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    La Vie domestique
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    167 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 7 octobre 2013
    film inintéressant, caricatural et convenu!!! à éviter...tellement le scénario est creux !!!
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 2 octobre 2013
    fan du roman original, j'ai été très déçue par cette adaptation dont la transposition passe visiblement mal en France.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 29 septembre 2013
    finalement ce film est une belle satire de cette vie à priori dorée dans un lotissement de cadres de la banlieue parisienne, la famille modèle avec sa maison individuelle, le monospace et les deux enfants, et la femme au foyer attendant son mari, qui forcément lui a un métier intéressant, misogyne, parfois un peu raciste, souvent maladroit, ce film met mal à l'aise par cette ambiance qui n'en finit pas, sans même une fin, on a envie qu'elle balance tout, et ses voisines toutes pareilles, avec leurs maris qui, lorsqu'ils sont invités, étalent leur réussite professionnelle, alors qu'à côté des drames se jouent, un beau film, bien joué, bien filmé, qui laisse un goût amer, "comme une réunion de copropriétaires"
    conrad7893
    conrad7893

    286 abonnés 1 679 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 septembre 2014
    un film plat, sans enthousiasme, chiant comme la vie de ses femmes au foyer, vivant dans leur banlieue sécurisante, où, les maisons se ressemblent.
    Les actrices ont fait leur job mais le film ne décolle à aucun moment.
    Devos est parfaite, je préfère ferrier dans des rôle plus fantaisistes, quant à NOGERRA mis à part sa plastique, son jeu est très en dessous des autres actrices.
    Film pas très passionnant
    tixou0
    tixou0

    675 abonnés 1 985 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 octobre 2013
    Seine-et-Marne : la campagne à moins de 40 kms de Paris, à portée de la capitale par le RER et l'autoroute. Une paisible bourgade, à proximité du Val d'Europe (et de Disneyland). Juliette (Emmanuelle Devos) y habite depuis 8 mois maintenant avec mari (proviseur dans un lycée, qu'il ne veut pas qualifier de "difficile" - Thomas) et jeunes enfants (garçon et fille). Ancien prof elle-même, de lettres, la quadra s'occupe avec des piges dans des revues littéraires et un atelier-français réservé aux filles, dans un LEP, indéniablement "difficile". "La Vie domestique" nous livre un gros 24 h de sa vie de grande banlieusarde. Pas d'intrigue amoureuse hors mariage - ce n'est pas une sorte de DH à la française (mais l'adaptation par la réalisatrice, qui signe aussi les dialogues, d'un roman anglais, "Arlington Park"). Juste la routine, la vie ordinaire, "domestique" (en jouant sur les mots : ce qui se rapporte à la maison en général, mais avec la notion de service aussi). Le film débute avec un dîner, "d'affaires" (chez un fournisseur du lycée dont Thomas est proviseur) et s'achève le lendemain soir tard avec un autre dîner, "amical", avec 2 autres couples habitant le même ensemble résidentiel de villas, invités par Juliette. Outre celle-ci, on découvre Betty (Julie Ferrier), issue d'un milieu très modeste, qui ne cherche pas à (re)travailler, satisfaite de son train de vie actuel (mari architecte-urbaniste, 2 enfants jeunes), Marianne (Natacha Régnier), ancien cadre chez Max Havelaar, enceinte d'un 3ème enfant (2 petites filles, un mari fonctionnaire européen, une grande maison - façon foutoir - et une étudiante au pair). Un peu en marge, et que l'on n'invite pas le soir puisque son mari, photographe, est presque toujours en déplacement, Inès, bobo très permissive avec ses 2 jeunes fils (Héléna Noguerra). Il y a aussi dans cette galerie de femmes, la mère de Juliette (Marie-Christine Barrault), la baby-sitter que l'on se dispute, Laura, et même la silhouette tragique de Cindy, une des élèves de Juliette. Les hommes sont des personnages nettement secondaires - les maris, essentiellement, qui en prennent copieusement pour leur grade, de l'absent au macho pur jus, en passant par un aperçu d'égoïstes ordinaires, prompts aux petites humiliations et grandes infatuations.
    Isabelle Czajka, pour son 3ème "long", brosse avec précision, mais sans militantisme pesant, un éclairant panorama de la vie de famille pour la classe moyenne supérieure française. Scènes de vie croquées avec un grand souci du détail, plus parlant que de longs discours (les intérieurs se ressemblent, comme les vies que l'on y mène). En 2013 les choses n'ont guère évolué par rapport à ce que connaissait Nicole, la mère de Juliette, au même âge qu'elle, évoluant dans un milieu comparable..... Un casting impeccable pour ce film "féministe", au bon sens du terme, avec des archétypes parfaitement incarnés - par Emmanuelle Devos, et Julie Ferrier, tout spécialement. Quid de la "morale" ? Plutôt désabusée....
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 13 octobre 2013
    Voyage au bout de l'ennui. Le message, s'il en est un, est soigneusement caché!
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 25 octobre 2013
    Nul il n'y a pas d'autre mots. si vous souhaitez vous ennuyer pendant une heure et demie, n'hésitez pas, il faut aller le voir.
    si vous souhaitez voir comment vivent mr et mme toulemonde dans leur pâté de maison sans que rien ne se passe que aller chercher les enfants à l'école, 2 ou 3 voisines sans intérêt qui prennent le café ensemble. bien plate et sans intérêt que cet énoncé du quotidien. Triste, plat, il ne se passe rien
    autant rester chez soi
    Patrick Braganti
    Patrick Braganti

