Mon compte
    L'Exercice de l'Etat
    Note moyenne
    3,6
    2949 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur L'Exercice de l'Etat ?

    466 critiques spectateurs

    5
    48 critiques
    4
    179 critiques
    3
    116 critiques
    2
    72 critiques
    1
    30 critiques
    0
    21 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    benoitG80
    benoitG80

    3 351 abonnés 1 464 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 10 novembre 2011
    "L'Exercice de l'État" est une peinture de ce qu'est le monde de la politique à ce point réaliste, qu'elle nous donne la nausée !
    On est plongé dans un univers impitoyable, effroyable qui fait froid dans le dos même si on se doute bien évidemment et déjà de cette réalité !
    Olivier Gourmet, saisissant, donne tout son sens au personnage du ministre Bertrand Saint-Jean prêt à tout pour l'exercice du Pouvoir...
    Les autres acteurs sont très bons également, tout particulièrement Michel Blanc en Directeur de Cabinet !
    Le tout est mené avec un rythme nerveux... L'ambiance générale qui s'en dégage, donne au final une justesse incroyable et une efficace redoutable au film de Philippe Schoeller, en le rendant ainsi et malheureusement bluffant de vérité !
    Impressionnant !!!
    pierre72
    pierre72

    127 abonnés 367 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 octobre 2011
    En sortant de la projection de "L'exercice de l'état", j'ai eu l'impression d'avoir passer 1h50 à l'intérieur de l'habitacle d'une formule 1. Non pas que le héros du film, le ministre des transports, Mr Saint Jean (interprété par Olivier Gourmet), soit un champion de la conduite ministérielle mais, le rythme et la tension dans lesquels nous portent le film sont aussi intenses que 60 tours du circuit de Monaco à 350 à l'heure.
    Servir l'état est loin de tout repos surtout quand s'y ajoutent l'ambition, l'humiliation et le sacrifice.
    Ce film nous plonge au coeur de la machine d'état dans une fiction qui fait froid dans le dos. Nous assistons aux journées d'un ministre, toujours sur la brèche, materné par une conseillère en communication et drivé par un directeur de cabinet et de ses adjoints qui s'occupent de tout et même du reste. Toujours entre deux rendez-vous ou vingt SMS, le ministre navigue à vue, donnant des ordres, trouvant une solution à tout problème mais risquant à tout moment la sortie de route. La route d'un ministre est semée d'embûches, de couleuvres qui traversent et qu'il faut bien avaler, de loups aux dents longues qui se mettent en travers de votre trajectoire et qu'il faut bien éviter. Evidemment, le conducteur/ministre est accompagné d'une foultitude de techniciens auxquels il faut bien accorder sa confiance ou bien virer dès qu'une faille se présente.
    Mais le pouvoir (ou plutôt l'exercice d'un pseudo pouvoir) est comme une route verglacée, on risque le décors à chaque instant.
    C'est cette tension qui est remarquablement décrite dans ce film, accumulant détails du quotidien ministériel, petites phrases assassines et tensions sous les dorures de nos palais républicains et donnant ainsi une richesse de lecture tout à fait stimulante.
    La suite :
    http://sansconnivence.blogspot.com/2011/10/lexercice-de-letat-de-pierre-schoeller.html
    Redzing
    Redzing

    986 abonnés 4 342 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 août 2012
    Le quotidien d'un ministre des transports, entre rendez-vous médiatiques, accidents et syndicats à gérer, relations houleuses avec les homologues, et réformes à mener à contrecœur. "L'exercice de l'Etat" est ainsi une plongée réaliste et abrupte dans un univers sans concession, où chacun se bat pour rester au pouvoir. Bien qu'il n'y ait pas de réel fil conducteur, le film est très prenant. La réalisation est froide mais travaillée, et les acteurs sont impeccables. En tête, Michel Blanc en directeur de cabinet dévoué, et Olivier Gourmet en ministre au bout du rouleau. A découvrir.
    reymi586
    reymi586

    430 abonnés 2 444 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 septembre 2014
    Surement un des portraits les plus réalistes du monde politique français et de la politique en général. Il y a une tension nerveuse tout le long du film qui s'installe inconsciemment, on se croirait presque dans un film de mafia. C'est donc intéressant de voir cette face caché de la politique. Après le film ne m'a pas fasciné non plus, il n'est pas mémorable mais il vaut le coup d’œil.
    vidalger
    vidalger

