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    Quai d'Orsay
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    3,0
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    646 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 27 août 2014
    Arthur Vlaminck est embauché au Quai d’Orsay par Alexandre Taillard de Worms. Ministre des affaires étrangères shooté à la vitamine C et aux philosophes grecs, le charismatique et survolté Alexandre Taillard de Worms est une pile électrique et le Quai d’Orsay une pagaille sans nom dans laquelle Arthur va découvrir que s’atteler aux « langages » comprendre les discours, d’un homme politique n’est pas de tout repos.En choisissant d’adapter la survoltée et totalement barrée BD éponyme signée Christophe Blain et Abel Lanzac, Bertrand Tavernier s’est essayé à un bien difficile excercice. Le personnage haut en couleur d’Alexandre Taillard de Worms, portrait quasi hyper réaliste de Dominique de Villepin était absolument incontrôlable. Géant musculeux et dégingandé, apparaissant ici, disparaissant là, difficile de rendre ce que permettent les cases et la folie d’une bande dessinée dans le cadre d’une caméra, le montage fût il épileptique, utilisant le split screen pour essayer de faire plus moderne ou plus… BD justement…Permettez-moi donc de ne pas juger l’adaptation qui souffre forcément de la comparaison à son détriment, mais plutôt le film lui-même dans son parti pris de comédie burlesque et pas franchouillarde pour une fois étonne et fait rire. En allant un peu chercher le spectateur qui a un cerveau plutôt que celui qui végète en regardant ce que la télé à osé faire de pire depuis ces dernières années, Tavernier s’affranchi d’un portrait politique lorgnant vers le documentaire pour verser dans la justesse de la caricature pertinente comme le faisait fort bien la BD.Soyons clair, sans faire de condescendants raccourcis, le spectateur de base des Zamours, ne comprendra rien au bal de Thierry Lhermitte, hystérique, régissant ses conseillers ministériels à grands coups d’envolées lyriques comme un chef d’orchestre bourré à la 8.6.Ainsi, le film nous montre la véritable fourmilière qui aurait fusionné avec un panier de crabes qu’est le ministère des Affaires étrangères. spoiler: Ce dernier nous apparait comme un refuge de travailleurs épuisés par les sempiternelles sorties de leur grand patron et sa capacité à se contredire d’une demi-heure à une autre avec une constance qui confine à l’horlogerie Suisse.
    C’est là où joue la corde comique de Quai D’Orsay, dans la loufoquerie de son personnage principal monomaniaque du Stabilo, mais aussi dans la galerie de personnages secondaires aussi enclins à se serrer les coudes qu’à se planter une machette rouillée dans le dos.Surprenant et très juste dans la peau de ce Dominique de Villepin de Pellicule (double particule s’il vous plat !), Thierry Lhermitte arbore en permanence un joie évidente à incarner un névrosé qui, il faut le reconnaitre fait et porte tout le film même si ses conseillers ne sont pas en reste. R spoiler: aphaël Personnaz, puceau de la politique doué en lettres et Niels Arestrup, magistral en vieux loups blasé des mers aussi agitées que politisées, blasé des traits de folie de son Patron.Ils forment un duo formidable, tantôt blasés, parfois au bord de la crise de nerfs, ils répondent avec un équilibre parfait à l’énergie que déploie Thierry Lhermitte l’un mettant en valeur l’autre avec une générosité rare, surtout dans la comédie française où le comique tourne souvent autour d’un seul et même individu.
    Les bonnes comédies politiques sont suffisamment rares qui plus est quand elles sont réussies pour être mises en valeur. Quai d’Orsay est loin d’être une comédie culte, mais reste très, très au-dessus de la production moyenne française du genre dans laquelle s’empêtrent des comiques affligeants de beauffitude et d’opportunisme.
    bsalvert
    bsalvert

    421 abonnés 3 600 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 août 2014
    Plongée dans les coulisses de l'état avec des acteurs efficaces et crédibles dans leur rôle respectif.PLV: on est porté par cette histoire dans un monde inconnu que l'on ne fait que soupçonner.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 7 août 2014
    Une adaptation fidèle et rythmée de la BD de Blain et Lanzac. Je craignais un peu que Lhermitte ne soit pas à la hauteur du rôle mais il adopte bien la posture du ministre bavard qui n'écoute que lui-même. M^me si elle est un peu trop technocratique, cette comédie politique est quand même bien faite et on aura le plaisir d'y apercevoir Julie Gayet dans un rôle de femme fatale de Cabinet.
    Mathieu H.
    Mathieu H.

