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    Il était une fois en Amérique
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    4,5
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    871 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 3 juin 2024
    "Once upon a time in America" Je ne vais évidemment pas remettre en cause le statut culte d'une oeuvre immense et unanimement célébrée, réalisée par l'un des plus grands cinéastes.
    Sergio Leone justement, livre ici une histoire en temporalité, ce qui peut être intéressant, mais cela est fait façon puzzle. De plus les scenes sont longues, donc il faut suivre la trame scenaristique.
    L'érotisme est excessive je trouve, tous les personnages féminins sont uniquement cantonnés à assouvir les pulsions sexuelles des protagonistes.
    On retrouve quelques personnages secondaires sous-exploités, tous brillamment mis en scène, mais qui ne donnent pas grand chose mis bout à bout.
    Certaines scènes avec certains personnages font un peu tâches. Déçu par le dénouement du film.
    Au rang des forces du film, évidemment on retiendra la photographie hallucinante, la splendeur des décors hors-normes, la reconstitution des rues de New-York et leur évolution au cours des différents âges du récit, le génie du montage et les transitions dantesques entre les époques. Et bien entendu la présence du Maestro, Ennio Morricone.
    Evilgreg
    Evilgreg

    28 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 juin 2024
    Je l'ai clairement regarder pour enrichir ma culture ciné . J'ai bien aimé dans l'ensemble : les acteurs ( De Niro en tête bien-sûr ) , la réalisation , la musique , l'histoire , la reconstitution de New-York ( Brooklynn plus précisément , puisqu'on y voit la fameuse vue du pont qui va vers Manhattan ) . La durée : 3h50 c'est long , je l'ai donc regardé en 4 épisodes d'1h , comme une mini-série et c'est très bien passé comme ça . Seul bémol : la fin ; floue et ambigue ( que comprendre du sourire de De Niro à la dernière image - il y a plusieures théories qui circulent sur la toile ) . Ce qui m'a surtout gêné , c'est de se taper 4h pour pas bien comprendre au final ... Léone aurait pu conclure sur une fin claire et nette à la Parrain 2 .
    gerard stevenson
    gerard stevenson

    18 abonnés 790 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 mai 2024
    Vous voulez un réalisateur, une histoire, de l'amour, des acteurs, des second rôles, des flashback, des actrices, de la violence, des costumes, de l'amitié, de la jeunesse, du suspens, du sexe, des décors, des pleurs, des fusillades, de la musique, de l'humour, du travelling, du thriller, de la nostalgie, de la mort, du fantastique, de la vieillesse, de la haine, de la photographie, des fusillades, des souvenirs, du maquillage, des stars du cinéma, un scénario, de la beauté , un compositeur, du sang, des prises de vue, des méchants, de l'affection, du rire, de la comédie, de l'émotion, de l'espoir, de la bagarre, de la trahison, de l'effroi, du drame, des plans fixes : le tout de qualité : Il était une fois en Amérique

    Un conte donnant un chef d'oeuvre.
    CineManiac
    CineManiac

    4 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 avril 2024
    "Le temps qui passe, l'histoire... Ce film est bouleversant de par son côté mélancolique, avec ses thèmes d'amour, de business et d'amitié. Si vous aimez les films de gangsters, vous serez servis."
    Mrpat5133
    Mrpat5133

    4 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 15 avril 2024
    Le chef d œuvre absolu de tout les temps!
    Ne vous laissez pas impressionné par la durée du film.
    Sergio Leone,un maître.
    Theo
    Theo

    17 abonnés 896 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 mars 2024
    Dans un paysage cinématographique saturé de productions éphémères et de séquelles sans fin, "Il était une fois en Amérique" de Sergio Leone émerge comme une étoile scintillante dans une nuit sombre, rappelant aux cinéphiles ce qu'est le cinéma à son apogée. Cette épopée criminelle, qui s'étend sur plusieurs décennies, n'est pas seulement une histoire de gangsters ; c'est une exploration magistrale des thèmes universels de l'amitié, de la trahison, de l'amour et du regret, le tout enveloppé dans une toile de fond historique richement tissée qui capte l'essence même de l'âme américaine.

