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elriad
439 abonnés
1 863 critiques
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3,5
Publiée le 2 février 2024
Il ne faut pas se mentir ni se pincer le nez, quand on décide de voir ce genre de film, on sait à quoi s'attendre. Exactement. Et cela serait ridicule de parler d'incohérence, de manque psychologique, de scénario mince comme du papier cigarette, ou de dialogues pauvres. Non, le cahier des charges de ce genre de film et donc sa réussite se résume au rythme, aux combats, au capital sympathie du héros, voire à l'humour. " The Beekeeper" remplit son contrat sans problème et livre durant 1H40 une hécatombe de méchants dont on se délecte, une collection de sale gueules que notre héros dégomme comme une boule dans un jeu de quilles. Alors, éteignons no cerveaux, faisons sauter les popcorns, et prenons un petit moment aussi régressif que jouissif...
David Ayer signe un film un revenge movie assez efficace a défaut d'être original. Clairement on sent l'inspiration John Wick avec cette mythologie qui entoure les "apiculteurs ", mais c'est surtout dans son déroulé, particulièrement cette mise en garde du père a son fils, comme quoi il a à faire a la pire menace qu'il soit et qu'il ne pourra rien pour éviter son châtiment est quasiment du copié-collé, sans parler de ce standard téléphonique qui gère les missions. Jason Statham habitué du genre s'en sort pas pas trop mal, les scènes d'actions restes nerveuses et plutôt bien chorégraphiés, nettement meilleur que le dernier John Woo notamment, malgré tout le film le film n'évite pas les invraisenblances et les innombrables facilités scenaristiques. C'est distrayant, mais après tant film ayant traité le thème dans tous les sens , ce Beekeeper ne sort pas vraiment du lot et ce retrouve noyé dans la masse.
« Qui donne un coup de pied dans la ruche récolte la tempête. » Jason Statham incarne un apiculteur cachant bien son jeu qui décide de se venger de ceux qui lui ont enlevé la seule personne qui a pris soin de lui dans sa vie. Une histoire où il devient une abeille tueuse de reine pour protéger l'ensemble de la ruche. Dans son script, Kurt Wimmer ne s'arrête pas avec les jeux de mots ou l'utilisation du lexique en rapport avec l'apiculture. Son histoire n'est d'ailleurs qu'une métaphore avec Clay qui représente l'abeille prête à se sacrifier pour le bien commun. Il ne faut cependant pas s'attendre à quelque chose d'élaboré puisqu'il s'agit simplement d'une histoire de vengeance avec un Jason Statham qui défonce tout sur son passage. À ce niveau-là, "The Beekeeper" est jouissif du début à la fin. Il n'y a quasiment que du corps à corps avec quelques fusillades ici et là, et c'est bien bourrin. Avec un personnage principal impitoyable qui se moque de la personne devant lui, les scènes d'action sont brutales et mémorables. En difficulté depuis quelques années avec des films récents décevants, David Ayer revient avec un film fun, très divertissant et sans prise de tête.
Un petit renouvellement dans le genre bastonneur vengeur taiseux pour Jason Statham, rôle qui lui va comme un gant évidemment. Rien à chercher dans le scénario d original, on est sur le gentil contre plein de méchants, on débranche des neurones et on regarde le spectacle des baffes et balles qui volent... suffisamment bien filmé pour rester attrayant sans temps morts.
ce film est une pure dinguerie ! bourré d'action ! l'histoire est bonne et Jason Statham au top comme toujours je recommande pour les grands amateurs de films d'actions
Excellent ! Jason Statham est en pleine forme dans ce rôle d'ex-agent secret devenu apiculteur qui se lance dans une vendetta sanglante. Ses scènes d'action sont impressionnantes, et il apporte une vraie profondeur au personnage.
Jason Statham nous propose encore du lourd. Scènes d'actions en tout genre, cascades. Bref un pure moment de folie. C'est un véritable film d'action. J'ai adoré
A quand Jason Statham contre King Kong ou Superman ? J'étais fan de l'acteur à la première heure, mais ses rôles se ressemblent tous. Toujours le même jeu, ce gros dure invincible, plus fort qu'un megalodon, plus fort que les triades et cette fois-ci encore plus fort, plus fort que la nation américaine ! Le fbi, la cia, les services secrets, les mercenaires et la garde rapprochée du Président des États-Unis ! Ce n'est pas seulement ce que je repproche au film, le "héros" violent campé par Statham, fait preuve de retenue envers des personnages qui méritent son châtiment et par contre il se défoule sur des innocents sur son passage. Ça ne tient pas la route ! Il a aucune pitié mais des principes qu'il n'applique pas... c'est franchement bête. L'action et le divertissement sont au rendez-vous bien-sur!
Une bonne cuvée Statham, on ne réfléchis pas, juste de l'action. Un pur divertissement . Ne cherchez pas la vraisemblance ou un pur scénario, juste un bon film de baston
Le début est ridicule la femme sort de nul part on sait pas comment pour arrêter Jason le gentil apiculteur. Scénario, combat tout est ridicule et pitoyable digne d'un film de série B, on voit que les moyens étaient limités. Bref une perte de temps.
Pas du tout crédible ce beekeeper. Il agit au grand jour, détruit tout sans avoir peur des représailles! On aurait aimé un peu plus de finesse et de stratégie dans ce film qui a l’air d’avoir été fait à la va-vite ! Même les effets speciaux sont d’un autre âge. Quant au corps qui finit pas voler dans les airs avant de s’écraser, on voit clairement que c’est un mannequin! Trop mal fait. J’ai vu la version originale, et là-encore les dialogues sont pauvres à mourrir! Les acteurs passent leur temps à jurer à chaque moment du film: le fameux f… placé à toutes les sauces, et qui prouve là-encore, que les dialoguistes sont sûrement les moins chers que la production ait pu trouver…
Qui est tout en haut de la chaîne alimentaire? ... Jason Statham bien évidemment. Ce film d'action ne fait pas dans la dentelle et nous présente le schéma classique du super agent (à la retraite) qui fait passer le FBI, la CIA, le SWAT et j'en passe pour des guignols. Le divertissement est là et c'est en fin de compte le principal but pour ce genre de film. On ne cherche pas le cérébral, mais l'action pure. On sait à quoi s'attendre avant de voir le film et on est servi.