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    Django
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    149 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 12 décembre 2024
    Vengeance boueuse et cruelle, oubliez les grands espaces, ici on enferme héros et destins comme pour une mise en bière sauce hémoglobine.
    TUTUR29
    TUTUR29

    35 abonnés 1 133 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 septembre 2024
    Je viens de découvrir Django un peu au hasard puisque je savais que Tarantino s’en était inspiré pour Unchained et quelle bonne surprise ! Le film n’a pas pris une ride, on est tout de suite absorbé par cette rivalité entre les mexicains et racistes et par Django au milieu de tout ça qui défie l’autorité de n’importe qui. Le tout avec une mise en scène minutieuse et des superbes musiques qui accentue chaque moment de tension, d’action, de tristesse… je suis peu habitué des westerns mais là ça n’a pas pris une ride, à voir !
    Max Rss
    Max Rss

    204 abonnés 1 844 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 septembre 2024
    Moi qui fais partie des pourfendeurs acharnés du Western traditionnel, j'avoue ne jamais bouder mon plaisir devant un bon "spaghetti". Bon, il va de soi que l'on n'atteint jamais les mêmes sommets que ceux atteints par Sergio Leone (quoi que, en terme de mise en scène de la dégueulasserie humaine, il y aurait matière à discuter), tout comme il va de soi que Franco Nero n'est ni Clint Eastwood, ni Lee Van Cleef, mais quand même, ce "Django" a une mauvaise allure drôlement réjouissante. Faut voir la tronche du tableau : un cow-boy mal embouché qui transporte une mitrailleuse dans un cercueil, qui joue du flingue et du coup de poing habilement, qui n'a besoin que de quelques minutes pour séduire une prostituée, qui tente de piller des Mexicains et d'avoir la peau d'un Commandant de l'Armée Sudiste. Bienvenue en terres italiennes !
    DIDIER ENETTE
    DIDIER ENETTE

    4 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 juillet 2024
    Ce film est un véritable témoignage et hommage à tout ceux qui ont eu atrocement à subir, les méfaits du racisme 😲 Et une belle sensibilisation que certains n'hésitent pas, au nom de leurs idéaux abusifs, à outrepasser impunément les lois en vigueur !
    Nicolas L.
    Nicolas L.

    90 abonnés 1 756 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 mai 2024
    Dis donc c'est une bonne surprise ce western spaghetti qui a fortement inspiré un certain Quentin T... un western un peu crado, un peu immoral et assez violent. Un héros a la Eastwood, un mise en scène un peu foutraque mais avec son charme vintage et une musique morricornienne. Et même si c'est archi binaire le scénario est rigolo. Bref bon moment.
    Totoloinloin
    Totoloinloin

    9 abonnés 314 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 mars 2024
    Court, efficace, Franco Nero est charismatique... on sent l'influence de Clint et Leone mais peu importe. Il se suit avec plaisir.
    L'homme sans nom
    L'homme sans nom

    158 abonnés 995 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 février 2024
    Un mystérieux et charismatique étranger arrive dans une ville perdue, traînant sur le sol boueux un cercueil. Corbucci donne là une image marquante pour le western, et le cinéma en général. Sergio Corbucci a une approche similaire d'un autre Sergio, Leone, mais suffisamment différente pour ne pas faire redite avec la trilogie du dollar. Avec Django, Corbucci devient un des maîtres du western italien et fait de son héros une icône. Néanmoins, le personnage est moins "salaud", et la romance quand même loin d'être féministe. Django est un bon film mais il ne vaut pas, dans le fond comme dans la forme, l'œuvre pour la postérité de Corbucci, Le grand silence.
    fred c
    fred c

    2 abonnés 358 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 décembre 2023
    "Le bon la boue et le truand". Dés les premières minutes on peut voir qu'il est du même calibre que les Clint Eastwood/Sergio Leone de la même époque. Un poil de cheval moins abouti, Nero moins charismatique que le Clint, mais de là a l'enterrer ? non. On prendra donc bien un peu de spaghetti !
    GéDéon
    GéDéon

