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    Mektoub My Love : Canto Uno
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    284 critiques spectateurs

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    tarmokeuf
    tarmokeuf

    8 abonnés 106 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 avril 2018
    Une ode à la vie, à la liberté, à la tolérance, à la beauté... et au cinéma ! A. Kechiche a un tel génie qu'il n'a pas besoin d'une intrigue alambiquée pour nous happer dans ses rets cinématographiques. Son sens du cadre, du rythme, de la musicalité de ses dialogues aux faux airs superficiels mais terriblement naturels nous font intégrer ce groupe de jeunes aux hormones en ébullition et en ressentir toutes les émotions comme si nous étions l'un d'entre eux. Et en cette période où l'on préfère effacer les différences plutôt qu'apprendre la tolérance, il nous rappelle la possibilité d'un monde où filles et garçons, en étant chacun soi-même et en l'assumant pleinement, draguent, séduisent, rigolent, pleurent, picolent, bouffent, bref vivent loin des rapports de force ou de de pouvoir. Une belle bouffée d'air pur et de lumière solaire.
    Anton75
    Anton75

    23 abonnés 74 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 avril 2018
    Hypnotique ! Je suis resté scotché à mon fauteuil pendant trois heures, fasciné par une sorte d'expérience sensorielle hors du temps et de l'espace. Ces scènes qui s'étirent, qui durent, qui s'installent en nous et nous envahissent sont sidérantes (dans tous les sens du terme). Il paraît que ça va durer 3 heures de plus (Canto Due), et ce pour notre plus grand bonheur.
    Daniel C.
    Daniel C.

    138 abonnés 717 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 avril 2018
    La perspective de voir un film, dont la durée est importante ne constitue pas un obstacle pour moi, mais je ne comprends pas la nécessité de cet étirement. Je ne trouve pas que l'adolescence soit une période fascinante, elle est le temps de tous les apparemment possibles, du questionnement pulsionnel insistant, du sentiment d'interminable. Alors, s'il s'agissait de faire éprouver cela au spectateur, le message m'est bien parvenu, mais ce n'est pas ce que j'attends du cinéma. La pulsion scopique est intensément déployée à travers le regard observateur, voyeur d'Amin, beau jeune homme, séduisant, attirant, mais non attiré par la multiplicité des conquêtes à l'image de son cousin. Dans ce désir voyeur d'Amin, dans son regard que filme la caméra, j'avais l'impression d'être embarqué dans les fantasmes du cinéaste : les femmes entre elles, les déhanchements féminins des jeunes filles, qui dansent, le plan à trois (un homme et deux filles) insistent tout au long des scènes. La liberté sexuelle, qui nous est donnée à voir, est assez lassante. Il n'y a pas de transcendance dans ce que vivent les personnages. Seul le désir photographique d'Amin semble assez "pur". Son regard observe avec un discret sourire, il ne juge pas, il y a une sensibilité esthétique, mais pourquoi nous plonger dans cette circulation consommatrice des corps entre eux, dans ces attitudes provocantes des jeunes filles, dans ces boniments prodigués par des hommes plus âgés, incapables d'engagements sentimentaux assumés. Sur fond de guerre du Golfe, lointaine, quasiment virtuelle, nous n'en savons que les possibles dégâts psychiques causés chez les militaires partis. Le refoulement de l'homosexualité masculine transparait sans doute dans cet envoûtement pour l'homosexualité féminine teintée de bisexualité. En somme, que les femmes s'aiment entre elles, mais avec les hommes dans le circuit. Le contraste avec la naissance des agneaux photographiée par Amin m'a réellement mis mal à l'aise. Je me suis demandé quelle place occupent les femmes pour Abdellatif Kechiche, je me suis surtout trouvé embarqué dans une complicité avec sa psyché, qui ne me convenait pas. C'est un réel cinéaste, mais les histoires, qu'il me propose, ne m'intéressent pas. J'ai trouvé le film "L'amour des hommes" bien plus audacieux, bien plus engagé et dérangeant l'ordre établi autrement. Là où je suis reconnaissant au cinéaste, c'est que l'islam n'est pas posé comme un empêchement à vivre : on peut boire, fumer, danser, coucher et la liberté semble possible, mais le fond de désespoir sur laquelle elle se déploie, n'est pas joyeux. On est plus dans la débauche, que dans le désir et l'ivresse semble indispensable pour "s'amuser" et faire la fête.
    bbnut
    bbnut

    9 abonnés 75 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 avril 2018
    Chef d'oeuvre.
    Puissant, sensuel, libre. On a envie d'habiter dans ce film.
    Tous les acteurs sont sublimes.
    Anne B.
    Anne B.

