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Votre avis sur Inju, la bête dans l'ombre ?
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Film intéressant. c est plus un film d'auteur qu'une grosse production américaine. L'histoire est vraiment exceptionnelle. Et la mise en abyme est originale. A voir !
Un film pas désagréable, avec un scénario qui tient la route. Je déplore pour ma part un certain manque de subtilité et le jeu déplorable de Magimel.
Il y a une belle image mais l'intrigue est trop mince pour qu'il y ait vraiment lieu à se poser question. Et on aurait aimé un peu plus de tension dans la mise en scène de toute cette histoire. On garde un petit faible pour Benoît Magimel, même si ce n'est pas sa meilleure prestation.
Une étoile pour la photo, zéro pointé pour le reste. Benoit Magimel n'est pas crédible du début à la fin, les dialogues sont nuls et l'intrigue au final ne tient pas debout. Bref à vite oublier !
Confrontation entre deux monde sous fond d'histoire d'amour perverse.
On est dépaysé, mais le film manque parfois de rytme.
Ce n'est pas non plus son but. On s'interresse beaucoup à la psychologie des personnages; les apparences sont trompeuses...A voir en DVD.
On est dépaysé, mais le film manque parfois de rytme.
Ce n'est pas non plus son but. On s'interresse beaucoup à la psychologie des personnages; les apparences sont trompeuses...A voir en DVD.
J'étais deçue par le film. j'avais déjà vu des films tournés au Japon ou en Chine Je m'attendais à quelque chose de bien. L'affiche par elle-même est aguichante...Cependant, je suis ressortie désolée.
L'idée du sénario est interressante, les lieux sont magnifiques...Mais la mise en scéne est décevante. Il n'y a pas de rythme, l'acteur principal récite son texte...Il n'y a rien de naturel et puis...1:quand il dédicasse son livre, il y a une brusque coupure quand on passe à la scéne suivante,2 a l fin l'écrivain dit à son interlocuteur qu'il est surprit qu'il comprenne le français, alors que pendant tout le film ils se sont parlés en français...Il y a plusieurs abérations de ce genre...
Bref, évitez d'aller le voir
L'idée du sénario est interressante, les lieux sont magnifiques...Mais la mise en scéne est décevante. Il n'y a pas de rythme, l'acteur principal récite son texte...Il n'y a rien de naturel et puis...1:quand il dédicasse son livre, il y a une brusque coupure quand on passe à la scéne suivante,2 a l fin l'écrivain dit à son interlocuteur qu'il est surprit qu'il comprenne le français, alors que pendant tout le film ils se sont parlés en français...Il y a plusieurs abérations de ce genre...
Bref, évitez d'aller le voir
selenie
Enorme déception ! Scénario sans génie mais une fin réussie. Des acteurs un peu perdue. La grande déception vient du très peu de risque et d'une histoire sans partie pris ; érotisme non sulfureux, violence bridée voire censurée et une mise en scène trop figée plombe le film.
La photographie magnifique et une bonne fin sauve le film mais rien de très impressionnant.
La photographie magnifique et une bonne fin sauve le film mais rien de très impressionnant.
Ce film est un chef d'oeuvre ! Visuellement, c'est Inju est un des plus beau film qu'il m'ait été donné de voir depuis longtemps, chaque plan, chaque cadrage est d'une beauté à couper le souffle. Les critiques fainéants ont évidemment par paresse tirer à boulet rouge sur un des films les plus passionnants vu cette année. Barbet Schroeder rend à la fois hommage à la fois à Fritz Lang (l'auteur de roman policier est une sorte de Mabuse ou de M le Maudit), Raoul Walsh, Samuel Fuller (qui ont tous les deux tourné au Japon), Psychose d'Hitchcock (la maison abandonné en bois et l'oeil qui regarde à travers les planches du grenier...) ou Brian de Palma et Dario Argento pour l'intrigue. La projection est absolument envoutante et malgré la révélation finale , un peu mince, on sort totalement envouté après la projection. Benoit Magimel et l'actrice japonaise sont magnétiques et deux séquences, toutes en suggestion, sont parmi les plus érotiques jamais tournés (hommage cette fois ci à Oshima). Vivement recommandé donc.
Film long et terriblement prévisible, mauvais jeu d'acteurs, intrigue sans surprise, plans séquences inutiles, en bref 0 étoile mais la palme d'or du film le plus nul de l'année... A éviter !!!
Un film trés lent,mais avec un bon suspens.
Incontestablement l'un des films les plus importants de l'année, signé par l'un des plus grands cinéastes au monde encore en activité. "Inju" respecte l'esprit du roman d'Edogawa Rampo. La mise en scène est très épurée mais sait aussi être efficace. La photographie est somptueuse. Le scénario est sophistiqué et agencé de manière très habile. L'interprétation est irréprochable. À voir impérativement.
Film ni vraiment bon, ni aussi mauvais que le jugent nombre d'internautes. Cette histoire est sans grand intérêt, son dénouement tordu laisse une impression désagréable. Ce genre d'histoire rappelle les séries B américaines des années 40-50, dont l'archétype est l'incompréhensible "grand sommeil" qui tient sutout par les interprètes et le côté folklorique du noir et blanc. Ici la réalisation superbe (la photo !) (d'où les 2*) et les interprètes trop lisses (Magimel manifestement paumé ds cette histoire, et une japonaise aussi inexpressive que possible) font de ce film un pur exercice de style. A qoi bon ?
film pas à conseiller, rythme très lent, peu de rebondissements, intrigue sans surprise, bref! à la limite de l'ennui...
Je ne dirai pas que c'est un mauvais film, mais ce que je peux dire, c'est que c'est un mauvais film policier. Pas de suspense : Un écrivain de roman policier qui cherche un autre qui se cache. La recherche est tellement lente. L'acteur se met "volontairement" sur de fausses pistes. Des scènes de nu comme est l'habitude des films français. L'étoile est là juste pour la petite visite de Kyoto....
L'association entre Barbet Shroder , Magimel et une histoire mettant en scene un écrivain francais en voyage au japon se confronter à la jalousie d'un ecrivain japonais mysterieux était alléchante . en effet , on imaginait le francais se confronter aux codes et aux mysteres de la civilisation japonaise. on s'attendait à voir une vision stylisé des grandes villes nippones et pourqoi pas de sa campagne montagneuse .
Et bien au lieu de tout cela , nous n'avons eu droit qu'à une vague manipulation sado masochiste presque pas malsaine, dont l'effet de revers final tombe un peu à plat .
On reste donc sur sa faim, en se disant qu'un Night shylamman aurait certainement tiré autre chose de ce sujet , que sofia coppola a donné une bien meilleure vision du Japon et qu'en terme de polar, Black rain de Ridley scott était bien plus sympa à regarder.
Et bien au lieu de tout cela , nous n'avons eu droit qu'à une vague manipulation sado masochiste presque pas malsaine, dont l'effet de revers final tombe un peu à plat .
On reste donc sur sa faim, en se disant qu'un Night shylamman aurait certainement tiré autre chose de ce sujet , que sofia coppola a donné une bien meilleure vision du Japon et qu'en terme de polar, Black rain de Ridley scott était bien plus sympa à regarder.
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