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    Fenêtre sur cour
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    Fgiraut
    Fgiraut

    8 abonnés 29 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 10 février 2023
    Photographe voyeur et éblouisseur. Contre-champ/champ/contre-champ ou de la subjectivité du regard immobile cadré ; quand l'observé fait irruption et pousse l'observateur dans le champ de l'observation.
    Bernard D.
    Bernard D.

    111 abonnés 613 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 janvier 2023
    Quel plaisir que de revoir « Fenêtre sur cour » (1955) d’Alfred Hitchcock. James Stewart est un grand reporter-photographe qui suite à une fracture de la jambe est cloué dans son appartement sous la chaleur de l’été. Il va pour s’occuper regarder ses voisins, un panel de la société. Certaines allers et venues vont l’intriguer et il passera de l’œil à une paire de jumelles puis au puissant téléobjectif de son appareil photo. Il va imaginer un meurtre et aura du mal à en parler à son infirmière (Thelma Ritter), son amie (la rayonnante Grace Kelly) et son copain de guerre devenu détective privé (Wendell Corey). Petit à petit la sauce va prendre et la chute – au sens propre du terme – clouera notre héros dans son fauteuil roulant les 2 jambes cassées, le sourire aux lèvres.
    Un film d’une très grande finesse remarquable par le décor et le montage. Un chef d’œuvre du cinéma qu’on savoure à chaque fois.
    TwentyEight
    TwentyEight

    4 abonnés 139 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 9 décembre 2022
    Tout est parfait dans ce film. Les acteurs sont sublimes, la musique que joue les voisins, les plans des différents appartements.

    Tout est calculé ça se voit.
    I'm A Rocket Man
    I'm A Rocket Man

    284 abonnés 3 113 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 27 novembre 2022
    Pfff. j'ai été déçu par ce film... il y a quelques jours j'ai regardé 'Sueurs froides' et j'avais tellement aimé ça que j'ai voulu continuer les classiques d'Hitchcock mais là je me suis ennuyé... l'enquête est longue à se mettre en place & le scénario n'est pas aussi surprenant que dans 'Vertigo' fait que je suis ressorti de ce film avec une sensation de raté... c'est triste à dire mais c'est vrai... reste la belle présence de la magnifique Grace Kelly qui a au moins apporté un peu de glamour à ma soirée !
    Surfeurfou974
    Surfeurfou974

    10 abonnés 268 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 octobre 2022
    Fenêtre sur cour dans son titre français, un des films iconiques de Alfred Hitchcock le maître du suspense pendant 1h50 ce film se déroule presque en huis clos dans une chambre l’imagination de l’acteur joué par James Stewart le pousse à croire qu’un meurtre a eu lieu dans l’immeuble Grace Kelly est tout simplement magique, le film était un peu lent au début mais il faut se remettre dans le contexte, 1954 ! Ensuite le suspense prend au tripes, les effets spéciaux sont fantastiquement dépassés mais il sans doute très bien réussi pour l’époque on regarde ce film avec amour comme un chef-d’œuvre de l’histoire du cinéma
    Stena Dbc
    Stena Dbc

    2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 octobre 2022
    Jeunes acteurs très crédibles dans leur rôle. Et heureux d'avoir pu visionner une oeuvre de hafsia herzi, une actrice et réalisatrice remarquable.
    Caverneux Boutonneux
    Caverneux Boutonneux

    4 abonnés 55 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 août 2022
    Alfred Hitchcock est un cinéaste qui m'a toujours un peu laissé froid.
    Non pas qu'il maîtrise mal sa mise en scène, par tous les Dieux que cet homme était doué et que je ne suis pas le premier à le scander !
    Mais seulement voilà, je suis un petit con issu des années 2000 qui trouve que son cinéma a quand même pas mal vieilli dans certains effets (le plus flagrant étant Les Oiseaux, ça a totalement plombé mon visionnage et je n'ai pas réussi à rentrer dedans).
    C'est pourquoi après une bonne demi-douzaine de ses films que je me suis enfilé, il était temps pour Fenêtre sur Cour et je n'avais pas spécialement beaucoup d'attentes.
    Mais seulement voilà, je suis un petit con. Et être un con ça implique de salement se planter de temps en temps.

