Les fans d'Affaire conclue vont découvrir ce lundi 27 février 2023 un tout nouveau numéro de l'émission. Et nouveau dans tous les sens du terme puisque pour la première fois, Sophie Davant dévoilera le nouveau décor de l'émission. À cette occasion, ils ont été nombreux à se confier dans les colonnes de Télé-Loisirs sur ce programme qui traverse les années et qui rassemble toujours plus de téléspectateurs. C'est le cas notamment de Damien Tison. Présent depuis trois ans dans l'émission d'enchères, il s'est confié sur les coulisses du programme et a avoué qu'il pouvait y avoir quelques tensions entre les acheteurs : "Il faut faire la part des choses entre ce qui se passe sur le plateau et en dehors. Sur le plateau, on fait abstraction des amitiés parce que c'est pour les enchères qu'on est là, il n'y a pas de cadeau entre nous. Il peut y avoir des petites tensions parce qu'on a tous envie d'avoir l'objet, on lutte et une fois la belle bataille chargée d'intensité terminée, on passe à autre chose et on reste copains" a t-il confié.
Des tensions vite oubliées
L'acheteur s'est ensuite confié sur sa relation avec l'animatrice Sophie Davant, qui porte le programme à bout de bras depuis 2017, et ce, sans sourciller : "Très sympa comme avec toute l'équipe. On cherche tous à s'améliorer, à être plus à l'aise face à la caméra et si j'ai un conseil à lui demander, elle répond toujours présente. Je me souviens aussi d'un tournage pour l'émission C à vous. Le direct était un nouvel exercice pour moi. À un moment, je prends la parole et je commence à chercher mes mots sûrement à cause du trac, et Sophie est intervenue. Elle est venue à ma rescousse et m'a aidé à reprendre le fil. J'ai trouvé ça très chouette de sa part".
Et Damien Tison peut compter sur le soutien de l'animatrice, toujours prête à montrer au créneau pour défendre le programme. En effet, ce dernier peut parfois faire l'objet de vives critiques, au vu des sommes astronomiques que les acheteurs peuvent enchérir comme la fois où un miroir Line Vautrin qui s'est vendu 127.000 euros alors que le vendeur l'avait acheté 150 euros en vide-grenier : "Il y a une offre et une demande. C'est vrai que les sommes sont choquantes mais il faut savoir que c'est ce qui se passe tous les jours de l'année dans les salles de vente parisiennes ou en province. Je comprends que quand on est en dehors du marché, cela puisse être surprenant".