    86 abonnés 375 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 octobre 2013
    La Vie domestique s’inaugure et se conclut par une même séquence de diners entre ‘amis’, ou plutôt entre nouveaux voisins et relations mondaines qui révèlent la conformité accablante (les discussions stéréotypées où pointent le racisme latent et le machisme stupide) et, pis encore, la vacuité de toute une société. Pourtant, pour ces femmes aisées qui ont interrompu leur carrière pour se mettre au service – ou carrément se sacrifier – d’un mari ambitieux, d’enfants très occupés, l’existence oscille entre le plein (la tenue de la maison, les courses, la préparation des repas,…) et le vide (l’oisiveté allégée par les rendez-vous avec les autres femmes pour un café matinal, scène particulièrement bien vue, un shopping dans les boutiques du centre commercial local). Le film s’écoule sur une journée qui, même si elle est particulière parce que Juliette attend une réponse pour un boulot dans une maison d’édition et que la disparition d’une gamine a eu lieu dans le grand parc qui jouxte le lotissement, pourrait constituer le modèle de centaines d’autres, cadencées par les mêmes tâches ingrates, dans ce sens où elles sont invisibles, considérées comme normales par le reste de la famille, et surtout pas épanouissantes.
    Dans un décor de rêve, presque trop beau et policé pour être vrai, les défauts et les failles sont dissimulés sous le tapis épais des rites sociaux. Toutes les maisons sont identiques, meublées de la même façon, ce qui n’empêche pas de découvrir dans l’une un fatras indescriptible et une autre sera le théâtre d’une crise de nerfs démesurée face à un gamin turbulent. À côté de ce monde codifié et coercitif, la jeune génération, représentée par les adolescentes qui suivent l’atelier de Juliette, offre des perspectives encore moins réjouissantes dans une déferlante d’agressivité, d’insultes et de lieux communs abominables. À l’inverse, la mère de Juliette, récemment veuve, découvre un nouvel espace de liberté, enfin, trop tardivement, affranchie du poids d’un mari égoïste et peu attentionné. C’est peu de dire que les hommes, montrés comme arrogants et indélicats, ne pensant qu’à eux, sont mis à mal dans La Vie domestique. Un parti pris sans doute appuyé, mais dont il faut reconnaitre l’extrême justesse. Et il n’est pas sûr que les femmes s’en sortent vraiment mieux : enlisées dans une vie morne qu’elles s’acharnent, à peine convaincues, à considérer comme acceptables, au regard notamment de la misère du monde dont elles se repaissent avec obscénité, elles finissent par ployer sous le joug d’une domination masculine (matérielle et financière) qu’on pensait naïvement éteinte, encore bien réelle, même si elle emprunte des voies plus insidieuses.
    Le tableau, qui a tout du roman à la Houellebecq, sitôt le vernis craquelé, n’est pas joli et la frontière est ténue entre la possibilité de le restaurer (que Juliette reprenne une activité professionnelle) et l’envie de le massacrer (qu’elle fuie au plus vite ce mari fade et infatué). En attendant, sa cigarette vespérale devient son unique et précieux moment de liberté, un instant où Juliette peut enfin penser à elle et, sans doute, réfléchir à son avenir.
    Christoblog
    Christoblog

    784 abonnés 1 648 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 octobre 2013
    Il y a quelque chose de profondément réjouissant dans La vie domestique, c'est la noirceur totale du propos, qui décrit exactement des situtations de vie que nous avons tous déjà vécu.

