    Bref un regard sur notre société plutôt pertinent et intelligent
    nathaliewell
    nathaliewell

    21 abonnés 160 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 octobre 2013
    La réalisatrice, filme des portraits de "femmes au foyers " et réussit à retranscrire le ressenti
    de "grand vide" que les mères au foyer peuvent vivre malgré la somme de "travail" à faire dans une journée et qui nous prouve que une fois encore, que c’est la femme qui fait le foyer.
    Emmanuelle Devos y excelle comme d'habitude. Elle arrive toujours à prendre complètement possession du personnage qu'elle interprète. C'est vraiment une actrice incroyable. Beau film
    poet75
    poet75

    270 abonnés 703 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 octobre 2013
    Tout est dit (ou plutôt suggéré) dans le titre de ce film d'Isabelle Czajka! Dans "la vie domestique", il y a le mot "domestique" qui d'adjectif peut devenir substantif et prendre le sens de "larbin". Mais ce sont les femmes qui ont le rôle de "larbins": à elles la charge de la maison, son entretien, le souci et la préparation des repas, les courses à faire, le soin des enfants, etc., etc.
    Rien d'extraordinaire dans ce film, sinon la vie banale de quelques femmes vivant dans une banlieue résidentielle de la région parisienne. 24 heures de la vie de Juliette (Emmanuelle Devos, impeccable comme toujours) et de ses amies, de leurs vies si remplies, si trépidantes, qu'on se demande comment elles tiennent le coup ou ne sombrent pas dans la dépression. Juliette qui ne se satisfait pas cependant de son sort, qui voudrait décrocher un emploi dans une maison d'édition. Juliette qui trouve néanmoins l'énergie de donner un peu de son temps à des lycéennes en difficulté scolaire, ce qui donne lieu à une scène amusante qui rappelle le beau film de Laurent Cantet, "Entre les murs". Juliette qui emmène ses enfants à l'école et qui se soucie de leur trouver une baby-sitter quand c'est nécessaire. Juliette qui retrouve une ancienne connaissance perdue de vue et qui l'invite à dîner. Et Juliette qui s'active à la cuisine afin de bien recevoir ses invités. On n'en finirait pas d'énumérer tout ce que fait Juliette (et ce que font ses amies).
    Tout cela paraît tellement banal qu'on se demande pourquoi ce film a tant de charme, pourquoi il captive à ce point. Cela s'explique bien entendu par plusieurs facteurs qui, mis ensemble, forment un film d'excellence: la grâce de la mise en scène, le talent indéniable des actrices et la qualité des dialogues (superbement écrits!).
    Mais une question nous vient tout naturellement à l'esprit: et les hommes dans tout ça? Où sont les hommes et que font-ils? N'ont-ils donc pas leur place dans la vie domestique? Il faut l'admettre, ils sont grandement absents! La faute à leur travail, certes! Mais quand ils rentrent à la maison, comment se comportent-ils? Ne vont-ils pas soulager leur épouse et prendre leur part des tâches domestiques? Aïe, aïe, aïe! La vérité, c'est qu'ils sont tire-au-flanc. Ils se bâfrent de nourriture et leurs propos sont le plus souvent triviaux, voire carrément stupides!
    Isabelle Czajka a réalisé avec "La vie domestique" un film qu'on peut qualifier de féministe, à condition de donner à ce mot son sens le plus noble, à condition de le faire sonner comme un hommage rendu à ces femmes, épouses et mères, dont les vies sont si pleines et si fatigantes, mais qui risquent de se perdre, si l'on n'y prend garde, dans la vacuité ou dans l'"à quoi bon". 8/10
    Mabounette
    Mabounette

    5 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 9 octobre 2013
    Qu'est ce que je me suis ennuyée pendant ce film... Il ne se passe absolument RIEN, du début à la fin on attend qu'il se passe quelque chose. C'est très mal joué, pas de lien entre les acteurs, on a simplement l'impression qu'ils sont en train de réciter bêtement leur texte. Rien de touchant. C'est très lent, très long, sans suspense, je ne me suis pas du tout sentie touchée ni concernée par ce film.
    Discours très pauvres et plat. Et surtout, je tiens à le souligner, les acteurs ne jouent pas bien.
    Combien de fois j'ai hésité à partir, et puis je suis restée en me disant qu'il y aurait probablement quelque chose à la fin, mais non, je suis restée sur ma faim.
    Le sujet de la femme au foyer n'est vraiment pas traité à sa justesse. Ca ne reflète pas la vie des femmes au foyer et des couples en difficultés, on plane totalement dans l'irréalisme.
    Trop de choses à dire sur ce film pourri...
    En résumé c'est complétement nul. Très mauvaise réalisation. Je déconseille vivement d'aller le voir, vous allez vous ennuyer fortement.
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