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william G
1 critique
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2,0
Publiée le 2 décembre 2023
Effets spéciaux grossiers (surtout pour rajeunir Indiana…). Le casting est mauvais. Indiana Jones, c’est : de la cascade, des décors naturels, de l’humour pendant l’action. Bref, je suis pas mal déçu de cet opus… J’aurai 100mille fois préféré un épisode avec le fils + ex femme, plutôt qu’avec cette pimbêche de Phoebe Waller Bridge… Sans parler de Shaunette…
Le 4ème volet est un chef-d'œuvre à côté de se foutoir James Mangold n'est pas Spielberg et on le ressent assez vite. . Humour pas drôle, incohérences. Les voyages dans le temps sont à la mode mais on est loin d'avoir la vision d'un Robert Zemeckis. Beaucoup trop de choses illogiques qui ne collent pas avec l'ensemble du film mais la conclusion est d'une bêtise sans nom. Tout n'est pas mauvais mais bon c'est le pire de la saga.
C'est globalement poussif avec quelques invraissemblances agaçantes. Il y a une heure d'indiana jones super déjà vu (cascades, rôles, dialogues...) et un petit moment sympathique sur la fin. Respect à Mr Harrison Ford, impeccable.
Allez je mets 2 étoiles pour les décors. Quel ennui ce film. Je m’étais dit qu’avec le dernier volet (crâne de cristal) et la déception des fans, ils avaient compris. Et bien non. Il a fallu qu’ils nous en pondent un énième, avec un Harrison Ford plus que fatigué qui se retrouve à avoir un rôle faire-valoir d’une actrice qui finalement tient le rôle principal. C’est un vieux monsieur de 80 ans, il faut le laisser tranquille. Bref. J’ai vu. Voilà voilà. Vivent les 3 premiers volets!
-1 pour les effets spéciaux, assez catastrophiques et indignes d'un film de notre temps. Dommage... L'ensemble fait bien trop numérique et souffre du syndrome "Avengers". Les lumières studio entachent la crédibilité de l'ensemble.
La moitié du film est constituée de courses poursuites à cheval, en voiture, en rickshaw, en train sans aucun intérêt car déjà vues et revues. Le reste du film n'a pas de sens. Il était temps que la série se termine.
Comme disait Kant, une oeuvre est une oeuvre si elle nous fait oublier qu'elle en est une, or entre le faux harisson ford rajeunit, les effets spéciaux omniprésents et des éléments de scénarios très propres au films cela fait beaucoup certains moments de 3d sont mal faits il y a des codes cinématographiques qui ont déjà tellement été exploités que cela ne fonctionne plus et on rentre presque dans une semi caricature plus au moins volontaire, le film donne une vision complètement biaisée de l'histoire aux enfants certains dialogues sont prévisibles , il y a des incohérences au niveau de la réalisation, rien est subtil, à chaque situation on se dit "comme par hasard " hormis la musique culte du film qui revient plusieurs fois la musique est basique, le film a des airs de mission impossible fallout par moments mais en version raté niveau décors et mise en scène tout est trop parfait on y croit pas, il y a des raccourcies intellectuels dans les dialogues pour faire du sensationnalisme harisson ford et mads Mikkelsen relèvent un peu le niveau en plus de ça on a droit à nos fameux de quotas de mixités ridicules, avec la figure de la noire indépendante qui se laisse pas marcher dessus, super on avance ! le personnage de l'actrice principale est ridicule le film m'a fait penser à uncharted avec tom holland qui est tout aussi débile et mal fait Mon dieu que ce film était long et vide...
Ce film improbable du fait de l'âge d'Harrison Ford né en 1942 est pas si mal réussit. Il nous propose des flash back, des voyages originaux, des personnages inédits assez intelligemment pensé mieux que le 4è 15 ans plus tôt. On revient à la consistance aventures avec originalités, énigmes et teinté d'humour avec de l'action mais pas trop débordante. Il reste un produit commercial et ne contient pas de risques ni d'intérêt autre que le divertissement, reprenant les thèmes à la mode tel un fort féminisme avec les personnages de Helena Shaw et Mason,
Film qui dure trop longtemps.Je trouve que l'histoire part dans tous les sens en oubliant la vraie histoire.Au final le film est trop moderne il n'est pas comme les premiers.Vraiment pas top...
