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    L'Heure d'été
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    209 critiques spectateurs

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    selenie
    selenie

    6 250 abonnés 6 184 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 8 février 2009
    Voilà un film ambitieux mais pour traiter des problèmes familiaux lors d'un héritage il aurait sans doute valu un peu plus d'émotion. Le personnage de Charles Berling prend trop d'importance vis à vis de son frère et de sa soeur joués par Jérémie Rénier et Juliette Binoche. Le film reste superficiel car les dialogues ne tournent qu'autour des biens mobiliers en laissant de côté les douleurs et sentiments des enfants. Un film qui aurait gagné en densité avec des émotions plus palpables pour les spectateurs.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 220 abonnés 7 513 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 15 septembre 2011
    Second et dernier projet orchestré par le Musée d’Orsay. Alors que le 30 janvier dernier sortait sur nos écrans Le Voyage du ballon rouge de Hou Hsiao Hsien, cette fois-ci, c’est à Olivier Assayas de prendre la relève et change par la même occasion de registre, après le violent Boarding Gate (2007), il se lance dans le mélo/drame avec une habilité qui lui fait honneur.
    A la mort de leur mère, deux frères et une sœur se retrouvent pour faire l’inventaire de leur héritage. Se séparer ou garder certains objets de valeurs ou tout simplement comme souvenirs, ils vont devoir faire le tri dans les nombreux objets qui leurs ont été laissé par leur mère, de grandes valeurs pour certains qui date du XIXème et XXème siècle. Brassant tout au long du film des thèmes tels que la mémoire, la famille, la passation, les liens ou encore le temps qui passe. Assayas crée une certaine osmose au sein de son film, on s’y s’en bien, à la fois attachant et tendre, le casting y est aussi pour quelque chose : Juliette Binoche, Charles Berling, Jérémie Renier & Edith Scob.
    Cluny
    Cluny

    74 abonnés 593 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 octobre 2012
    Chaque fois qu'aux alentours du 14 juillet, je descends de voiture en arrivant dans la maison familiale du Beaujolais, j'ai d'abord l'impression fugace de la voir plus petite que dans mon souvenir imprimé dans l'enfance. Dès les premières images de "L'Heure d'été", j'ai eu très fort l'impression que ce film racontait sinon l'histoire de cette maison, du moins comme un écho, comme une réminiscence, et ce sentiment a certainement joué dans mon adhésion immédiate au fim d'Olivier Assayas.

    Le premier plan du film, fixe, sur la maison au milieu des arbres, comme vu à travers une paupière qui se ferme, annonce déjà que le passé très présent et le présent si fragile ne se prolongeront pas. Pourtant, en ce dernier été, elle connaît encore plein de vie : une ribambelle de cousins cheminent sur un jeu de piste et grimpent aux branches à la recherche du prochain message, avant que la fidèle Eloïse (chez nous, elle s'appelait Marie) ne reproche aux plus grands d'avoir laissé les petits s'approcher de l'étang (chez nous, c'était "la petite montagne dangereuse", pauvre butte culminant à 4 mètres d'altitude).

    Olivier Assayas met en scène les mille détails qui font que nombreux seront les spectateurs qui retrouveront une parcelle de leur propre histoire : le sécateur pour faire un bouquet de lilas, l'impression à la fois agaçante et stimulante de déambuler dans un musée dont la matriarche assure la conservation, "faites doucement, vous êtes chez votre grand-mère", le tâtonnement pour retrouver l'endroit d'où cette photo a été prise autrefois, la cloche pour rameuter la marmaille ou la cérémonie des adieux sur le perron.
    Certes, tout le monde n'a pas un grand-oncle dont les oeuvres valent une retrospective à Los Angeles et Vienne, et nos maisons ne sont pas meublés de bureaux de Majorelle, ornés de tableaux de Corot ou d'Odilon Redon et décorés de vases de Braquemont. Mais l'attachement à un lieu, à des objets et à des souvenirs, et la difficulté de les partager et de les transmettre sont universels, comme le sont les divergences et le sentiment de communauté entre les différentes générations et au sein d'une même fratrie.

    Quand les trois enfants d'Hélène se retrouvent après l'enterrement de leur mère, Adrienne parle de l'émotion sans pathos qui dominait la cérémonie. On peut faire la même remarque à propos du film d'Assayas. Pourtant, on est constamment sur le fil du rasoir, et une réplique de plus, quelques secondes d'insistance sur un plan, seraient de trop ; mais il sait couper un dialogue au moment où il le faut, faire un fondu au noir, passer d'un plan serré à un plan d'ensemble, et préférer l'ellipse à la narration d'un événement que le spectateur peut recréer tout seul.

