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Un visiteur
1,5
Publiée le 2 juin 2011
Je m’attendais à des échanges acides et amusants mais à part deux ou trois situations (très) drôles, rien. Ça manquait de rythme, de réparties, de personnalité. Les personnages semblent à moitié travaillés mais pas plus : aucune surprise, aucune profondeur.
Une jeune productrice télé nouvellement engagée à diriger la matinale (daybreak) recrute un vieux dinosaure de l'info, mike pomeroy, pour former un duo avec l'autre star de l'émission. Ceci afin de remonter l'audimat de daybreak sous peine de suppression des programmes. Une comédie sympa à regarder, sans plus.
Morning Glory n’est certainement pas la comédie du siècle, mais j’ai passé un très bon moment.
Le scénario n’a rien d’original, mais il est habilement travaillé pour nous garder accroché à l’écran. L’humour classique du genre fonctionne bien, il y a de bons dialogues et les nombreuses situations comiques sont agréables. Les personnages sont stéréotypés et les clichés du genre sont au rendez-vous. A noter que le début est peut être un peu long à ce mettre en place. La mise en scène de Roger Michell reste la même que pour ses précédents films et ça fonctionne. Le rythme aurait néanmoins mérité d’être boosté. Du côté du casting, c’est un sans-faute. Rachel McAdams et Harrison Ford sont hilarants dans leurs rôles et les autres acteurs comme Diane Keaton, Jeff Goldblum, Patrick Wilson ou encore John Pankow sont également justes.
Morning Glory est une comédie. Tout est dit dans le synopsis: on va s'amuser, on va être ému à la va vite, on va assister à la montée en puissance d'une journaliste passionnée et ambitieuse, les 2 vieux râleurs deviendront amis et au final, une grande famille soudée verra ses efforts récompensés. Mais après tout, si on peut en sortir joyeux et optimistes, si on peut être quelque peu touché par le charisme d'Harisson Ford et le charme de Rachel Mc Adams, alors après tout, pourquoi s'en priver?
Très bon divertissement ! Rachel McAdams est tout simplement parfaite dans son rôle, comme à son habitude ! Rire, Stress, Emouvant... Les émotions sont présents !
facile de somnoler devant "Morning Glory", grosse compotée sans goût de Pretty working girl dress in Prada. Le film déroule ses scènes convenues dans une réalisation lisse et aseptisée. Rachel Mc Adams minaude jusqu'à l'écoeurement tandis que Ford et Keaton cachetonnent en cabotinant sans panache…
Alléché par une bande-annonce prometteuse et la présence de Bad Robots (la boîte de J.J. Abrams) à la production, j’étais relativement confiant en allant voir "Morning Glory". Le résultat est pourtant mitigé. Côté mauvais points, je mettrais la mise en scène particulièrement inégale de Roger Michel (pourtant réalisateur du so romantic "Coup de foudre à Notting Hill" et de l’excellent "Dérapages incontrôlés") qui manque de l’énergie dont semble pourtant empreinte l’héroïne ainsi qu’une BO pas franchement à la hauteur. Un peu de rythme n’aurait pourtant pas été de trop pour venir dynamiser ce scénario ultra-prévisible (à votre avis, la gentille Becky va-t-elle quitter Day Break et succomber aux sirènes de la grande chaîne IBS ?). Ni très surprenant, ni très emballant, "Morning Glory" réussit pourtant, au détour d’une scène, à amuser (les caprices du présentateur star Mike Pomeroy, les péripéties du présentateur météo…) mais à chaque fois que le film semble enfin prendre son envol (le moment où les audiences de Day Break commencent à grimper, la décision de jouer sur la mauvaise entente du duo vedette…), le soufflet retombe presque immédiatement, en général à cause des problèmes de couple de Becky ou des états d’âme de Mike. Quant au casting, aussi sympathique soit-il, on aurait aimé être davantage concerné par le sort de la mimi Rachel McAdams qui peine à faire dans l’original (la working girl limite névrosée qui vit pour son boulot… déjà vu) et surtout être davantage bousculé par les prestations du ronchon Harrison Ford et de la classieuse Diane Keaton, dont les scènes d’engueulade sont au final très limitées. Pour le reste, Jeff Goldblum se contente du minimum syndical, Patrick Wilson trouve un des rôles les moins intéressants de sa carrière, John Pankow campe le gentil de service et 50 Cent s’offre un cameo auto-promotionnel. Dommage, d’autant plus que l’univers des émissions matinales américaines (avec ses levers aux aurores et ses sujets improbables) n’avaient pas encore été véritablement traité par le cinéma. J’ai nettement préféré, dans le même genre, "L’abominable vérité".
On a retrouvé Natasha Bedingfield ! La chanteuse du mémorable "These words" se fait en effet entendre ici lors du générique de fin, comme la cerise sur le gâteau qu'est cette bien sympathique comédie. En effet, on s'amuse beaucoup à suivre les (més)aventures de la croquante Rachel McAdams. Celle qui est une de mes plus grandes égéries cinématographiques actuelles porte en effet ce film avec beaucoup de dynamisme et de charme, le rendant fort agréable. Elle est par ailleurs très classe dans ses costumes de working girl qui en veut. Un peu dans le même registre que Eva Mendes dans "Live !", mais de manière beaucoup moins sérieuse, elle montre cette tendance de la télé à basculer peu à peu dans le trash pour doper à tout prix l'audimat. Et aussi celle de mêler, peut-être de manière dangereuse, infos et divertissement, matières naturellement pas forcément compatibles. Voilà le côté gentiment sociologique que l'on pourrait trouver à l'affaire. Mais dans l'ensemble, c'est surtout du bonheur et une histoire pleine de bonne humeur et de légereté. Et même qu'Harrison Ford nous apprend à faire la fritatta. "Morning glory" : what's the story ?