Votre avis sur Le Silence des agneaux ?
Oniraseyo

420 critiques

Suivre son activité

5,0
Publiée le 16 février 2025
Irréel terrifiant, je ne ressors qu’encore réveillé par ce chef d’œuvre qui laisse sur le qui vive qui nous entourent, l’esprit du FBI est pesant, lourd, étrange, déviant, sinistre, rock métal, glamour, à la sauce caesar le folklore méthodique, organisé, rangé, classé, méticuleux américain, pour du cinéma c’est du grand, le piège du fichier de personne recherché SK1 Buffalo Bill, terrorise mal dans sa peau douce folie, se resserre depuis la prison niveau sécurisé, commence une manipulation contrôle mentale qu’exerce le docteur prisonnier Hannibal Lecter qui s’adonna à ses penchants instincts primaires basiques répulsifs, sur l’agent/e fédéral/e Clarice Starling tels collègues pervers narcissiques comme proches, est-ce une bonne nouvelle cette stagiaire au service de la superpolice des États Unis ? Oui maître dieu que c’est le diable incarné en personne, ensuite mets toi à l’aise sur le banc chaise divan, surveillant d’un œil policier pouvoir de l’intuition en marge des cellules d’en face, c’est cela que décrit la force du sujet de synopsis, si personne remarque d’ici, monde de dingue passé présent futur, trois points primordiaux pour ne pas perdre la tête en plus positif ou moins négatif
nicolas thomas

4 critiques

Suivre son activité

5,0
Publiée le 9 février 2025
Un film culte, non ça c’était il y a des décennies. Revoir le silence des agneaux nous remet en cohérence avec le femisme, le patriarcat, le wookisme et tout ce qui a déraillé depuis.
Au delà d’être le chef d’œuvre mérité d’un des plus grands thrillers de tout les temps .
Pouni

4 critiques

Suivre son activité

2,0
Publiée le 7 février 2025
C’est bien simple. J’ai vu ce film deux fois. Je serai incapable de dire ce qui s’y passe. Et ça, ça veut dire que c’était inintéressant, plat et ennuyeux. Soporifique. Dommage.
5,0
Publiée le 5 février 2025
Enfin, je découvre le cultissime "Silence des agneaux" (enfin une séance à Paris dans un autre horaire que 21h30 ou 22h).
C'était un film que je voulais absolument voir au cinéma, parce que l'ambiance ne peut être égalé chez soi.

L'attente en valait la peine. Ce film est un thriller haletant et psychologique qui m'a complètement bouleversé. C'est un film qui une fois de plus nous rappelle qu'on a pas besoin d'en faire des caisses dans le gore pour faire de l'horreur. Je pense même que le psychologique est tellement plus impactant sur le long terme, c'est quelque chose de tellement plus mémorable qu'un pauvre screamer.

Anthony Hopkins incarne donc le célèbre psychopathe "Hannibal Lecter", un ancien médecin interné pour les horreurs qu'il a fait à ses patients.

Mais Hannibal n'est pas le seul psychopathe du film, en effet, nous avons Buffalo Bill, qui contrairement à Lecter, lui n'est pas interné. Clarice Starling va elle enquêter sur Lecter mais son enquête est lié à Bill.

Le film jouera donc énormément sur la psychologie de Mme Starling et propose des scènes incroyablement et surtout horriblement bien mis en scène. Je pense notamment à la fin où tout le film y mène et en voici l'apothéose.

Le Silence des Agneaux est pour conclure un film très bien mais en scène, qui peut nous faire perdre espoir en l'humanité mais dont on ne peut qu'être admiratif de sa qualité et de sa justesse.
4,5
Publiée le 28 janvier 2025
J'ai trouvé que le film était un chef d'oeuvre.

Le jeu d’acteur est tout simplement exceptionnel. On est tenu en haleine du début à la fin, grâce à une intrigue parfaitement maîtrisée et un suspense omniprésent. L’ambiance, particulièrement pesante, atteint son apogée lors spoiler: de l’arrestation du tueur, une scène magistrale qui laisse sans voix.


Les personnages sont incroyablement bien développés, avec une profondeur qui les rend fascinants. Hannibal Lecter, en particulier, est une véritable masterclass : spoiler: son évasion est à couper le souffle
, et son cynisme glaçant à travers son regard le rend aussi captivant qu’inquiétant.

Un film inoubliable, qui mérite amplement son statut culte.
5,0
Publiée le 26 janvier 2025
Le Silence des agneaux est un pur chef d’œuvre. Le seul regard d’Hopkins glace le sang, Jodie Foster est incroyable dans son rôle. Un film qui n’a pas du tout vieilli selon moi. Le symbole du papillon… à méditer !
anonyme
Un visiteur
4,0
Publiée le 21 janvier 2025
Du début à la fin, on ressent la tension de ce film : Starling est une agente chétive, mais terriblement résiliente et courageuse. Elle noue un partenariat malsain avec le Dr. Lecter, antagoniste qu'on adore détester, et dont la collaboration est indispensable pour coffrer Buffalo Bill.

