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Orno13
11 abonnés
594 critiques
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4,0
Publiée le 14 mars 2023
Le nouveau film de sam mendes est émouvant et attachant,le 3ème film de l annee qui rend hommage au 7ème art,dans cet œuvre c est par le prisme d une rencontre entre 2 êtres dont la vie est difficile mais c est grâce a la découverte du cinema a la poésie qu ils vont remonter la pente et retrouver leur chemin de vie Un très beau film.
Empire of light Un chef d’œuvre du cinéma anglais Un joyau d’humanité Un déferlement d’émotions jouées tout en pudeur et délicatesse… Y’avait longtemps que je n’avais vu un si beau film…
Sam Mendes est un réalisateur qui m'a séduit en tout point sur son précédent film. Et il faut l'avouer que ce film m'avait l'air très beau. Et après visionnage, je trouve que le nouveau film de Mendes est franchement bien ; la mise en scène est très belle et le scénario est vraiment touchant.
Si on prend le sujet de base, le film est déjà très intéressant ensuite, l'histoire en elle-même est prenante mais il y a quand même des petits moments de mous au cours de la seconde moitié. Le récit m'a capté très rapidement, d'autant plus que les personnages sont vraiment attachants et très chouettes. Ils ne sont pas sans défaut ; je trouve que le personnage d’Hilary a des traits de caractères qui surviennent et disparaissent un peu trop aléatoirement et d’autres personnages partent du scénario soudainement. Sinon, le développement et l'évolution des personnages sont crédibles et cohérents vis-à-vis des événements du film. D’ailleurs, les péripéties sont très sympathiques ; le récit est bouleversant. Mais il est vrai qu’il y a beaucoup de thèmes abordés qui peuvent parfois paraître un peu bâclés parfois, malgré des dialogues de qualités.
Là où le scénario a quand même quelques failles ; je trouve que la réalisation est impeccable. La direction photographique est vraiment magnifique et il y a beaucoup de plans qui sont de réels tableaux ; d’autant plus que le travail sur la lumière est remarquable. Effectivement, le chef opérateur a bien géré le travail sur les couleurs, notamment la séquence du nouvel an et les séquences dans le cinéma. Sinon, les mouvements de caméra et le cadrage sont très juste mais un peu trop basiques. Sans compter que les décors sont vraiment magnifiques et il y a un vrai aspect grandiose et onirique lorsqu’on rentre dans la salle de cinéma. Pour finir, la musique est très belle et le thème passe toujours avec ce que l’image montre ; par contre, elle n’est clairement pas assez présente et se laisse un peu trop oublier par le visuel.
Pour la réalisation, le concept ; malgré le trop-plein de thèmes ; je conseille clairement ce film car c’est une déclaration au cinéma et à la salle de cinéma. De l’image au scénario, Sam Mendes a su raconter une magnifique histoire.
Très beau et bon film. Et une magnifique interprétation d'Olivia Coleman. Son visage nous fait basculer d'une émotion à une autre. Également un voyage dans le temps. On est au début des années 80 et en même temps le temps semble suspendu. On a du mal à se situer. Belle surprise !
Ce film est parmi les meilleurs de ce début d'année.... tant de sujets y sont abordés avec intelligence, sensibilité et regard critique sur la société anglaise des années Tatcher et des holligans. Je le recommande vivement. Excellente interprétation, excellent scénario aussi... et un nouvel hommage au cinéma qui me fait dire en sortant de la séance que, décidément, le cinéma est un art précieux qui nous fait vivre émotionnellement tout ce qui peut arriver dans la vraie vie !
