Selon le New York Post :
"Il s'agit d'une de ces rares séries qui arrivent à l'antenne totalement formées, comme si tous les gens impliqués devant et derrière la caméra travaillaient ensemble depuis toujours (...) La distribution jeune et charismatique y est pour beaucoup dans l'efficacité du show, mais je suspecte qu'il s'agisse aussi de la somme de plusieurs éléments -l'écriture, la réalisation, le montage, la bande-son sensationnelle- qui la font rendre obsoléte toutes les séries médicales précédentes." 4/5
Selon le New York Times :
"A l'époque de Desperate Housewives et Newport Beach, il est rafraîchissant de regarder une série dont les héroïnes n'ont pas pour aspiration principale de trouver l'amour mais de trouver du sens dans leur métier et de ne pas avoir peur de sexe sans attaches." 4/5
Selon le Kansas City Star :
"Si Grey's Anatomy ne parvient pas, de peu, à devenir le nouveau Urgences, c'est parce qu'elle est surproduite. Il faut faire avec les passages musicaux à vous tirailler le coeur sur des scènes légères hyper contemplatives (...) Mais l'écriture et le jeu des acteurs, bien qu'ils ne soient pas sidérants, m'ont aidé à passer outre." 3,5/5
Selon le Los Angeles Times :
"Le démarrage est prometteur, même s'il faut pour ça accepter l'intrusion soudaine d'une chanson lugubre façon Counting Crows ou la sensation que Sarah Jessica Parker, en voix-off, se demande si elle a ce qu'il faut pour devenir une bonne chirurgienne." 3,5/5
Selon Variety :
"Personne n'oubliera Urgences à cause d'elle, mais le mélange d'une distribution jeune, de dialogues croustillants, de romance, du lieu de travail Darwinien où on doit lutter pour survivre, et des situations de vie ou de mort, rend la série attirante et regardable et ce malgré son aspect trop familier." 3/5
Selon People Weekly :
"Il y a des choses réussies, y compris l'excellente performance de Pompeo et la relation étonnamment touchante entre Meredith et sa mère, une chirurgienne renommée. Mais pour mériter notre attention la plus totale, Grey's Anatomy va devoir se révéler plus intelligente que ça." 2,5/5
Selon Slate :
"Cette série va avoir besoin d'un défibrilateur au thorax si elle veut survivre à cette première saison (...) L'organe qui fonctionne le mieux dans Grey's Anatomy, c'est Sandra Oh et sa délicieuse prestation colérique et maussade." 1,5/5
Selon le Washington Post :
"Cette série correspond davantage à un calcul commercial qu'à une tentative honnête de proposer quelque chose de frais et de différent (...) C'est autant "une nouvelle série" que le monstre du Dr Frankenstein était "un nouvel homme"." 1/5
Le teaser de l'épisode 15 de la saison 15 :