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Votre avis sur Indiana Jones et le Cadran de la Destinée ?
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Malgré quelques incohérences et invraisemblances, et des CGI plutôt moyens, ce nouvel épisode des aventures d'Indiana Jones se laissent suivre avec un certain plaisir. On voit toutefois clairement les limites d'Harrisson Ford, décidément trop vieux pour ces conneries.
spoiler:
Cette histoire , avec le Cadran, est très intéressante, et la fin est parfaite pour le personnage d'Indy, lui qui a étudié l'histoire des civilisations, cette fois ci, il en fait partie.
. La toute fin aussi est assez touchante. Concernant le De-aging, je suis encore très mitigé sur son efficacité, certains plans sont plutôt réaliste, et d'autres plutôt mauvais... A voir avec le temps. Fallait il toutefois faire un 5eme ( et dernier ? ) film pour autant ? Pas sûr...
. La toute fin aussi est assez touchante. Concernant le De-aging, je suis encore très mitigé sur son efficacité, certains plans sont plutôt réaliste, et d'autres plutôt mauvais... A voir avec le temps. Fallait il toutefois faire un 5eme ( et dernier ? ) film pour autant ? Pas sûr...
J'ai été très déçu par ce dernier ( heureusement) opus d'indy où le numerique vient tout gâcher au point de se demander au bout de trente minutes si cela vaut le coup de continuer le film L'histoire est d'une banalité exaspérante, tout est devinable, téléguidé, sans surprise pour ne pas décevoir le grand public au mépris des vrais fans, nous qui avons connus "les aventuriers de l'arche perdue" en 1981. Surexploitation d'images numériques jusqu’à créer un indy jeune au visage fictif avec des yeux d'une I.A numérisé, ridicule et mal fait. Indy est vieux, tel un papy qui voudrait faire un dernier tour de danse ou ramasser une dernière fois une bonne somme d'argent pour l'avenir de ses petits enfants, H.Ford aurait dû s’arrêter là. Rien est crédible dans cette histoire, tout se déroule comme sur des roulettes, ou est la véritable aventure? Un 5e volet que l'on oubliera vite et bien trop long...
A étonnament bien gardé l'état d'esprit des films précédents. Excellent. Bon suspence. Belles actions.
rien ne vaut les origines de la saga . ce film est deux crans en dessous . quelques bonnes scènes qui nous rappelle qui est Indiana Jones , mais c'est tout .
Je ne suis pas un haineux de la saga indiana jones, mais alors pour être aller le voir au cinéma je n’ai pas tenu jusqu’à la fin tellement le film etait cliché, rempli d’erreurs historiques, et d’une absurdité, l’histoire est tordu et tiré par les cheveux je déconseille fortement.
La difficulté est d’essayer de proposer quelque chose de nouveau tout en gardant ce qui a fait le charme des précédents opus. Et déjà le bas blesse, certes le scénario est conforme à la franchise Indiana Jones, mais en ce qui concerne la nouveauté, il faudra repasser. Notre aventurier et sa nièce embarqués dans les mêmes péripéties, les mêmes combats entre le bien et le mal sautent de scènes d'actions en scènes d'actions. C'est certes bien réalisé, certes joué correctement et même plaisant à voir, mais ça reste un produit de consommation.
Scénario prévisible, cascade numérique trop visible, dialogues moyen. Le plus mauvais des Indiana Jones
Je viens seulement de le voir et poir cause, je m étais fier aux nombreuses critiques ! Merci de nous avoir redonne notre Indy, il nous avait manqué, le job est fait ! Tout n est pas parfait mais l histoire est bien ficelée. Un peu confus l explication sur la fonctionnalité du cadran ...
film super bien, qui reprend bien l esprit des Indiana Jones, l histoire et bien, effet spéciaux bon, bref un très bon film.
Un dernier opus plein de nostalgie qui nous embarque dans une aventure trépidante et offre à l’irrésistible Harrison Ford un superbe baroud d'honneur. 3,75
Pour la première fois de la saga, il ne s'agit pas de Steven Spielberg à la tête du projet. Disney va tenter de nous faire rêver une dernière fois, 42 ans après le tout premier épisode.