    92 abonnés 529 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 décembre 2023
    En 1966, Sergio Corbucci livre un classique du western-spaghetti dans lequel tous les clichés du genre abondent : un homme solitaire (Franco Nero) à la gâchette facile, une histoire de vengeance et des méchants sans vergogne. Le scénario permet d’enchaîner les scène violentes et les tueries tout en maintenant une certaine tension. Evidemment, si l’on compare ce film au célèbre « Le bon, la brute et le truand » sorti la même année, ce drame musclé ne peut égaler la subtilité de celui de Sergio Leone. Néanmoins, le thème de l’anti-héros ambigu qui s’avère presque aussi salaud que les autres révèle chez le spectateur un plaisir sadique peu avouable. Bref, du western sans poésie mais très efficace.
    chrisbal
    chrisbal

    15 abonnés 696 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 août 2023
    Un western bien déprimant, qui ferait presque passer ceux de Sergio Leone pour des comédies.
    Ici pas de paysages magnifiés ou encore de touches d'humour....tout n'est que désolation, la ville est déserte, boueuse...
    Le scénario enchaîne les massacres à la mitrailleuse et les scènes de torture (dont une qui n'est pas sans rappeler "Réservoir dogs" de Quentin Tarantino).
    Héros solitaire, Franco Nero (dont la ressemblance avec Terence Hill n'est pas contestable) porte le film sur ces épaules (comme il traine son "cercueil"), mais il est bien seul...
    Il est confronté à un ex-officier confédéré (le Major Jackson) ainsi qu'à un révolutionnaire mexicain (le Général Hugo Rodriguez), pas vraiment charismatiques.
    Seule éclaircie au programme, la scène finale, avec la célèbre musique de Luis Bacalov interprétée par Richy Roberts et spoiler: l'infime espoir de retrouver Maria vivante
    .
    Kymani Alger
    Kymani Alger

    29 abonnés 547 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 14 mai 2023
    Django Western culte qui a cartonné mais moi je n'ai pas trop aimé ce film je trouve les méchants tout sauf charismatique le protagoniste n'est pas attachant , le scénario est très moyen. Le film est beaucoup trop lent avec très peu de scènes marquante. ( après ce n'est que mon avis)
    Hotinhere
    Hotinhere

    578 abonnés 5 024 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 mars 2023
    Un classique du western spaghetti, accompagné d’une bonne sauce bolognaise mijotée par un justicier solitaire à la fine gâchette !
    AugusteMars
    AugusteMars

    32 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 mars 2023
    Western crépusculaire et fataliste, Django est un chef d'œuvre du spaghetti, une œuvre où la violence est extrêmement graphique, mais aussi crasse, un gâchis qui n'amène que la violence, la destruction, la mort. Héros mythique qui cherche à échapper à son mythe, ange de la mort, Django est un personnage fascinant, qu'on devine dégouté par cette violence mais qui ne peut survivre et aider les autres qu'avec elle, quitte à tout sacrifier. Et oui, la paix viendra, mais ce sera dans un désert de boue et de désolation, et dans une scène finale inoubliable, emblématique du film...
    Roub E.
    Roub E.

    995 abonnés 5 024 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 10 mars 2023
    Non le western spaghetti ce n’est pas que les chefs d’œuvre de Sergio Leone. Parmi les autres grands film du genre il y a donc Django de Sergio Corbucci (auteur aussi du merveilleux « le grand silence »). Django est un film qui alterne avec merveille film d’action à tendance série b pour son côté divertissement et un aspect sombre et boueux qui met à mal le mythe de l’ouest et de ses héros. Un film à la fois enthousiasmant, stimulant, divertissant, pessimiste bref un vrai concentré de cinoche artisanal fignolé de main de maître et une des grandes « influences » de Tarantino qui a largement pioché dedans pour le meilleur.
    maxime ...
    maxime ...