    Cette justesse et cette pudeur sont servies par une distribution impeccable : Edith Scob, avec sa voix à la diction et au timbre si particuliers pour égrener des vacheries-vérités (en recevant une couverture pour son anniversaire : "Le plaid, le cadeau des vieux ! "), Charles Berling en fils aîné dépositaire malgré lui du devoir de mémoire familiale, ne comprenant réellement malgré ses bonnes intentions ni sa mère ni sa fille, Juliette Binoche en working girl blonde, jamais débarassée d'une opposition larvée avec Hélène, Jérémie Rénier en petit dernier ayant à prouver et à se prouver, socialement à baffer et humainement à croquer.

    Le film très écrit fourmille de détails qui n'en sont pas, comme les rires de la veillée funèbre, la proposition d'Adrienne de faire un catalogue avec de belles photos pour la vente, "comme ça, ça nous fera un souvenir", ou comme la cruauté involontaire de Frédéric qui oublie Eloïse et la laisse finir ses jours dans un H.L.M.. On connaît l'admiration d'Olivier Assayas pour le cinéma asiatique. Il le dit lui même, "L'Heure d'Eté" est mon film le plus taïwanais", et effectivement, on est souvent proche de Hou Hsiao Hsien et d'Edward Yang, dans la façon de parler des liens familiaux, du rapport au temps qui passe et à la modernité. La beauté de la photographie d'Eric Gautier (dont on vient de voir le travail dans "Into the Wild" et "Coeurs"), la légèreté de la caméra, recadrages discrets et travelings fluides, et la science du montage interne jouant sur les dédales de la maison de Valmondois et de l'appartement de Frédéric concourent aussi à l'élégance asiatique de "L'Heure d'été", et sous ma plume, ce n'est pas le moindre des compliments.
    http://www.critiquesclunysiennes.com
    Clingo
    Clingo

    58 abonnés 128 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 avril 2009
    Olivier Assayas est au scénario et à la réalisation. Il signe un film magnifique sur la famille, l'écart entre les générations, le temps, l'espace, la vie. L'Heure d'été est très subtil, il dit beaucoup de choses qui parlent au spectateur. Certes le milieu décrit est très bourgeois -voire bobo - mais il est étonnant de constater à quel point on s'y retrouve, même si notre vie sociale est différente de celles des personnages du film. Ce que capte Assayas, ce sont des instants de vie terriblement justes, des petites phrases d'un naturel effarant, qui font qu'on a l'impression de vivre avec ces personnages. On pourrait même dire que ce ne sont plus des personnages mais des gens à part entière. La sensation de réalisme est forte, et l'interprétation formidable des acteurs ne fait que renforcer cela. Binoche, Berling, Rénier, tout le monde est dans une justesse de jeu qui ne peut qu'impressionner.

    La caméra est fluide, toujours en vie, parce que le monde que l'on voit est lui-même plein de vitalité, de vigueur. Assayas réussit à rendre palpable le temps qui passe, les souvenirs d'une époque. Il en dit aussi beaucoup sur notre rapport à un lieu - la maison est évidemment un personnage à elle seule - et au temps. Le temps est abordé à travers plusieurs exemples. Le premier est bien sûr le temps qui s'écoule, qui mène inéluctablement à la mort. Le second est consécutif au premier, et évoque l'écart entre les générations. Assayas montre comment chacun vit selon son époque. La mère est attachée à la maison, et donc aux oeuvres d'art du 19ème, et donc au passé. Ses enfants vivent à l'heure de la mondialisation - Binoche travaille aux USA, Rénier en Chine, encore une fois le hasard n'a pas sa place ici - et les petits-enfants incarnent la relève, le futur encore incertain. Assayas en profite pour dresser un état des lieux du monde, sans jamais dire au spectateur quoi penser.

    Plusieurs séquences qui en disent beaucoup : l'oeuvre d'art cassée qui se retrouve dans un sac Leclerc, constat amer sur notre époque où tout s'achète et se vend, et pire même, tout s'achète et se vend de manière uniforme.
    Une des équences finales voit Berling et sa femme au musée, où se trouve un bureau ancien qu'ils ont revendu. Les touristes passent, écoutent l'explication du guide, regardent l'oeuvre pendant trente secondes et s'en vont. Tristesse...l'objet est certes à portée de tous, mais il perd de sa vie, de son aura. Dans la maison son existence était secrète mais il signifiait quelque chose. Le film nous dit qu'il y a une valeur plus importante que celle de l'argent. D'ailleurs, autre très bele scène : celle où la bonne repart avec un vase précieux, sans savoir qu'il s'agit là d'une oeuvre inestimable. Mais pour elle, ce vase est important parce qu'elle y est attachée sentimentalement. Elle refuse l'argent qui lui était promis et emporte le vase parce que cet objet est plus qu'un vase, il est aussi une trace de sa vie passée et des gens qui comptaient pour elle.