Sans verser dans un graphisme organique gratuit, Jonathan Demme nous nourrit de situations ignobles, en explorant autant les coulisses d'une enquête chaotique – dans laquelle les embûches viennent des deux camps – qu'en nous plaçant dans la peau du tueur. On assiste à la façon dont il piège ses victimes, à ses passe-temps chez lui. spoiler: On va même jusqu'à adopter son point de vue à la fin du film.


Un thriller médusant et ambigu, qui ne sombre pas dans le manichéisme, magnifié par une grande interprétation des trois rôles principaux. C'est un classique qui mérite son titre.
4,5
Publiée le 6 janvier 2025
Julien Legrand : « Dans les années 90 et même dans toute l’histoire du cinéma, peu de films peuvent se targuer d’avoir remporté ce qu’on appelle dans l’industrie le « Big Five », c’est-à-dire les Oscars du « meilleur film », du « meilleur réalisateur », du « meilleur acteur », du « meilleur scénario » et de la « meilleure actrice ». Ils sont seulement trois à avoir réussi cet exploit, « New York-Miami » (1935) du génial Frank Capra, « Vol au-dessus d’un nid de coucou » (1976) de Miloš Forman avec le fabuleux Jack Nicholson et le film qui nous intéresse aujourd’hui, « Le Silence des Agneaux » (1991) de Jonathan Demme.
C’est vous dire la performance et la qualité du long métrage offert par le réalisateur de « Philadelphia », également porté par une fabuleuse Jodie Foster et un effrayant Anthony Hopkins, et considéré par beaucoup comme le plus grand thriller de tous les temps. Une œuvre adaptée du sublime roman de Thomas Harris qui a clairement redéfini les codes même du thriller psychologique.
Empruntant autant à Alfred Hitchcock et à son « Psychose » qu’à Tobe Hooper et son « Massacre à la tronçonneuse », le métrage s’est véritablement installé au panthéon du Septième Art tout en inspirant les plus grandes œuvres futures comme le non moins brillant « Seven » de David Fincher.
Mais pourquoi « Le Silence des Agneaux » est-il à ce point ancré dans l’imaginaire collectif ?
Un psychopathe connu sous le nom de Buffalo Bill sème la terreur dans le Middle West en kidnappant et assassinant des jeunes femmes. Clarice Starling (Jodie Foster), un jeune agent du FBI, est chargée d’interroger l’ex-psychiatre Hannibal Lecter (Anthony Hopkins). Psychopathe redoutablement intelligent et porté sur le cannibalisme, Lecter est capable de lui fournir des informations concernant Buffalo Bill ainsi que son portrait psychologique. Mais il n’accepte de l’aider qu’en échange d’informations sur la vie privée de la jeune femme. Entre eux s’établit un lien de fascination et de répulsion.
Après le brillant « Le Sixième sens » de Michael Mann, « Le Silence des Agneaux », est le premier opus cinématographique a véritablement se consacrer au docteur Hannibal Lecter (avant le décevant « Hannibal » de Ridley Scott et l’horrible « Dragon Rouge » de Brett Ratner).
Jonathan Demme va réussir en un seul film à cristalliser les démons d’une Amérique malade grâce à une mise en scène de génie, des acteurs brillants, une bande son anxiogène et des thématiques fortes afin d’ausculter les tréfonds de l’âme humaine.
Le matériau littéraire de base signé Thomas Harris est certes remarquable et la trame policière un modèle de suspense policier, mais cela n’enlève rien au travail de titan fourni par le scénariste (Ted Tally) et le réalisateur, qui ont réussi à transformer un récit brillant en référence cinématographique. Le cinéaste parvient à plonger son public dans une ambiance à la fois distanciée et glauque, sobre et malsaine, épurée et horrifique.
Les spectateurs sont happés dans cette trame monstrueuse sur la psychologie humaine, c’est terrorisés, décontenancés qu’ils vont découvrir la bestialité de leurs congénères à travers les yeux de la jeune agent du FBI (Clarice Starling). Cette terreur sournoise vient du mélange des genres. En passant du film policier au drame psychologique et aux frontières du thriller horrifique, Demme donne du corps et de l’âme à son film.