Ce qui frappe d’emblée, c’est la parfaite reprise des codes spielbergiens scénaristiques et visuels du genre par James Mangold et l’utilisation d’effets spéciaux déjà utilisés par le créateur original sur Tintin et le Secret de la Licorne pour offrir aux spectateur·trices les visages rajeunis d’Harrisson Ford et de Mads Mikkelsen.
Outre l’habituelle quête aventureuse, ce dernier volet de la série Indiana Jones propose encore un volet initiatique dans le développement du personnage principal : après deux aventures où il découvre l’amour et la stabilité et les doutes, une où il revit ses conflits avec l’autorité paternelle, une encore où il teste lui-même la paternité, notre bon professeur d’archéologie expérimente le décalage générationnel dans sa retraite annoncée alors que le monde change : on découvre ainsi, sans fards, la sénescence corporelle et sociologique de l’aventurier en cette année 1969 où l’homme pose le pied sur la lune, dans un contexte de contestation sociale, sur fond de Beatles.
S’il faut parler de la musique, simple anecdote historique décorative dans le cas des Beatles, on regrettera les sempiternels auto-plagiats d’un John Williams qui se répète et nous annonce ce que nous devons ressentir avec ses mélodies parasites d’un autre temps.
Très vite, l’histoire nous replonge dans un passé fantasmé dont Sallah (trop rare John Rhys-Davies, Gimli de la trilogie du Seigneur des Anneaux) est en quelque sorte le nautier puisque c’est dans un Maroc à la Tintin et les rivages d’une Grèce de carte postale éternelle que la narration se poursuit, sur fond d’énigme d’escape game. Si la confrontation temporelle est au coeur de l’histoire, à travers la stature du héros (prof d’archéologie), ses injonctions au bilan (son enfant vite évoqué, son divorce, son vieil ami disparu et la fille de celui-ci dont Indy est le parrain) et, forcément, la quête des artefacts (deux moitiés d’un même objet ainsi qu’un autre indiquant la piste de l’une d’entre elles), on constatera que, depuis ses premiers pas au cinéma, le Docteur Jones est un passéiste contrarié, tiraillé entre la réalité présente et les mirages d’un âge d’or diffus et magique.
Dans cet ordre d’idées, ce dernier opus tente de rester fidèle à la licence et reste superficiel. Ce n’est pas un hasard si James Mangold, réalisateur de blockbusters (saga dérivée Logan/Wolverine, Le Mans 66) a été choisi comme réalisateur. Le film est efficace et on ne s’ennuie. On en reste pourtant au niveau du divertissement, de qualité, certes, malgré quelques aberrations, mais sans plus alors qu’il y avait tant à dire, d’autant que les plus jeunes générations n’adhéreront sans doute pas à cette aventure à l’ancienne avec un ancien.
Au final, ce cinquième Indiana Jones reste fidèle à l’ensemble, sans rien y apporter, sinon en son début, et peine à retrouver l’originalité du tout premier épisode malgré le clin d’oeil (volontaire?) au cinéma de série Z. Les scènes sont souvent prévisibles et, quitte à ne pas attirer un public jeune, auraient pu être réfléchies de manière beaucoup plus profonde que cet entre-deux de façade. Un spectacle efficace mais truffé d’incohérences et dénué de toute intelligence. L’utilisation des talents de Mads Mikkelsen en nazi en est une preuve, la faiblesse des rôles portés par Phoebe Waller-Bridge et Ethann Isidore une autre.
bon, j'ai vu ce film avec du retard car le voir au ciné ne me tentait pas vraiment. Fan des premières heures, revoir Indy à 80 piges ne m'enthousiasmait pas plus que ça d'où, sans doute, le manque de succès du film il ne parle pas au jeunes générations et ne parle plus à ceux qui se disent, comme star wars, qu'ils valait mieux ne plus y toucher et garder les bons souvenirs... mais force est de reconnaître que Mangold a bien bossé, comme souvent d'ailleurs ça sent bon le Indy de l'epoque et c'est plutôt très fidèle à la trilogie d'origine. Certes, c'est un peu longuet, pas super original mais tout y est : l'aventure, le zeste de fantastique, les nazis et la nostalgie en prime. En plus, c'est globalement bien fait . Les commentaires sur la filleule d'Indy, soit disant insupportable, ne sont, à mon avis, pas du tout justifiés j'ai finalement passé un bon moment et je recommande le film même s'il n'était clairement pas indispensable.