    25 abonnés 290 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 28 juillet 2014
    Pas mal d'attente autour de cette comédie politique et du nouveau film de Bertrand Tavernier, mais quelle horrible déception. Il nous est servi ici une bouffonnerie complètement hors du coup, qui croule sous une fiction idiote : on parle peut-être de sexe, on couche entre collègues, on a des problèmes de surligneurs, on dort sur son bureau... Et après ? Quid de l'importance du discours dans la politique ? Tout tourne autour d'une feuille de papier, qui ne parvient jamais à satisfaire un ministre, odieux personnage interprété par un Lhermitte toujours aussi monocorde : à part crier et faire les gros yeux, il ne nous fait pas grand chose. Seul point positif : la présence presque salvatrice de Niels Arestrup. On a dans tout le film l'expression d'un ego, surement aussi disproportionné chez Tavernier que chez ce ministre hautain.
    SansCrierArt
    SansCrierArt

    54 abonnés 421 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 juillet 2014
    Arthur Vlaminck, jeune homme brillant, est embauché comme scribe par Alexandre Taillard de Worms, ministre des Affaires Étrangères. Commence alors la découverte d'un monde étrange, exigeant, fantasque et bourré d'embûches.

    Bertrand Tavernier adapte ici la bande dessinée "Quai d'Orsay" créée par Antonin Baudry alors que celui-ci travaillait auprès de Dominique de Villepin au ministre des affaires étrangères. On découvre les coulisses d'un ministère, l'effervescence qui y régne, l'abnégation des hommes d'état et la mégalomanie d'un ministre.

    Le film est à la fois hilarant tant les situations et dialogues sont extrêmement drôles et effrayant tant on imagine que la peinture du ministre est proche de la réalité.

    La riche distribution des seconds rôles est excellente (Niels Arestrup, Bruno Rafaelli, Julie Gayet, Thomas Chabrol, Anaïs Demoustier...). En première ligne Raphaël Personnaz est parfait en candide. On peine un peu avec Lhermitte, qui, bien qu'il ne démérite pas, ne s'efface que difficilement derrière son personnage.

    Malgré cette petite réserve, les 2 heures de film se regardent avec plaisir et un réel intérêt sans le moindre ennui.
    Niko P
    Niko P

    16 abonnés 6 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 27 juillet 2014
    Elle commence quand l histoire ??? Plus sérieusement on découvre un milieu inhabituel mais pas d histoire, pas de rire, pas de suspense, pas d affection pour les personnages, juste des longueurs en se demandant ou ce film va nous mener... Que retenir du film?
    gregou11
    gregou11

    48 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 juillet 2014
    Un film très bien mis en scène dont les acteurs principaux sont, finalement, le stresse, l'incompétence et le carriérisme. Pas étonnant que notre pays ne s'en sort pas bien en ce moment s'il est géré de la sorte : c'est-à-dire par ces hommes politiques plus soucieux de rendre la vie dure à leur administration de part leur incompétence et de préparer la future idée que ce feront les électeurs à la postérité... Flippant !
    dougray
    dougray