    Leone, dans son dernier tour de force, a non seulement réalisé un film, mais a sculpté une fresque monumentale qui se distingue par sa structure narrative non linéaire, audacieuse et complexe, défiant les attentes du spectateur et l'invitant à un voyage à travers le temps où passé, présent et avenir s'entrelacent avec une grâce et une fluidité qui frôlent le divin. Cette approche, loin d'être un simple artifice stylistique, sert le récit en profondeur, enrichissant chaque rebondissement et révélation d'une poignante résonance émotionnelle.

    Le casting du film est un festin pour les sens, avec des performances qui transcendent l'écran pour toucher le cœur. Robert De Niro, dans le rôle de Noodles, livre une prestation d'une vulnérabilité brute, capturant les nuances d'un homme hanté par les choix de son passé. James Woods, en Max, est à la fois charismatique et tragiquement imparfait, peignant le portrait d'un homme déchiré entre l'amour et le pouvoir. Elizabeth McGovern, comme Deborah, est l'incarnation de la grâce et de la beauté tragique, une présence lumineuse qui brille à travers les ténèbres du monde des hommes qui l'entourent.

    La direction artistique du film est un véritable chef-d'œuvre, chaque cadre débordant de détails exquis qui transportent le spectateur dans les ruelles enfumées du New York de la Prohibition, dans les salons opulents de la pègre, et au-delà. La musique d'Ennio Morricone, quant à elle, est une symphonie pour l'âme, une partition qui élève chaque scène à un niveau de poésie pure et insuffle une vie vibrante à l'ensemble de l'œuvre.

    "Il était une fois en Amérique" est bien plus qu'un film ; c'est une méditation profonde sur la condition humaine, une œuvre d'art qui défie le temps et les tendances. Leone a créé une épopée intemporelle qui ne se contente pas de raconter une histoire, mais qui invite le spectateur à ressentir, à réfléchir et à se souvenir. C'est un film qui, une fois vu, devient une part indélébile de votre être, une mosaïque de souvenirs, de rêves et de désirs qui résonne longtemps après que les lumières se soient rallumées.
    White Fingers
    White Fingers

    15 abonnés 1 237 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 mars 2024
    Ce qui rend ce projet « Il était une fois en Amérique »si vivant et riche, ce sont ses contradictions fascinantes : entre le réalisme historique minutieux et la nature mythique de l'histoire, l'abondance de détails enfantins contrastant avec l'estompage des figures parentales, ainsi qu'entre un style de mise en scène opératique et l'intégration d'éléments imprévisibles, y compris la performance exceptionnelle de Robert De Niro. Chaque scène est dense et riche, et le film est reconnu comme l'un des plus beaux au monde, tout y étant sublime. La fresque déconstruite de la vie d'un gangster reflète à la fois l'enfance et la maturité, et est considérée comme le chef-d'œuvre ultime de Sergio Leone. Avec ses trois heures quarante d'action, de rebondissements et de morceaux de bravoure, « Il était une fois en Amérique » est un très beau film, une longue et lente balade ponctuée de violence. C'est de la belle imagerie, avec des décors superbes et des comédiens hors pair. Cette fresque crépusculaire et testamentaire concentre tout le savoir-faire du grand metteur en scène, ses thèmes, ses obsessions, mais également ses ambiguïtés et ses zones d'ombre. WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU (TOME 1) et LE CIMETIERE DES SQUAWS (TOME 2) (Amazon Kindle).
    Aubeduvar
    Aubeduvar

    1 abonné 19 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 février 2024
    Une fresque noire qui va bien au-delà d'un Sergio Leone classique. Sans conteste un des meilleurs films de tous les temps. De Niro et Woods à leur top niveau.
     Evelèvetoi
    Evelèvetoi

    2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 février 2024
    Rien à dire, mon film préféré de tous les temps. J'ai du le voir plus de 10 fois depuis sa sortie.
    J'ai tout aimé, les acteurs, la musique.....
    Lebrun Michael
    Lebrun Michael

    1 abonné 28 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 janvier 2024
    Indice plaisir 4/5,
    Indice rythme 3/5,
    Indice psychologique 5/5,
    Indice jeu d'acteur 5/5,
    Indice qualité cinématographique 4/5,
    Indice populaire 2/5,
    Indice originalité 5/5,
    Indice chef d'oeuvre 5/5,

    Un chef d'œuvre comme on en voit plus aujourd'hui, à quelques rares exceptions.
    Une fresque magnifique. Une épopée, longue, dense sur plusieurs temporalités.