    Ce qui fait à mon sens la grandeur de ce Rear Window, c'est paradoxalement son pitch intimiste où on va rester tout le film dans le même appartement et suivre le point de vue du protagoniste.
    Les questions du mensonge et de la confiance en l'autre sont au centre de l'intrigue, et pour le coup Hitchcock peut s'éclater avec un artifice qui m'a scotché pendant tout le film : la suggestion.

    Cette suggestion permet d'éviter de s'attarder sur certaines choses qui auraient été un enfer à tourner avec les moyens techniques de l'époque, et d'un coup on touche selon moi à quelque chose de véritablement intemporel.
    Cette suggestion invoque par conséquent le pouvoir d'attraction, et c'est sur ce point qu'on se rend compte que l'on n'a pas affaire à une pastèque en terme de mise en scène.
    L'air de rien, les exercices de style de ce genre sont loin d'être évident. Et si le monsieur s'est déjà essayé au huit-clos avec le très bon Rope, il arrive ici à une quintessence remarquable.
    En ce qui concerne de trouver une excuse à ce concept on n'a qu'à dire que le protagoniste est en fauteuil roulant. À partir de là on peut dire qu'il s'ennuie et observe les gens et des trucs bizarres. Et il a un téléphone pour appeler des connaissances. Et il a aussi une infirmière à qui il peut se confier.
    Rien de révolutionnaire, que de l'efficacité. L'exposition est brillante parce que soudaine et claire sans être lourde ni invraisemblable. Dès le début on a les thématiques, les motivations et ne reste que l'intrigue à déballer. Imparable. Parfait.

    Le régal ne se limite pas qu'à son scénario bourré de retournements de situations qui nous tiennent en haleine pendant près de deux heures (qui passent comme une seule), mais par la cohérence absolue de la thématique au cœur de l'intrigue : le point de vue.
    Il n'est pas forcément question que du point de vue de Jeffries à travers sa fenêtre. On peut même carrément y voir une mise en abîme où nous sommes Jeffries et notre écran est sa fenêtre.
    Finalement, le spectateur a quelle place dans cette histoire ?
    Quelle hauteur de vue lui est accordée ?
    Nous demeurons de ce spectacle des juges corrompus par le doute d'une affaire de meurtre qui ne tient qu'à un fil. Et on en vient à se dire que Jeffries est juste paranoïaque, comme ses compagnons le pensent. Et des fois on se dit qu'il a peut-être raison, comme ses compagnons le pensent.
    Le film nous regarde constamment en nous posant inlassablement la même question :

    Et toi, t'en penses quoi ?

    Un film avec une telle hauteur de vue, c'est rarissime.
    Et c'est ce qui fait de Rear Window un chef-d'œuvre total.
    Parfait, sans la moindre faille dans son plan, au propos aussi brillant que pertinent.
    Donc je m'excuse auprès du maître, et je tâcherai de reconsidérer ses films pour la majesté qu'ils dégagent et dont pour moi Fenêtre sur Cour en est le point d'orgue. Il serait impensable aujourd'hui de pondre un truc comme ça, et quelque part c'est ça aussi le génie de son auteur.
    Xavier D
    Xavier D

    59 abonnés 1 064 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 août 2022
    Un modèle du genre, ce huit clos, d'où on se retrouve, comme le charismatique James Stewart, qui a d'ailleurs un rôle très physique, a avoir envie de jouer les voyeurs. Même si parfois cela peut porter préjudice. Comme être le témoin d'un meurtre, ou que l'on le soupçonne. La présence féminine de Grace Kelly, arrange visuellement les choses, autre en tous cas, que ce suspense, réalisé par un maître en la matière. Un humour délicieux est aussi présent que la crainte. Ce chef d'œuvre joue sur tous les tableaux !
    iof
    iof

    5 abonnés 139 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 mai 2022
    Un des meilleur film d'Alfred Hitchcock. James Stewart impeccable en infirme alité qui assiste, impuissant à agir, au crime depuis sa fenêtre. Et Grâce Kelly au sommet de sa beauté, en comparse au service de la justice. Jubilatoire.
    Isaac L
    Isaac L