    304 abonnés 1 235 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 octobre 2011
    Ce film aurait pu s'appeler "Splendeurs et misères des courtisans" ou "Les illusions perdues". Pour quelqu'un d'étranger aux cercles du pouvoir, à l'entourage des ministres, aux petites bassesses des grands de ce monde, pour moi donc, ce film a l'apparence de la vérité. Les acteurs (mentions spéciales à Olivier Gourmet, Michel Blanc et Laurent Stocker), tous remarquables, nous font ressentir les petites joies, le cynisme, la grandeur et les mesquineries qu'on imagine sans peine très proches de la réalité. Le rythme haletant, les dialogues ciselés, l'originalité des plans, les changements de rythme (notamment lors du deuxième accident) complètent le plaisir de voir enfin un film sur la politique ni caricatural, ni beaufisant. Une réussite dans le genre du film sur la politique, à cent coudées au dessus de "La conquête" par exemple.
    kibruk
    kibruk

    121 abonnés 2 437 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 2 septembre 2012
    Ce film de politique fiction ne se base pas sur des personnages ou des événements réels, mais pourtant il s'en dégage un incroyable sentiment de réalisme contemporain. Cette impression est le résultat d'un formidable travail d'écriture qui donne au spectateur l'impression de suivre au plus prêt un ministre de notre république. Une des grandes qualités du scénario est qu'on échappe à toute forme d'idéologie ou de message politique, jamais il n'est question de gauche ou de droite. Il nous montre juste les luttes intestines, les coups bats, les compromis, les reniements, la lutte permanente de l'animal politique pour assurer sa survie et assouvir son ambition personnelle. "L'exercice de l'état" est le seul film à ma connaissance qui montre cela, qui plus est d'une façon passionnante, c'est ce qui le rend remarquable.
    vinetodelveccio
    vinetodelveccio

    59 abonnés 802 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 octobre 2012
    Pierre Schoeller signe un film absolument fascinant d'un bout à l'autre. Le réalisateur a un talent extraordinaire : la mise en scène est virtuose et certains plans, totalement brillants, sont d'une intelligence rare. Le film est donc bourré de bonnes idées, mais c'est à chaque fois glissé avec délicatesse et tact. Il parvient ainsi à rendre la réforme des gares et le Ministre des Transports plus emballant que la grande majorité des meilleurs polars. Enfin, les personnages sont glaçants de réalité et de cynisme, non seulement grâce aux acteurs, tous excellents, mais surtout grâce à une écriture très travaillée et un scénario qui met à nu les rouages poisseux de l'exercice de l'Etat. Un pur chef d’œuvre de cinéma.
    traversay1
    traversay1

    3 237 abonnés 4 666 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 octobre 2011
    Ces noms-là, on ne les attendait pas du tout au générique d'un film tel que L'exercice de l'Etat : Pierre Schoeller, le réalisateur de Versailles et les frères Dardenne, co-producteurs. Mais après tout, ces derniers n'ont-ils pas finalement réalisé que des films politiques, à leur manière ? Bien mieux que La conquête ou Pater, pour ne citer que des exemples récents, L'exercice de l'Etat nous plonge dans les cercles du pouvoir avec un réalisme sidérant. La bonne idée est d'avoir choisi un ministre lambda, celui des transports, plutôt qu'un Premier ministre ou un président. Au coeur d'une réforme qui lui est imposée, comment va réagir ce pion dans une stratégie sur laquelle il n'a pas prise ? Ce n'est pas seulement le pouvoir qui intéresse Schoeller, ce sont les hommes de pouvoir, voir de quel métal ils sont faits, comment ils sont à la merci de conseillers plus ou moins avisés : le dircab, la dircom etc, ils sont tous là, dans l'ombre, tirant les ficelles à l'occasion. Un immense jeu de rôles et d'influence qui est mis en scène de façon virtuose par le réalisateur. Le travail sur la bande son, métallique et incongrue, est impressionnant. Le film, à plusieurs moments, se fait silencieux, moments de suspension alors que le rythme est effréné tout du long. C'est fébrile, haletant, palpitant, comme un bon vieux thriller. Ajoutez à cela des dialogues percutants et une poignée de scènes oniriques qui désarçonnent. Et surtout, au beau milieu du film, un dérapage (dans tous les sens du terme) incroyable qui vous cloue au mur. Et le fond dans tout cela ? Il est bien présent, avec une pointe de cynisme sur ces hommes chargés de missions qui cèdent aux compromissions. Le film brouille les pistes : le pouvoir dont il est question est-il de gauche ou de droite ? On peut se faire sa petite idée, mais elle est loin d'être avérée à coup sûr. Gourmet joue son rôle avec gourmandise, la sympathie que l'on éprouve généralement pour l'acteur et son physique passe-partout permettent de nuancer le portrait de ce ministre, foncièrement honnête et qui n'est pas du sérail. Michel Blanc est lui magnifique, et les seconds rôles, dont Zabou Breitman, sont au diapason. Outre sa forme, ce que l'on apprécie dans L'exercice de l'Etat, c'est son absence de démagogie ou de poujadisme facile, du genre, bof, ce sont tous des pourris. La réalité est bien plus complexe et le film aussi. Chapeau pour la démonstration !
    vanou97
    vanou97

