Il était une fois en Amérique
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878 critiques spectateurs

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44 abonnés 868 critiques Suivre son activité

1,0
Publiée le 19 mai 2019
Un film de gangsters à l'ancienne !
C'est bien joué, les mecs ont de la gouaille, excellente reconstitution. Néanmoins c'est d'un ennui mortel et cela s'étire inutilement en longueur.
Je n'accroche définitivement pas avec le genre, enfin surtout à l'époque.
anonyme
Un visiteur
5,0
Publiée le 27 avril 2019
Sans doute touche-t-on ici ce qui fait du cinéma un art populaire par excellence.
Intelligent, touchant, violent, grandiose, ambitieux... et pourtant à la porté de tous. Les qualificatifs manquent pour qualifier ce film, qui frise la perfection.

Servie par la sublime musique d'Ennio Morricone, la caméra de Sergio Leone sait se faire virtuose et pourtant sait aussi s'effacer devant une histoire. Tout est ici fait pour ce simple but. Raconter.
Xavi_de_Paris
Xavi_de_Paris

313 abonnés 2 854 critiques Suivre son activité

5,0
Publiée le 29 mars 2019
Difficile de ne pas considérer "Il était une fois en Amérique" comme un chef-d'œuvre, le film ultime de gangsters. J'ai surtout apprécié la première partie du film sur l'enfance du personnage principal, avec les décors superbement reconstitués du New-York du début XXème. Le reste est du solide, Leone mélangeant tous les codes du film de gangsters actuels, avec des fusillades, une bonne dose d'amour, et surtout cette histoire d'amitié liant cette bande d'amis jusqu'à la mort. Le tout avec la maestria du réalisateur italien, qui livre ici une leçon de cinéma à tous les niveaux.
Eric S.
Eric S.

9 critiques Suivre son activité

5,0
Publiée le 10 mars 2019
Un chef d’œuvre à couper le souffle amené par des acteurs de génie, une musique sublime, que dire de plus, c’est mon film préféré
tuttivabene
tuttivabene

1 abonné 20 critiques Suivre son activité

5,0
Publiée le 6 mars 2019
Prenez trois jours de vacances, dormez un jour ou deux, mangez bien et faites bien tout ce qu'il faut pour ne pas être dérangé, coupez tous les téléphones et autre bidules du 21ème siècle, fermez les rideaux, installez-vous confortablement, et regardez Il Etait Une Fois en Amérique. Vous comprendrez alors ce que le cinéma est un art, et que la grâce fait sublimement du bien.
anonyme
Un visiteur
5,0
Publiée le 15 février 2019
Quoi dire quand tout est bon ? la musique , les scenes, la lumière, le jeu des acteurs, des la premiere minute on est happé , on entre dans un monde-autrefois
Du grand art !
Mathieu B.
Mathieu B.

35 abonnés 785 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 10 février 2019
Vu les notes de la presse et des spectateurs je m’attendais à mieux. Les allers-retours dans le passé lointain, récent et le présent m’a déjà un peu déplu car, si dans certains films c’est bien fait, ici j’ai trouvé cela brouillon et embrouillant pendant la première demi-heure où j’ai vraiment lutté pour voir la suite. J’ai également regretté pas mal de longueurs dans un récit qui aurait pu se passer de quelques passages inutiles. De Niro est excellent en Noodles et le maquillage qui le fait vieillir est remarquablement bien réalisé !
Daeriss W.
Daeriss W.

21 abonnés 288 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 1 février 2019
Je me suis régalée ces derniers jours en revoyant les Sergio Leone.. La série des westerns spaghettis tout d'abord et pour finir ce dernier chef d'oeuvre qui clos la série . L'histoire de l'Amérique des westerns jusqu'a la prohibition. Aprés avoir également visionné un documentaire sur Sergio Leone, les gens qui l'avaient connus, ses acteurs et bien entendu Ennio Morricone dont on pense à tort qu'ils étaient en symbiose alors qu'en vérité, leur relationnel ne fut pas aussi simple qu'on pourrait le penser. Qua cela ne tienne, à eux deux, ils nous ont donné d'excellents chefs d'oeuvre
Bertie Quincampoix
Bertie Quincampoix

