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    Inju, la bête dans l'ombre
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    1,7
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    169 critiques spectateurs

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    DanielOceanAndCo
    DanielOceanAndCo

    3 abonnés 384 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 5 octobre 2020
    Cette histoire d'une confrontation mortelle entre deux écrivains aurait pu être passionnante, malheureusement la réalisation tranquille-pépère de Barbet Schroeder est un véritable obstacle pour se laisser pénétrer par l'atmosphère du film. Pourtant, à défaut d'être géniale, la première partie se laisse regarder sauf que l'ami Barbet lâche les indices avec un tel manque de subtilité qu'on devine la véritable identité de l'écrivain japonais dès le milieu du film. A partir de là, le film devient d'un ennui mortel et les tentatives de Schroeder de mener le spectateur sur des fausses pistes apparaissent purement et simplement ridicules. Quand en plus les comédiens sont pas franchement convaincants, tout comme les scènes érotiques, tellement pas chaudes qu'on pourrait les diffuser à 18h30 sur TF1. Raté!!
    Carpe Diem
    Carpe Diem

    1 abonné 20 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 août 2019
    Barbet Schroeder Hardcore et Maîtresse d'eux fil ! ms sulfureux de ce cinéaste l'un dans le monde de la prostitution et l'autre dans le monde de la domination et j'ai voulu voir celui ci par curiosité et même si le sujet de départ est intéressant on arrive pas à la qualité de ces œuvres précédentes.. On a du mal à rentrer dans cette histoire où Benoît Maginel n'est pas trop mauvais mais pas extraordinaire non plus et le voir en écrivain de polar c'est pas son truc il est plus convaincant dans les scènes romantiques... Sinon cela change des thrillers norvégiens ou espagnols et l'intrigue nous tient en haleine avec une petite scène de bondage sympathique (belles fesses de l'actrice👍)
    C'est dur pour Barbet d'avoir été et être 😥
    Estonius
    Estonius

    3 338 abonnés 5 452 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 31 décembre 2018
    Encore un film injustement maudit, et même qu'on se demande pourquoi ? Une mise en scène extrêmement soignée et maîtrisée de bout en bout, une introduction qui décoiffe (c'est le cas de le dire) une ambiance japonaise bien rendue qui ne tombe pas dans le guide touristique, Benoit Magimel remarquablement dirigé, la japonaise Lika Minamoto resplendissante de grâce, de beauté et de talent, une intrigue très noire et sensuelle qui embrouille volontairement le spectateur, tout cela tient parfaitement la route. La scène de fétichisme du pied est extraordinaire, à en rendre jaloux le fantôme de Buñuel. Au final un excellent polar atypique
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 10 août 2018
    Un film peu connu du grand publique, mais qui mérite un arrêt attentif. Inju on aime ou on déteste. Un film Français impressionnant de part son scénario et son ambiance Thriller noir à l'image de ce que peut faire Roman Polanski. Le contexte Japon rajoute une touche d'originalité énigmatique. Nous nous identifions assez facilement au personnage principal qui mène sa quête personnel et son enquête ponctué par une rencontre envoûtante. L'illusion du contrôle fait de lui une proie de choix pour son adversaire invisible Shundei-Oe. Nous noterons l'apport riche du film sur les pratiques des geishas qui en font un Quasi documentaire. Film riche en suspense, ambiance et références culturelles. Inju n'excel dans aucun domaine mais à le mérite de ne rien omettre, ce qui en fait une référence stylistique qui ne laisse pas indifférent. J'ai adoré.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 18 janvier 2017
    Sans aucun doute très original cet Inju dans cette ambiance si posée du pays du Soleil Levant mais hélas un peu trop lent. Son scénario sait certainement entretenir la curiosité mais ouvre également beaucoup trop de tiroirs pour être honnête... jusqu'à la révélation finale qui laisse sans voix par son invraisemblance hallucinée. C'est tout de même l'occasion d'apprécier d'étranges coutumes comme la fellation du gros orteil et de reluquer de la Geisha en string, attachée et... mais je m'égare.