    L'heure d'été est un film stimulant, riche, nécessaire, tout simplement magnifique et hautement recommandable. Grandiose.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 5 janvier 2009
    ce qui est bien avec le cinéma Parisien-Nombriliste-Chiant (PNC), c'est qu'on croit avoir touché le fond, atteindre l'abîme de l'ennui et de l'inaction, on trouve toujours un "réalisteur" pour se dire "tiens, si je parlais des problème de successions que j'ai eu au décès de ma mère, du taux d'imposition de fiscalité immobilière et je pourrais interresser au moins six personnes !"
    Encore une fois, on retrouve la bourgeoisie en plein babillage en prenant des airs d'acteurs de tragédie grec. Le dileme du héro se résume entre sa volonté de garder le "musée" de sa mère et l'avidité de ses frères et soeurs, c'est trop triste de voir tout une vie (surtout ses possessions matérielles) se disperser pour 999 M€ (ca fait beaucoup de kinder pingui). Berling avec son air grave et consterné arrive à donner corps a l'inaction du film, binoche prouve encore qu'elle a arreté d'etre actrice... et les autres sont totalement transparents. encore une bonne heure et demie de perdue, alors qu'il y avait du catch sur la 9
    officiel76
    officiel76

    46 abonnés 411 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 12 mars 2008
    le type même du film plébiscité par une critique parisienne boboïsée. On sort de ce film en ayant l'impression d'avoir vraiment perdu son temps et son argent. Les personnages n'on aucune épaisseur psychologique, et si les acteurs sont bons ils ne sauvent en rien la faiblesse d'un scénario dont on attendait beaucoup d'émotion. On ne s'attache à rien ni à personne dans ce film à l'instar des protagonistes qui sont très caricaturaux, et qui évoluent dans un catalogue d'inventaire de salle des ventes dont on se passerait volontiers. Et puis qu'on arrête le couplet tellement parisien de tous ces quadra qui fument des pétards, pour faire "in" peut être , c'est fatigant et sans intérêt. N'en déplaise à tous ceux qui évoluent dans le milieu un peu frelaté qu'est celui du cinéma, si nous avons (et encore pas tous !) fumé un jour, il en arrive un autre ou en charge de famille, on essaie d'avoir un peu une position adulte; Aussi comment se reconnaitre au milieu de ces caricatures d'adulescents doté de grands enfants dont on se demande qui finalement est le plus paumé. pathétique tellement c'est devenu un cliché !
    Robin M
    Robin M

    70 abonnés 283 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 12 avril 2009
    Moi qui croyait avoir les films sans histoire les plus ennuyant du 7ème art, je me suis trompé: je n'avais pas encore vu "L'heure d'Eté". Qui cela interesse une histoire sans action sur des droits de succession? 2 personnes et encore. Des acteurs qui joue pas, on se demande ce qu'il fonnt là quand ils ne sont pas transparent.
    On reste à le regarder pour voir quand ça demarre, mais on voit le générique de fin et on se dit: ah oui comme même il était vraiment nul.
    A voir avec des amis colants pour les faire partir de chez soi ou les endormir.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 26 janvier 2013
    ô désespoir. Voici une compilation stupéfiante de tous les aspects détestables du cinéma français. Fuir ce film absolument !
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 2 mai 2008
    Non je n'ai pas oublié de mettre une étoile... Je mets rien et c'est déjà du temps perdu que d'écrire une critique sur ce film. D'ailleurs ce n'est même pas du film que je vais parler telleMent il est sans intérêt... J'ai lu les critiques des personnes qui ont mis 4 étoiles et qui jugent donc ce film comme proche de la perfection à part des "bla-blas" incompréhensibles qui ont pour but de flatter leurs égos surdimensionnés et qui leur donnent l'impression d'être intelligents ou des "superbe" sans préciser ce qui est superbe, comment peut-on attribuer un note comme celle-là à un film comme celui-là : c'est long, lent, pas intéressant personne n'a besoin de ce film pour lui apprendre quoi que ce soit. On a beau être fan du réalisateur ou des acteurs mais franchement un peu d'objectivité, ce film est bien sans intérêt... C'est la famille, les ami(e)s, le réalisateur lui-même et les acteurs eux-mêmes qui mettent des critiques pareilles ? Je me pose la question parce que comment des personnes peuvent notés un film comme celui-là aussi bien. Pour ceux qui perdront leur temps comme j'ai perdu le mien à voir ce film, chacun jugera...
    Maqroll
    Maqroll

