Ce n'est pas un film, c'est un monument. Le cinéma a lui tout seul. C'est un film d'action, mais c'est aussi un film intimiste. C'est un blockbuster mais c'est du cinéma d'auteur. C'est des acteurs immenses, mais c'est aussi des seconds rôles exceptionnels. C'est des scènes d'anthologie, des plans grandioses, et des cadrages d'une incroyable délicatesse. S'il ne fallait voir qu'un film dans la vie, c'est celui-là. Car il résume à lui seul un siècle de cinéma, il emporte tout, il surpasse tout, aucun adjectif ne peut le qualifier, aucune critique ne pourrait en faire le tour. Il faudrait une thèse, et encore. Un film peut-il être parfait ? Non. Sauf peut-être celui-là.
Pour moi il n'y a pas photo Il était une fois en Amérique est le plus grand film du cinéma. Malgré que ce film soit un chef d'œuvre il reste quand même peu connu du grand public car les jeunes d'aujourd'hui préfère quand il y a de l'action a en saigner des yeux des plan qui donne le vertige et des acteurs muscler sans aucun charisme pour autant. Je qualifierais ce long métrage comme une œuvre d'art tout les plans sont bien fait au bon moment pareillement pour la bande originale les personnages très attachants et le dénouement très bien fait. Mais aussi Sergio Leone montre des scene très fine comme du moment ou Noodles sort de la demeure
Je vais être très bref... Un excellent film à placer au rang des chefs d'oeuvre. Un extraordinaire scénario, une mise en scène hors du commun et un jeu d'acteurs professorale. J'ai du voir ce film une bonne trentaine de fois dans toutes les versions possibles, et l'émotion me vient toujours quand De Niro spoiler: se met à sourire au générique de fin.
Pour les musiciens, "Il était une fois en Amérique" est de la même veine que "Stairway to Heaven" de Led Zep. Un film qui mérite sans aucun doute de figurer au Top 5 du meilleur film de tous les temps.
Épopée urbaine passionnante et mélodrame sauvage à la mélancolie folle. Un film hanté par les fantômes du passé où le poids de la culpabilité transpire chaque plan durant 3h50. Une œuvre immense. Quintessence d’un cinéma total !
Dernier film du grand Sergio Leone, Il était une fois en Amérique clôture sa trilogie du temps qui avait commencée avec Il était une fois dans l'ouest et nous montre dans celui ci les étas unis pendant la prohibition racontant une amitié a travers trois périodes de la vie de David Aaronson dit Noodles (Robert de Niro) et de Max (James Wood). La narration est centrée sur des flashbacks incessants et des retours en avant avec des transitions originales. Les personnages sont très bien écrits, même les secondaires. On ne s'ennuie pas alors que le film dure 4 heures, mais ce qui fait la force du film, ce sont bien les personnages donc et le scénario qui est très bien construit. Il faut dire que Sergio Leone était entouré de 5 scénaristes pour affiner et améliorer le rendu. Mais ce qui est pour moi le plus gros point fort du film, ce qui donne une grande partie de sa beauté, c'est la musique du grand Ennio Morricone, décédé à l'heure ou j'écris ces lignes depuis plus d'une semaine seulement. Il livre probablement sa plus belle partition, surtout une musique, le thème de Déborah qui est harmonieux, divin, indescriptible tant cette musique est belle. Elle est composée pour ressentir toute la nostalgie, l'amitié et l'amour que ressent Noodles. Cette musique m'a marquée profondément ainsi que les autres bien évidemment. Bref, Il était une fois en Amérique est définitivement pour moi un chef d'oeuvre du 7ème art et probablement le meilleur film de Sergio Leone ainsi qu'un de mes films préférés. Une oeuvre qui ne laisse pas indifférent. J'aime le cinéma pour ce genre de film qui laisse bouche bée et qui nous emporte autant.
Il était une fois en Amérique est le dernier film de S. Leone. Plus connu pour ses westerns dits spaghetti il réalise ici une véritable saga policière sur 40 ans environ, film qu'aurait très bien pu faire un certain Scorsese. je pense. On y retrouve en autre un de Niro en gangster dans le New York des années 30 épaulé par J. Woods. C'est du cinéma véritable et authentique. Il y a tous les ingrédients qu'il faut pour passer un bon moment de cinéma.. Leone a mis des années à faire ce film et cela se ressent. Le film est long, avec des flash-back répétés, mais on est tellement plongé dans l'histoire que cela ne gène pas. Au contraire on est presque triste que l'aventure ne continue pas lorsque la dernière scène arrive. Un dernier rebondissement ou un dernier flash-back mais non c'est bien fini. Ce film réussit à passer de l'intensité très forte par une grande violence (il y a de nombreuses scènes de fusillades et de meurtres) à une grande sensibilité par des moments de nostalgie et d'amitié qui nous feraient presque pleurer, ceci renforcer par la belle musique un peu triste de Morricone.
