Avis : The Beekeeper - Page 2

Qui est tout en haut de la chaîne alimentaire? ... Jason Statham bien évidemment. Ce film d'action ne fait pas dans la dentelle et nous présente le schéma classique du super agent (à la retraite) qui fait passer le FBI, la CIA, le SWAT et j'en passe pour des guignols. Le divertissement est là et c'est en fin de compte le principal but pour ce genre de film. On ne cherche pas le cérébral, mais l'action pure. On sait à quoi s'attendre avant de voir le film et on est servi.

Et bien ça fait plaisir de voir un Jason au top, en solo et avec une scénario classique du mec ultra efficace et calme mais qu'il ne faut pas chercher ! On a l'impression de revenir 20 ans en arrière et......... C'est bon !

Film vu en avant première. Un scénario d'action signé David Ayer complètement fou et décalé. impossible et farfelu, super divertissant, Statham excellent dans ce rôle de justicier au sang froid que rien ne semble toucher ni arrêter, va une nouvelle fois régler des comptes jusqu'à aller toucher le plus haut pouvoir. Les effets spéciaux sont très bons. le film ne fait pas dans la dentelle avec une belle brochette de psychopathes plus fous-folles les unes que les autres. Y'a de la baston du début à la fin. le rythme est très rapide. On a touché a des valeurs et rien ne va arrêter l'apiculteur ???

Un film "A la Statham" brutal tout ce qu'il y a de plus classique, invraisemblable. Pourtant réalisé par David Ayer. Avec un scénario et des métaphores peu subtils. ça reste divertissant.
La touche "Ayer" qui se veut "originale et excentrique" s'avère en réalité plutôt hystérique et visuellement peu pertinent.

The Beekeeper ? Mais quelle horreur !!!
J'ai perdu 1h45 de ma vie devant ce film lourdingue au scénario d'occasion usé jusqu'à la moelle. Les cadavres s’amassent à la pelle dans un machinal élan de bravoure surjouée où l'invincible gentil élimine sans pitié les vilains méchants pas beaux. C'est beauf, c'est con, c'est mal écrit, ça en fait des caisses en se prenant au sérieux... Il n'y a rien à sauver dans ce nanar aussi naïf que pathétique.
Il existe une sorte de version réussie de ce film : "NOBODY" (avec Bob Odenkirk). Si vous voulez de la castagne avec de vrais acteurs, un scénario crédible et (presque) réaliste, le tout relevé par une saveur sarcastique bien piquante, n'hésitez pas !

Le film d'action des plus classiques, vraiment aucune surprise, mais on s'attend quand même à mieux, ou au moins à différent en 2024. Car là, le scénario ressemble quand même étrangement à John Wick premier du nom.
Synopsis : un groupe de hackers vole une amie de Jason, qui décide de se suicider, il décide alors de la venger.
Le vu et revu des films d'action américains, et c'est quand même assez dommage car on est un peu sur notre faim avec la notion de "beekeper", qui n'apporte absolument rien, là c'est un mélange de la violence de Homefront et le côté un peu "société de tueurs" de John Wick.
Certaines scènes restent très sympathiques pour les amateurs du genre, mais beaucoup d'incohérences viennent un peu tout gâcher, surtout le sentiment d'invincibilité du héros, c'est too much. Il s'attaque à des organisations mafieuses, au FBI, à la garde présidentielle, à des tueurs professionnels, tout cela sans jamais sourciller.
On a aussi les classiques agents du FBI qui sont juste des PNJ qui suivent le héros sans jamais le gêner ou apporter quelque chose d'utile.
Bon ça fait plaisir de voir Statham toujours aussi en forme, mais à part ça, aucune nouveauté, aucune scène mémorable, beaucoup d'incohérence, à voir pour les fans du genre.

Le speech ne donne franchement envie tant il colle au canevas hyper éculé et hyper galvaudé. Pourtant on débute le film avec un générique haut de gamme, aussi élégant que stylé qui ne correspond pas franchement à la suite si classique et convenu. Les premières minutes sont d'emblée une collection de mauvaises idées et de clichés du genre, entre des traders-hackers pastichés depuis "Le Loup de Wall Street" (2013) et un apiculteur qui doit tout à sa bienfaitrice sans vraiment qu'on sache pourquoi (il est locataire quoi de plus normal?!). Puis arrive les incohérences... SPOILERS cliquez pour en savoir plus !... Les effets pyrotechniques sont médiocres et l'utilisation de doublure mannequin est clairement aussi ridicule que grotesque, trop d'effets numériques trop grossièrement visibles, le méchant est une caricature inintéressante, Irons qui s'emmerde clairement, les agents du FBI sont bien écrit mais joués par deux acteurs sans réels présence, reste donc Jason Satham toujours aussi classe, toujours aussi efficace. On aime aussi le suivi de la méthode des abeilles mais un peu gâché par des dialogues plus proches de la philosophie de comptoir que du simple rapport éthologique. Dommage.
Site : Selenie.fr

Un chef-d'œuvre de nullité! C'est presque un film comique! Dès le départ quand spoiler:
l'agent du FBI découvre sa mère morte, j'ai eu plus de peine qu'elle! Aucune émotion. spoiler:
. Emmy Raver-Lampman, mauvaise actrice, sans parler de son collègue, Bobby Naderi, qui a même la flemme de jouer son rôle! Le scénario est décevant! Jason Statham déambule "tranquillou" tout le long du film, et entre dans des lieux ultra sécurisés comme on entre au supermarché, avec à ses trousse, l'armée, des mercenaires, des policiers, des vigiles, sans se cacher! Le coup du Skateboards est à pleurer, ainsi que ses changements de tenues non froissées pour se camoufler! Aucune intrigue. Que fait Jeremy Irons dans ce téléfilm? Bref, j'ai bien rigolé avec toutes ses absurdités même si j'ai les "abeilles" d'avoir perdu mon temps. Espérant qu'ils ne fassent pas une série!

