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    Fenêtre sur cour
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    498 critiques spectateurs

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    chrischambers86
    chrischambers86

    14 089 abonnés 12 484 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 13 décembre 2024
    Avec "Rear Window" (1954), Alfred Hitchcock prouve qu'il ètait le premier cinèaste rèellement obsessionnel au travers de son discours sur le voyeurisme au cinèma! Et quelle leçon magistrale il nous offre encore à l'ècran! Pas seulement par des idèes d'immenses dècors d'appartements ou d'èclairage (les ampoules de flash) mais aussi et surtout par la construction des plans et de son ambiance si unique! Clouè dans son fauteuil roulant et dont l'appartement donne sur une cour intèrieure, James Stewart est de toute èvidence parfait! Le voyeur moderne est nè grâce à lui! A ses côtès, Grace Kelly (blonde èvidemment et fantasme absolu du maître) joue magnifiquement (comme dans le mythique "High Noon") les pots de fleurs! Toutes les qualitès requises d'un suspense fascinant en forme de huis-clos et formidablement bien ficelè par Hitch'! Bref, on retient son souffle jusqu'aux fameuses dernières images entre le plâtrè mateur Jimmy Stewart et l'inquiètant voisin Raymond Burr! Un incontournable du genre...
    Nath Visuals
    Nath Visuals

    62 abonnés 179 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 décembre 2024
    Hitchcock ne cesse de nous émerveiller par sa réalisation toujours très maîtrisé mais j'ai l'impression qu'un film sur deux que je vois de ce réalisateur me déçois.
    En effet, dans "Fenêtre sur Cour" comme son nom l'indique, on parle d'une cour entourée d'immeuble où tous les voisins peuvent s'observer. Notre personnage principal a le jambe dans le plâtre et n'a d'autres occupations que d'espionner ses voisins. On joue beaucoup au début sur le côté morale, notamment avec les deux femmes qui l'entourent, avec une jeune femme plutôt sexualisé en face de son appartement qu'il observe.

    Mais le film ne raconte pas grand chose en sois jusqu'à ce que enfin un élément déclencheur arrive. Mais pour le voir arriver, il faut bien attendre.
    Le film dure un peu plus d'une heure 50 mais il y a peut être 45 min au début du film qui m'ont complément désintéressé. Pourquoi introduire le film pendant si longtemps ?
    Mais au final, la suite est évidemment un peu plus dynamique mais rien d'incroyable pour moi et j'ai assez facilement décroché.

    Hitchcock est fidèle à ses deux acteurs fétiches qui sont James Stewart et Grace Kelly. James Stewart est très bon mais l'est un peu plus dans Vertigo. Pour Grâce Kelly, son rôle que je retient dans la filmographie de Hitchcock est dans "Le crime était presque parfait" qui est pour moi le meilleur film de Hitchcock.
    spoiler: Et à nouveau malheureusement on a un effet qui a mal vieilli. Celui de la chute. Comme dans Vertigo, on assiste à une chute, mais cette fois beaucoup moins spectaculaire mais tout autant mal faite. Mais c'est le problème de voir des films des années 50. À l'époque ça devait être très bien mais aujourd'hui on en rigole, c'est l'un des seuls moment du film où j'ai rigolé et on sait très bien que ce n'était pas la volonté de Hitchcock.


    Fenêtre sur cour est donc un film plutôt moyen dans la filmographie du grand Hitchcock, qui n'a pas su me faire rentrer dans l'histoire. Mais le talent du réalisateur dans la mise en scène et la gestion de la lumière sont les points forts de ce film selon moi.
    inspecteur morvandieu
    inspecteur morvandieu

    43 abonnés 2 544 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 novembre 2024
    Immobilisé par une jambe plâtrée, Jeff a tout le loisir d'observer depuis son salon l'existence quotidienne de ses voisins d'en face, tout en devisant sur ses réticences à épouser sa fiancée Lisa.
    Hitchcock ne croit sans doute pas au bonheur conjugal et à l'harmonie entre les deux sexes. Et son opinion, plus désabusée que cynique ou misogyne (quoique...) est relayée, soutenue, par l'échantillonnage de vies intimes qui s'offre à la curiosité du personnage de James Stewart.
    Le film ne se déparera pas d'une gentille ironie, même lorsque les choses sérieuses commencent, quand Jeff, remarquant le comportement étrange d'un voisin, se convainc d'un crime. Sagacité ou illusion? Fantasme? Au coeur des investigations indiscrètes que Jeff entame depuis chez lui, Hitchcock laisse s'introduire le doute tout en engageant une réflexion à la fois sur le voyeurisme et sur la légitimité de l'immixtion dans la vie privée d'autrui.
    La mise en scène est inspirée, inventive et pleine d'astuces. Pas gênée par l'unité de lieu, elle est déterminée, par le regard subjectif du héros (et du spectateur par extension) et produit un suspense ludique et singulier, autant que l'est le sujet. Quoique que peut-être un peu bavard, le film est d'une richesse évidente, tant par les idées qu'il porte que par sa maitrise technique.
    CH1218
    CH1218

