La société actuelle et celle qui arrive a donné des idées au créateur de Black Mirror de revenir faire 6 nouveaux épisodes. Et cette 7ème saison est bien meilleure que ces précédentes. De nouvelles histoires percutantes et dès le premier épisode, on revient à ce que Black Mirror faisait de mieux au tout début. Forcément, il y a des intrigues plus intéressantes que d'autres mais globalement tout est facile à comprendre et les sujets sont quand même terrifiants. Le casting est performant dans chaque rôle et chacun réussit à se dissocier pour permettre au spectateur de pouvoir s'identifier à au moins l'un d'eux. Pour moi, les deux meilleurs épisodes sont Hôtel Rêverie et Eulogy, masterclass !
Enfin on retrouve de bons scénarios, de belles idées et de bonnes mises en scène ! J'avais trouvé les 2 dernières saison complètement insipide, mais là c'est excellent. Ce n'est malheureusement pas encore le niveau d'excellence des premières saisons, mais cette septième est très bonne.
ouahou....meilleure que la 6 mais comment pourrait on vivre dignement sans cette vision acerbe et cutting edge de nos addict nocif et desesperement no sens...merci charlie !tu nous brook l 'ame....
Cette saison est vraiment décevante avec seulement 2 épisodes intéressants. Les autres sentent le réchauffé et ne sont plus du tout novateurs. On s’ennuie c’est pénible à regarder… dommage.
On aura encore le droit, dans cette septième saison, à du bon et du moins bon. On mettra dans le haut du panier les deux premiers épisodes avec l'exploitation des gens miséreux pour le premier et la revanche d'une geek pour le second. Quant à l'épisode final d'1h30, il n'est ni plus ni moins que la suite de "USS Callister", épisode phare de la saison 4, une espèce de parodie loufoque de Star-Trek. Si l'ensemble des segments est pertinent car critiquant intelligemment les nouvelles technologies, il est toutefois dommage que certaines fins d'épisodes ne soient pas à la hauteur et c'est en cela que cette saison, somme toute assez sympathique, pêchera dans l'ensemble.
L’une des meilleures saisons !!! Tous les épisodes sont réussis (à part un, bien en dessous, celui avec Peter Capaldi). Certains sont très marquants comme le premier épisode ou la suite de l’excellent USS CALLISTER. Une saison qui montre la suprématie de « Black Mirror » sur le reste des séries actuelles.
J'ai beaucoup aimé les premières saisons de cette série mais j'ai un peu déchanté depuis, même si je continue à admirer (plus ou moins) sa créativité, son ingéniosité et ses questionnements dérangeants.
Concernant la 7e saison en particulier, j'ai été emballé par les 2 premiers épisodes - fluides et constamment intrigants, chacun à sa façon - mais c'est à peu près tout. Peu accrocheurs dans l'ensemble, excessivement tordus et artificiels pour certains, les derniers épisodes m'ont plongé dans la perplexité voire dans l'ennui. J'ai vraiment dû m'accrocher pour suivre jusqu'au bout "Hôtel Rêverie" et "USS Callister : Au coeur d'Infinity", et malheureusement je ne peux pas dire que ma ténacité a été récompensée...
Vraiment vraiment. Tellement créatif!! C'est à la fois nouveau, et en même temps ils reviennent aux racines. Et c'est également plus profond et pertinent que de nombreuses saisons précédentes.
Quel plaisir de retrouver l’ambiance et les fables dystopiques du début. Par sa saison 7, Black Mirror revient en force avec 2 épisodes qui se démarquent. J’ai particulièrement aimé l’épisode 4 : de simples jouets. J’ai carrément eu des frissons quand spoiler: le suspect tourne le code vers la caméra ! Une fin comme je les aimes.
Cette saison plaira sans doute à tout les fans de Black Mirror.
Cette saison 2 comportera un épisode de plus que la précédente. Ici, on traitera directement ou pas des dangers du clonage, de la création d'idoles virtuelles, des sites de rencontres, des Intelligences Artificielles domestiques et on aura même le droit à un long épisode en trois parties spécial Noël ! Toutefois, si on devait n'en garder qu'un en mémoire ce serait l'épisode 2 intitulé "La chasse" et mettant en images une jeune femme poursuivie sans savoir pourquoi jusqu'à une fin ô combien incroyable tant on ne l'avait pas vue venir ! Encore un bon cru donc avec cette seconde saison !
3,5/5 Bien. Il y a de nouveau des épisodes très marquants dans Black Mirror. Ils n'ont pas tous un intérêt de même niveau et le dernier est (presque) inutilement long et moins intéressant que les autres (et quand il devient intéressant il s'arrête). Bref, il y a des hauts et des bas mais dans l'ensemble c'est une bonne saison assez marquante.
Tu croyais que Black Mirror avait raccroché les gants ? Raté. Charlie Brooker revient, plus calme en surface, mais toujours aussi sournois dans les veines. Cette saison 7 n'explose pas – elle infuse. Lentement. Vicieusement. Comme une goutte d’encre dans de l’eau claire. Et l’écho reste, parfois plus longtemps que le souvenir.
Six épisodes, six bulles de réel fracturé. Pour Black Mirror, je pense qu'il ne faut jamais faire le pitch de chacun des six épisodes tant la surprise du déroulé du scénario et le choc de la chute finale sont des ressorts particulièrement efficaces dans l'univers de Black Mirror. Mais tous les épisodes sont peu ou prou un coup à l'estomac. Je signalerais cependant l'épisode 3 qui me semble très original dans son traitement narratif et son décor particulièrement séduisant et tellement suranné.
Charlie Brooker semble avoir calmé ses élans dystopiques criards. Il filme sobre. Il suggère. Il laisse le malaise s’installer sans forcer. Comme un serveur qui t’annonce "le dessert est offert" mais te regarde bizarre après. C’est fin, presque trop. Parfois, ça frôle l’élitisme froid. Mais souvent, ça touche juste.
La série de 2025 sur Netflix frôle l’auto-citation par instants – on sent l’envie de se redéfinir sans se trahir. Est-ce encore Black Mirror ou son reflet post-ironie ? Peu importe. On regarde. On fronce les sourcils. On dit "tiens, c’est pas con." Puis on y pense deux jours plus tard, en silence, dans le métro. Bref, une saison 7 à savourer sans retenue.