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🎬 RENGER 📼
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2,0
Publiée le 14 novembre 2024
Los Angeles, 1997. La “Cité des Anges” est gangrenée par les cartels de la drogue. Le lieutenant Michael Harriga mène son enquête et ne tarde pas à découvrir que L.A. est devenue le terrain de chasse d’un prédateur…
Trois ans après le cultissime et sévèrement burné premier opus de John McTiernan, c’est au tour de Stephen Hopkins (Freddy 5 : L'Enfant du cauchemar - 1989) de s’atteler à la lourde tâche d’en réaliser la suite. Oubliez le casting d’origine (ou du moins, ce qu’il en restait), on repart de zéro (bien que le film situe l’intrigue 10 ans après les faits) avec une ribambelle de nouveaux acteurs. Oubliez aussi la chaleur moite de la jungle sud-américaine, cette fois-ci, l’action se déroule sous une chaleur accablante en pleine jungle urbaine où colombiens et jamaïcains se disputent le marché de la drogue.
Pour le reste, on est clairement dans le plus pur style des “actioners” 90’s, c’est badass à outrance mais bien moins jouissif que ne pouvait l’être le précédent opus. Le film ne se contente pas de ressasser ce qui a déjà été fait et nous offre d’excellentes séquences et ce, de façon honnête. Côté distribution, Danny Glover fait le job mais reste constamment en deçà de ses capacités et peine à marquer le film de par sa présence (sans doute à cause de L'Arme fatale qu’il enchaînait entre les années 80 & 90, difficile de le retrouver ici à dans nouveau dans la peau d’un flic mais dans un registre bien plus sérieux). A ses côtés, on retrouve quelques gueules du cinéma hollywoodien, tels que Gary Busey & Robert Davi.
Predator 2 (1990) parvient à relever le défi de ne pas être la suite de trop, comme c’est bien souvent le cas. Le film fait clairement le taff même s’il n’égale absolument pas son aîné.
C'était quand même compliqué de faire aussi bien que le premier, ou en tout cas de retrouver un semblant de fraîcheur sur le concept. Du coup, on tente une approche vaguement futuriste sur fond de guerre des gangs, ce qui change aussi la perception de la Bête et de son importance dans l'histoire. Côté casting, si Danny Glover est égal à lui-même, le reste hélas ne casse pas trois pattes à un canard. Plus globalement, le film souffre aussi d'un côté cheap (tant dans les effets spéciaux et la mise en scène que sur un scénario pas vraiment fourni en surprises) qui rend le spectacle un peu poussif malgré toute la bonne volonté mise dans le projet.
J'ai trouvé « Predator 2 » plutôt divertissant, même s'il ne parvient pas à égaler le premier. J'ai apprécié le changement de décor, passant de la jungle à la ville de Los Angeles, ce qui offre une nouvelle dynamique intéressante. Danny Glover fait un bon travail en tant que lieutenant Harrigan, bien qu'il ne soit pas aussi convaincant qu'Arnold Schwarzenegger dans le premier film. Le Predator utilise de nouvelles armes impressionnantes et l'action est intense, surtout dans la deuxième moitié du film. Cependant, le scénario manque parfois de cohérence et certains personnages secondaires ne sont pas très mémorables. Malgré ces défauts, j'ai trouvé que les effets spéciaux et les scènes de combat étaient bien réalisés. « Predator 2 » reste un bon film à regarder, même s'il ne parvient pas à capturer la même magie que l'original. WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU (TOME 1) et LE CIMETIERE DES SQUAWS (TOME 2) (Amazon Kindle).
« D’aucuns diront aujourd’hui que ce « Predator » a fini par devenir culte en raison des trois suivants qui seront décevants. » Telle était ma conclusion à l’issue du premier opus.
En ce qui me concerne, ce deuxième opus que je n’avais jamais vu ne m’a pas foncièrement déçu. J’ai apprécié que Predator erre dans Los Angeles. Maintenant, je ne suis pas un fan de la franchise, mais il ne m’a pas semblé que le film réalisé par Stephen Hopkins ait trahi l’esprit de cet extraterrestre à la violence terrifiante. Le fait que Predator passe d’une jungle tropicale à une jungle urbaine ne m’a pas déstabilisé. Au contraire, ce nouveau territoire de traque permet à la franchise de ne pas se répéter. Arnold Schwarzenegger est remplacé par un Danny Glover lieutenant de police de Los Angeles convaincant.
Il est vrai que le début du film ne m’inspirait guère avec cette fusillade entre trafiquants et policiers. Je craignais que le récit se focalise entre Predator et les trafiquants. Il n’en fut rien. Peu à peu s’installe un duel à distance entre Harrigan et l’extraterrestre. La fin permet de rentrer dans le vaisseau de Predator et d’y voir différents crânes exposés dont celui d’un certain Alien. Ainsi, je comprends les oppositions entre Predator et Alien. Mais là pour le coup, j’ai vu ces crossover et n’ai pas du tout aimé.
Un peu mieux que le 1er même si ça reste vraiment pas un bon film pour autant. Il y a bien plus d'action et par la même occasion je me suis pas ennuyé comme a été le cas pour le précédent. Les personnages sont beaucoup moins clichés ( pas de gros muscles...) . Niveau scénario c'est la même merde et qui cette fois ci, le pourquoi du comment le Predator il est ici je trouve ça ridicule.
