Sacré bouleversement pour l'ultime épreuve de cette édition 2024 de Koh-Lanta. Alors que traditionnellement l'épreuve des poteaux se tient dans des lagons paradisiaques, la production du jeu d'aventure de TF1 a dû s'adapter à cause d'un cyclone particulièrement menaçant qui arrivait non loin du lieu de tournage.
Koh-Lanta, Les chasseurs d'immunité : Denis Brogniart explique que l'épreuve des poteaux a été délocalisée
"À événement exceptionnel, dispositif exceptionnel... On vous en parle depuis l'épisode précédent, il y a un cyclone qui s'est formé dans le Pacifique et qui se rapproche des côtés philippines. On a pris des dispositions et aujourd'hui, à cause de la houle en mer, à cause du vent, on a été obligés de délocaliser les poteaux, explique Denis Brogniart dans une vidéo enregistrée sur les lieux du tournage. Habituellement, vous le savez, les poteaux se déroulent en mer, ils avaient été positionnés en mer. Et bien nous les avons enlevés pour des questions de sécurité."
Denis Brogniart se tourne et désigne une petite rivière entourée de hautes herbes. Au milieu de ce cours d'eau se trouvent les poteaux sur lesquels vont monter Léa, Julie et Meïssa. "Ils sont placés ici, dans une rivière, à l'abri des intempéries, à l'abri de la houle et du vent. Mais je peux d'ores-et-déjà vous dire que vous allez assister à une finale extraordinaire entre les trois derniers rescapés."
Koh-Lanta Les chasseurs d'immunité : la production déjà obligée de déménager le camp des candidats à cause du cyclone
Ce n'est pas la première fois que cette tempête fait parler d'elle cette saison. Il y a deux épisodes, les naufragés avaient dû quitter le campement qu'ils occupaient depuis une trentaine de jours pour rejoindre une zone plus abritée. Lors de l'épreuve de l'orientation, on avait vu le vent souffler et devenir menaçant en fin d'épreuve alors que Amri, Julie et Pauline cherchaient le poignard sur la même zone très exposée.
Comme l'avait expliqué Julien Magne, le directeur d'ALP au Parisien fin mai, le temps de tournage a été légèrement réduit cette saison à cause de ce fameux cylone : deux jours ont été amputés, portant le total des jours de survie à 38 au lieu des 40 habituels.