    40 abonnés 633 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 mai 2012
    Quand la politique avance à vive allure, dans un scénario original et convaincant. En cette période, on vote volontiers pour ce film, entre drame et thriller...
    QuelquesFilms.fr
    QuelquesFilms.fr

    241 abonnés 1 607 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 mai 2024
    Cette politique-fiction impressionne par son réalisme et sa crédibilité, son intelligence dans le décryptage de l'exercice du pouvoir, sa force dramatique. Le film présente la trajectoire d'un ministre atypique, non issu du sérail, qui va se transformer en vrai fauve politique, mû par l'ambition, au détriment d'une certaine fidélité aux principes, aux engagements, aux hommes. L'histoire est un roman d'apprentissage où chaque choix, qu'il soit l'affirmation d'une conviction personnelle ou l'expression d'une concession, voire d'un reniement, fait avancer ou reculer l'homme, selon qu'il se trouve sur l'échiquier politique ou dans la sphère privée. La réflexion développée ici sur le pouvoir politique, dont la finalité n'est pas tant de servir l'intérêt général que de se préserver ou de s'élever, véhicule une vision désenchantée, celle d'un univers cynique et implacable, aux rouages déshumanisants. Mais il n'y a rien de gratuit ni de facile dans la démarche du réalisateur qui s'applique à cerner des noeuds complexes, humains et stratégiques, où il est question d'estime et d'accomplissement de soi. Rien de trop démonstratif ni de partisan. Rien de trop intellectuel non plus, grâce à une matière dramatique subtile et forte, une mise en scène aussi précise qu'énergique, un montage rapide. L'Exercice de l'État est un film dense et tendu, excellemment écrit, excellemment interprété (Olivier Gourmet et Michel Blanc à la tête d'un casting impeccablement sobre). En un mot, passionnant.
    DestroyGunner
    DestroyGunner

    23 abonnés 872 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 décembre 2011
    Pour avoir été pendant de très nombreuses années, et notamment une décennie à titre professionnel, dans.la périphérie de ce milieu, j'ai trouvé juste l'évocation de l'exercice du pouvoir et de la vie gouvernementale avec une grande finesse d'analyse psychologique, sans manichéisme. Le film dépasse largement son sujet avec un scénario parfois surprenant. La réalisation est superbe alors qu' on pouvait craindre que le sujet ne donnât lieu à un traitement plus sec sur le plan cinématographique. Les acteurs sont formidables.
    Incertitudes
    Incertitudes

    185 abonnés 2 320 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 31 octobre 2015
    Un film politique comme j'en avais pas vu depuis longtemps et comme on n'en avait pas fait depuis longtemps. Pierre Schoeller nous montre les coulisses du pouvoir en France en 2011 à travers un ministre des transports. Et c'est vrai que ce film, très instructif au demeurant, ne donne pas envie de s'engager en politique. Déjà, les ministres enfermés dans leur tour d'ivoire : c'est terminé. Les Français veulent des hommes politiques au plus près de leurs réalités au quotidien et hyper réactifs. Ainsi, on voit plusieurs fois Saint-Jean aller en pleine nuit sur les lieux d'un accident de bus dans les Ardennes ou, une actualité en chassant une autre, affronter des syndicalistes vindicatifs. Le spectateur est empêtré dans ce tourbillon où se mêlent amitiés, parfois vieilles de dizaines d'années, trahisons, stratégies politiques et ambitions personnelles. L’État est une grosse machine, un mammouth pour reprendre l'expression d'un ancien ministre de l'éducation nationale, quelque part un peu hors du temps avec aujourd'hui un déluge d'informations à chaque seconde. Il y a quelque chose de pathétique à voir ces êtres humains, président de la République, premier ministre, ministres, directeurs de cabinet, écrasés par leurs fonctions malgré tous leurs conseilleurs, leurs diplômes, obnubilés par leur prochaine réélection plutôt que de sortir la France du marasme dans lequel elle est empêtrée depuis le début des années 80. J'en suis ressorti un peu dégoûté, résigné, à se demander si finalement une solution est possible. Ah et juste un petit mot comme ça pour conclure. Les comédiens sont vraiment excellents. Olivier Gourmet et Michel Blanc en tête.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 12 avril 2013
    L'illustration de ce qu'est le pouvoir mais qui ne tombe pourtant pas dans la caricature ni dans la vaine critique. Un film brillant, certes aride, mais au scénario ciselé comme de l'orfèvrerie, à la réalisation inspirée et à l'interprétation magistrale. Olivier Gourmet est formidable et crève l'écran. Le film français de 2011, sans conteste.
    landofshit0
    landofshit0