Quel plaisir de revoir ce film même à travers la lucarne de la télévision. Ce chef d’œuvre n’a pas vieilli, tout y est parfait : l’histoire, le casting, la musique… on ne s’ennuie jamais même en rediffusion alors que l’on se souvient du dénouement. Certaines scènes cultes sont gravées à jamais dans notre mémoire cinématographique.
Je n'avais encore jamais vu ce grand classique. L'erreur est réparée... Une fresque comme on n'en fait plus, du temps où l'on prenait encore son temps pour raconter une histoire, immerger dans une ambiance. Un film de gangsters, une saga historique sur près d'un demi siècle, une histoire d'amitié, de trahisons... Et l'interprétation, où plutôt l'incarnation, de De Niro ! Un chef d'œuvre !
Formellement c'est un chef-d'oeuvre. La mise en scène, la photo et l'implication opératique de la musique de Morricone, c'est brillamment étudié pour devenir cet ouvrage crépusculaire qui tient rang de référence absolue aux films de gangsters. La longueur du film, qui peut ennuyer, à sans doute à voir avec la générosité de Leone, tout entier concentré sur sa triple narration temporelle et qui ne veut pas céder sur la nostalgie et ce sentiment de mort lente indubitable. Alors oui, il y a des moments ou on soupire parce que Leone n'a peut-être pas assez rythmé son affaire ou retrancher des choses. D'ou un sentiment de complaisance avec le temps qui passe et qui fait débat. Personnellement, j'ai toujours préféré la partie "adolescence" du film plus réussie que la partie "adulte". Cette partie est plus spontanée, émouvante et cruelle, avec en point d'orgue la fin de l'innocence pour la bande à Noodles. D'ailleurs, tous les gamins sont excellents. Sinon, De Niro - Noodles adulte - fait globalement bien le job. Mais il n'est pas dans une performance à la "Raging Bull", c'est juste pas la même chose. Ici, chez Leone, il est là pour servir une mise en scène, rien d'autre. Sinon, on retrouve par ci par là quelques explosions de violence sadique, courant chez le maître italien, mais il est vrai que sur un film aussi long, on pouvait s'attendre à plus de castagne. Autre fait marquant, le fait que les personnages féminins ne soient vraiment pas à la fête. Ici, les femmes sont tantôt sexualisées, tuées ou violées (l'éprouvante scène de viol de Deborah...) et évoluent dans un univers relativement rude ou misogyne. Bref, ça rigole pas des masses. Mais c'est ainsi que la voulu Leone, dans un dernier opus désespérément contemplatif et mélancolique. "Il était une fois en Amérique", c'est le récit de l'échec d'une existence avec cette histoire d'amitié trahie, cet amour impossible.... Et on se dit que ce sourire final, dans les vapeurs d'opium, c'est le bras d'honneur du personnage face à son propre destin. Malicieusement tragique.
Quel film ! Du grand art ! Comment nous maintenir notre attention pour ce film pendant 4 heures, sans décrocher ! C'est que Sergio Leone est juste un génie ! Les symboliques sont simples, efficaces et sont pour certaines simple et à la portée de tous, et d'autres plus complexes tout de même. C'est une histoire touchante qu'il faut absolument voir !
Il était une fois en Amerique est le meilleur film de l histoire ! LE chef d'oeuvre ultime ! Avec le meilleur réalisateur , le meilleur acteur et le meilleur compositeur ! UNE fresque monumentale et qui vaut le détour malgré sa durée unique de 4h10 !
Une fresque d'un demi-siècle de l'Histoire américaine mis en bouteille par l'un des maîtres absolus du cinéma, forcément, c'est une grande œuvre. Un duo d'acteurs brillant, une réalisation frisant la perfection... Bref, "Il était une fois en Amérique" est immortel. Je reste néanmoins moins séduit par de (trop) nombreuses scènes à l'intérêt limité : les 220 mns m'ont parfois parues bien longues. À moins que mon inculture ne m'autorise pas à déchiffrer tous les codes et autres subtilités de cette production hors du commun. Ma critique n'en saurait ainsi être que des plus caduques.
Chef d œuvre absolu du 7 ème art au même rang que le guépard ou autre film d un autre temps. Un temps où on savait raconter. Chef d œuvre qui avec les Parrains sont les films qui traitent au mieux une époque une ambiance. Tout est émotion soucis du détail et jeux d acteurs. Avec une musique sublime qui finit par terrasser le spectateur car ce film marque nous marque, du moins les vrais amoureux du Cinéma avec un grand C aussi grand que Sergio qui nous laisse un héritage celle d une œuvre qui défit le temps...