    1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 17 avril 2018
    Allez... on ne va pas se le cacher... ce film est une pure daube. Inutile de tourner en rond et de se prendre la tête. Ce n’est pas du naturalisme, ni de la poésie; c’est du cru, du sale, du vide. Simplement affligeant et atterrant. 3h de supplice. 3h à se rincer l’œil, celui d’un vieux barbon égrillard. 3h de sidération et le vague sentiment écœurant,gluant, et coupable de ne pas avoir eu le courage de quitter la salle par peur de déranger les voisins !
    Inutile de croire « que la misère (intellectuelle ?) est moins pénible au soleil » ou que cette même misère est supportable dans les salles obscures sous couvert d’un esthétisme minimaliste ou d’un pseudo-intellectualisme décadent.
    Deux citations incrustées laissent augurer une certaine poésie ensoleillée et méditerranéenne.... Que nenni ! Tu parles Charles ! Kechiche te prend à froid et par derrière dés les premières images ! Le ton est donné spectateur : tu vas te laisser fourrer... le doigt dans l’œil !
    Une mention spéciale et une pensée émue pour la brebis, seul personnage féminin qui semble mériter le respect du réalisateur.
    Bref... je m’arrête là, je vais prendre mon caméscope et aller pondre un chef d’oeuvre. Cap’ ou pas cap’ ? Chiche ou pas Kéchiche ?
    gjolivier1982
    gjolivier1982

    63 abonnés 330 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 17 avril 2018
    Que dire de ce film? J'ai eu le courage de rester jusqu'à la fin de la projection, ce qui n'a pas été le cas de nombreuses personnes dans la salle. Et je les comprends.
    Ce film c'est la vacuité à son summum. Que c'est long, lent ennuyeux, creux, insipide, bête et j'en passe.
    Le fait que le réalisateur soit encensé par la critique me laisse perplexe. Pour la Vie d'Adèle (une autre oeuvre gravement surévaluée), je me disais à l'époque que les critiques élogieuses avaient un but politique au moment du mariage homosexuel et en soi pourquoi pas. Des oeuvres aussi mauvaises soit-elles sur le plan cinématographique peuvent avoir une réelle importance d'un point de vue idéologique, social etc... Mais que dire devant cette nullité de film surtout à l'ère du metoo movement tant cette oeuvre est choquante de misogynie. En effet les femmes sont traitées et filmées comme des bouts de viandes. (Si on n'avait pas compris, une grande partie du film se déroule dans une ferme) Mais là où le bats blesse c'est qu'il n'y a aucune critique, aucun recul devant une culture de la femme somme toute très problématique, aucune réflexion si bien qu'en regardant ce film on est d'abord gêné pour les actrices car on a l'impression qu'elles ont été filmées par un ("vieux") dégueulasse. La première scène du film résume tout le problème du film. Un couple fait l'amour. Mais là encore ce n'est pas comme ça que je décrirais la scène car on n'entend pas l'homme, on ne voit pas l'homme. Si on devait décrire la scène, on devrait dire une femme se fait bai.... Puis comme si le réalisateur n'avait pas suffisamment réduit son actrice à un simple objet sexuel, il la fait ensuite avaler goulument des fraises. Son collègue masculin a la chance de manger ces mêmes fruits de manière beaucoup plus classique car dans ce film le traitement des hommes est bien différent, ce qui met d'ailleurs sa vision des femmes encore plus évidente. Et ce sera ainsi pendant tout le film.
    Car le pire du pire vient plus tard lorsqu'un vieux porc alcoolisé soulève une jeune femme qui pourrait être sa fille et la pose sur ses genoux et cela à deux reprises! Mais dans la logique du film, tout va bien dans le meilleur des mondes car la fille en rigole (c'est tellement drôle de se faire tripoter par un vieux porc bourré) et comme le dira la soeur de cet homme : "cette fille va avec tout le monde" donc c'est une traînée. Rien n'est choquant!

    La réalisation est en plus extrêmement maniérée et stéréotypée (ah ces plans où le soleil éblouit.... en veux tu en voilà pendant près de 3h), les tics et obsessions du réalisateur sont bien là (les scènes répétées avec les pâtes à la sauce tomate qu'on avale goulument en gros plan), les dialogues sont stupides, il n'y a pas d'histoire, pas de construction dramatique, pas de personnages, les acteurs jouent parfois mal (une scène où un personnage féminin pleure et se confie à un ami est hilarante).