Autant dans Indiana Jones et le royaume du crâne de cristal Harrison Ford se portait bien, autant là on sent qu'il n'a plus la même force. Dans tout ce qu'il fait, il a l'air fatigué. A son âge, il n'effectue plus les cascades, contrairement dans les autres films Indiana Jones. J'ai du mal à croire qu'il prend tout juste la retraite dans le film. Mais après tout, à 81 ans, c'est déjà exceptionnelle de le voir devant la caméra. Et cela reste un bonheur de le suivre dans le rôle de notre archéologue préféré. En 5 aventures, il aura évolué mais toujours gardé ses mêmes motivations ainsi que son caractère. Lui qui a l'habitude de très peu se confier, a craqué dans ce long-métrage. spoiler: En effet, il a raconté à Helena Shaw la mort de son fils et de son divorce avec Marion Ravenhood, que l'on apprend en même temps qu'elle. Puis il a versé une petite larme. C'est le passage le plus émouvant du film pour moi. De plus, je suis heureux qu'il soit resté en vie.
Concernant les autres héros, on retrouve Helena Shaw (Phoebe Waller-Bridge), qui est en quelque sorte la figure féminine d'Indiana Jones, mais seulement à la fin. Au début, elle veut le cadran uniquement dans le but de se faire du bénéfice, ce qui est contraire aux idées de son parrain, Indiana Jones. Mais suite aux nombreuses péripéties rencontrées, elle se range de son côté. Un personnage que j'ai trouvé sympathique mais sans plus.
En revanche, j'ai moins accroché à Teddy (Ethann Isidore). Ce personnage est juste utilisé pour aider les protagonistes lorsqu'ils sont coincés. Il a droit à peu de développement. De plus, l'acteur est jeune et il progressera certainement au fil du temps. Pour le moment, il ne crève pas les yeux à l'écran.
Hirgen Voller (Mads Mikelsen) et ses sbires, du côté des Nazis, n'ont rien de nouveau par rapport aux autres antagonistes de la série. Pourtant, je les ai appréciés. J'ai trouvé que l'acteur danois dégageait une certaine prestance que l'on ressentait dans son personnage.
Durant le visionnage, j'ai eu peur que l'histoire se détache complètement de l'esprit des films, comme cela a été le cas dans l'épisode précédent. Lorsqu'ils ont discuté sur la notion de fissures temporelles, j'ai immédiatement imaginé la suite se débouchant sur le multivers, qui est souvent très compliqué pour en réalité pas grand-chose. Mais finalement, les scénaristes sont restés simples et logiques. J'ai donc pris beaucoup de plaisir à suivre cette intrigue, même si la durée du long-métrage se fait un peu ressentir à la fin personnellement.
La direction artistique est à mon goût réussi, mis à part la scène aquatique qui semble très numérisée.
Les passages comiques étaient efficaces. Ce ne sont pas les plus mémorables de la franchise, mais ils m'ont provoqué de larges sourires.
On notera la présence de références subtils que les plus grands fans auront sans doute remarquer.
Je vais donner à présent mon avis sur cette licence.
J'ai passé globalement de très bons moments. Suivre ses aventures rocambolesques était passionnant. Beaucoup de passages sont gravés dans ma mémoire et le resteront. Elle aura eu un impact dans le monde du cinéma. Encore aujourd'hui, et malgré les années qui ont passées, elle fait le bonheur de certains enfants qui découvre le personnage charismatique d'Indiana Jones, porté par l'excellent Harrison Ford. Je regrette seulement que le fil rouge soit trop minime. Les films possèdent très peu de lien entre eux. Les personnages présent dans un volet disparaissent subitement dans le suivant.
Pour conclure, cette saga se termine sur une belle note, qui rend un dernier hommage à Indiana Jones
Autant dans Indiana Jones et le royaume du crâne de cristal Harrison Ford se portait bien, autant là on sent qu'il n'a plus la même force. Dans tout ce qu'il fait, il a l'air fatigué. A son âge, il n'effectue plus les cascades, contrairement dans les autres films Indiana Jones. J'ai du mal à croire qu'il prend tout juste la retraite dans le film. Mais après tout, à 81 ans, c'est déjà exceptionnelle de le voir devant la caméra. Et cela reste un bonheur de le suivre dans le rôle de notre archéologue préféré. En 5 aventures, il aura évolué mais toujours gardé ses mêmes motivations ainsi que son caractère. Lui qui a l'habitude de très peu se confier, a craqué dans ce long-métrage. spoiler: En effet, il a raconté à Helena Shaw la mort de son fils et de son divorce avec Marion Ravenhood, que l'on apprend en même temps qu'elle. Puis il a versé une petite larme. C'est le passage le plus émouvant du film pour moi. De plus, je suis heureux qu'il soit resté en vie.