    258 abonnés 1 745 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 2 mars 2012
    A voir l’exercice de l'état on voit bien que le réalisateur et par la même le scénariste,puisque ce n'est qu'une seule et même personne,n'a jamais du foutre les pieds dans un ministère.Car tout est écris avec les pieds.Des séquences qui ne sont que de vraies caricatures du pouvoir,ou n’importe quel documentaire télévisé montre mille fois mieux,ce a quoi le politique est confronté.Les dialogues sont bêtes,les situations sont a la limite du grotesque,et les interprétations sont lamentables.Comment prendre se pauvre Olivier Gourmet,qui est pendant de Melanie Laurent au masculin,car tout comme cette dernière,il croit que pour jouer et incarner un personnage,il suffit d’être hautain,froid et distant.Son jeu est simplement ridicule.Et puis il y a tout le reste,les mauvaises idées visuels,comme incruster dans l'image,façon sms ,que voit le personnage sur son téléphone,un effet visuel ringard et d'aucune nécessité.La seule scène efficace reste celle de l'accident,même si celle ci est prévisible a des km.Le dessous du pouvoir et la donne des cartes n'est présenté dans ce film que très succinctement.
    jeremie747
    jeremie747

    39 abonnés 484 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 31 octobre 2011
    Il y a des semaines comme ça où le décalage entre l’unanimisme forcené de la presse et la réalité d’un film est proprement surréaliste.
    "L’exercice de l’Etat" déchaîne depuis mercredi un concert de louanges assourdissant et tellement injustifié qu’on se demande ce qui peut annihiler à ce point l’esprit critique de tous les journalistes de la place de Paris. Est-ce parce que leur métier est si éloigné de la réalité d’une entreprise ou d’un cabinet ministériel qu’ils ne parviennent pas à voir quand ça sonne faux ? Je ne comprends pas cette hallucination collective.
    Le film de Pierre Schoeller est creux et ennuyeux, aussi raté quand il parle de son sujet, l’exercice du pouvoir, que quand il s’en éloigne. Ainsi la scène d’ouverture, grotesque, donne-t-elle assez vite le ton d’un film qui ne choisit jamais de point de vue et fait naviguer le spectateur entre des scènes sans fil conducteur, suivant une logique qui semble connue du seul réalisateur.
    La part la plus importante du film chronique la vie d’un ministre, ses relations avec ses collaborateurs, sa rivalité avec ses collègues ministres, son obéissance servile au Premier Ministre et au Président. Le réalisateur n’a semble-t-il pas compris que le rythme n’est pas juste une affaire de montage et que l’ellipse – couper les scènes au milieu d’une action, tronquer les dialogues ou changer de décor tout le temps – ne sert à rien si l’écriture ne suit pas. Or "L’exercice de l’Etat" est un film mal écrit. Les dialogues sont généralement à côté de la plaque et les acteurs principaux jamais crédibles (à part peut-être Laurent Stocker) dans des rôles sans profondeur. Quand Olivier Gourmet lâche, d’un air grave, cette phrase d’une banalité à la limite du nanar – "la politique est une meurtrissure permanente" – on hésite longuement entre pleurer de rire ou de consternation.
    On a peine à croire tant de naïveté mais ce que dit le film, c’est que la politique est un monde impitoyable, que le pouvoir oblige à faire des choses contraires à ses convictions profondes, et qu’un ministre aussi se met des cuites, baise sa femme le matin et va aux toilettes…
    Malheureusement, le film ne se contente pas d’être médiocre. Il est également assez nauséabond dans sa volonté de montrer des images obscènes et sans rapport avec l’intrigue. Que ce soit dans l’introduction où une femme nue écarte les jambes face à un crocodile, dans un plan interminable sur deux jeunes filles broyées sous un bus ou dans cette scène sans fin – et sans aucune raison d’être – de l’accident de voiture, on perçoit chez le réalisateur une sorte de jouissance perverse à choquer pour choquer, à se repaître d’images parfois à la limite du soutenable dont on ne comprend pas l’objet.
    Pensum insupportable, "L’exercice de l’Etat" vient s’ajouter à la longue liste des films qui se prennent au sérieux et enfoncent des portes ouvertes sans la moindre once d’ironie. Les anglais ont "In the loop", les américains ont "The West Wing", nous on a "L’exercice de l’Etat"… on a le cinéma politique qu’on mérite.
    Les meilleurs films de tous les temps
    Back to Top