114 abonnés 1 830 critiques Suivre son activité

5,0
Publiée le 25 janvier 2019
Chef-d’œuvre absolu, ce testament cinématographique de Sergio Leone raconte sur près de 3h40 le destin de petits truands new-yorkais incarnés notamment par Robert De Niro et James Woods, depuis leur enfance jusqu’au crépuscule de leurs vies. À la fois vision mythifiée d’une Amérique vue par les yeux d’un Européen et fresque réaliste sur les bas-fonds de Big Apple au temps de la prohibition, ce troisième volet de l’histoire des États-Unis raconté par le pape du western-spaghetti (après Il était une fois dans l’Ouest et Il était une fois la révolution) est d’une ambition incroyable. Portée par une musique mythique signée Ennio Morricone, un montage génial qui nous fait vivre trois périodes avec une fluidité remarquable, des décors à couper le souffle et des séquences d’une poésie pure, cette chronique profondément mélancolique nous parle du temps qui passe, des amitiés brisées et des amours perdues, en nous offrant un tourbillon émotionnel rare. Majestueux.
MC81
MC81

14 critiques Suivre son activité

2,5
Publiée le 29 décembre 2018
Pas mal mais je ne le considère pas comme un chef d'oeuvre.
Un film n'a pas besoin d'être excessivement long, même s'il doit raconter l'histoire de personnages de l'enfance à l'âge adulte. La plupart des scènes trainent en longueur pour finalement pas grand chose. En tout cas le film ne m'a pas procuré une grande émotion après plus de 3h de visionnage...
Toutefois, quelques scènes sont intéressantes ( spoiler: le meurtre du petit, les plans sur le pont de Brooklyn, le vol des bijoux dans la voiture
) et bonne interprétation de Robert De Niro.
Film à voir une fois dans sa vie.
Manuel P
Manuel P

15 abonnés 172 critiques Suivre son activité

5,0
Publiée le 28 décembre 2018
Un chef d'oeuvre tout simplement, qui suinte l'amour du cinéma comme nul autre pareil... La nouvelle version (3h40) tient la route, on ne se lasse pas une minute.
Rictus1260
Rictus1260

38 abonnés 137 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 22 décembre 2018
C'est sûr, on ne peut pas mettre en dessous de 3 étoiles pour un tel film signé Sergio Leone. Néanmoins, nous sommes bien loin des chefs d'oeuvre des années 60 quand ce réalisateur de génie avait mis la barre des westerns à une hauteur infranchissable. En l'espace de 5 ans, il avait sortis 4 des plus grands films de l'histoire du cinéma entre la poignée de dollars et il était une fois dans l'Ouest en passant par l'immense Good, bad and ugly. Mais voilà, avec l'âge et le reste, le pic de créativité a passé. Les films de Leone des années 70 sont devenus moins bons et pour ce dernier film, après 10 ans de préparation, le résultat est très moyen. Ce n'est pas un mauvais film en soi, loin de là, mais c'est long, nostalgique, assez dénué d'action, surtout dans sa deuxième partie. La technique du flash back sur 3 périodes différentes ne prend plus très bien alors qu'elle était géniale dans "Il était une fois dans l'ouest". Même la musique de Morricone tourne plus ou larmoyant qu'au génie passé. Et puis soyons honnête, il y a quand même quelques scènes à ne pas montrer à tout public alors que c'était un bonheur pour toute la famille avec les films cités précédemment. En conclusion, je ne partage pas l'avis général qui a donné à ce film une pluie d'éloges mais je reste néanmoins reconnaissant à un tel réalisateur pour avoir exalté ma passion du cinéma avec ses westerns inoubliables.
anonyme
Un visiteur
5,0
Publiée le 20 décembre 2018
oui chef d oeuvre évidemment au vu de l histoire qui se déroule sur un demi siècle accompagné d'une musique donnant des frissons car envoûtante et émouvante !!! que dire de plus les acteurs sont magnifiques dans leur rôle c'est du grand cinéma !! mes félicitations vont à tous ceux qui l'ont confectionné car ce film restera mon préféré !! un film plutôt pour les anciens car les adeptes de films d'action avec plein d'effets spéciaux seront plutôt déçus car là on a plutôt de l'authentique !!
Stephenballade
Stephenballade