Par le prisme de la relation Starling/Lecter, le film traite de la notion de monstruosité : celle exacerbée de Buffalo Bill (tueur en série en quête identitaire et sexuelle) et celle plus dissimulée d’Hannibal Lecter (Anthony Hopkins), psychiatre annibale raffiné et manipulateur.
Et c’est dans ses moments plus intimistes que la mise en scène de Demme se fait de plus en plus intelligente, le cinéaste opte pour des plans serrés afin de renforcer cette proximité et ce lien entre le Dr Lecter et l’agent Starling. Grâce à ce procédé de réalisation, Demme crée un malaise constant : petit à petit, le dégoût ressenti par Starling envers Lecter laisse place à une certaine forme de respect comme celui de deux adversaires jouant une partie d’échecs mortelle et comme un prédateur qui attire sa proie. Une ambivalence qui perdurera durant tout le film.
Jonathan Demme offre au final une mise en scène virtuose qui favorise encore plus l’ancrage du spectateur grâce à ces travellings oppressants qui accompagnent la jeune femme dans les couloirs de la prison, ou le face-à-face final dans l’obscurité, la mettant en présence du tueur en série. C’est donc peu dire que le travail de metteur en scène est essentiel, et contribue au pouvoir de fascination exercé par ce thriller qui culmine avec la séquence d’évasion la plus terrifiante de l’histoire du cinéma.
Que dire encore de la somptueuse partition livrée par Howard Shore (la trilogie du « Seigneur Des Anneaux ») dans laquelle la violence n’est plus tant graphique que psychologique. En mettant en parallèle le calvaire de la dernière victime de Bill et l’enquête menée par Starling pour la retrouver, Jonathan Demme définit le thème de son film comme le combat de deux femmes pour sortir de l’enfer (un puits qui semble sans fond pour l’une, une enquête qui fait ressurgir de douloureux souvenirs d’enfance pour l’autre). Se faisant, le cinéaste transforme son film en version sombre de « La Belle et la Bête » à travers deux relations (Starling et Lecter, Bill et sa victime) qui ne peuvent se faire que dans la douleur.
Cependant, il n’y a pas que la mise en scène, le scénario et la musique qui ont fait du « Silence des Agneaux » un classique indémodable, les acteurs y sont également pour beaucoup.
Le long métrage de Demme offre peut-être à ses deux interprètes principaux le plus beau rôle de leur carrière respective.
D’abord Anthony Hopkins, alors illustre inconnu outre-Atlantique, dans la peau du Docteur Lecter. Thomas Harris s’est inspiré de trois tueurs en série pour créer les deux tueurs de son film, Ted Bundy, Gary Heidnick et Ed Gein. L’auteur en crée une combinaison morbide et fascinante incarnée de manière troublante par un Anthony Hopkins absolument effrayant et magistral. Buffalo Bill, lui interprété par un Ted Levine tout simplement parfait qui insuffle un subtil mélange de peur et de pitié à son personnage. Rarement un psychopathe n’aura été aussi bien retranscrit et si authentique au cinéma.
Quant à Jodie Foster, comme son personnage, elle doit se battre pour se faire accepter, respecter dans ce monde d’hommes. Elle porte sur son corps un regard distant et rejette celui des figures masculines qui l’entourent en mettant en valeur ses qualités humaines et professionnelles, refusant les jeux de séduction qui lui seraient imposés. Une performance brillante qui prouve encore une fois tout son talent.
C’est pour toutes ces raisons que « Le Silence des Agneaux » reste à jamais l’un des plus grands thrillers de tous les temps. Le film de Jonathan Demme n’a rien perdu de son impact psychologique, il demeure un monument parfait de terreur distillant tour à tour angoisse et malaise.
Porté par des comédiens exceptionnels et une mise en scène virtuose, « Le Silence des Agneaux » a installé Hannibal Lecter au panthéon des plus grands méchants du cinéma et a clairement marqué le Septième Art de son empreinte en atteste ses 5 Oscars remportés. Un véritable chef d’œuvre intemporel. »
TOUT-UN-CINEMA.BLOGSPOT.COM
5,0
Publiée le 5 janvier 2025
Le Silence des Agneaux est-il un thriller parfait ?