    244 abonnés 1 904 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 juillet 2014
    Adaptation de la BD éponyme, saluée en son temps pour sa pertinence de ton quant à la vie quotidienne au sein du Ministère des affaires Etrangères, "Quai D’Orsay" est l’une des vraies bonnes surprises de l’année 2013. Pourtant, le film ne démarre pas forcément sous les meilleures auspices avec un Thierry Lhermitte poussif (et pas forcément très juste) et un univers assez excluant. Pourtant, on se rend vite compte que cette introduction ne pouvait pas être différente au vu du sujet abordé par ce "Quai d’Orsay" qui met en exergue le fonctionnement bureaucratique et souvent assez absurde d’un Ministère. A travers les yeux d’un nouvel arrivant, à savoir Arthur (campé par l’excellent Raphaël Personnaz). Le personnage est, évidemment, le référent du spectateur et le film trouve sa vitesse de croisière à mesure qu’Arthur prend ses marques au sein du Quai d’Orsay. Et c’est peu dire que l’univers qui est proposé est particulièrement dépaysant et riche en situations ubuesques. En tête, on retiendra, sans surprise, le Ministre (joué par un Thierry Lhermitte incroyable), inspiré de Dominique de Villepin, qui ne ressort pas forcément grandi du film. Ses obsessions souvent délirantes (son goût pour les marqueurs fluo, ses idées fixes – et pourtant changeantes - sur la structure d’un discours…), ses exemples inattendus ("vous avez lu Tintin ? ") et ses citations d’Héraclite donnent au film ses scènes les plus drôles. Pour autant, le réalisateur Bertrand Tavernier prend le parti de ne pas ridiculiser totalement le Ministre puisque, parallèlement à ses excès, il dresse le portrait d’un homme déterminé et courageux, ce qui confère au personnage une complexité intéressante et humanise sa nature théâtrale. Autre personnage extraordinaire, le Directeur de Cabinet Maupas (joué par un Niels Arestrup fantastique et césarisé) qui impressionne par son détachement de façade (parfaitement complémentaire avec la suractivité du Ministre), offrant d’autres séquences mémorables au film (ses micro-siestes ou son air faussement désolé quand il envoie Arthur au charbon), mais aussi par son influence. L’aura de ces deux personnages irradiants ne doit, cependant, pas faire oublier le héros du "film" Arthur, qui semblait bien parti pour n’être qu’un simple faire valoir sans grand intérêt, mais qui réussit à exister grâce à sa maladresse et son jusqu’au-boutisme. Quant au reste du casting, il réserve quelques bonnes surprises, même si j’ai davantage apprécié les apparitions surprises de Didier Bezace en écrivain qui veut insuffler de la complexité, de François Perrot en père du Ministre ou encore de Jean-Paul Farré en poète que les autres membres du Cabinet (Julie Gayet, Thierry Frémont, Thomas Chabrol, Bruno Raffaeli…) qui n’ont rien à se reprocher mais qui ne bénéficient pas de la folie des autres personnages. Ainsi, "Quai d’Orsay" doit beaucoup à la richesse de ses personnages et de son univers (souvent absurde mais visiblement crédible) ainsi qu’à la qualité de ses dialogues, parfaitement ciselés et souvent très drôles… ce qui n’était pas gagné pour un film qui raconte l’histoire de l’écriture et de la récriture d’un discours ! Mais le film peut, également, se vanter de bénéficier d’une mise en scène inventive qui fourmille de grandes idées (les arrivées du Ministre annoncées par des feuilles de papier qui s’envolent, le montage calé sur les dialogues du Ministre au cours de ses monologues…) et qui a l’intelligence de ne pas trop s’étendre (le sujet n’aurait pas forcément supporter une durée plus longue). Seul regret, néanmoins : le final est trop peu mis en valeur et conclut le film de façon trop abrupte… alors que la lecture du discours devant l’ONU était censée être le point culminant du film. Cela ne suffit pas à gâcher le film qui, certes, reste assez excluant pour peu qu’on ne s’intéresse pas du tout à la politique, mais qui sait prendre intelligemment ses distances avec les comédies habituelles en traitant, avec drôlerie et subtilité, un sujet peu commun sur grand écran.
    Aurelie T
    Aurelie T

    8 abonnés 90 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 juillet 2014
    Une critique au vitriol de notre société et de notre actuel gouvernement
    On suit l'equipe du quai d'Orsay dans son organisation ou plutôt désorganisation
    Un directeur de cabinet inexistant et inconsistant des collaborateurs débordés mais qui au final ne font rien un responsable d'équipe qui abat a lui seul le boulot de 30personnes et couvre les ewuberances d'un ministre obsédé par ses stabilos jaunes
    J'ai passé un bon moment j'ai bien rit bien que jaune parfois car on se dit que si nos ministères fonctionnent ainsi on est pas pres de sortir de la crise !
    Ti Nou
    Ti Nou

    512 abonnés 3 509 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 juillet 2014
    Bertrand Tavernier tente de dynamiter nos institutions et nos représentants politiques à travers cette comédie. Si Thierry Lhermitte lui confère de l'énergie et si les dialogues sont souvent savoureux, elle manque d'enjeux et donne l'impression d'être un film à sketchs.
    deaq25
    deaq25

    8 abonnés 441 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 juillet 2014
    In n'est jamais facile d'attirer et de l'intéresser avec un film purement politique surtout en suivant un ministre et son équipe pendant pratiquement deux heures de projection. Mais grâce à une mise en scène assez dynamique pour ce genre de film et un Thierry Lhermitte au top de sa forme et intenable, "Quai d'Orsay" est comme un TGV parti à l'heure et qui arrive à destination avant l'horaire annoncé. Bertrand Tarvernier met un peu de fantaisie dans ses personnages et dans la mise en scène comme les feuilles qui s'envolent face à une tornade à chaque entrée du ministre dans les bureaux ministériels et rend attrayant un film politique, pas une mince affaire. Ayant découvert Raphaël Personnaz en 2011 dans la charmante comédie "La Stratégie de la Poussette" et le suivant depuis, son personnage décalé dans cet univers stricte et au code vestimentaire presque réglementé rajoute la fantaisie cherché par le réalisateur.
    A conseiller !!
    Marius J.
    Marius J.