408 abonnés 1 239 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 18 décembre 2018
On peut comprendre que "Il était une fois en Amérique" puisse décevoir, en particulier les amateurs d’action. Ma foi, quand on sait que l’intrigue se situe au moment de la prohibition en se focalisant sur deux truands, il me semble normal que les spectateurs sont dans l’attente de quelques scènes d’action : fusillades, poursuites à pied ou en voiture, enfin ce genre de choses. Bon il y en a mais elles sont rares, il faut bien le reconnaître. Mais pas suffisamment pour satisfaire les amateurs d’action, surtout sur une telle durée ! Alors ils s’ennuient, et trouvent le film plutôt vide, et ma foi ce genre de considération ne m’étonne pas. Sauf que ce long, très long métrage est bien plus riche qu’il n’y paraît, ce que les spectateurs déçus n’ont à mon humble avis probablement pas su voir. On sait Sergio Leone amoureux d’un certain cinéma, un cinéma où le développement des personnages et leur évolution était prisé. Au cours de ses réalisations, il est même passé maître en la matière, avec ses nombreux plans bien cadrés sur les personnages, ces personnages emblématiques qui passaient autant de choses voire plus que sur leurs propres dialogues. Et dès le début, on reconnaît la patte du cinéaste italien. Mais surtout et avant tout, on détecte une certaine mélancolie envers le cinéma d’antan. On peut le voir sur les plans effectués sur Robert De Niro, quand son personnage vieillissant se rappelle avec une certaine nostalgie toutes ces années passées. Des souvenirs toutefois contrariés par des questions auxquelles il cherche des réponses. Oui je crois qu’on peut parler de nostalgie, confortée par la double intégration on ne peut plus appropriée de la chanson "Yesterday" des Beatles. Aussi c’est pour cette raison que le dernier film de Sergio est considéré comme étant le testament de ce dernier. On peut même voir quelques références cinématographiques, parmi lesquelles "Il était une fois dans l’Ouest" par la juxtaposition de la musique de l’inimitable Ennio Morricone avec le maniement de l’instrument que Philip Stein dit Cockeye (William Forsythe) utilise avec le plus grand soin. Donc oui, il y a bien quelque chose de personnel dans ce film. Et ça se ressent. Pensez donc : une écriture du scénario qui aura pris plusieurs années à partir du roman "The hoods" de Harry Grey, un tournage qui prit plus d’un an, un budget initial de 3 millions de dollars explosé puisqu’il a été multiplié au moins par 10, et un casting pour le moins chaotique. Gérard Depardieu devait à l’origine prendre le rôle de Max, secondé par Jean Gabin pour les plus vieux jours du personnage. Dans les faits, pas moins de 200 auditions furent menées pour camper ce personnage un peu tête brûlée sur les bords. En prime, la nostalgie était telle chez Leone qu’il était même désireux d’enrôler des stars des années 40 telles que James Stewart, Henry Fonda pour ne citer qu’elles. Oui Sergio Leone a vu les choses en grand. Et vous savez pourquoi ? Parce qu’il avait pleinement conscience que le cinéma était en pleine mutation. Alors il voulait marquer le coup et montrer ce cinéma qu’il chérissait tant une dernière fois. Et c’est vrai qu’il a fait les choses en grand : le spectateur n’a aucun mal à se replonger en ce début du XXème siècle tant la reconstitution de l’époque a été soignée jusque dans ses moindres détails. Certes on remarquera en premier les décors, que ce soit au niveau des bâtiments ou des grilles en fer forgé de la gare, mais aussi au niveau des costumes, des véhicules. Mais avez-vous remarqué les affiches, aujourd’hui très recherchées tant le vintage est à la mode, les décors du fumoir à opium, et tous ces autres accessoires anodins ? Aussi, j’aurai été curieux de voir le tournant que Sergio Leone aurait opéré s’il avait pu aller au bout de son projet cinéma sur le siège de Leningrad en