    252 abonnés 2 069 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 mars 2023
    Attention, Western d'exception ! De l'or, du sang et de la boue, voilà le matériel qui l'en compose, de cela, les thématiques codifiés du registre en seront poussées à un paroxysme qui définit mon exception inaugurale.

    spoiler: Puisqu'il s'agit d'inauguration, comment débuter sans évoquer son introduction ? Un type qui traine un cercueil dans une mélasse sur fond de chanson éponyme à son nom, quoi de plus iconique ? D'emblée, le film captive avec sa démonstration par l'image des idées arque boutés autour d'un monde en décrépitude, ou les camps se retranchent derrière les bannières, par choix et sadisme, comme une véhicule de la théorie du plus prompt à rependre la cruauté par la force sur celui estimé inférieur. Tout son champ lexical se conjugue par l'impulsion de son réalisateur, Sergio Corbucci ( et d'un Ruggero Deodato ! ), dont la façonne stabilise un récit autour d'un personnage pour qui cet ordre doit s'acheminer, sans aller trop vite ... Détail qui à de l'importance. Django, cet ex-soldat, prisonnier, déserteur, dont les objectifs sont dans un premier laps de temps peu équivoques livre à mesure les intentions de sa présence au milieu d'un conflit auquel il a, déjà, à moyen et court terme pris fonction et qui selon lui, n'a que trop durer en étant victime de ce dernier. Sa position sur l'échiquier s'inverse momentanément lorsqu'il révèle le contenant de son bagage plus qu'inhabituelle, son sourire entraperçu lors de sa rafale sur les alliées de son ennemi, arborant le rouge comme emblème, dresse le substitut du fin de règne. La calfeutre derrière les murs est terminé ! Viens maintenant un autre chapitre. Celui-ci débute à l'instar du précèdent, par un acte manifeste de torture ( dont Tarantino à visiblement bien été influencé ), l'ablation et la dégustation de l'oreille du col rouge, par le col rouge ! Pourtant, le ton passé cette horreur devient nettement plus " léger ". Django, vire à l'épopée, place le curseur sur un projet autre que la vengeance, celui d'un braquage main dans la main, une coalition pleine de frénésie, épique, enjôleuse malgré sa poursuite de sa brutalité manifeste. La fin du coup, laisse aussi place à une évasion qui tend à oscillé vers une suite de cet acabit. Le troc du contenant du cercueil, et la nouvelle direction une fois la ville quitté reviens à un point de départ bien plus macabre et tragique. La boue, une fois encore est le premier de ces éléments à entrer en scène. Je crois n'avoir jamais autant fixé sa composante que par ce Western, il y'a de quoi voir, il faut le dire. La torture, physique et psychologique sont des outils mis en œuvre pour assouvir la domination au milieu du conflit, post-guerre, mais dont le mal ronge encore les consciences, croyances, et dont la légitimité n'est que certitudes pour atteindre le but entériné jusqu'ici. La fin du long-métrage, de sa perte du colis, pas si précieux au final, enfin pas le but ultime, aussi surprenant soit-il, à la déflagration qui s'ensuit, tout est ici mis en œuvre pour attester d'une colère froide, gratuite, difficilement soutenable. La balle de Maria, les mains brisés à coups de crosses puis par le piétinements des cavaliers sous les rires racontent une horreur vu comme acte de piété par des tortionnaires ... Un mal, sans vision manichéiste, qui narre une abominable vérité, l'horreur est déjà là ! La suite, une exécution en bonne et due forme, de celui ayans mis un terme à la neutralité dont il se représentais jusqu'alors. Une fin que l'on imagine similaire sans son choix d'y prendre ou non fait et cause ... En charpie, Django, obtient consécration du sacrifice sur la tombe de celle qu'il souhaitait vengé depuis le départ. Dans une démonstration, là encore ! Franco Nera et consorts sont des visages sublimes, ce film se gaussent de les mettre à mal, ils et elles souffrent avec une brutalité et une fièvre qui soumet une délivrance lorsque le " Fine " retentit. Un chef d'œuvre.
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