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Tietie007
4 abonnés
64 critiques
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4,5
Publiée le 25 août 2019
Un film que j'avais vu en salle, à sa sortie, en 1984 et qui m'avait marqué. Variation sur l'amitié et la trahison, thèmes léoniens par excellence, sur la mémoire et le destin, accompagnée d'une musique sublime.
Comment il est possible de faire un film aussi génial c'est vraiment de la magie comment il a inventé ces personnages qui sont des enfants jusqu'à ce qu'ils deviennent des vieillards avec une histoire gangster c'est un film de gangster ces enfants pauvre ou perdu ne voulait faire aucun mal mais c'était des pauvres débrouillars pour vivre et quand ils ont grandis ils sont devenus des gangsters le film dure 3h40 au bout de 2h tu as pas envie que ça s'arrête donc c'est bien que ça dure 3h40 j'ai jamais vu un film aussi dingue pour ceux qui ont aimé casino et les affranchis de Scorsese je leur conseille vivement ce film un vrai chef-d'œuvre le top niveau
Ce navet attire les bâillements. Leone (dont les tics répétitifs de réalisateur agacent) multiplie les flash backs avec musique romantique et ralentis. Le film a terriblement vieilli et fait ringard.
Un film de gangsters à l'ancienne ! C'est bien joué, les mecs ont de la gouaille, excellente reconstitution. Néanmoins c'est d'un ennui mortel et cela s'étire inutilement en longueur. Je n'accroche définitivement pas avec le genre, enfin surtout à l'époque.
Sans doute touche-t-on ici ce qui fait du cinéma un art populaire par excellence. Intelligent, touchant, violent, grandiose, ambitieux... et pourtant à la porté de tous. Les qualificatifs manquent pour qualifier ce film, qui frise la perfection.
Servie par la sublime musique d'Ennio Morricone, la caméra de Sergio Leone sait se faire virtuose et pourtant sait aussi s'effacer devant une histoire. Tout est ici fait pour ce simple but. Raconter.
Difficile de ne pas considérer "Il était une fois en Amérique" comme un chef-d'œuvre, le film ultime de gangsters. J'ai surtout apprécié la première partie du film sur l'enfance du personnage principal, avec les décors superbement reconstitués du New-York du début XXème. Le reste est du solide, Leone mélangeant tous les codes du film de gangsters actuels, avec des fusillades, une bonne dose d'amour, et surtout cette histoire d'amitié liant cette bande d'amis jusqu'à la mort. Le tout avec la maestria du réalisateur italien, qui livre ici une leçon de cinéma à tous les niveaux.
Prenez trois jours de vacances, dormez un jour ou deux, mangez bien et faites bien tout ce qu'il faut pour ne pas être dérangé, coupez tous les téléphones et autre bidules du 21ème siècle, fermez les rideaux, installez-vous confortablement, et regardez Il Etait Une Fois en Amérique. Vous comprendrez alors ce que le cinéma est un art, et que la grâce fait sublimement du bien.
Quoi dire quand tout est bon ? la musique , les scenes, la lumière, le jeu des acteurs, des la premiere minute on est happé , on entre dans un monde-autrefois Du grand art !
Vu les notes de la presse et des spectateurs je m’attendais à mieux. Les allers-retours dans le passé lointain, récent et le présent m’a déjà un peu déplu car, si dans certains films c’est bien fait, ici j’ai trouvé cela brouillon et embrouillant pendant la première demi-heure où j’ai vraiment lutté pour voir la suite. J’ai également regretté pas mal de longueurs dans un récit qui aurait pu se passer de quelques passages inutiles. De Niro est excellent en Noodles et le maquillage qui le fait vieillir est remarquablement bien réalisé !
Je me suis régalée ces derniers jours en revoyant les Sergio Leone.. La série des westerns spaghettis tout d'abord et pour finir ce dernier chef d'oeuvre qui clos la série . L'histoire de l'Amérique des westerns jusqu'a la prohibition. Aprés avoir également visionné un documentaire sur Sergio Leone, les gens qui l'avaient connus, ses acteurs et bien entendu Ennio Morricone dont on pense à tort qu'ils étaient en symbiose alors qu'en vérité, leur relationnel ne fut pas aussi simple qu'on pourrait le penser. Qua cela ne tienne, à eux deux, ils nous ont donné d'excellents chefs d'oeuvre
Chef-d’œuvre absolu, ce testament cinématographique de Sergio Leone raconte sur près de 3h40 le destin de petits truands new-yorkais incarnés notamment par Robert De Niro et James Woods, depuis leur enfance jusqu’au crépuscule de leurs vies. À la fois vision mythifiée d’une Amérique vue par les yeux d’un Européen et fresque réaliste sur les bas-fonds de Big Apple au temps de la prohibition, ce troisième volet de l’histoire des États-Unis raconté par le pape du western-spaghetti (après Il était une fois dans l’Ouest et Il était une fois la révolution) est d’une ambition incroyable. Portée par une musique mythique signée Ennio Morricone, un montage génial qui nous fait vivre trois périodes avec une fluidité remarquable, des décors à couper le souffle et des séquences d’une poésie pure, cette chronique profondément mélancolique nous parle du temps qui passe, des amitiés brisées et des amours perdues, en nous offrant un tourbillon émotionnel rare. Majestueux.
Pas mal mais je ne le considère pas comme un chef d'oeuvre. Un film n'a pas besoin d'être excessivement long, même s'il doit raconter l'histoire de personnages de l'enfance à l'âge adulte. La plupart des scènes trainent en longueur pour finalement pas grand chose. En tout cas le film ne m'a pas procuré une grande émotion après plus de 3h de visionnage... Toutefois, quelques scènes sont intéressantes (spoiler: le meurtre du petit, les plans sur le pont de Brooklyn, le vol des bijoux dans la voiture ) et bonne interprétation de Robert De Niro. Film à voir une fois dans sa vie.
Un chef d'oeuvre tout simplement, qui suinte l'amour du cinéma comme nul autre pareil... La nouvelle version (3h40) tient la route, on ne se lasse pas une minute.
C'est sûr, on ne peut pas mettre en dessous de 3 étoiles pour un tel film signé Sergio Leone. Néanmoins, nous sommes bien loin des chefs d'oeuvre des années 60 quand ce réalisateur de génie avait mis la barre des westerns à une hauteur infranchissable. En l'espace de 5 ans, il avait sortis 4 des plus grands films de l'histoire du cinéma entre la poignée de dollars et il était une fois dans l'Ouest en passant par l'immense Good, bad and ugly. Mais voilà, avec l'âge et le reste, le pic de créativité a passé. Les films de Leone des années 70 sont devenus moins bons et pour ce dernier film, après 10 ans de préparation, le résultat est très moyen. Ce n'est pas un mauvais film en soi, loin de là, mais c'est long, nostalgique, assez dénué d'action, surtout dans sa deuxième partie. La technique du flash back sur 3 périodes différentes ne prend plus très bien alors qu'elle était géniale dans "Il était une fois dans l'ouest". Même la musique de Morricone tourne plus ou larmoyant qu'au génie passé. Et puis soyons honnête, il y a quand même quelques scènes à ne pas montrer à tout public alors que c'était un bonheur pour toute la famille avec les films cités précédemment. En conclusion, je ne partage pas l'avis général qui a donné à ce film une pluie d'éloges mais je reste néanmoins reconnaissant à un tel réalisateur pour avoir exalté ma passion du cinéma avec ses westerns inoubliables.