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Un visiteur
3,5
Publiée le 16 janvier 2013
Django, Que c'est vieux, que c'est bon ! Un western comme on les aime. Une personnalité d'enfer donne au film une certaine classe malgré que ce soit plutôt un film de seconde zone. On a les éléments gagnant : un type qui ne respect pas la loi, Un riche qui menace la population, des mexicains purs et durs... un petit suspens attachant vient alimenter les choses. Le seul défaut (celui qui ne fallait pas négliger) les décors. J'ai eu beaucoup de mal avec les décors je les trouve plats, il y a rien ! du vide. je rajoute un petit bémol au scénario qui aurait mérité d'être un peu plus étoffé. A voir !
Le meilleur film de Corbucci. Parfaitement réalisé, film crépusculaire avec des acteurs très inspirés, Django est l'antithèse des héros des westerns hollywoodiens. Réalisé en 66, il a contribué à inspirer la vague des films post 68 ultra-violents où les héros moralement perdus et souvent en rédemption sont prêt à tous les sacrifices et tous les crimes pour atteindre leur idéal, la survie. Django souvent copié, est une parabole magistrale sur nos sociétés capitaliste où la loi et la foi sont la l'argent et la violence. Django c'est un des plus grands chefs d'oeuvre du western , tels il était une fois la révolution et il était une fois dans l'ouest. En un mot; incontournable!!!!!!!!!!!!!
Ayant uniquement vu le sympathique « Companieros » de Sergio Corbucci qui, malgré son inégalité de rythme, parvenait à divertir le spectateur, le « Django » me donnait plutôt envie. De un parce que le film est source d'inspiration auprès de cinéastes comme Quentin Tarantino (dont son prochain film « Django Unchained » rend hommage) ou encore Takashi Miike (qui a d'ailleurs tourné un préquel au film de Corbucci) pour ne citer qu'eux. Figure emblématique du western spaghetti, Corbucci tire de « Django » un résultat plus satisfaisant que pour « Companieros ». A savoir, durant une heure et demie, le rythme s'en va crescendo et n'ennuie pas une seule seconde, tandis que Franco Nero est confronté à de multiples obstacles et tel la figure du cow-boy badass, parvient à les surmonter facilement. En résumé, les scènes d'actions du film sont tout simplement jouissives et même si les dialogues ne cassent pas trois pattes à un canard, de même que le scénario qui se contente de raconter un conflit des plus banals entre les espagnols, les américains sudistes et notre brave Django/Nero, la dimension divertissante que Corbucci inculque à son histoire gomme ces défauts. Les clichés sont là mais le charme opère. En gros, il s'agit d'un pur western spaghetti avec son lot de charme, de violence et de trahisons autour d'un cow-boy sur de lui possédant l'image d'un invincible. Il est certain que le film peut paraître désuet sur certains aspects comme la réalisation très série B des années 70/80 ou l'usage d'effets vintages, mais ce serait passer à côté d'une grande source de plaisir cinématographique. Sans avoir l'aura d'une grande recherche, « Django » demeure un western spaghetti de bonne facture, s'inscrivant à merveille dans le genre, malgré un script plutôt paresseux qui n'entache en rien le long-métrage de Corbucci.
Django est le meilleur film de Corbucci sans hésitation. C'est un film assez bon, mais je trouve qu'il manque quelque chose, ce film n'a pas vraiment d'âme... Concernant les musiques du film, là il y a d'énormes progrès à faire, les musiques stridentes ne sont pas du tout agréables, elles n'apportent rien de plus au film, et paraissent même ridicules (hormis la musique de fin "Django"). Franco Nero est un excellent acteur, très charismatique, dommage qu'il n'ai pas été utilisé à bon escient. Pour conclure, un film que tous les fans du genre apprécieront, mais il ne s'agit aps d'une pépite. 3/5
Sergio Corbucci s'inspire manifestement de ces légendes de l'Ouest de l'homme solitaire et Franco Nero campe un Django aussi inoubiable que Eastwood le fera plus tard avec L'homme des hautes plaines ou encore Pale Rider. Marqué par la mort de sa femme dont il se sent responsable, Django est un homme solitaire inexpressif au regard profond, au teint basané, se promenant avec un cercueil qui renferme une terrible arme qui ringardise les pistolets et peut faire de gros degats. Il va sauver une femme et s'éprendre peu à peu d'elle, va se confronter au méchant marshall local et trahira le chef mexicain pour de l'or ce qui lui en coutera. La recette marche car on ne s'ennuie pas, Nero est vraiment aussi bon qu'Eastwood, la musique très bonne et la réalisation tout autant. Un très bon western.
