Il y a quelques années, les téléspectateurs ont fait la connaissance de Stéphanie Riquelme et de sa petite tribu dans l’émission Familles nombreuses : la vie en XXL. Depuis son passage sur TF1, la maman de trois filles et de quatre garçons partage régulièrement son quotidien sur les réseaux sociaux. Et si son début de semaine s’était plutôt bien passé avec la reprise de l’école, le vent a rapidement tourné pour la compagne de Jérémy.
Une éinième panne...
En effet, ce jeudi 7 novembre 2024, Stéphanie Riquelme s’est emparée de sa story Instagram pour évoquer son début de semaine compliqué : "Lundi commence très bien, c’était la rentrée, jusque-là tout va bien…", a-t-elle d’abord lancé avant de poursuivre : "Et puis, 7 mois après avoir fait la réparation qu’il fallait faire sur le camion… Une nouvelle réparation, la voiture qui ne démarre plus !" Pas de quoi déstabiliser la maman, qui semble prendre plutôt bien la nouvelle : "Donc voilà, très compliqué le début de semaine, mais on relativise, toujours. De toute façon, maintenant, je vais estimer que tous les sept mois, j’ai une réparation à faire dessus. Au moins, comme ça, ce sera fait ! On se prépare psychologiquement. (…)", a-t-elle ironisé.
Coup de gueule contre les garages automobiles
"Je garde le sourire, (…) c’est la vie, c’est comme ça ! (…) On n’est plus à une réparation près. (…) Du moment où mes enfants vont à l’école chaque jour, que mon mari ne loupe pas le travail à cause de ça, moi non plus, le reste, c’est futile ! On fait avec parce que de toute façon, on n’a pas le choix", a-t-elle ajouté. Si le problème semble sérieux, hors de question de se rendre au garage pour Stéphanie Riquelme. "Alors mes excuses hein…", a-t-elle commencé avant de poursuivre : "Mais franchement les garages, laisser des salaires pour une pièce, non, ça va ! Ça va un temps, mais après, au bout d’un moment, il faut arrêter." La mère de famille a décidé de faire appel à un "super mécano" qui se déplace directement chez elle pour réparer la pièce, ce qui lui permet de ne payer "que la main d’oeuvre", a-t-elle conclu.