    211 abonnés 2 915 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 août 2024
    Le voyeurisme est au centre de ce grand classique d’Alfred Hitchcock au décor unique, plaçant le spectateur dans la même position que celle de James Stewart. Malgré quelques longueurs, la mise en scène est parfaitement maîtrisée et les 15 dernières minutes rattrapent bien le décollage tardif du suspense.
    Marceau F
    Marceau F

    8 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 août 2024
    Quel plaisir de découvrir ce classique près de 70 ans après sa sortie. Le huis clos porté sur l’extérieur qui tient en tension tout le long métrage est d'une inventivité folle. Le tout soutenu par une réalisation parfaite qui navigue de fenêtre en fenêtre. Un modèle du genre qui ne vieilli pas si l'on accepte de se conforter au rythme cinématographique de l'époque évidemment bien différent du notre..
    Cadreum
    Cadreum

    8 abonnés 245 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 août 2024
    Bonjour, je transfère votre message à un de nos responsable. Bonne journée !Film d'observation et de supposition où l'ingéniosité de Hitchcock est de nous placer dans la même position que Jeffries, en faisant de nous des voyeurs passifs, notamment en limitant la perspective à ce que Jeffries voit et entend. Cela interroge notre propre désir de regarder et de juger la vie des autres à distance, une critique qui reste pertinente à l’ère des réseaux sociaux et de la surveillance numérique.

    De sa fenêtre, Jeffries observe plusieurs représentations du couples. Du couple sans enfant, marié depuis des décennies et piégé dans une routine morne, à la danseuse célibataire représentant la liberté et la solitude.
    Tandis que la relation entre Jeffries et sa petite amie Lisa Fremont explore les attentes et les compromis inhérente à une relation, ainsi que les peurs d’engagement et de perte d’indépendance.

    Physiquement confiné dans son appartement, reflétant son état psychologique, il est en quelque sorte emprisonné par ses propres peurs et incertitudes concernant son avenir personnel et professionnel. Cette situation de confinement accentue ses instincts de voyeur et sa dépendance aux événements extérieurs pour échapper à son ennui.

    Les espaces observés par Jeffries varient en termes de liberté et de contrainte. La cour intérieure devient une scène de théâtre où chaque fenêtre représente un petit monde distinct, avec ses propres drames et tensions, mettant en contraste la liberté de mouvement de ses voisins avec son propre enfermement.Les fenêtres des appartements voisins agissent comme des écrans de cinéma, chaque fenêtre représentant une petite scène ou un film. Cette mise en abyme souligne la nature voyeuriste du cinéma et la manière dont nous consommons les récits visuels.

    Jeffries peut être vu comme un alter ego du cinéaste, manipulant son propre cadre pour interpréter et donner un sens aux actions des autres. Ses observations et interprétations sont une forme de narration, soulignant le rôle du réalisateur comme conteur.

    Le film maintient tout le suspense en jouant avec l’ambiguïté de la situation. Jeffries est-il paranoïaque ou a-t-il réellement découvert un meurtre ? Cette incertitude maintient la tension narrative et pousse le spectateur à remettre en question ses propres perceptions et jugements.

    Bien que Jeffries vive entouré de gens dans une ville densément peuplée, il est isolé socialement et émotionnellement. Cette isolation est accentuée par son recours à la technologie pour se connecter indirectement avec les autres, plutôt que par des interactions directes. En deux mots, l'isolation Urbaine
    Alolfer
    Alolfer

    137 abonnés 1 190 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 juillet 2024
    Classique indémodable, Fenêtre sur Cour de Alfred Hitchcock est d'une intelligence de mise en scène par le maître en la matière. Gérer un enjeu presque "inexistant" au départ, pour créer au fur et à mesure du film, un stress permanent, c est du grand art. Avec un casting hollywoodien stars, Ce film rentre dans une catégorie des films cultes à voir une fois dans sa vie
    Michael78420
    Michael78420