Comme pour James Bond et MI on a le personnage de femme stupide, aux valeurs douteuses voire malsaines. Les messages de ce film sont clairs... écoeurant
On voyage dans l'espace (Maroc, Sicile, Grèce...) et dans le temps (1944 avec un Harrisson Ford rajeuni sous IA, 1969, et une surprise à la fin..), ce qui est agréable. Mais dans cet opus l'action est trop présente et trop extraordinaire pour paraître vraie (notamment parce que notre héros est vieux dorénavant). C'est pas mal, mais après tant de temps depuis Indiana Jones 4, on attendait autre chose qu'une simple succession d'actions, certes époustouflantes, mais laissant trop peu de place à la réflexion ou aux dialogues. Cela trahit sans doute un scénario faiblard. En outre, cet opus semble trop prévisible, parfaitement calibré pour faire le maximum d'argent avec le minimum de risques, du coup on est déçu de trouver exactement ce que l'on est venu chercher, ou une copie assez conforme aux épisodes d'avant.
"Indiana Jones et le Cadran de la destinée" constitue le cinquième chapitre de la légendaire saga de l'archéologue aventurier, où Harrison Ford reprend son fouet et son chapeau emblématiques pour ce qui semble être son ultime périple. Sous la direction de James Mangold, ce dernier opus se lance dans une course contre la montre qui chevauche plusieurs époques, une prémisse ambitieuse qui, malheureusement, s'avère être une quête en demi-teinte.
Le film nous plonge dans une aventure rétroactive à travers des périodes clés, un concept qui promettait de marier nostalgie et fraîcheur. La nostalgie est bien au rendez-vous, portée par le retour réconfortant de personnages bien-aimés et par l'indéniable charisme de Ford. Sa performance, bien que tempérée par les marques du temps, demeure un plaisir à regarder, rappelant pourquoi Indiana Jones est tant ancré dans le panthéon des héros du cinéma.
Phoebe Waller-Bridge, en tant que Helena Shaw, apporte une vitalité rafraîchissante et une chimie agréable avec Ford, tandis que Mads Mikkelsen se dresse comme un antagoniste convaincant, bien que son potentiel ne soit pas pleinement exploité. La distribution secondaire est riche mais parfois sous-utilisée, dans une mosaïque narrative où trop de pièces s'assemblent sans toujours s'emboîter avec harmonie.
Sur le plan technique, "Le Cadran de la destinée" excelle avec des séquences d'action chorégraphiées avec brio et une esthétique visuelle qui captive. La partition de John Williams vient renforcer le ton de l'aventure, évoquant les souvenirs des chapitres antérieurs tout en composant de nouvelles mélodies héroïques.
Cependant, là où le film flanche, c'est dans sa tentative de renouveler une formule éprouvée sans vraiment prendre de risques. Le script, saturé par des rebondissements parfois forcés et des deus ex machina opportuns, manque la profondeur et l'ingéniosité qui auraient pu élever ce dernier tour de piste au-delà d'une simple reconstitution. Les moments de véritable émotion se voient noyés dans un flux incessant d'actions, laissant peu de place à la réflexion ou à l'évolution des personnages.
En dépit de ces accrocs, "Indiana Jones et le Cadran de la destinée" reste une expérience cinématographique divertissante. Il rend hommage à la série tout en tentant de clore le récit d'un personnage icônique. Si l'exploration temporelle du film se voulait être un coup d'éclat, elle ressemble davantage à une traversée sereine qu'à un périple trépidant.
Ainsi, "Le Cadran de la destinée" se positionne comme un adieu honnête mais inégal à l'une des figures les plus endurantes de l'aventure hollywoodienne. C'est un film qui, malgré ses ambitions, ne parvient pas à réconcilier entièrement son héritage avec la réalité contemporaine du cinéma d'aventure.