Concernant les autres héros, on retrouve Helena Shaw (Phoebe Waller-Bridge), qui est en quelque sorte la figure féminine d'Indiana Jones, mais seulement à la fin. Au début, elle veut le cadran uniquement dans le but de se faire du bénéfice, ce qui est contraire aux idées de son parrain, Indiana Jones. Mais suite aux nombreuses péripéties rencontrées, elle se range de son côté. Un personnage que j'ai trouvé sympathique mais sans plus.
En revanche, j'ai moins accroché à Teddy (Ethann Isidore). Ce personnage est juste utilisé pour aider les protagonistes lorsqu'ils sont coincés. Il a droit à peu de développement. De plus, l'acteur est jeune et il progressera certainement au fil du temps. Pour le moment, il ne crève pas les yeux à l'écran.
Hirgen Voller (Mads Mikelsen) et ses sbires, du côté des Nazis, n'ont rien de nouveau par rapport aux autres antagonistes de la série. Pourtant, je les ai appréciés. J'ai trouvé que l'acteur danois dégageait une certaine prestance que l'on ressentait dans son personnage.
Durant le visionnage, j'ai eu peur que l'histoire se détache complètement de l'esprit des films, comme cela a été le cas dans l'épisode précédent. Lorsqu'ils ont discuté sur la notion de fissures temporelles, j'ai immédiatement imaginé la suite se débouchant sur le multivers, qui est souvent très compliqué pour en réalité pas grand-chose. Mais finalement, les scénaristes sont restés simples et logiques. J'ai donc pris beaucoup de plaisir à suivre cette intrigue, même si la durée du long-métrage se fait un peu ressentir à la fin personnellement.
La direction artistique est à mon goût réussi, mis à part la scène aquatique qui semble très numérisée.
Les passages comiques étaient efficaces. Ce ne sont pas les plus mémorables de la franchise, mais ils m'ont provoqué de larges sourires.
On notera la présence de références subtils que les plus grands fans auront sans doute remarquer.
Je vais donner à présent mon avis sur cette licence.
J'ai passé globalement de très bons moments. Suivre ses aventures rocambolesques était passionnant. Beaucoup de passages sont gravés dans ma mémoire et le resteront. Elle aura eu un impact dans le monde du cinéma. Encore aujourd'hui, et malgré les années qui ont passées, elle fait le bonheur de certains enfants qui découvre le personnage charismatique d'Indiana Jones, porté par l'excellent Harrison Ford. Je regrette seulement que le fil rouge soit trop minime. Les films possèdent très peu de lien entre eux. Les personnages présent dans un volet disparaissent subitement dans le suivant.
Pour conclure, cette saga se termine sur une belle note, qui rend un dernier hommage à Indiana Jones
Oui ! Contrairement a l’opus précédent, je retrouve dans celui la une vraie ambiance à la indiana du passé ! Bien que Harrison Ford soit âgé, ça ne gêne en rien et je me suis vus enfant devant les premiers film, super
L'aventure qui avait un nom pendant plus de 40 ans devient à partir de ce jour complètement anonyme.
Si je devais m'adresser à Indy, je lui dirais sans doute que je préfère m'infliger une dizaine de ses coups de fouet en CGI plutôt que de regarder à nouveau sa dernière aventure. Une conclusion durant laquelle la médiocrité atteint des cimes; non pas celles des montagnes de l'Hymalaya ou d'Akator, mais celles d'un box-office estival en demi teinte pour cette année 2023.
Aucun souffle épique, aucune personnalité, aucun charme. Les couleurs chaudes, les décors exotiques, la sueur et le sang, laissent place à la photographie habituelle d'un blockbuster complètement lambda. Le rêve est entièrement enfouis sous le sable chaud des CGI et du tournage en studio. Imaginons Harrison Ford, bien assis dans son fauteuil, comptant les billets pendant que d'autres jouent le rôle d'Indiana Jones, et sur lesquels seront superposé son visage pour créer l'illusion. Une illusion lointaine.
Mention spéciale pour l'écriture des personnages complètement à l'avenant. Antonio Banderas et ses 45 secondes face caméra, véridique, doit bien rigoler en comptant ses billets. En prime le superbe Thomas Kretschmann doit en avoir marre de jouer les éternels stéréotypes flanqués d'un brassard nazi...et que dire de cet artefact au fonctionnement complètement incompréhensible, parfois incohérent, et dont on ne comprendra jamais la véritable utilité.