    Un très grand film mais pas accessible à tous.
    L'aspect contemplatif et lent peut en dérouter certains à l'heure du zapping.
    Mario smith
    Mario smith

    3 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 janvier 2024
    Du Grand, du très très grand cinéma. Tout est parfait, dans le moindre detail. Une bande originale extraordinaire.
    Magnifique mise en exergue du New-York des années 30, de la violence et de la corruption.
    Ah, Sergio !!! Du cinéma comme ça, ça n’existe plus vraiment ! Merci !!!!!!

    Par certains côtés je vois aussi Sleepers de Levinson. Peut-être parce qu’il s’agit d’une bande de potes inséparable aussi de 1996.
    Président Bird
    Président Bird

    4 abonnés 148 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 décembre 2023
    Un film colossal sur la mémoire, la nostalgie, la vérité, la violence, New York (le film contient le plan new-yorkais le plus emblématique jamais réalisé), le tout dans une ambiance légèrement onirique. La construction du film est admirable et fantastique, naviguant de façon élaborée entre les époques. Quentin Tarantino avait l'habitude de classer ce film parmi ses favoris et il est facile de voir à quel point l'étonnante construction non-linéaire de ce film a eu une influence majeure sur son écriture.

    Les personnages, des gangsters, posent problème. Ils sont pour la plupart grossiers, violents, sans éducation, méchants, égoïstes et brutaux. On n’a pas vraiment envie de passer des heures avec eux. C’est un peu comme ‘Goodfellas’ de Scorsese. Mais comme pour Goodfellas, la grande qualité du film et du jeu des acteurs (De Niro, phénoménal) emporte tout sur son passage et efface tout doute. C'est une grande œuvre, une grande épopée.
    chenoy.geoffrey@orange.fr
    chenoy.geoffrey@orange.fr

    1 abonné 6 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 8 novembre 2023
    3h40 d'ennui. Probablement le film le plus surcôté que j'ai vu. Un enfer sans nom du début à la fin. Bon courage.
    LAvisDuNeophyte
    LAvisDuNeophyte

    3 abonnés 440 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 novembre 2023
    Très long, surtout si on n'apprécie pas de Niro. Les scenes de viols sont filmées de manière très désinvolte. Quant à l'histoire de gangsters elle est plutôt réussie mais la fin est un peu décevante.
    Raph
    Raph

    2 abonnés 143 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 octobre 2023
    "God bless America !"

    Fin 2014, pour fêter le 30ème anniversaire de "Il était une fois en Amérique", les studios Warner sortent en version Blu-ray et pour la première fois, la version étendue du chef-d'oeuvre de Sergio Leone, étoffant avec encore plus de maestria, la déclaration d'amour d'un cinéaste pour son pays d'adoption. Durant 251 minutes, à travers trois époques, les années 1920, 1930 et 1960, Sergio Leone dresse le portrait de cette terre promise pour des millions d'immigrants européens et en particulier pour Noodles (Robert De Niro), Max (James Woods), Philip, Patsy et Dominic, petites frappes inséparables, amis à la vie à la mort. Et C'est la mort qui scellera leur destin à jamais durant l' une des scènes les plus mythiques que le cinéma nous ait offertes. La prohibition transformera ces jeunes en gangsters impitoyables et mettra à mal leur amitié. Sergio Leone jongle avec les différentes périodes. A travers les souvenirs d'un vieil homme (Noodles), nous embarquons pour un voyage dans le passé accompagné par la sublime musique d'Ennio Morricone, car il n'y a pas de Leone sans Morricone. Les scènes rajoutées donnent au film une dimension émotionnelle supplémentaire, lorsque Noodles en 1968 se rend au théâtre voir Déborah (Elisabeth MacGovern) l'amour de sa vie, jouant dans Antoine et Cléopâtre de Shakespeare , l'histoire d'un amour impossible, résonnant dans l'existence de Noodles au crépuscule de sa vie. Sergio Leone ne prend jamais parti, ni pour le bien, ni pour le mal. Il filme simplement avec son cœur une partie de l'histoire de ce pays si grand et si fragile. Sa plus grande déception sera de voir son film coupé au montage et dénaturé aux Etat-Unis. Aujourd'hui, Sergio Leone nous laisse son film tel qu'il le voulait comme un héritage.
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