Cette suite est décevante à trois titres. En premier lieu, parce qu'elle n'apporte aucune innovation scénaristique par rapport au 1er opus. Deuxièmement, parce qu'elle est pauvre dans quasiment tous les domaines. Dans celui des dialogues, et des rebondissements, entre autres, tout est convenu, et donc extrêmement prévisible. Quant aux personnages, la majeure partie des personnages sont de médiocres caricatures. Les dangereux gangsters ressemblent plus aux Pieds Nickelés, qu'à autre chose. Leurs chefs sont franchement grotesques. Que ce soient le Gang des Latinos, que celui des Jamaïcains. Enfin, le film est aussi décevant dans le fait qu'il n'exploite en rien les débuts d'innovation qu'il apportait. Les motivations et la "culture" du Predator ne font pas l'objet d'un quelconque développement. Juste quelques fresques brièvement aperçues sur des murs. Et une mystérieuse intervention, tout aussi brève et inexpliquée des congénères du Predator. Et pour finir, les acteurs, pourtant tous, de grande renommée, ne sont pas au meilleur de leur forme. Pénible au final.
Faisant suite à mon film préféré, je m'attendais à bien meilleur comme résultat : le film reprend quasiment tous les codes qui rendait le premier film génial. Je l'ai trouvé moins intrigant, comme si la surprise avait disparu, bien que les scènes de combat du Predator restent agréables à regarder et que Stephen Hopkins offre quelques plans mémorables. Malheureusement, Il n'y a que Danny Glover qui reste un bon personnage : j'ai eu plus de mal avec les autres, même Bill Paxton ne m'a pas aussi plu dans ce film que dans "Aliens, le retour". Allez, Kevin Peter Hall sait encore rendre le Predator vivant et crédible. Les effets spéciaux vieillissent moins bien que ceux du premier film, la musique est agréable et est différente, mais je ne trouve pas qu'elle colle à l'ambiance générale : elle sonne plus tribale que urbaine.
"Predator 2" a tout pour se démarquer, mais pour moi la surprise était inexistante ; comme si j'avais regardé une version revisitée. Elle apporte quelques éléments à l'univers, mais le rythme m'a paru long et lent.
Moins emblématique mais plus axé sur l’histoire et le développement des personnages. Moins mystérieux mais plus détaillé concernant le(s) Predator(s) et leur monde, « Predator 2 » est habilement écrit par Jim Thomas et John Thomas et efficacement réalisé par Stephen Hopkins.
Danny Glover excelle dans le rôle du lieutenant Mike Harrigan et est soutenu par un casting de premier ordre comprenant Gary Busey, Rubén Blades, María Conchita Alonso, Bill Paxton et Robert Davi.
Les quartiers de la Cité des Anges transformés en jungle urbaine par les barons de la drogue se faisant la guerre entre eux, et contre le LAPD et le Predator remplacent la jungle centraméricaine avec un travail de conception de production tout aussi appréciable.
Des qualités qui font de ce deuxième film de l'univers cinématographique Predator un film qui, à mon humble avis, vaut largement l'original.
Voilà un film... Qui dé les premières minutes tu sais que ça va être nul. Le premier prédator est un chef-d'œuvre. La... C'est une catastrophe. Mal jouer, les personnes ne colle pas.. le prédator fait des bruits de lézard... C'est gros... Trop gros... Rien de cohérent. Ne perdez pas votre temps... Si vous aimez les films logique avec un bon scénario
Stephen Hopkins signe un volet urbain très sombre, tel un thriller donc avec un style bien différent du premier qui évite toute comparaison immédiate, en y ajoutant la mythologie des Predator, ici en sur nombre et en chasseur planétaires, face à un Danny Glover seul et en grande forme. Un épisode peu reclamé mais qui déjà en son temps était solide.
Je l avais vu ado et franchement ça a pas mal pris cher ! . Dès le début on croit à une mauvaise blague : les comédiens sont mauvais il y a bien que Danny Glover qui tente de sauver la mise mais il a du mal . Les scènes de combats sont également assez ratés . Un brouillon.
Une très bonne surprise que ce predator 2 . Un film qui prend place dans la jungle urbaine en contre pied du premier. On se retrouve plongé dans une atmosphère moite , très bien retranscrite par les chemises de Danny Glover. Nous avons droit à un film ultra violent, qui sent bon la coke ( dans tous les sens du terme), avec des acteurs qui en font des caisses ( merci Danny Glover et Gary Busey ). On en apprend plus sur le lore du Yautja, sa façon de chasser, les trophées, le clan, ainsi que sur les différentes proie chassés par eux. C'est ce film qui a lancé l'idée du comics alien vs predator ( avec le petit clein d'œil du crâne). Pour ma part, une bonne petite série B qui sent bon la transpiration et la coke dans laquelle on ne s'ennuie pas, contrairement à ce qui dit Jess.
L’histoire de vase comme le premier est cool et le début assez prometteur . On en apprend plus sur ces predators mais la fin meme si elle est inattendu prend beaucoup de trop de temps a arriver les 30 dernières minutes étaient trop longues dommage ça a tout plombé