    Benoît Magimel est un acteur sympathique un peu mal embarqué dans ce film alambiqué : il ne parvient pas à s'en dépêtrer avec les honneurs. Cela dit, nous ne lui demanderons pas son petit doigt dans un mouchoir en papier en guise d'excuses, restons cordiaux.

    Par ailleurs, qu'un acteur japonais parle français, je veux bien mais plusieurs, ça devient dur à suivre : il aurait mieux fallu les laisser s'exprimer dans leur langue maternelle ou forcer le personnage de Benoît à éructer le nippon en bon écrivain otaku qu'il est. S'il écorche le japonais, ça ne nous gênera pas beaucoup.

    Original cet Inju -on ne le dira jamais assez- et pas dénué d'intérêt mais décidément trop peu crédible.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 17 octobre 2015
    Le suspense, même s'il n'est pas soutenu, est plutôt bien entretenu, quoique prévisible sur la fin. Lika Minamoto - mannequin de son état et égérie de Kenzo- est très convaincante comme actrice. Benoît Magimel l'est nettement moins et ce, dès le départ, dans l'amphi : à côté de la plaque tant dans la voix que dans les postures, même avec cette intention de jouer les "furansu gaijin" qui a bien appris son petit manuel de savoir- vivre à la japonaise. Quelques approximations (cérémonie du thé, danse,...); beaucoup de clichés et au final beaucoup de "japonaiseries". Les autres acteurs japonais sont très bien. Mention spéciale pour certains décors et maquillage, notamment de la "geiko". Dans l'ensemble, un thriller à voir, d'honorable facture.
    estcetony1
    estcetony1

    17 abonnés 660 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 22 août 2015
    Thriller à la française transposé au Japon. Le films est bien implanté dans des décors typiques japonais et une ambiance bien retranscrite. L'interprétation est par contre bien trop plate. Benoit Maginel s'en sort pas trop mal mais ne dégage aucun charisme, sa partenaire par contre ne laisse apparaitre aucune émotion.
    Quand au déroulement ainsi qu'au dénouement, il est bien trop prévisible.
    Dommage
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 5 juillet 2014
    Un film brillant, orchestré de main de maître de A à Z ! Avis au amateur de thriller, la fin ne laisse pas en reste et la conclusion mérite sans nul doute une standing ovation. Je reste personnellement très surprise des étoiles attribuées à ce film par les autres spectateurs, tant il mérite bien plus qu'une cote de 2,5/5 à mes yeux !!! Un conseil faites comme moi et plonger vous dans "Inju" afin de vous faire votre propre opinion qui je l'espère sera aussi enthousiaste que la mienne !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 8 novembre 2012
    je suis étonné de voir une aussi mauvaise note, l'ambiance du film est géniale, tout le long plane le mystère, le seul truc nul c'est benoit magimel, ce mec est vraiment un mauvais acteur, il a peut être une gueule a faire du cinoche, comme on dit, mais il est vraiment mauvais en terme de jeu d'acteur. :)
    Cluny
    Cluny

    74 abonnés 593 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 16 octobre 2012
    A l'origine, "Inju" est un roman publié en 1928 par Edogawa Ranpo, un auteur populaire de romans policiers marqués par la violence et la sexualité, et qui avait choisi son pseudonyme en hommage phonétique à Edgar Allan Poe. Dans le livre de Ranpo, l'action opposait deux écrivains japonais, et c'est ce qui bloquait Barbet Schroeder dans son désir d'adapter ce roman que lui avait offert Raoul Ruiz. Quand il a reçu le scénario proposé par Jean-Armand Bougrelle, il a été séduit par "l'idée décisive que l'un des deux romanciers soit un étranger, un français spécialiste de Shundei Oe, un avatar de Ranpo lui-même".