s’appuyant sur le livre "Les 900 jours de Leningrad" de Harrison Salisbury. Il n’empêche que tous les acteurs se sont hissés au niveau que le cinéaste attendait d’eux. Robert De Niro bien sûr, désormais acteur emblématique pour incarner un personnage de la pègre, mais aussi James Woods, souvent habitué lui aussi à des rôles de crapule. Quoique je trouve que son côté « cinglé » aurait pu être un peu plus mis en évidence au fur et à mesure que l’intrigue avance, tout simplement parce que l’argent appelle l’argent, et que dans la plupart de ce genre de cas, on en veut toujours plus, quitte à mettre directement sa vie en péril pour arriver à ses fins. A côté d’eux, débute une jeune actrice qui aurait pu être intimidée par la présence de ces deux vedettes, j’ai nommé Jennifer Connelly. Mais en dépit de son jeune âge (elle avait environ 13 ans), elle montre un sacré caractère ! Un sacré caractère repris avec brio par Elizabeth McGovern pour interpréter Deborah plus âgée, quoique avec une touche de sensibilité plus développée. Eh oui, deux actrices pour le même personnage que 35 années ont eu grand peine à changer, quelle ressemblance étonnante ! Mais les personnages les plus marquants selon moi reviennent à Tuesday Weld sous les traits de Carol et à Amy Rider dans la peau de Peggy. Sans doute que la légèreté doublée de frivolité de leur rôle respectif y est pour quelque chose, en particulier du côté de Carol quand elle est amenée à tenter de reconnaître son assaillant. Mais plus encore, c’est la désinvolture de Peggy que je préfère qualifier de naturel chez son interprète. Et puis Sergio Leone est connu aussi pour savoir mettre en scène des gueules. Même si elles n'occupent pas le devant de la scène à proprement parler (loin s'en faut), il y en a tout de même quelques unes comme James Russo (Bugsy). Alors, "Il était une fois en Amérique", un grand film ? Assurément oui. Un chef-d’œuvre car on prend là une vraie leçon de cinéma. Pour autant, je ne peux me résoudre de donner la note maximale car c’est un film que je ne regarderai pas tous les jours à cause d’une part de sa durée, et d’autre part de quand on a capté tous les éléments dont ce film regorge, on pourrait en venir à s’ennuyer par le relatif manque d’action. Il n’en reste pas moins des scènes restées gravées à jamais dans l’Histoire du cinéma, comme par exemple ce plan sur le pont suspendu de Manhattan depuis la rue Washington… c’est l’affiche du film !! Qu’on aime ou pas ce film, reconnaissons tout de même le fabuleux héritage que Sergio Leone nous a laissés et qui aura marqué à jamais le cinéma américain. Le cinéma tout court d’ailleurs.
Critic35
Critic35

12 critiques Suivre son activité

5,0
Publiée le 18 décembre 2018
Étant étudiant en fac de cinéma, voir ce film était une évidence. Que ce soit en peinture, en littérature, ou en photographie, tout art a ses pièces maîtres. Il était une fois en Amérique, dernier film du grand cinéaste Sergio Leone fait partie des pièces maîtres lorsque l’on étudie le Septième art sous toutes ses mesures : Pourquoi me demanderez vous?
La réponse est simple : Ce film est sans doute ce que le cinéma représente.
Il est ce que le cinéma a de mieux: Il nous fait voyager, rêver, contempler.
Les scènes deviennent presque plus iconiques les unes après les autres, virevoltant entre travellings, panoramiques, zoom, focales au millimètre près, le tout calculé par le maître Leone pour une narration en béton; donnant au montage une dimension virtuoses, comme une mélodie filmique.
En parlant de mélodie, Ennio Morricone à la musique (comme d’habitude avec Sergio Leone) perfectionne l’ensemble, ramenant la virtuosité et la mélancolie à un état de grâce.
Il était une fois dans l’Amérique est un de ces films qui s’encrent dans l’Histoire du Cinéma avec un grand C
Un film à voir, à revoir, et à redécouvrir à chaque visionnage
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