Ce festival de troisième âge ne sert qu'à combler les attentes de fans devenant au fur et à mesure des années, complètement fou. Une folie encouragée par des studios qui préfèrent déterrer à tord des licences plutôt que de se dire que leur place est dans un musée. Le syndrome Star Wars, à nouveau.
Indiana Jones et le cadran de la destinée c'est un peu comme nos héros partant au soleil couchant après avoir découvert le Graal. Sauf qu'ici il s'agit de James Mangold et de ses sbires. Ils embarquent nos rêves, après avoir pillé notre enfance, le tout sans se retourner et en ne revenant jamais.
Fortune et gloire pensait James, mais pas en vendant ton âme à la grosse usine Disney..
Si je devais m'adresser à Indy, je lui dirais sans doute que je préfère m'infliger une dizaine de ses coups de fouet en CGI plutôt que de regarder à nouveau sa dernière aventure. Une conclusion durant laquelle la médiocrité atteint des cimes; non pas celles des montagnes de l'Hymalaya ou d'Akator, mais celles d'un box-office estival en demi teinte pour cette année 2023.
Aucun souffle épique, aucune personnalité, aucun charme. Les couleurs chaudes, les décors exotiques, la sueur et le sang, laissent place à la photographie habituelle d'un blockbuster complètement lambda. Le rêve est entièrement enfouis sous le sable chaud des CGI et du tournage en studio. Imaginons Harrison Ford, bien assis dans son fauteuil, comptant les billets pendant que d'autres jouent le rôle d'Indiana Jones, et sur lesquels seront superposé son visage pour créer l'illusion. Une illusion lointaine.
Mention spéciale pour l'écriture des personnages complètement à l'avenant. Antonio Banderas et ses 45 secondes face caméra, véridique, doit bien rigoler en comptant ses billets. En prime le superbe Thomas Kretschmann doit en avoir marre de jouer les éternels stéréotypes flanqués d'un brassard nazi...et que dire de cet artefact au fonctionnement complètement incompréhensible, parfois incohérent, et dont on ne comprendra jamais la véritable utilité.
Ce festival de troisième âge ne sert qu'à combler les attentes de fans devenant au fur et à mesure des années, complètement fou. Une folie encouragée par des studios qui préfèrent déterrer à tord des licences plutôt que de se dire que leur place est dans un musée. Le syndrome Star Wars, à nouveau.
Indiana Jones et le cadran de la destinée c'est un peu comme nos héros partant au soleil couchant après avoir découvert le Graal. Sauf qu'ici il s'agit de James Mangold et de ses sbires. Ils embarquent nos rêves, après avoir pillé notre enfance, le tout sans se retourner et en ne revenant jamais.
Fortune et gloire pensait James, mais pas en vendant ton âme à la grosse usine Disney..
J’ai enfin regardé le cinquième - et dernier - volet. J’ai beaucoup à dire mais je vais résumer. L’ouverture du film avec le rajeunissement numérique d’Indiana Jones est bluffant de réalisme. Indy est toujours aussi attachant et drôle, même pendant les scènes d’action. En parlant de scènes d’action, j’ai trouvé que les courses poursuite étaient inutilement longues et un peu lassantes. Les CGI étaient belles mais parfois un peu too much. On sent le fond vert tout le temps. Le personnage de sa filleule n’est pas attachant ni sympathique. L’ajout du personnage du jeune garçon (j’imagine pour nous rappeler Demi Lune) est superflu voire inutile. Et ce qui m’a dérangé le plus, c’est de voir le vieux professeur Jones (rappelons que c’est lui qui a découvert l’Arche d’Alliance et le Saint Graal) relégué au rôle d’un vieux prof qui ennuie ses étudiants d’une fac locale de New York. 2h30 d’un film divertissant mais loin d’arriver aux chevilles de n’importe lequel des trois premiers
Mon premier Indiana Jones était en VHS, maintenant tout est en 4K. Ce cinquième volet nous arrive avec un acteur vieillissant, la magie va elle encore opérer ? Je visionne mon film avec appréhension... Dès les premières images tout est là, çà fonctionne. C'est certainement l'un des meilleurs de la série des 5 films. Le scénario mêlant des faits authentiques tels que la Machine d'Anticythère, Archimède, Wernher von Braun etc. C'est un régal. Maintenant j'attends les suivants, en confiance. Bravo Indy !
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