Il possède avant tout une tension exceptionnelle, une caractéristique primordiale du genre. Il peut aussi faire peur, mais le film ne sombre pas dans l'horreur ou le gore. Le Silence des Agneaux a le souci du détail, tant dans ses plans, dans les prestations des acteurs que dans sa construction, qui est très décousue mais qui s'accorde parfaitement avec cette histoire. Le récit se décante peu à peu... et laisse place à un contenu grandiose !

Le film raconte l'histoire d'une jeune agente du FBI qui interroge un brillant psychiatre cannibale, enfermé dans une prison surprotégée. L'agent Starling tente de recueillir ses analyses pour comprendre le profil d'un dangereux psychopathe qui fait de nombreuses victimes dans la région. Un scénario qui réserve de grandes surprises !

En effet, la manière dont Jonathan Demme mêle le suspense à un jeu de dialogues intense entre Starling et Lecter est incroyable. Les scènes entre les deux personnages sont d'une rare intensité, portées par des dialogues et des silences percutants. On ne sait jamais ce que pense Hannibal, mais on sait qu'il est brillant et qu'il peut analyser n'importe qui. Il devient un personnage fascinant, capable de tout comprendre. La différence entre l'innocence de la jeune flic et la monstruosité qu'elle doit affronter rend l'ensemble encore plus oppressant. Hannibal Lecter est fascinant par son intelligence démesurée, son calme et sa capacité à incarner une menace latente. Chaque interaction avec lui est captivante !

Ce psychopathe est devenu l'un des "méchants" les plus iconiques de tous les temps, raflant d'ailleurs un Oscar, alors qu'il n'apparaît que 15 minutes a l'écran. Cela montre à quel point sa performance est indiscutable.

Bien que le film soit une adaptation et non une idée originale, et qu'il soit certes excellemment mis en scène par Jonathan Demme, le génie revient en grande partie à Thomas Harris, l'écrivain... Mais pour ce qui est du film, ce que je retiens avant tout, c'est l'énorme expérience immersive qu'il provoque, une grande caractéristique du thriller psychologique.

oui, Le Silence des Agneaux est parfait.
5,0
Publiée le 14 janvier 2025
Ça fait des années que le film est sur l'étagère à DVD mais je ne l'ai jamais vu. Noël arrive… Vendredi, je suis coincée à l'appartement. je croise le DVD sur l'étagère. Je me dis, petit DVD, je te donne 10 minutes pour me convaincre. Je mets la galette. Je me rends compte que ça fait une éternité que je n'ai pas utilisé le lecteur. Play. Deux heures plus tard, je suis toujours devant l'écran. Je sais que c'est une drôle de façon de rédiger une critique. Mais la seule chose que je peux dire, c'est que j'ai crevé de trouille. Quelle bombe. Je comprends pourquoi Jodie Foster et Anthony Hopkins sont devenus des stars. Le duo est fou. Quelle alchimie entre eux. Je préfère ne rien raconter de l'histoire, ce serait dommage de spoiler. Mais si vous voulez avoir la trouille, éteignez la lumière et sortez le vieux DVD de l'étagère… le meilleur film de serial killer du cinéma.
5,0
Publiée le 26 novembre 2024
C'est un pur chef-d'œuvre. C'est ce que j'appelle un véritable thriller qui nous donne la chair de poule. Entre folie, horreur, terreur, manipulation et enquête, on n'a pas le temps de s'ennuyer. Un film remarquable, mémorable et inégalable, tant par le scénario que par le jeu des acteurs. Tous, sont d'ailleurs excellents, que ce soit Levine, Hopkins ou Foster. On a l'impression qu'ils ne jouent pas, et c'est ce qui rend ce film encore plus terrifiant et haletant. Film culte des années 90 qui n'a pas pris une seule ride 🎬😍
Evan Gimz

20 critiques

Suivre son activité

4,5
Publiée le 20 novembre 2024
Un thriller horrifique exceptionnel qui se démarque par son intrigue, son scénario, sa mise en scène et surtout ces acteurs mémorables. On prend du plaisir chaque moments lorsque l’on avance dans le film, chaque fois que l’on comprend un élément du puzzle. Je n’ai rien à ajouté.
4,5
Publiée le 1 novembre 2024
Le mètre étalon des thrillers. Hopkins est malsain dans le rôle d'Hannibal, Foster est touchante en Starling, et Ted Levine est méconnaissable en Buffalo Bill. C'est très bien filmé, et tendu de bout en bout. La scène de fin est glauque et dérangeane. Le film a clairement marqué l'histoire des thrillers, dans lesquels on retrouve très souvent certaines scènes., dont la scène culte ou Clarice et les agents du FBI frappent a une porte. Un must.
3,5
Publiée le 30 octobre 2024
Au regard des critiques très élogieuses à propos de ce film, je m'attendais à un chef d'œuvre. Alors je ne sais pas si c'est le film qui a mal vieilli ou moi qui ai des gouts particuliers, mais j'ai été déçu après le visionnage même si je reconnais la qualité du film. En effet, Le Silence des agneaux est un bon thriller avec des scènes haletantes mais qui ne m'a pas plus marqué que ca.
5,0
Publiée le 18 octobre 2024
Adapté du roman de Thomas Harris, "Le Silence des agneaux" est un thriller psychologique d'une intensité rare, porté par les performances magistrales d'Anthony Hopkins et Jodie Foster. Ce film explore la relation complexe entre l'agent du FBI Clarice Starling et le brillant mais terrifiant tueur en série Hannibal Lecter. Avec une réalisation maîtrisée et un suspense haletant, Demme parvient à créer une atmosphère oppressante tout en abordant des thèmes profonds sur la peur, le pouvoir et la manipulation. C'est un chef-d'œuvre du genre, fascinant et glaçant à la fois.
Les meilleurs films de tous les temps