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Votre avis sur Django ?
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Vrai western à qui il ne manque rien - et sans doute source de son infini succès -, « Django « est bien sûr devenu une base inratable ; avec ses personnages travaillés et tellement crédibles … , quand on oublie tous ses sbires trop fuyants pour être admis ! Ainsi,comme un tranquille garçon de ferme faussement stupide ( les apparences sont parfois trompeuses ) n’ayant pas connu le vice d’assez près pour être déviant , «Django « nous séduit agréablement et nous restons’accro’ à ce faux western spaguetti par ailleurs tellement meilleur que tant de ces ’classiques’ … L’ambiguité de Django / Franco Nero nous conduit donc tout de suite à l’essentiel - Ici face à des ennemis dignes de foi mais surtout ineptes & bien évidemment si fuyants … - et nous nous laissons porter jusqu’à cette fameuse scène nécessairement blasphématoire & vengeresse nous débarrassant in fine de tous ces méchants fort jaloux aux complots trop évidents . Belle antidote à tous les allergiques des films de S. Leone !
Un excellent western! Franco Nero est vraiment très charismatique en cowboy, j'adore le début du film avec Django qui rentre dans le village en trainant un mystérieux cercueil derrière lui!! La musique est bien géré aussi.. A voir!
Sergio Corbucci connaît son métier, et signe un western spaghetti de bonne facture, avec quelques idées insolites (le cercueil que traîne Franco Nero)
et des séquences très réussies (les fusillades et les bagarres). La violence et la cruauté sont au rendez-vous. Le succès fut tel qu'il engendra toute une série, dont ce "Django" est le meilleur. Les amateurs du genre apprécieront.
et des séquences très réussies (les fusillades et les bagarres). La violence et la cruauté sont au rendez-vous. Le succès fut tel qu'il engendra toute une série, dont ce "Django" est le meilleur. Les amateurs du genre apprécieront.
Sergio Corbucci en très grande forme pour ce western qui n'est pas du tout un hommage au célèbre manouche guitariste.
Certes ce film n’atteint pas la puissance des westerns de Sergio Leone mais Sergio Corbucci n'a pas à rougir car il livre tout de même un western intense et baroque. Les amateurs de western spaghetti ne s'y trompent pas Django est un must du genre.
Un grand classique du western spaghetti contenant tous les ingrédients ayant fait la renomée du genre.
Des acteurs convaincants et au physique de l'emploi, des dialogues qui font mouche, une musique ennivrante et collant parfaitement à l'action,...
Excellent !
Des acteurs convaincants et au physique de l'emploi, des dialogues qui font mouche, une musique ennivrante et collant parfaitement à l'action,...
Excellent !
Bon western spaghetti. Bonne musique. Belles fusillades. Beaux combats au révolver. Bonne interprétation de Franco Nero. Le fait qu'il se ballade en tirant un cercueil derrière lui est une idée originale. Django nous réserve des surprises.
Pas grand chose à sauver de ce western à part l'idée du cercueil tiré par le héros, qui "transporte" allégoriquement les futurs morts. Et il y en a ! Il n'y a même que ça...et quand on échappe à ce funeste destin, on finit les mains écrabouillées, ou avec une une oreille arrachée. Contrairement à son autre film relativement célèbre, le Grand silence, Corbucci se désinteresse ici de l'aspect politique, au profit d'un "tous pourris", américains génocidaires et limites fanatiques et révolutionnaires mexicains assoifés d'or (même le héros, un traumatisé que sa belle gueule rend sympathique mais qui commet des massacres sans aucun état d'âme). Les femmes sont pour la plupart des prostituées. Malgré ou à cause de ces facilités, de ce respect trop marqué des codes du genre, ce fût un grand succés, sans doute grâce à Franco Nero, qui a une certaine présence. A voir uniquement pour parfaire sa culture du western spaghetti.
