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Totoloinloin
8 abonnés
298 critiques
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1,5
Publiée le 1 juillet 2024
voilà dans la suite de true romance, un film à la "Tarantino", normal c'est lui qui a écrit le scénario et qui l à revendu pour faire autre chose... Pour moi ce film est mauvais de bout en bout.
Je n’ai même pas réussi à le terminer, rien ne vas. Je n’ai vraiment pas accroché, tant le vide du texte que les scènes de dialogues sont ennuyantes à souhait.
Tueurs nés et un choc atomique, vu en salle à sa sortie, c 'est le premier film de cette époque qui a choqué traumatisé de par sa violence inouïe et sa folie meurtrière de par sont réalisme , trop insupportable par les successions ininterrompues de meurtres en chaînes, les bisounours n'on pas supporté, j'ai vu des gens sortir de la salle car ils avaient des malaises, deux personnes du cinéma nous attendaient à la porte de sortie et nous demandaient si on allaient bien, Moi même je me suis senti mal, pourtant ce film est un chef d'œuvre de par son audace qui a cassé tout les codes de la bienpensance, le duo le plus fun et le plus stylé de tout les temps, l'originalité absolu et indémodable, ce film est tellement bon à tout les niveaux et tellement violent qu il n est jamais sortie sur le petit écrans, et puis les deux tueurs sont attachants, bref une tuerie!
C est terrible de se rendre compte des années plus tard qu un film que vous aviez aimé est devenu brusquement sans intérêt. C est la cas pour celui ci. J ai toujours apprécié Oliver Stone en tant que réalisateur ou même scénariste mais ici c est limite du dégoût visuel. Hystérie général sous prétexte de dénoncer la violence je pense humblement que c est pas vraiment la bonne chose à faire .
Filmé de manière chaotique, comme sous acide, mélangeant noir et blanc, télé, actualités, souvenirs, recourant systématiquement aux incrustations pour mieux empreindre la narration du caractère psychotique des deux anti-héro·ïnes, Tueurs Nés fait constamment le parallèle entre la violence du couple damné et celle du monde qui les entoure.
L’interprétation, de la folie à la justesse pour Juliette Lewis et Woody Harrelson (éblouissants) et exagérément criarde pour les autres actrices et acteurs, notamment Robert Downey Jr. et Tommy Lee Jones, apporte encore une couche de réalisme pour les deux premiers, d’aliénation pour les autres. L’interprétation la plus neutre est celle de Tom Sizemore, son personnage étant pourtant peut-être encore plus malsain que les deux psychopathes.
Le scénario, initialement écrit par Quentin Tarantino et modifié à tel point par Oliver Stone que le premier le reniera, suit un fil rouge linéaire entrecoupé de flashbacks et de scènes oniriques ou d’une extrême violence. Près de 30 ans après, l’esthétique cinématographique a évolué mais on comprendra en se reposant dans le cadre de l’époque que la sortie du film ait pu choquer pour son cynisme quasi nihiliste qui ne fait que répondre à celui de la société. Le symbolisme est par ailleurs partout présent, jusqu’aux dernières images du générique de fin.
Enfin, le parti pris expérimental permet à l’oeuvre de ne pas rester marquée dans son époque et Tueurs Nés est sans conteste un film culte nécessitant plusieurs visionnages pour en appréhender toute la complexité.
Plutôt un très bon film, décalé, avec un montage original entre thriller et satire. Le projet d'Oliver Stone est très ambitieux avec un mix entre les thèmes Bonnie & Clyde et la tv "réalité" avant l'heure à la Truman Show. C'est parfois brouillon car le dosage est complexe mais on oublie vite devant les performances géniales de Woody Harrelson en Clyde, Tommy Lee Jones en directeur de prison exceptionnel et Robert Downey Jr. toujours bon dans la grandiloquence. La BO ajoute un plus très appréciable.
J'ai eu du mal à accrocher. Le film sort de l'ordinaire, mais c'est un véritable foutoir avec une mise en scène particulière à laquelle je n'ai pas adhéré. Les performances sont impressionnantes en revanche. Un film satyrique et complètement barré qui vire dans le "too much", dommage car l'idée de base est intéressante. Mais à force d'en faire trop on a une œuvre désorganisée qui va dans tout le sens sans véritable fil conducteur, juste de la folie.
Je suis désolé, mais ce film n'est pas agréable à voir. Le montage, les effets de couleur et la réalisation m'ont perdus à plusieurs reprises. La critique envers les médias et les dérivent de leur soif de sang pour faire du chiffres et de l'audimat est un discours auquel j'adhère, tout comme la folie humaine... Mais là... C'est trop d'effets et ça tue les effets j'ai envie de dire. Les acteurs incarnent très bien leur personnage, ces caricatures. Le film souffre aussi de sa longueur pour un scénario qui reste simple, et qui aurait pu être bien mieux résumé et amené. J'ai l'impression que le réalisateur voulait en faire beaucoup... Le problème c'est qu'il en a trop fait, et il donne l'impression de péter plus haut que son cul en voulant absolument prouver qu'il peut faire un film "différent". Stone nous a habitué à beaucoup mieux. Je suis peut être passé à côté de quelque chose, mais le film n'est pas passé pour moi. Bref, style particulier, je pense donc que ça passe ou ça casse, la première possibilité fût la mienne.
Très bon film, un genre de las vegas parano du crime. Les plans et montages frénétiques représentent bien la démence et au final on ne s ennuis pas tout du long, on bon petit ovni
A partir d'un scénar de Tarantino, Oliver Stone signe une satire grinçante sur la fascination morbide de notre société pour l'ultra-violence, à travers le portrait sanglant d'un couple de psycho déjantés errant sans but et sans neurone, servi par une mise en scène très trippée qui finit par donner le tournis, et interprété par le couple charismatique Woody Harrelson/Juliette Lewis. 3,25
Dénonçant la starisation dont peuvent bénéficier des criminels à l'image de Bonnie et Clyde, Oliver Stone pousse le curseur de cette fascination au maximum à la fois par un montage psychédélique entre images subliminales et coupes franches mais aussi par une critique au vitriol des aberrations du système carcéral et de la violence quotidienne en société, en famille, et dans les médias. Porté par une musique rock parfois assourdissante et un casting fiévreusement impliqué, le film nous happe dans un tourbillon reprenant cette volonté d'abêtissement que prône le journaliste lors d'un dialogue de mise en abyme au sujet de sa "ligne éditoriale" quitte à forcer le trait ou du moins à faire preuve de redondances. Une satire qui bouscule!