Derniers Avis sur Enfin veuve

Une comédie désopilante. Que c'est bon de rire comme ça ! Je l'ai vue et revue et la fait découvrir à ceux que j'aime.

"Enfin veuve", comédie française réalisée par Isabelle Mergault, sortie en 2008. Un film façon Vaudeville avec Michèle Laroque, Jacques Gamblin, Wladimir Yordanoff,Tom Morton,Valérie Mairesse, Claire Nadeau, Eva Darlan, Franck Pitiot, Anne Girouard et la formidable Renée Le Calm. Une bonne réalisation mais un film assez plat qui s'éternise et tourne assez vite en rond.

Un Comédie légère adaptée et mise en scène par Isabelle Mergault. Le rythme est enjoué et les dialogues assez pétulants. Son scénario révèle une idée originale, donnant lieu à des situations risibles, mais malheureusement traitées comme des scènes dignes d'un théâtre de Boulevards. Tirant sur la corde sensible de la famille, Isabelle Mergault nous arrache tout de même quelques instants d'émotion. Elle nous propose aussi de jolies insertions musicales, de belles images de la côte méditerranéenne et un casting de qualité avec une Michèle Laroque à la fois émouvante et drôle. Il nous offre également une belle prestation de Jacques Gamblin et une pléiade de comédiens attachants comme Valérie Mairesse dans le rôle de Nicole la servante, Claire Nadeau et Paul Crauchet déjà très âgé.

Tournée dans la région de St-Mandrier, une distrayante comédie rondement menée, où l’indécision d’une mère se heurte au trop-plein de bonne volonté de son dadais de fils incarné par Tom Morton.

un film qui partait avec une histoire tout a crédible mais la conception vraiment décevant sait dommage

Enfin veuve est une comédie très inhabituelle car elle ne s'appuie pas sur des gags et des absurdités pour raconter l'histoire d'une veuve d'âge moyen qui parvient à trouver son véritable amour. Isabelle Mergault ajoute des éléments de drame afin de dépeindre un amour difficile l'histoire d'Anne-Marie récemment veuve. En période de chagrin les membres de la famille apportent leur secours mais ils ont été ridiculisés dans ce film. Enfin veuve ne propose pas de solutions faciles à ses amants pour se rapprocher. Cela fait rire les gens comme ses protagonistes qui se débarrassent de tous les obstacles pour s'unir. Les acteurs Jacques Gamblin et Michèle Laroque sont parfaits dans leurs rôles d'amoureux qui véhiculent que le veuvage n'est pas un obstacle si une veuve souhaite proclamer son amour. Isabelle Mergault après nous avoir donné l'inattendu Je vous trouve très beau continue avec son deuxième film Enfin veuve en tant que réalisatrice avec autant de succès...

A la vue de la bande-annonce, "Enfin veuve" ne me disait rien, après avoir vu le film, j'ai compris pourquoi. Un scénario insipide et prévisible, des dialogues qui sonnent faux, un festival de comédiens qui surjouent, une compil' de chansons du troisième âge comme BO, et surtout, un humour au ras-des-pâquerettes. D'un ennui mortel!!

Passable. Je pensais être face à un téléfilm mais non ce film est bien sorti sur nos écrans. C’est pas désagréable à regarder il y a quelques scènes drôles et Michèle Laroque se montre à la hauteur, la faute sans doute à un scénario et à une mise en scène faciles, Mergault ne prend pas de risque. A voir sur le petit écran un samedi si vous vous ennuyez ...

Désespérant et pourtant il y a quelques bons acteurs. Déjà vu et déjà très déçu , je viens de le revoir sur Teva. J'ai arrêté quand Jacques Gamblin fait la mouette pour attirer michele laroque tellement c'est grotesque. Déjà qu'avant c'était lourd !
Stop ! Trop nul

Une interprétation de haut vol pour un sujet qui vole, lui, très bas. Il y a quand même un second rôle qui sort du lot car qui surjoue, c'est la femme du collègue du héros, placée sous médicaments. J'ai rarement vu une actrice aussi mauvaise. A part elle, le casting est sidérant de naturel. Un film, digne d'une pièce de théâtre de boulevard, fait de hauts et de bas, avec quand même plus de hauts que de bas. Moins bien néanmoins que « Je vous trouve très beau », le premier film d'Isabelle Mergault.

En misant sur le drame sentimental, Isabelle Mergault a tué dans l’œuf son sujet qui aurait pu être une comédie grinçante et vacharde. Aussi, après une très longue mise en place du pitch (plus d’une demi-heure d’un vaudeville sans imagination), il lui est très difficile de jouer la carte de la comédie. Certes, quelques situations et personnages secondaires (voire tertiaires plutôt) fonctionnent, mais c’est globalement beaucoup trop caricatural (l’idylle guimauve, d’un côté, et la comédie de boulevard, de l’autre) pour donner une réelle unité d’ensemble.
Ni drôle ni émouvant, le film oscille de façon trop grossière d’un ton à un autre pour atteindre sa cible. Pas toujours très bien joué, rarement bien filmé (l’image est terriblement fade et laide), maladroit dans son écriture avec ses personnages improbables (le rôle du fils est un cas d’école), ce film est un ratage à tous les niveaux. On est, au final, au niveau d’un mauvais téléfilm français.