    Mais on pourra reconnaitre au réalisateur la capacité à rendre des scènes réalistes au point de nous donner l'impression de voir de la télé-réalité. Mais ce n'est pas forcément un compliment quand on est au niveau de Loft Story ("elle est jalouse de moi mais la vérité c'est moi qui devrait être jalouse")
    Après le film a des qualités esthétiques évidentes, notamment en terme de cinématographie (le film est très beau à regarder et la lumière est magnifique) et la bande son est très réussie mais ça ne fait pas un film.
    andika
    andika

    101 abonnés 320 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 16 avril 2018
    Le Kechiche nouveau est arrivé, toujours aussi long, toujours aussi généreux, toujours aussi maîtrisé, toujours aussi beau, poignant. Cette fois-ci, on suit les déambulations du jeune Amin à l'été 1994, étudiant ayant abandonné la médecine à Paris pour se reconvertir dans ses passions de l'écriture et de la photographie. En compagnie de cousin Tony, les grandes vacances venues, entre plage et bar à Sète, on s'amuse, on rencontre des filles, la famille, les effluves de l'alcool, la fête perpétuelle, la volupté, la sensualité.

    Kechiche a une manière unique de filmer les corps, le désir naissant, les courbes. Sans jamais être obscène, il montre pourtant tout dans une célébration de l'amour, un ballet des formes. D’emblée, une séquence de sexe intense entre deux amants, et un troisième larron qui n'est que spectateur, le fameux héros. Tout le monde jouit, sauf Amin. Tout le monde s'amuse, sauf Amin. Tout le monde abuse, sauf Amin. A croire qu'il prend son plaisir différemment, cela est fascinant. A chaque instant de ces près de trois heures de film, on guette l'abandon de ce personnage qui n'est jamais pleinement engagé avec les autres, qui ne fait qu'observer. Cela est montré explicitement dans la première séquence mais par la suite, il parvient à créer l'illusion de participer à la féérie ambiante, pour mieux se soustraire. Au début, son retrait est subtil avant de peu à peu devenir de moins en moins équivoque. Pourquoi ne répond t-il pas aux nombreuses sollicitations des jeunes femmes ? Pourquoi ne profite t-il pas de son indéniable charme, lui qui est beau comme un Dieu ? Tout cela est en suspend, à chacun de se faire son interprétation. Il est peut-être la lumière qui vient éclairer chacun des autres personnages, moins léger mais précieux, qui sait écouter et ne pas se laisser guider uniquement par ses pulsions.

    La lumière du soleil, omniprésente donne une identité forte à ce film, qui ne cesse d'irradier. Les corps sont filmés de près, que ce soit pour danser, nager, jouer, manger. Il s'agit d'un envoutement permanent qui submerge peu à peu le spectateur. La beauté est partout, les corps de ces femmes qui offrent leur courbes à la caméra, ces hommes musclés sortant de l'eau, la naissance d'un petit agneau mis à bas par une brebis, dans une séquence étonnante, filmée de nuit. Tout simplement la beauté de ces acteurs, jeunes, souriant sous le soleil. Une envie d'été, une envie de fête, une envie d'abandon, de caresses. Mais aussi, en filigrane, un besoin de quelque chose de plus profond.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 15 avril 2018
    Un navet ce" Mektoub ,my love"Arrêtez Kechich de vous moquer du Cinéma!Ça ne marche pas votre jeu.Vous avez trop misé sur le CORPS.Un film incohérent du début jusqu'à à la fin....Meme la mise à bas est exploitée pour sauter du" corps" à l âne.Une médiocrité qui crève l écran!
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 15 avril 2018
    Film très superficiel, long et ennuyeux. Les femmes méritent une représentation plus profonde et plus juste.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 13 avril 2018
    Un véritable chef d’œuvre. On est bouche bée du début jusqu’a la fin. Un brillant hommage à la femme, à la diversité et à l’amour.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 12 avril 2018
    C'est nullissime ! désolant ! horripilant ! Un non film sur le vide ! Normalement lorsque je suis entourée de gens qui ont des conversations aussi insipides, par exemple dans le métro, je prends un bouquin, je joue à candy crush pour m'évader. Là j'ai tenu 1h15 parce que j'espérais naivement que ça finirait par évoluer qu'il allait se passer quelque chose d'intéressant ... et bien non .. J'ai quitté la salle énervée de ce foutage de gueule
    Newstrum
    Newstrum

    39 abonnés 261 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 avril 2018
    Le sujet de Mektoub my love, c'est la contradiction entre une aspiration à la pureté (la lumière sous l'égide de laquelle le film est placé) et un regard attiré par l'opulent fessier d'Ophélie. Le regard de la caméra de Kechiche est plus voyeur que celui contemplatif de son alter ego Amin. Ce côté voyeur est parfois gênant. Amin, un artiste, fait dans le film son éducation sentimentale (avortée) et artistique réussie) Le personnage de Charlotte (la niçoise trompée par le cousin) est important. Personnage de Rohmer qui se serait perdu dans l'univers de Kechiche, elle offre un contrepoint bienvenu sur la conception charnelle et assez vulgaire qu'entretiennent les autres. Amin, tiraillé entre les deux conceptions, finira par choisir Charlotte. Une réussite malgré mes réserves et plusieurs longueurs. Voir ma critique complète sur mon blog :
    newstrum.wordpress.com
    Muito Chirashi
    Muito Chirashi