    8 abonnés 111 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 mai 2022
    Quatrième film de Alfred Hitchcock que je visionne, Fenêtre sur cours est un bon thriller, et ce malgré ses défauts.
    Le pitch de base est très original, car il permet au spectateur de s'imaginer plusieurs fins possibles. Les décors sont impressionnants et la multitude de personnages et de figurants vivant dans cette habitation donnent l'impression d'observer un véritable environnement. La photographie est splendide ; nottamment les crépuscules. ; et la musique fonctionne bien, même si elle aurait pû être un peu plus stridente pour mieux accompagner cette ambiance suspicieuse. Le duo James Stewart et Grace Kelly fonctionne à merveille, de même que leur relation de couple. Le premier est ; de part son accident et ce à quoi il assiste ; attachant et empathique. Et là seconde brille par son charme et sa malice. L'enchaînement de péripéties est extrêmement bien mené et ces séquences bénéficient d'une mise en scène qui oscille entre une pluralité de points de vue, ce qui à pour conséquence d'insuffler à l'œuvre de la tension et du suspens. Je suis cependant rester sur ma faim en ce qui concerne la conclusion du film. En effet, l'usage de CGI laids et affreux n'est pas vraiment pertinent. Je ne critique pas la qualité ; on est dans les années 50 quand même ; mais bel et bien l'usage de CGI. Il aurait mieux valu essayer autre chose, un autre dénouement, car ces effets spéciaux entravent un peu la qualité de ce long métrage. Pareil pour les scènes d'actions, elle sont très molles et peu entraînantes : elle ne font que ralentir le film, et donc la tension.
    selenie
    selenie

    6 233 abonnés 6 183 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 4 avril 2022
    Pour ce film Hitchcock obtient des moyens énormes dont le plus impressionnant reste le décor ; il fait construire dans les studios de la Paramount l' immeuble d'en face soit 56m de long, 11m de large et 12m de haut ,pour 31 appartement dont 12 principaux entièrement meublés, avec électricité et eau courante ! Hitchcock se fait alors un malin plaisir à manipuler le spectateur, lui aussi impuissant mais surtout en obligeant à ne pas juger ce voyeur ; en effet, il ne peut être vicieux, il est journaliste, travailleur, à Grace Kelly comme fiancée, il est handicapé, et il est joué par James Stewart icône de la vertu américaine et pourtant sur le fond il épie de façon la plus méprisable qui soit, presque de façon sournoise à tel point qu'il est d'abord moqué par sa fiancée. C'est sur cette contradiction que le suspense et la morale se construit, et c'est bien là le génie de Hitchcock.
    Site : Selenie
    tisma
    tisma

    291 abonnés 1 968 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 3 février 2022
    Une œuvre iconique et qui est sublimement porté par l'œil incroyable de Mr Hitchcock. Grace Kelly est puissante et les acteurs qui l'entourent portent aussi bien leur rôle !
    ConFucAmuS
    ConFucAmuS

    529 abonnés 951 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 janvier 2022
    Comment un réalisateur du regard comme Hitchcock aurait-il pu résister à un pitch d'une telle évidence ? Non content d'aborder son obsession de la manière la plus simple, directe et accessible, Fenêtre sur cour superpose à la fois le metteur en scène et le spectateur sur le personnage principal (James Stewart, parfait), tous trois renvoyés à leur condition de voyeurs impénitents. D'accord, le réalisateur garde un avantage certain sur nous sans jamais s'exclure du (délicieux) piège. De cette mise en abyme vertigineuse (l'encadrement des fenêtres en analogie à l'écran de projection), L. B. Jeffries, nous et le grand orchestrateur s'efforcent de dégager du sens à partir d'informations fragmentaires soumises à plusieurs filtres : point de vue, à-priori mais aussi ce qu'on ne voit pas.

    Le film s'ouvre avec une succession de longs-plans panoramiques qui posent le décor et l'univers du héros prostré dans son salon. La caméra suit son regard, son regard dirige le notre. On découvre les habitudes du voisinage par petits bouts, on échafaude des hypothèses sur les caractères,... Tout cela, on ne le fait qu'à partir du perchoir de Jeff qu'on ne quittera pas des 120 minutes. Puis arrive l'élément perturbateur. À la grâce d'une ellipse judicieusement posée, Hitchcock sème le doute. À partir de là, c'est la nature du film qui vrille sur elle-même. Alors que Jeff le photographe (tiens, un autre conteur par l'image) se demande s'il n'a pas été le témoin d'un crime insidieux, nous sommes en droit de nous interroger sur ce que nous regardons, je parle aussi bien des évènements auxquels nous assistons que du film lui-même.

