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Un visiteur
3,5
Publiée le 25 janvier 2014
3,5 pour rehausser un peu sa moyenne. Predator 2, c'est le mal aimé de la trilogie. Pourtant c'est un film important qui pose les bases de toute la mythologie du Predator qui servira énormément l'univers Aliens vs Predator (les comics et jeux vidéos majoritairement bons, contrairement aux 2 films minables produit par Anderson). On y apprend beaucoup sur le Predator : son arsenal, ses environnements de chasse, sa technologie, sa mentalité, etc etc... Beaucoup le critique pour sa grosse différence avec le premier. Heureusement qu'il n'est pas comme Predator de 1987 ! Cette fois ci on connaît la bête, cela aurait été stupide de faire copié-collé du film de McT avec son ambiance oppressante dans la jungle où l'on se demande ce qui traque ces soldats... Predator 2 prend le spectateur à contrepied, avec un L.A. qui souffre d'une criminalité violente (bien pompé sur Robocop, c'est vrai) ainsi que d'une grosse canicule : un terrain de choix pour un Predator donc. Et le militaire bodybuildé laisse place au flic endurci. Predator 2 est un bon film.
La relève de " Predator " n'a pas été au niveau des espérances et ce pour diverses raisons. Tout d'abord, le passage de la jungle amazonienne au paysage urbain a été un sacré changement d'environnement, ce qui a provoqué à première vue une perte des repères palpable. Toutefois, le cloisonnement de la ville aurait put être mieux utilisé afin de donner la sensation d'être épié, étouffé par un force qui nous dépasse et qui nous guette en permanence, comme le font les grands prédateurs. Certaines scènes sont de vraies bonnes trouvailles à l'instar de la chambre froide où quelques inconscients ont décidé de défier la créature. Il manque toutefois de la nervosité au film : on passe trop souvent de péripéties acharnées à des vides cassant le rythme de l'action. En clair, on décroche petit à petit. Aussi le predator en question n'est-il pas un peu trop faible par rapport à celui du volet précédent, surtout lorsque un simple homme arrive à lui résister au corps à corps ? La créature venue des confins de l'univers n'impressionne presque plus, dommage, car cela était un des points forts de ce genre de film, où des êtres humains devaient redoubler d'efforts pour passer du stade de proie à celui de vrai chasseur. 2,5/5, la moyenne pour un " predator 2 " sous-exploité
J'ai bien aimé ce film, qui nous montre la jungle urbaine, dans laquelle évolue le Predator et le policier qui va l'affronter. La sauvagerie des gangs, l'anarchie des combats montre comme une sorte de retour à un état primitif dans lequel règne la loi du plus fort. La première partie nous montre cet enfer, cette "monstruopole" où tout le monde est armé, et où la structure de la société devient comme tribale, avec une police qui est débordée mais surarmée. Sur la fin, le film se focalise toutefois plus sur le duel entre l'inspecteur et le Predator, comme un affrontement entre deux guerriers dans les tréfonds de la ville. Donc au total un bon film, qui file beaucoup la figure de style de la jungle urbaine.
On retrouve Predator 4 ans après non plus dans la jungle mais à Los Angeles dans un registre un peu différent on est plus dans un survival mais dans un mélange de film d'action policier, autre changement Schwarzy laisse place à Danny Glover ce qui nous donne un affrontement d'un tout autre niveau bien moins intense pour au final un film assez moyen et qui manque de créativité.
Le predator débarque en ville ! C'est un peu n'importe quoi scénaristiquement parlant (pour ne pas dire affligeant), avec ce predator qui chasse des trafiquants de drogue, puis des flics, avant d'aller prendre le métro etc... De l'incohérence à la chaîne, des acteurs exécrables, des figurants qui se fendent la poire, ce "Predator 2" ne rivalisera certainement pas avec l'épisode original, même s'il restera lui aussi un sacré plaisir nostalgique, mais continuera malgré tout de nous entraîner tant la musique y est sublime, et le monstre fascinant. "Tu veux un bonbon ?"
Une suite très différente de son prédécesseur mais vaut mieux ça qu'une pâle copie. Encore une fois, ces films me font penser à la saga Alien : la dangerosité de la créature spoiler: et le fait qu'il y ait un seul Predator dans le premier film éponyme et plusieurs dans la suite tout comme dans Alien dans Le Huitième Passager avec un seul Xénomorphe et pleins dans Le Retour . Très bon casting avec Danny Glover et Bill Paxton que j'adore ; nous n'oublions pas non plus Kevin Peter Hall, célèbre pour avoir endossé le costume du Predator. Les effets spéciaux sont quant à eux pas mal pour l'époque. En terme de violence, je trouve que c'est un peu plus osé que le premier opus. Enfin, même si le thème de l'évasion extraterrestre est beaucoup présent dans le large univers de la science-fiction, l'histoire m'a assez plus. Le long-métrage le moins bon de la saga mais 3/5 quand même ; en terme de qualité, c'est largement au dessus de ce que certains annoncent.