    10 abonnés 47 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 juillet 2014
    Disons-le tout de suite, Bertrand Tavernier ne nous avait pas habitué aux comédies. Mais après une étroite collaboration avec les auteurs de Quai d'Orsay, ils ont réussit ensemble à adapter la BD en scénario pour faire un film. Le pari n'était pas gagné d'avance, mais le résultat est presque à la hauteur des attentes. Tout le meilleur de la série a été conservé, certains éléments laissés de côtés, et d'autres, peu nombreux, rajoutés. Ceux qui ont lu la BD retrouveront leurs marques en quelques secondes : les personnages, tous reconnaissables, et l'esprit, l'humour pétillant répondent à l'appel. Quand à Thierry Lhermitte, sa prestation du ministre ne plaira pas à tout le monde, notamment à ceux qui ont lu la BD. Néanmoins, toujours aussi hyperactif et caricatural, il ne manque pas de claquer les portes à chaque fois qu'il passe, et son obsession pour les stabilo et Héraclite ne manquent pas. La seule déception auquel ont est confronté, c'est qu'à force d'être resté fidèle à la BD, le film n'ajoute finalement pas de véritable plus-value, se cantonne la plupart du temps à reprendre les dialogue et les scènes sans avoir l'ambition de partir dans d'autres directions que celle de l'oeuvre originale.

    Mais qu'en est-il pour ceux qui n'ont pas lu la BD, c'est-à-dire la majorité du public ? Et bien, ils ont du prendre autant de plaisir que les autres, car l'on reste de toute façon captivé de bout en bout grâce à d'excellents dialogues, des acteurs en grande forme, une bande original de qualité, et une mise en scène décapante.

    C'est ni plus ni moins qu'une plutôt belle réussite que Tavernier, Blain et Lanzac ont réalisé ici. En plus d'être une adaptation très (trop ?) fidèle à la BD, Quai d'Orsay est un des meilleurs films français de l'année. Son sens du burlesque fait de lui une comédie rafraîchissante et décomplexée.
    pfloyd1
    pfloyd1

    136 abonnés 2 118 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 13 octobre 2017
    J'adore Thierry Lermitte mais qu'est ce qui lui à prit d'accepter le rôle d'un ministre hyper actif , nerveux , chiant et qui tape sur le système au bout de 30 minutes ? Non seulement le sujet traité (la politique Française bien sur) est tout sauf drôle mais les personnages qui y gravitent sont ennuyeux à mourir et ce malgré les quelques blagounettes et autres petites situations coincées du cul censées détendre cette atmosphère tendue et antipathique. Bref, on s'ennuie ferme et derrière le langage soutenue propre à la politique, j'ai coupé au bout d'une heure.
    Raw Moon Show
    Raw Moon Show

    139 abonnés 836 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 juin 2014
    Sympathique, léger, assez drôle, Quai d'Orsay est tout cela mais il est surtout sans conséquence. Aussi inoffensif et indolore que Stupeurs et tremblements d'Alain Corneau qui partage avec lui cette immersion dans un monde (la politique dans un cas, le Japon dans l'autre) dont on ne maîtrise pas les codes... Seul hic pour Quai d'orsay : il s'évertue à nous rendre sympathiques des personnages qui quand on voit ce que la politique charrie comme cynisme, coups bas et corruption depuis toujours, laisse dubitatif sur la vision gentiment édulcorée de Tavernier... Alors De Villepin serait ce gars un peu gauche, attachant (sous les traits de Lhermite) et qui semble habité par de vraies grandes idées malgré une bonne dose de naïveté ???? Permettez-moi d'en douter, la politique jusqu'à preuve du contraire reste un théâtre sanglant où es ambitions personnelles s'entrechoquent pour mieux s'empaler. Question humour distancié, on a Les Guignols et c'est très bien comme ça.
    Objectivons
    Objectivons

    325 abonnés 2 951 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 6 juin 2014
    Il semble que les critiques de la presse se soient bien amusées à regarder cette caricature de Dominique de Villepin, mais il semble que cela a été moins le cas pour les spectateurs lambdas.
    Idem pour moi. Thierry Lhermitte ne joue pas trop mal, mais on dépasse vite la caricature pour observer ce qui semble fort vraisemblable dans la réalité, à savoir la vie assez difficile des rédacteurs de discours des hommes politiques, leurs conseillers, malmenés d'un bout à l'autre des services, selon les responsables, tentant d'arranger tout le monde, pour finalement que les choses n'avancent que très peu au final.
    Vive la politique et l'administration.
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