    Selon l'inclination ou l'imagination, on peut tout à fait choisir d'adopter les perspectives du voisin curieux ou de les regarder en biais. Le résultat est exactement le même puisqu'on est pris au jeu des faux-semblants, on guette l'élément qui viendra appuyer ou ébranler notre théorie (vrai meurtre, fausse piste, romance cachée). En bon petit stratège, Hitchcock va s'amuser à passer de l'une à l'autre, prenant un plaisir certain à perturber nos certitudes jusqu'à sa résolution finale, pour le coup assez claire (trop d'ailleurs) et sous haute tension, puisque rappelant à son spectateur sa double nature passif/actif face à ce qui se déroule devant lui.

    Les années n'ont aucune prise sur Fenêtre sur cour, et ce n'est pas un hasard. Le long-métrage touche à l'universel en glissant un grain de sable dans l'objectif (notre regard). Comme à son habitude, le cinéaste légendaire le fait de manière ludique pour mieux inviter à remettre à plat ce que nos yeux voient, la différence entre les histoires vraies et celles qu'on s'inventent ne tenant parfois pas à grand chose. D'une interrogation purement Descartiennes (nos sens nous trompent-ils ?), Hitchcock en fait le sel d'un thriller malin, terriblement amusant et drôlement effrayant. En moins de deux heures s'il vous plait. Chapeau l'artiste.
    Nicolas S.
    Nicolas S.

    93 abonnés 1 549 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 janvier 2022
    Parmi les films de Hitchcock, je placerai "Fenêtre sur cour" dans le haut du panier.

    C'est en effet un film à suspense efficace. D'une part, parce que l'histoire en elle-même est redoutable : un photographe en fauteuil roulant espionne ses voisins pour tuer le temps et croit avoir découvert un meurtre dans l'immeuble d'en face. Il y a de la matière avec un tel pitch pour se jouer du spectateur, l'envoyer dans des impasses, le faire douter.

    D'autre part, parce que le réalisateur a su ne pas tomber dans l'immobilisme qui aurait pu résulter de son unité de lieu. Au contraire, la caméra se ballade le long de la façade, des effets visuels miment la vision au travers de jumelles ou d'un objectif d'appareil photo, etc ...

    De telle sorte que, malgré un personne principal qui ne bouge quasiment pas et donc un film qui se déroule exclusivement dans une pièce, on ne s'ennuie pas.

    Pour réussir cela, il fallait également des acteurs suffisamment magnétiques pour attirer l'attention du spectateur et la conserver. Ce fut une bonne pioche lorsque Grace Kelly fut recrutée. Difficile d'imaginer quelqu'un d'autre reprendre ce rôle aujourd'hui. Elle a mis la barre très haut.

    James Stewart, également, parvient à capter l'attention et à nous maintenir en haleine, malgré un personnage très tête à claques.

    Et puis, j'ai une petite affection pour l'infirmière, peut-être le personnage avec les meilleures lignes de dialogues. Belle trouvaille, elle apporte des instants humoristiques bienvenus pour faire descendre la pression.

    Mais ce que je retiendrai, c'est probablement ce final. Vite expédié mais diablement marquant.

    Un bon Hitchcock en somme.
    Alex Delarge
    Alex Delarge

    10 abonnés 107 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 4 janvier 2022
    Honnêtement, je ne savais pas du tout à quoi m'attendre, car j'ai acheté le film sans même l'avoir vu, le côté huis clos me faisait plutôt peur, car de tous les films du genre que j'ai vu il n'y en a qu'un seul que j'ai aimé, mais celui-ci bien que un peu long dans la première demi-heure, tout le reste du film est exceptionnel, J'ai été pris dans l'histoire, et j'ai beaucoup aimé le faite que certaines scènes soit filmées très proche des acteurs ce qui nous immerge encore plus dans ce film
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