Voilà un film qui est pour moi un film culte. Je le regarde et le reregarde avec toujours autant de plaisir. Jacques Gamblin et Michèle Laroque sont très brillants. Le scénario est juste excellent.

Rester en couple pour de mauvaises raisons et s'imaginer une autre vie, à quoi bon ? Quand le destin donne un petit coup de pouce, une autre vie devient possible. Malgré tout des choix s'imposent et il faut beaucoup de courage pour affronter un entourage pas toujours compréhensif. Michèle Laroque et Jacques Gamblin sont de magnifiques interprètes de ces émotions intenses d'un couple dont le destin contraint l'union, jusqu'à ce que l'amour triomphe en dépit de forces contradictoires, de la bien pensance et surtout de l'égoïsme de proches soucieux de leurs seuls intérêts.

2,5/5 ? C’est ainsi que l’ensemble des spectateurs trouvent ce film d’Isabelle Mergault ? Moyen ? Hé bien… Certes c’est plus généreux que la presse (comme bien souvent), mais j’avoue ne pas trop comprendre, quoique si on fouille dans la profondeur du propos, je conçois que c’est assez superficiel. Mais bon, quand même ! Je veux bien que le sujet ne soit pas toujours facile à traiter, d’autant que le cinéma ainsi que la télévision s’en sont déjà chargés à maintes reprises, mais la réalisatrice a choisi d’en faire une comédie décomplexée et assumée. De mon point de vue, c’est ainsi qu’il faut voir ce long métrage, et pas autrement. D’ailleurs, on décèle une certaine délivrance jouissive dans le titre, encore que j’aurai bien vu un point d’exclamation en complément. Mais si le spectateur choisit de voir ce film de la même façon que moi, il pourra remarquer toute la science d’Isabelle Mergault : d’abord les bafouillages hilarants de Michèle Laroque, engluée dans ses mensonges jusqu’au cou, ensuite des répliques cousues main à l’attention de Jacques Gamblin pour faire de son personnage un homme qui sait parler aux femmes, et ensuite la lourdeur drolesque allouée à Tom Morton pour dépeindre un fils tellement attentionné qu’il en devient épouvantablement collant. Ensuite le jeu d’acteur fait le reste. Jacques Gamblin montre un beau panel de sentiments, capable de passer de la joie à la tristesse en une fraction de seconde, ce qui lui permet d’être attachant, avec en prime quelques répliques incisives qui lui donnent l’opportunité d’exprimer un humour corrosif. Toujours agréable à regarder, Michèle Laroque a su être capable d’être à la fois bourgeoise et gamine, tout en étant humaine, sentimentale, fragile, drôle et fatalement touchante. La rançon de l’amour fou, quoi. Quant à Tom Morton, il semble qu’il ait pris un malin plaisir à forcer les traits de son personnage quand on le voit s’occuper de sa mère, (pardon) de l’étouffer en étant sans arrêt sur son dos et en lui parlant comme si elle était une gamine âgée de seulement deux ans. Je sais, c’est forcé, c’est cliché, c’est tout ce que vous voulez, mais qu’est-ce que c’est drôle de voir quelqu’un d’aussi lourd ! D’autant qu’il s’est beaucoup appliqué en la matière par ses mimiques et son regard. Oui, très drôle car c’est en grande partie par lui que se crée tout le ridicule de la situation. A eux trois, ils forment donc les personnages les plus marquants de ce long métrage, quoiqu’on pourrait parler d’Eva Darlan en femme méfiante et austère, et de Valérie Mairesse en femme de ménage loin d’être dupe. Isabelle Mergault en a donc fait une comédie qui ne demande pas beaucoup à réfléchir. D’autant que la trame générale est pour ainsi dire assez prévisible, j’en conviens. Mais ainsi le spectateur peut se délecter des bons mots de la scénariste-réalisatrice. Alors que demander de plus, même si des allusions sont faites par rapport au qu’en dira-t-on, au jugement facile et gratuit (amené principalement par Eva Darlan), à l’approche de la maladie d’Alzheimer, aux difficiles choix entre les opportunités professionnelles et la vie de famille, à la remise en question sur la vie de couple (Michèle Laroque confrontée à une certaine forme de maltraitance exercée par les propos de Wladimir Yordanoff) et bien d’autres encore. De plus, le couple Gamblin-Laroque fonctionne à merveille et nous agrémente, ensemble ou séparés, de quelques scènes succulentes : le cri de la mouette, l’enterrement, l’incognito pas si incognito que ça… Pour résumer, sans être la comédie du siècle, elle est néanmoins bien agréable à regarder et visiblement je n’ai pas été le seul, puisque plus de deux millions de spectateurs sont allés le voir en salle.

De l'écriture au jeu des acteurs tout sonne faux. Même la caméra semble tenue par un mal voyant.
Un très mauvais moment à passer.