Django est un western spaghetti de renom mais est très loin de ceux réalisé par Sergio Leone, maître du genre. On y retrouve tout les codes du genre; héros/anti-héros mystérieux et inquiétant, solitaire et puissant associé à des répliques marquantes, des personnages atypiques et immorales. Franco Nero avec son charisme porte se film qui est pourtant doté de nombreux défauts : les bruitages et le montage sont de piètre qualité. De plus la musique est assez mauvaise, surtout quand on est habitué à Ennio Morricone qui est associé au genre (Il a composé aussi pour Corbucci dans certains films : Navajo Joe, El mercenario). Sergio Corbucci nous prouve malgré tout qu'il a du talent et signe ici un bon Western en poussant le genre à son paroxysme en délivrant un film composé d'éléments absurdes : Héros qui transporte un cercueil, les femmes se battant à coeur perdu dans la boue, la violence sans retenu et j'en passe. Les amoureux du genre apprécieront.
Un des plus grands Westerns Spaghetti qu'il hésite dans toute l'histoire. "Django" est un "Et pour quelques dollars de plus" violent avec une mise en scène malsaine, les décors et tout sont sale, tordu, suffocant. On rentre dans un espèce de monde différent où tout n'est que violence. "Django" est un classique du Western "all-Italian". Un grande leçon de cinéma, un des films culte de Quentin Tarantino, et le meilleur Sergio Corbucci que j'ai vu. Magistral.
Voilà un très grand western que nous signe sergio corbucci, et le ton gothique éloigne le film de ceux de sergio Leone , prouvant au passage que cet autre sergio est aussi un grand des westerns. Et encore , car il n'y a pas que le ton qui fait de ce film un chef-d'œuvre, mais aussi la mise en scène, égalant (quoique très différent) les films de Leone. La musique par contre n'est pas terrible et le regard ridicule de franco nero vieillit quelque peu le film mais c'est tout. Un très bon western qui n'est pour une fois pas de Leone.
Un western Spaghetti dans sa définition presque, héros mal rasé, crade… Ville pleine de boue… C'est pas très joyeux. J'ai beaucoup aimé le début du film, la musique, ce Django se baladant avec son cercueil derrière lui, c'est vraiment prenant, il y a une bonne idée. Mais à partir du moment où il ouvre son cercueil et après la scène qui s'en suit, j'avoue que le film ressemble à des trucs qu'on a déjà tous vu 100 fois, sans que forcément la mise en scène suive. Alors il y a quelques scènes sympa dans ce qu'on pourrait appeler la seconde partie, mais franchement si ça reste regardable, j'ai trouvé ça très décevant. Mais le final vient rattrapé tout ça, brutal et violent, c'est vraiment jouissif. À noter que je n'ai pas pu le voir autrement qu'en VF, et que c'est assez ridicule.
"Non merci ce n'est pas mon genre" : Django (joué par un très bon Franco Nero) (le héros - anti héros) est un western complètement fou (fusillades surréalistes et beaucoup de violence), qui réinvente les codes du Western et qui nous fait passer un excellent moment. A ne pas rater pour les fans de Western!
Mise à part la chanson d’ouverture, tout le film est hideux : l’histoire part dans tous les sens, le jeu d’acteur est déplorable, les dialogues sonnent creux, les types meurent avant les coups de feu,...
Pas l'un des meilleurs westerns spaghettis de l'époque. Le héros est un peu caricatural (normal pour un western spaghetti, vous allez me dire. Mais d'un autre côté, il n'a pas beaucoup de profondeur et fait un peu trop "super héros tuant tout le monde en haussant un sourcil), l'histoire est assez simpliste. Néanmoins, ce film n'est pas dénué d'intérêt et vaut le détour pour quelques répliques et scènes savoureuses, notamment la fin. Il est tout de même assez violent, malgré son âge avancé.
Toujours plaisant à voir ou à revoir. Corbucci traite (ou maltraite) le genre western en allant au plus loin dans l'immoralité et l'ironie mais avec un sens parfait du spectacle, tout particulièrement dans les scènes de bataille. L'Ouest devient un bourbier désolé hanté par des "affreux" de tous poils. J'ai un faible pour la scène de présentation du saloon au milieu de la boue, avec filles fatiguées et air de violon... La bande raciste de Jackson en rappelle d'autres, qui ont sévi en Europe. Comme dans beaucoup de spaghetti l'actualité politique est transplantée.
un chouette moment à passer. Franco Nero et son charisme y sont pour beaucoup dans ce spaghetti si typique.. on regrettera surtout l'effrayante banalité du script, mais on retiendra de superbes scènes en particulier les batailles.. certaines images incongrues (le cercueil) et enfin une très bonne musique! à voir pour les amateurs du genre.. même pour les non-initiés, Django reste un très agréable momet à passer.