    Ainsi, nous voyons sur grand écran des horreurs domestiques que nous avons subies ou proférées : remarques sourdement sexistes, poids lancinant de l'habitude, contrariétés récurrentes du quotidien, écoulement inéxorable du temps, compromissions sociales inavouables...

    Si l'on craint parfois que le film ne s'enfonce dans des facilités un peu expéditives manipulant des personnages archétypaux (la scène de début) ou des intrigues secondaires un peu.... la suite ici :
    Laurent C.
    Laurent C.

    247 abonnés 1 133 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 octobre 2013
    Comme la plupart des grands films, cette œuvre est dérangeante parce qu'elle révèle le malheur ordinaire qui traverse tant de vies. Devos est magnifique comme à l'habitude. La mise en scène est subtile. Des petites erreurs sociologiques entre la bourgeoisie de ces gens et la réalité sociale de leur situation.
    Caine78
    Caine78

    6 466 abonnés 7 396 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 août 2017
    Je peux comprendre que l'on ne soit pas sensible à la solitude des nantis franciliens et à leurs problèmes de riches, et qu'en conséquent « La Vie domestique » laisse de marbre quelques-uns. Cela écrit, il serait injuste de ne pas voir dans le regard d'Isabelle Czajka une justesse, une sensibilité, une profondeur que peu de cinéastes français sont capables d'avoir aujourd'hui. La retenue est de mise, les dialogues font vrai, comme les personnages dont la justesse d'interprétation est à souligner (dont celle d'Emmanuelle Devos, comme toujours magnifique). Cet ennui, cette routine que seul un événement tragique va (un peu) bousculer est décrite avec finesse et sobriété, sans grands discours démonstratifs qui auraient lourdement pesé sur le film. Pas enthousiasmant, mais une œuvre qui en dit long sur le mal-être dans lequel sont plongées nombre de personnes aujourd'hui, enfermés dans un quotidien qui les étouffent : pas mal du tout.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 11 novembre 2013
    Un des films les plus ennuyants que je n'ai jamais vu.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 13 octobre 2013
    Le film dépeint sans fard une journée du quotidien déprimant d'une mère au foyer dans une banlieue aisée de Paris : les tâches ménagères, les enfants, les courses, les conversations banales ou ennuyeuses, les engueulades, les maris absents un brin condescendants. C'est banal et tragique à la fois. Emmanuelle Devos et Julie Ferrier sont exceptionnelles de justesse et de retenue. Parfois émouvant, parfois drôle, le film réserve quelques répliques savoureuses. Dommage que nombre d'entre elles soient révélées dans la bande annonce. Dommage aussi que la fin soit abrupte et décevante alors que la première scène était excellente, un bijou d'ironie qui réveille la féministe en moi. ça m'a rappelé Mrs. Dalloway de V. Woolf.

    8,5/10
    Sylvain P
    Sylvain P

    322 abonnés 1 345 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 octobre 2013
    Film désespéré sur les vies insipides où l'on a tout mais où l'on manque de l'essentiel. La recherche absolue du confort, au détriment du sel de la vie. Emmanuelle Devos regarde par la fenêtre deux jeunes gens, qui vont s'aimer dans des conditions précaires, et elle les envie. Sa vie rangée l'ennuie. Qui ne ressentirait pas la même chose? Marie Christine Barrault nous délivre une scène magique sur la vie qui passe et que l'on gâche. Après L'Année suivante, oeuvre désenchantée sur l'adolescence, Isabelle Czajka nous offre un second chef d'oeuvre qui doit nous donner envie de vivre. Un film... essentiel.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 3 octobre 2013
    Emmanuelle Devos avec Marie Christine Barrault portent le film. Les autres acteurs semblent absents, les longs plans fixes ne m'ont pas inspiré, problème de rythmes ? de montage ?
    Film très moyen grace à Emmanuelle Devos, excellente comme toujours, quel charisme ! naturel !
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