    3 abonnés 10 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 12 avril 2018
    Ce qui m’inquiète le plus ce sont les critiques « gravées dans le marbre » de cet entre-soi parisianiste éructant avec démagogie le bon goût culturel que nous devrions gober. Non, merci mesdames et messieurs les critiques. Gardez pour vous et vos prestations de salon, où il faut se montrer, votre générosité étoilée. Ce film est une daube magistrale. Tout n’est pas bon dans le Kechiche. On ne peut se satisfaire, malgré un parcours certes glorieux et discutable, d’une énorme représentation de style ou « Abdel Kechiche porte son art vitaliste à son point culminant/Transfuge » et en résumé « L’été est chaud, les filles sont belles, le soleil écrase tout. Et le cinéma de Kechiche est à poil, sublime./Première »
    Certes, c’est l’été, c’est chaud Sète (...), on est jeune ( pas comme les critiques pigistes en plein after), on n’en peut plus de Paris, l’hologramme de Kechiche/Amin est un sois-disant capteur d’ambiance (et le moins mauvais rôle avec sa mère). Le reste n’est que fantasme de jeunes vieux (les cousins) en manque tels les mêmes mytho qui se font passer pour des chirurgiens auprès des jeunes françaises dans les boites de Sidi Bou Saïd. Et là c’est régal. Kechiche le voyeur démarre fort et mate, filmant aux frais de la princesse cette jeunesse sous couvert du statut de cinéaste labellisé, des culs, des gros plans impudiques de cette jeunesse qu’il n’a plus, de bergères sensuelles, des has been machistes, tristes et sans envergures , sur une bande son bruyante et sans saveur, des « dialogues » anéantissant définitivement le scénario déjà inexistant. Le tout sous couché de soleil salvateur et la mise à bas d’une paire d’agneaux qui n’a d’autre intérêt que de provoquer une scène sans dialogue et donc de nous reposer de ce brouhaha ininterrompu depuis le début de la séance. Non, Mektoub my love est un fake, tout comme Amin est un photographe qui tire des photos couleurs en lumière inactinique (rouge) ce qui n’est possible que pour le noir et blanc. La couleur exigeant le noir absolu. Amin Kechiche n’a pour cela ni vu et encore moins observé. Ce film est n’est qu’un concept raté sans vie réelle possible. Très loin de L’Esquive, la Vie d’Adele etc....
    Jonathan M
    Jonathan M

    123 abonnés 1 528 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 avril 2019
    Une ode à la jeunesse, à capter ces moments de vie, dans l'instant, avec envie. Abdellatif Kechiche ne fait rien de plus. Le scénario, c'est la caméra qui le dessine. Un sourire, un regard piquant, des décolletés endiablés, de la sueur, du chagrin, de l'ivresse. La célébration des 20ans, et l'insouciance qui va avec. Une plage, un bar, un restaurant, une boîte de nuit, une ferme. L'unité de lieu est balisé et les personnages y évoluent en territoire reconnu. La famille et le groupe d'amis. Amour de vacances et amoureux transi, difficile de ne pas s'identifier au rôle d'Amin - Shaïn Boumedine - pour ma part. Il y a du sexe aussi, parce que le cinéaste est gourmand. Gourmand de ces instants qui font que l'homme se met à nu face à ses désirs. Le style Kechiche, c'est nous faire comprendre qu'en chacun d'entre nous il y a ces mêmes doutes et appréhensions, pas abordés de la même manière, mais qui résulte d'un but unique : l'envie d'être soi. *TOP 3 FILM 2018*
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 11 avril 2018
    Merci M Kechiche. Vous êtes un grand cinéaste, le cinéaste de la Vie. Un Artiste. M Kechiche filme avec fascination mais avec respect la beauté des femmes mais aussi leur liberté et leur fierté, la sensualité, la volupté, les jeux de l'amour, la fraternité. En ces temps de retour à l'ordre moral c'est une belle respiration. Avec un personnage qui irradie le film par son son sourire, le jeune homme. Qui dans une scène magique assiste à la naissance d'un agneau.
    Il faut se laisser porter par le cinéma de Kechiche, partir avec lui dans son univers. Lâcher prise.
    Ma seule crainte, l'histoire se déroule en 1994; les femmes étaient libres. Serait-il possible de filmer les mêmes scènes en 2018?
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