Si c'est à Leone que l'on doit la création des codes inhérents au western spaghetti, Corbucci les pousse à son paroxysme, Django étant l'un des meilleurs exemples. Une folie incroyable se dégage de l'entreprise, tout n'est que prétexte à un déchainement de violence aussi stupide que réjouissant (les dialogues, par exemple, ne servent qu'à introduire le trépas des personnages). Le héros lui-même est déjà un concentré du nihilisme des années 70. Et que je te rajoute de la boue partout, une sulfateuse dans un cercueil, une oreille coupée, le passage à tabac du "héros" et un duel à mort dans un cimetière, et que voilà un véritable film phare pour tout cinéphile aficionados de westerns. Un film très con, qui ne démérite pourtant pas son statut culte.
AMCHI
Django interprété par Franco Nero est un classique du western spaghetti qui se regarde sans déplaisir malgré quelques scènes qui peuvent paraître ridicule de nous jour. Le charisme de Franco Nero apporte beaucoup à son personnage.
Franco Nero campe un bien mystérieux personnage à la gâchette habile dans ce petit western spaghetti quelque peu maladroit et désuet, qui vaut surtout pour son ambiance poisseuse et son sens du cynisme, pardonnant une réalisation plutôt bas de gamme (après tout, Sergio Corbucci n'est qu'un quelconque faiseur de séries B italiennes de l'époque, et n'appartient en aucun cas à la caste de Sergio Leone) et moult fusillades, certes copieuses, mais exemptes de moindre crédibilité - aïe, tous ces morts par balles qui s'écroulent à terre comme par magie, sans la moindre goutte de sang. DJANGO risquera aujourd'hui de faire davantage rire qu'autre chose, mais il demeure néanmoins un métrage plaisant à suivre (la séquence de baston entre Django et un inconnu dans un saloon mexicain vaut son pesant de cacahuètes), avant tout réservé pour qui l'ouest mêlé aux spaghettis ne laisse pas indifférent.
Ce n'est pas le meilleur western. Pourtant le film nous marque sur certain point: Franco Nero a la classe...
Avec sa musique extra,ses dialogues savoureux et le charisme de F.Nero ce film pose les bases des spaghetti western,bien avant S.Leone.On a même droit à quelques scènes d'une violence inattendue(dont certaines ont inspiré les plus grands d'aujourd'hui,je pense plus particulièrement à Tarantino et à Reservoir dogs).A voir pour tous les cinéphiles digne de ce nom.
Déjà, il faut voir "Django" avec un certain second degré et ne surtout pas s'attendre à du grand cinéma. On n'est pas dans les films de Sergio Leone, seulement dans un western-spaghetti respectant tous les codes du genre, mais pas désagréable pour autant, loin de là. Il y a une ambiance et une esthétique à ne pas négliger, car c'est le principal point positif du film. La première partie est jubilatoire : elle reprend le thème de l'homme inconnu et mystérieux avec panache. Sans génie, certes, mais le métier est là et Franco Nero est charismatique. Il parle très peu et compose soigneusement un personnage violent et fascinant, qui sort facilement les armes. Bon, d'accord, il n'y a rien de très original dans tout ça mais j'ai pris un plaisir fou (je devrais avoir honte) à assister aux fusillades excessives mais remarquablement bien amenées. Il y a une tension qui se fait sentir, un découpage appliqué et les regards qui se font de plus en plus inquiétants. Niveau psychologie, il n'y a pas grand-chose à dire car aucune étude de caractère n'est observée mis à part une évocation rapide de la cupidité du héros. C'est bien superficiel et la magie disparait petit à petit que les protagonistes se font nombreux : le mystère (et celui du début qui faisait tout le charme) s'envole et tout se fait sans finesse mais toujours en conservant un certain humour et une légèreté bienvenue. Pour les fans de westerns-spaghetti comme moi, "Django" s'avèrera être un très bon moment. Pour les autres, ce ne sera qu'une vulgaire série B violente et sans intérêt, voire ringarde.
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