La vengeance d’un apiculteur prend une tournure nationale après qu’il se soit révélé être un ancien agent d’une puissante organisation criminelle…

Visionner The Beekeeper (2024) dans son intégralité relève soit de l’inconscience soit de la bêtise humaine (j’opte donc pour la 3ème option, à savoir que j’avais du temps à perdre et que j’ai tenté de l’occuper du mieux que j’ai pu… et je le regrette amèrement). Une chose est sûre, je comprends mieux pourquoi ce film passe à la trappe en France et ne bénéficie pas d’une exploitation en salles, contrairement à bon nombre de pays aux quatre coins du globe.

David Ayer (Suicide Squad - 2016) a mis en boite un film d’action qui ne cesse de se reposer sur des poncifs et basé sur un pitch de départ tellement grotesque que cela n’augurait rien de bon pour la suite. Sans réelle surprise, le reste du film ne sera pas mieux et ne s’avère n’être rien d’autre qu’un actionner bourrin et écervelé (des dialogues insignifiants), qui se repose sur un scénario parfaitement ɔon et qui manque clairement d’originalité (une puissante organisation clandestine connue sous le nom de "Beekeepers". Tient, tient… ça nous rappelle vaguement "La Grande Table" de la saga John Wick). Le film n’est rien d’autre qu’une enfilade de scènes d’action illisibles (tout est dans le montage, afin de rendre crédible Jason Statham, malgré ses 56 printemps).

D’ailleurs, on pourrait aisément dire que Jason Statham est la version chauve de Liam Neeson, enchaînant des films d’action sans saveur et identiques les uns aux autres. Sans oublier que Jason Statham a cette faculté à toujours jouer le même type de personnage sans chercher à se renouveler. Avec lui, aucune surprise, on sait d’avance ce que l’on vient voir, à savoir un type inexpressif, mâchoire serrée comme s’il se retenait de se ɔhier dessus pendant toute la durée du film et qui se fight comme un surhomme (parfaitement irréaliste, mais visiblement tout le monde s’en fout).

● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●

Scénarisé par Kurt Wimmer, tâcheron responsable du dernier Expendables (Scott Waugh, 2023) et du remake de Point Break (Ericson Core, 2015), The Beekeeper compose un personnage de vengeur comme le cinéma américain en possède déjà des centaines, tous interchangeables quant aux causes défendues – ici, la volonté de punir celles et ceux qui abusent de la confiance des faibles pour leur retirer de l’argent – et aux interprétations, froides et méthodiques. Le premier quart d’heure annonçait pourtant une tonalité plus mélancolique, avec ses deux protagonistes vivant dans un espace retiré du monde et qui se trouvent malgré eux raccordés à la méchanceté de la nature humaine ; la séquence d’arnaque en ligne, construite sur un crescendo qui s’abat sur la septuagénaire tel un fatum, s’avère très efficace et promet un choc des mondes (anciens versus modernes) et de leurs valeurs respectives qui n’advient pas. L’action tous azimuts prend le pas sur la fable métaphorique et casse le rythme tranquille initial par un montage épileptique ; les abeilles et les frelons deviennent l’objet d’analogies grossières voire ridicules. Dommage.

Très bonne réalisation avec Jason Statham. Alors, peut-être que je lui accorde un "très" en plus parce que j'apprécie cet acteur spécialisé en films d'action, mais je considère que celui-ci est l'aboutissement de sa carrière solo - du moins, jusqu'à maintenant, et donc j'exclus de ce qui va suivre les "Expendables" - en terme de Jason Stathanement de gueule (notez, pas forcément en scénario, car il a dû participer à mieux, même si ici, on aime ce que l'on suit).
Car oui, "L'apiculteur" est un film violent, comme j'en ai rarement vu récemment, à part dans les Expendables, les John Wick et les Equalizer. Qui avaient plus que 40 millions de dollars de budget.
Il y a quelque chose de particulièrement jouissif à le voir s'en prendre à des "méchants" (et quand même un peu trop fortement à ceux qui se mettent en travers de sa route).
Bref, j'ai passé un super moment à suivre ce très bon film d'action.

Un " Jason Statham 's film " en bon et du forme. Un scénario vide, des grosses scènes d'action bien bourrines, très peu de surprises ... juste pas mal.

Une très bonne série B d'action avec un Jason Statham implacable en justicier qui va venger une amie d'escrocs 2.0 sans vergogne et remonter sa vendetta jusqu'au plus haut sommet. Ça ne fout pas le bourdon, c'est efficace et garanti sans prise de tête, et la réalisation est stylée (David Ayer pique de nouveau et ça fait du bien). C'est bon et revitalisant comme du miel.

Du Statham pur jus avec son lot de scènes d'action et d'incohérences habituelles. Un bon moment pop-corn sans prise de tête.

On retrouve Un Statham en pleine forme , qui n'aime pas ses film n'aimera pas celui ci . Du Gros bourin comme on a l'habitude de voir !! Mise à part quelques acteurs qui sont moyennement convainquant le film reste plus que potable.. Une abeille qui fait tout pour le bien de la Ruche X)