    Dans le dossier de presse, Barbet Schroeder raconte : "Le film de Samuel Fuller, "La Maison de Bambou" a eu une influence énorme sur moi. A sa sortie, je me souviens être resté trois séances de suite !". Or, à sa sortie en 1955, un critique japonais le qualifiait ainsi : "C'est un pur produit commercial pour vendre de l'exotisme à un public américain en utilisant le Japon comme toile de fond et en employant une actrice japonaise. Sa façon d'ignorer complètement les moeurs, la géographie et la sensibilité japonaises nous semble bien maladroite."

    Etrangement (ou non), cette critique pourrait convenir parfaitement au film de Barbet Schroeder. Etrangement, car celui-ci ne cache pas son admiration pour la civilisation et le cinéma japonais, et il a mis un point d'honneur à travailler quasi exclusivement avec des techniciens et des acteurs locaux, à la notable exception de Benoît Magimel. Malheureusement, cela ne se voit pas, et ce dès le début. "Inju" s'ouvre sur la projection d'un film de sabre adapté d'un roman de Shundei Oe ; d'accord, on est dans l'exercice de style, mais qu'au moins il soit bien fait ! D'emblée, ce qui choque, c'est le positionnement de la caméra à une hauteur européenne, erreur impardonnable pour quelqu'un qui se réfère à Miziguchi et surtout à Ozu, célèbre pour sa position basse, à hauteur des personnages.

    Le film se poursuit par une enfilade de clichés sur le pays du soleil levant : maison de thé à Gion, danse des geikos, grand patron lié aux yakusas. Cette impression d'exercice de style artificiel se trouve encore renforcé par une photographie criarde qui évoque justement le technicolor de "La Maison de Bambou", et cet aspect factice se perçoit aussi bien d'un point de vue formel que narratif. L'intrigue est cousue de cables blancs : une geiko menacée par un écrivain psychopathe s'adresse bien entendu à un écrivain étranger lost in tranlation, quand un premier meurtre a lieu, "surtout n'appelons pas la police !", et Fayard s'obnubile à protéger le big boss yakusa d'une mort certaine que seul lui entrevoit.

    Au milieu d'acteurs japonais qui ânonnent leurs répliques dans un français phonétique qui rendrait Eiji Okada cabotin dans "Hiroshima mon Amour", Benoît Magimel semble lui même ne rien comprendre à ce qu'il débite : qu'il se rassure, nous non plus !
    http://www.critiquesclunysiennes.com
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 21 avril 2012
    Légèrement bizarre sur les bords, mais plutôt bon. Bon jeu de la part des acteurs et bonne histoire.
    Jean-Marie S
    Jean-Marie S

    33 abonnés 224 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 février 2012
    Barbet Schroeder cherche un second souffle et pense le trouver dans l'adaptation de super roman policier japonais. Bingo pour ce qui est de l'intrigue qui plonge un écrivain français (Magimel) dans une machination infernale qui retrace parfaitement quelques moeurs très osées du Japon. Malheureusement, il aura fallu la patte d'un héritier de Hitchcock (De Palma au hasard ?) ou le maître lui-même pour élever ce bon thriller en classique du genre. Dommage.
    stillpop
    stillpop

    81 abonnés 1 444 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 décembre 2011
    Le Japon est sans doute le pays, qui éveille le plus de fascination et de fantasmes. Beauté, Grâce, Violence et Cruauté sont intimement liés à cette terre et à cette culture. Et la femme japonaise reste à jamais une énigme dans l’imaginaire des hommes. Combien de films, de livres et de peintures sont dédiés à l’univers baigné de mystère des geishas ! Ces femmes que le Japon vénère depuis des siècles et dont la tradition se transmet jusqu’à nos jours à Kyoto, sont les femmes les plus admirées, les plus courtisées du Japon non seulement pour leur beauté mais aussi pour leur culture. Et les japonais sont particulièrement offensés de la méprise des occidentaux qui ne voient en la personne d’une geiko qu’une prostituée. Le choc des cultures ! spoiler:

    Deux films dans la même semaine avec pour décor le quartier des courtisanes d’Edo.
    « SAKURAN », premier film de Mika Ninagawa, photographe, artiste contemporaine renommée au Japon qui transfigure l’univers traditionnel des geishas aux couleurs d’une modernité jeune, éclatante aussi bien du point de vue visuel que sonore qui ravit et prête à sourire.
    INJU est réalisé par Barbet Schroeder, entouré d’une équipe japonaise et du regard bleu naïf de Benoît Magimel dans le rôle d’un écrivain à succès, spécialiste du roman policier qui se fait berner en toute beauté dans le pays de ses rêves. Shroeder, amoureux du Japon, filme à l’ancienne. L’ambiance est sombre et feutrée, comme il se doit. La note de modernité, est apportée bien sûr par l’intrusion d’un occidental dans cet univers qui, au fil des siècles, s’est ouvert vers l’extérieur. La geiko d’aujourd’hui, une fois sortie de son « rôle » et de son enclos, porte l’habit occidental et ressemble (en apparence) à n’importe quelle jeune femme. A l’extérieur, elle brille non plus par la beauté de sa parure ou de son corps, mais par la grâce et l’érudition.
    Vingt ans après « Barfly », Shroeder revient à ses amours littéraires. Impossible d’oublier l’univers sulfureux, les amours ethyliques de l’écrivain Charles Bukowski interprété majestueusement par Mickey Rourke avec Faye Dunaway dans leurs meilleures années. Un film aux couleurs chaudes, très chaudes.
    INJU est un film littéraire par son sujet et par son écriture. Inspiré du roman de Edogawa Ranpo, l’un des auteurs les plus populaire et dérangeant au Japon, Shroeder nous plonge dans une intrigue prévisible, attendue et poignante à la fois. On se laisse berner avec délectation. Les scènes érotico-sexuelles sont filmées de façon très sage. Les amateurs du genre resteront sur leur faim. Nous sommes au cœur d’un polar et l’exercice de style est plutôt réussi. A la gloire du Mal.
    Un lien, un fil invisible a toujours guidé mon expérience cinéphile. Là, réside d’ailleurs tout le sel de cette aventure : le choix – conscient ou inconscient – du prochain film à voir. A peine quelques jours après, avec « La fille de Monaco », je découvre la joyeuse et triste histoire d’une « courtisane » du « Grand Rocher » et d’un honorable avocat parisien. Eh bien, l’aventure de nos deux amoureux transis (Magimel dans « INJU » et Luchini dans « La fille de Monaco ») s’achève pour nos deux héros de la même manière, plus précisément dans un même lieu, sans que les réalisateurs se soient concertés ! Que les chemins de l’amour sont prévisibles !
    Appelons cette « mini-série » de « Bonheur et Tragédie chez les courtisanes d’Orient et d’Occident ».
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 17 novembre 2011
    Le thème du film est la domination. Qui domine et quels sont les moyens utilisés pour y parvenir constituent le sujet permanent des films de Barbet Schroeder, l'un des seuls français a avoir réussi dans l'industrie cinématographique américaine. Ici il a décidé de parachuter un acteur français (B Magimel) dans une production japonaise. Toute la production étant japonaise, on peut considérer qu'il s'agit donc d'un film japonais. BS aime le documentaire et le support de cette histoire lui donne l'occasion de nous montrer la société japonaise et l'univers des geisha. Le film étant aussi un fil de genre il nous donne une version . Malheureusement je trouve que la mayonnaise ne prend pas. Le décalage entre la culture japonaise et celui du personnage français est trop importante pour que l'on puisse croire à l'établissement de rapports aussi intimes entre les différents personnages. Ceci provoque une certaine distanciation avec l'histoire que l'on suit un peu comme à regret tellement les ficelles sont grosses. Dommage car l'univers japonais était intéressant mais le côté thriller est un peu raté.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 21 juillet 2011
    Le film n'a d'interet que pour son casting, decors et cadre japonais... Pour le reste c'est un brin chiant mais surtout Magimel est incroyablement mauvais : inexpressif, mou, à coté du rôle et par ailleurs boursouflé
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