Indéniablement Predator 2 est de qualité inférieure au premier épisode. Hopkins n'est pas McTiernan (ce n'est pas Freddy 5 qui va me contredire) et Danny Glover n'est pas Schwarzenegger. Pourtant l'idée de placer Predator 2 en plein Los Angeles, gangrenée par des trafics de drogue et des affrontements jamaïquains, colombiens VS flics en pleine rue, dénote d'une volonté de changement. Sauf que la moiteur et la jungle en elle-même étaient des personnages à part entière dans le 1 et participaient à ce sentiment d'oppression qu'éprouvait le spectateur. Là, on ne frissonne pas. Le Predator ne tue que les vilains drogués et épargne une femme-flic parce qu'elle est enceinte. Ou alors, c'est une volonté de la Fox d'édulcorer la violence du film. Je ne sais pas. Ensuite, quand je parlais d'oppression plus haut, ça venait aussi du Predator quasiment invisible dans les fourrées. Là, il est omniprésent ! spoiler: La fin un peu longuette reste intéressante néanmoins et permet d'en apprendre un peu plus sur la mythologie de la franchise. Les Predator ne sont qu'une race de chasseurs et s'amusent à tuer tout le monde uniquement par jeu. Predator 2 reste un bon film d'action mené tambour battant par le héros de l'Arme Fatale. Mais j'aurais pas craché sur une suite impliquant Schwarzy.
Je vois que les avis sont très partagé pour ce film, et bien moi je l'ai adoré. On rentre tout de suite dans le vif du sujet à savoir la violence. Voir L.A. à feu et à sang avec une guérilla entre flics/jamaïcains/portoricains est particulièrement jouissif et enfin voir notre monstre guerrier préféré éclaté tout le monde que du bonheur.
Le premier cartonne, donc on fait une suite ! Cette suite est correcte, mais vraiment sans plus, car, à part le Prédator c'est quasiment un policier normal.
Ce deuxième volet du Predator a perdu toute sa substance par rapport au premier et en devient pathétique. Si vous avez aimé le premier épisode et n'avez pas encore regardé ce *Predator 2, abstenez vous et vous me remercierez.
Une excellente suite avec Danny Glover qui remplace Arnold Schwarzenegger dans le rôle principal face au Predator !!! Réalisé par Stephen Hopkins , le réalisateur de Freddy 5 l'enfant du cauchemar, des épisodes de la série d'horreur culte " Les Contes de la crypte" !!!
Perso, ce 2eme opus est aussi bonne surprise que le premier : j'ai adoré, je l'ai découvert en interclasse au collège : entre midi et deux après la cantine, le bon vieux temps :)
Vu au cinéma. Pour ma part je le trouve un cran au dessus du premier. Les environnements urbains sont plus variés que la jungle et on voit mieux le predator. Il est aussi plus gore avec du "dépiautage" d'humains en masse.
Après la jungle amazonienne, le Predator s'attaque à une autre jungle : la jungle urbaine. Dans un léger futur (l'action se passe en 1997 alors que le film a été tourné en 1990), les scénaristes Jim et John Thomas nous présentent leur créature comme une sorte de solution à la guerre des gangs. Et oui, étrangement, pendant longtemps (jusqu'à la scène du métro), l'extra-terrestre immortalisé par John McTiernan semble s'amuser à ne tuer que des dealers (la seule victime auparavant qui n'en soit pas un est un flic qui enquête de trop prêt sur les trace du Predator). On peut se demander, en effet, pourquoi la police ne le laisse pas travailler à sa place. Mais, comme toujours, le Predator s'attaquera à un homme trop courageux : après le personnage interprété par Arnold Schwarzenegger, c'est un flic joué par Danny Glover qui n'écoutera que son courage pour affronter le Predator. Ce policier est l'exemple typique du flic hollywoodien des années 70 et 80 n'écoutant que son devoir quitte à affronter la colère de ses supérieurs hiérarchiques dont le prototype est le fameux inspecteur Harry Callahan de Clint Eastwood. Le personnage joué par Danny Glover est l'exemple type des aspects caricaturaux que présente ce film. On n'est donc plus face à un chef-d'œuvre comme pour le premier film mais face à une série B assez efficace. Stephen Hopkins sait parfaitement qu'il ne possède plus l'effet de suspense du film de McTiernan (et peut-être d'ailleurs qu'il ne possède pas le talent de ce dernier). Il décide donc d'en faire un film bourré d'action et d'humour (notamment à travers différentes répliques de Danny Glover). On prend donc plaisir face à cette vision du futur assez noire (des guerres des gangs de plus en plus violentes, des citoyens constamment armés jusqu'aux dents...) par son recul sur elle-même et par les nouveaux éléments apportées à la saga (ses motivations dans sa sélection des victimes, l'exploration du vaisseaux, les indications sur ces précédents voyages...). Loin du chef-d'œuvre qui inaugura la série, ce film possède tout de même suffisamment d'éléments plaisant pour que l'on puisse prendre goût à sa vision.