    158 abonnés 1 123 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 avril 2013
    Un film tout en finesse d’Olivier Assayas qui relate une affaire de famille avec sa délicatesse et son intelligence habituelle. Sa caméra, toujours bien placée scrute les visages et voit s’égrener le temps qui passe inexorablement sur les générations. Dans la première partie, Edith Scob est éblouissante en vieille dame apaisée et lucide. Ses trois enfants sont interprétés avec une justesse totale par Charles Berling, Juliette Binoche et Jérémie Rénier, dont le désaccord n’empêche pas l’union et l’amour fraternel. C’est subtil, c’est faussement lent, c’est parfois à la limite de l’ennui… à l’image tout simplement de la vie, sans artifice ni tape-à-l’œil. Le scénario est très travaillé et ne trahit aucune faiblesse, les images sont douces et légères, on regarde, on est séduit, on réfléchit… C’est du bon cinéma français.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 24 avril 2008
    "L'heure d'été" ou comment foutre en l'air le potentiel d'un film. Le deuil, l'héritage, la transmission, les relations frères et soeurs,... autant de sujets riches et passionants que ce film réussit à traiter de façon incroyablement fade, fausse, et complètement ridicule.
    Christine G
    Christine G

    17 abonnés 86 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 7 mars 2008
    au démarrage ce film est agréable mais vite on se perd dans des considérations inutiles de la valeur des meubles et le pire est la fin qui traîne et ressemble purement et simplement à du remplissage..
    des gens sont partis avant la fin ils ont eu raison ils n'ont rien perdu
    alain-92
    alain-92

    318 abonnés 1 078 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 mars 2008
    Ce film d’Olivier Assayas est profond, intelligent, vrai, émouvant, élégant aussi. Juste ce qu’il faut de mélancolie devant une vie qui passe, avec ses secrets et son patrimoine artistique et culturel qui du privé trouvera sa place dans les musées.
    Le scénario est intense, fouillé et léger à la fois. La mise en scène subtile et efficace nous donne souvent l’impression d’être l’interlocuteur des personnages. Les comédiens sont parfaitement justes et remarquables dans leurs rôles respectifs. Beaucoup de plaisir pour cette grande réussite, et le plaisir de revoir la lumineuse Edith Scob.
    Flavien Poncet
    Flavien Poncet

    238 abonnés 1 024 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 mai 2010
    Cinéaste prolixe, Olivier Assayas cumule les films au risque, perpétuel chez les cinéastes productifs, de préférer à la qualité de l'OEuvre, sa quantité. «L'Heure d'été» (France, 2008) contient cette vélocité de créer. C'est dans une cohue familiale dont la liesse est quasi-palpable que s'ouvre le film, sur la quête d'un trésor menée par les enfants de la famille. La palpitation grisante des premiers plans repose sur un sens aigu du montage et du jeu d'acteur. L'histoire banale d'une famille confrontée aux problèmes d'héritage est en elle-même savamment articulée par un rythme instable et dynamique. Or c'est dans la place de l'objet, du point de vu de l'être et du temps, qu'émane la grandeur du film. A la mort de la mère, ses trois enfants ont à charge de disposer d'un lourd héritage culturel. L'absence des uns contraint les autres à abandonner le lieu de leur enfance, à délaisser une grande part de leur affection au profit de la marche du monde. Dans cette dynamique des objets, qui passent de l'ordre privé à la publication en musée, une cinétique apparaît. Cette cinétique de l'art, où les feuillets d'un cahier de croquis risquent d'être dispersés à travers le monde, nous rappelle la circulation du cinéma. Commandité par le Musée d'Orsay, «L'Heure d'été», par un constat commun de l'état du monde, par la cohabitation des ordres d'objet (l'art du vase impressionniste et le prosaïque d'un avion en jouet) et par la circulation des objets dans le monde, fait de l'essence du cinéma une donnée quotidienne. Le cinéma est art, mais ce n'est pas l'art immobile et «emprisonné» des musées, c'est un art qui se module au grès du monde, un art hybride où se confrontent la grâce digne des Beaux-arts et la vulgarité usuelle, un art mobile, qui circule. Parler de cinématographie avec tant de subtilité, dans un cinéma français qui, à trop être produit par la télévision, fait plus du téléfilm que du cinéma que d'art, est un exploit dont il faut saluer Assays et le musée d'Orsay.
    JCOSCAR
    JCOSCAR

    116 abonnés 1 100 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 9 mars 2008
    Un film sur une famille confronter à un partage d'héritage est le thème plein de nostalgie. Hélas, un scénrio palt pour de belles images, je me suis ennuyé.
    Les meilleurs films de tous les temps
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