    46 abonnés 1 473 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 juin 2024
    Comment tenir le spectateur en haleine pendant 1h50 alors qu'il ne se passe rien ou presque ? Alfred Hitchcock y arrive. Et le plus surprenant est que, revu en 2024 dans une version colorisée, soit soixante-dix ans après sa sortie, Fenêtre Sur Cour reste captivant. On se dit même qu'avec nos smartphones et nos télés, on raterait aujourd'hui la chance, à la place de L.B. Jeffries (James Stewart, tout en regard, vu qu'il est cloué sur sa chaise tout le long du film), de gamberger en observant les voisins. On observera aussi que le héros, absorbé à son voyeurisme et à son imagination, semble presque ignorer la superbe Lisa (Grace Kelly, rayonnante). Quant au traditionnel caméo d'Hitchcock, il se glisse au bout d'une trentaine de minutes chez le compositeur. Quel facétieux réalisateur ! À (re)voir pour apprécier l'art du suspense.
    Ced Prat
    Ced Prat

    1 abonné 90 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 mai 2024
    C'est un bon film mais il manque quelque chose pour qu'il soit excellent. Le scénario est quand même très basique et sans trop de surprise : spoiler: un gars imagine un meurtre à partir de quasi rien, il a raison sur tout
    . Le rythme et la tension sont bien mais pas extraordinaires. On est loin du film au suspense insoutenable. Ce qui reste vraiment appréciable est le côté huis-clos et la qualité de l'interprétation.

    Et il ne faut pas oublier que le film est très ancien. Si aujourd'hui il y a beaucoup de points où il ne sort pas du lot, à son époque ce devait être très novateur, comme beaucoup de films d'Hitchcock
    Louis Ricard
    Louis Ricard

    23 abonnés 278 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 avril 2024
    Ce film est juste génial ! Comme pratiquement tous les Hitchcock, on s’embête jamais, l’enquête est prenante et la cadre est super sympa !
    Theo
    Theo

    19 abonnés 901 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 décembre 2024
    Alfred Hitchcock, maître incontesté du suspense, atteint des sommets inégalés avec Fenêtre sur cour. Ce film transcende le simple récit pour devenir une étude captivante sur l'observation, le voyeurisme et les mécanismes narratifs du cinéma. Chaque image, chaque son et chaque regard est une pièce minutieusement placée dans ce puzzle qui ne cesse de fasciner des générations de spectateurs.

    L'idée d'un récit entièrement confiné dans un appartement semble audacieuse, mais entre les mains de Hitchcock, elle devient révolutionnaire. LB "Jeff" Jefferies, incarné avec un naturel désarmant par James Stewart, est cloué dans son fauteuil roulant, contraint de passer ses journées à observer ses voisins à travers sa fenêtre. Ce microcosme, réduit à une simple cour, devient un théâtre où se joue une multiplicité d'histoires : la solitude d'une femme désespérée, l'innocence d'une danseuse insouciante, et surtout, un meurtre supposé qui entraîne le spectateur dans un maelström de tension.

    Grace Kelly, dans le rôle de Lisa Fremont, incarne à la perfection le glamour et l'intelligence. Sa présence illumine chaque scène, et son évolution, passant de mondaine insouciante à investigatrice courageuse, ajoute une dimension humaine au récit. Thelma Ritter, en tant que Stella, apporte une touche d’humour caustique qui équilibre parfaitement la tension croissante.

    Le décor est à lui seul un personnage central. Construit en studio, il reproduit une cour new-yorkaise avec un réalisme saisissant. Chaque fenêtre est une scène vivante, où Hitchcock tisse une multitude de fils narratifs qui s’entrelacent avec fluidité. Le spectateur, comme Jeff, est invité à observer, à deviner et à interpréter ce qu’il voit.

    La caméra, presque toujours confinée à l’appartement de Jeff, devient le prolongement de son regard – et du nôtre. Ce choix impose une narration visuelle d’une rare ingéniosité. Les zooms lents, les travellings précis et les cadres méticuleux renforcent l’immersion et le suspense. Hitchcock manipule le regard du spectateur avec une telle habileté qu’on en oublie qu’on ne quitte jamais réellement cet appartement.

    La bande sonore, quant à elle, est une leçon de subtilité. Hitchcock mise principalement sur des sons diégétiques – le tic-tac d'une horloge, une radio qui grésille, des conversations étouffées – pour immerger le spectateur dans cet univers. Les silences sont aussi éloquents que les dialogues, et la musique, utilisée avec parcimonie, intensifie les moments cruciaux sans jamais surcharger l’image.

    L’intrigue, bien qu’apparemment linéaire, est d’une richesse étonnante. Hitchcock explore les limites entre l'observation innocente et l'intrusion, entre la curiosité et l'obsession. Jeff devient notre alter ego, et à travers lui, nous partageons le frisson et la culpabilité de ce voyeurisme.

    Le film est également une réflexion sur les relations humaines, ancrée dans les différences entre Jeff et Lisa. Lui, pragmatique et désillusionné, confronté à ses propres limites physiques ; elle, pleine d’ambitions et de rêves. Leur enquête commune devient une métaphore de leur relation, un moyen de surmonter leurs divergences et d’approfondir leur connexion.

    Chaque scène est une masterclass en construction du suspense. Hitchcock distille les indices avec parcimonie, jouant sur les attentes et les perceptions du spectateur. La confrontation finale entre Jeff et Thorwald est d’une intensité inégalée, chaque flash d’appareil photo devenant une arme improvisée dans ce duel inégal. La chute spectaculaire de Jeff, autant physique qu’émotionnelle, conclut le film avec une puissance dramatique rare.

    Fenêtre sur cour n’est pas seulement un film, c’est une expérience cinématographique totale. Il combine une narration visuelle impeccable, des performances d’acteurs inoubliables et une réflexion fascinante sur le regard et la perception. Alfred Hitchcock y déploie toute la palette de son génie, créant une œuvre intemporelle qui continue d'influencer le cinéma moderne.

    Chaque visionnage révèle de nouvelles nuances, chaque détail, si infime soit-il, semble avoir été pensé pour enrichir l’histoire. Ce film n’est pas seulement une fenêtre sur une cour ; c’est une fenêtre sur les possibilités infinies du cinéma.
    Stéphane R
    Stéphane R

    25 abonnés 361 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 mars 2024
    Beau huis-clos. Acteurs magnifiques. Le film a néanmoins un peu vieilli et on peut lui préférer la corde
    Cinémax
    Cinémax

    2 abonnés 63 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 mars 2024
    « Fenêtre sur cour » fait partir des incontournables du cinéma et de la filmographie d’Hitchcock et, même si le résultat est génial, je doute qu’il fasse partie des meilleures réalisations Hitchcockiennes. Ici, le maître du suspens nous plonge dans un huis clos aux côtés d’un reporter obligé de rester chez lui dans un fauteuil à cause d’une jambe cassée. Le gaillard trouve donc une occupation fort réjouissante : celle d’épier les agissements de ses voisins par la fenêtre. Ce jeu prend une toute autre tournure quand il soupçonne son voisin d’en face d’avoir tué sa femme…
    D’un point de vue cinématographique, le film est excellent ! Hitchcock parvient à nous captiver malgré un personnage inerte et un décor unique qu’il rend vivant et dont on connaît toutes les subtilités une fois le visionnage achevé. Il alterne les prises de vue, changeant entre des plongées, des plans rectangulaires ou ronds pour rappeler les jumelles. C’est très astucieux d’utiliser le voyeurisme pour nous plonger dans l’intrigue car on garde cette observation pointue tout le long et on découvre les atmosphères qui se créent dans chaque demeure, comme des tableaux indépendants. De plus, les dialogues sont très bien écrits et prêtent souvent à rire avec finesse et le jeu d’acteur du fantastique James Stewart et de la splendide Grace Kelly fonctionnent à merveille. Néanmoins, j’ai trouvé que le film mettait du temps à démarrer et à faire avancer son intrigue qui commence à nous saisir avec tension vers la fin. Je pense qu’il aurait peut-être été plus judicieux d’en faire un court-métrage dans lequel toute l’enquête (un peu bâclée lors du dénouement) serait restée intacte. On assiste à certaines longueurs, à des dialogues, certes souvent drôles, mais parfois inutiles et à une fin décevante après tout ce que le film nous a fait miroiter.
    TheGass
    TheGass

    39 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 février 2024
    Un film vraiment à part. On se prend au jeu du voyeurisme avec une telle facilité… déconcertant.
    Pour selon que le film soit un huis-clos total, on ne s’ennuie pas un instant. Un départ en douceur agréable pour poser le cadre et puis une tension qui va crescendo jusqu’à un climax saisissant.
    Ce n’est certes pas le plus rocambolesque et palpitant des films d’Hitchcock mais le développement de l’intrigue est parfait, tout comme l’utilisation du champ-contrechamp.
    Le spectateur parvient ainsi à s’impliquer lui-même directement aux côtés des acteurs.
    James Steward est toujours au top et que dire de la divine Grace Kelly… rien que pour sa présence le film mériterait un 5/5 !
    Jazoon
    Jazoon

    13 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 février 2024
    Wahou, le scénario ! J'ai découvert cette histoire par le biais des Simpsons et j'ai découvert un film monstrueusement qualitatif sur tous les points. James Stewart est super comme d'habitude, Grace Kelly est aussi belle que convaincante. En deux mots TROP BIEN
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