Après Damien Chazelle et Steven Spielberg, c'est au tour de Sam Mendes de rendre hommage au cinéma avec un titre pour le moins périphrasé : Empire of Light. Après American Beauty, Les Sentiers de la Perdition, 007 et autres 1917, on était en mesure de s'attendre à une nouvelle pépite de l'auteur. Je dois dire que je suis ressorti quelque peu confus de la salle car la bande-annonce ne m'avait pas vraiment préparé à cela : là où le septième art fait parti intégrante de l'intrigue de Babylon et de The Fabelmans au point de devenir un véritable personnage, le titre du long-métrage de Mendes semble trompeur car le cinéma est au final une "toile de fond" dans le récit d'Empire of Light. Pareille pour le personnage d'Hilary qui paraissait n'être qu'une femme désespérée qui retrouve foi en la vie grâce à Stephen campé par le charismatique Michael Ward, alors que le personnage est bien plus complexe qu'il n'y parait. Ce n'est pas un défaut d'avoir voulu brouiller les pistes mais j'avoue ne pas avoir réussi à saisir le message du cinéaste dans son film. Sam Mendes traite notamment du cinéma, du racisme ou encore spoiler: de la maladie mentale mais ce trop plein de thématiques ne permet pas de savoir ou le réalisateur veut réellement en venir. On se retrouve vers le milieu du métrage à ne plus savoir qui est le véritable personnage principal : le spectateur ne sait plus de quel point de vue il faut accueillir le film afin de mieux le comprendre. En outre, j'ai trouvé le casting très bien choisi et très bien dirigé, à l'image d'Olivia Colman et Michael Ward que j'ai cité précédemment, mais j'ai aussi beaucoup apprécié Tom Brooke dans le rôle de Neil et surtout Toby Jones dans le rôle du projectionniste Norman qui malgré son peu de temps à l'écran parvient à sublimer le récit. On peut aussi parler de l'impeccable photographie de Roger Deakins : même si elle n'est pas à la hauteur de celle de Fargo, Prisonners ou Blade Runner 2049, je me rappelerais longtemps de la séquence spoiler: sur le toit entre Hilary et Stephen . Toujours sur la photographie, la façon de nous faire rentrer dans le récit est saisissante en combinant la musique monotone composée par Trent Reznor et Atticus Ross ainsi que des shoots spoiler: à la fois vide de vie et rempli de désarroi. Pour conclure, il faut aussi applaudir la reconstitution de ce Londres 1980 et surtout celle du cinéma Empire : le cinéma est comme un phare marin qui paraît bien pâle de jour et si lumineux de nuit. C'est vraiment dommage que je n'arrive pas à saisir la portée du film ou à être véritablement touchée par cette histoire. Empire of Light reste tout de même un long-métrage à voir pour son atmosphère sonore qui corrèle impeccablement avec son atmosphère visuelle.
"Empire of light" est un film nostalgique sur un cinéma de quartier dans une ville balnéaire anglaise au debut des années Thatcher. Batisse décrepie, à la gloire dévolue, ce cinéma est géré par une équipe hétéroclite, composée de femmes et d'hommes cabossés et au destin limité. Film respectable, "Empire of light" souffre de longueurs et de sujets multiples qui finissent par nuire à l'oeuvre.
Salle pleine à L'Arlequin pour ce merveilleux film sur la magie du cinéma et l'amour entre 2 personnes qui portent un lourd fardeau. Cinéma social aussi dans les années 1980 sous Tatcher.
Un film qui aborde beaucoup de sujets graves, sans en faire de trop. Des acteurs magnifiques. Une ambiance particulière fidèle à ces plages anglaises, un peu tristes.
Quand on sait ce dont Sam Pendes est capable on ne peut qu'être déçu. Le mélange des thèmes du film est trop important, ce qui fait qu'aucun thème n'est véritablement travaillé dans ce film. spoiler: Le thème du racisme et de l'intolérance est beaucoup plus richement traité dans "This is England" par exemple. L'amour contrarié est traité par une sorte de symbolique peu convaincante.
C'est encore une réussite pour Sam Mendes qui nous offre un beau voyage et une belle histoire agréable à regarder. La photographie est très belle, c'est bien filmé, bien joué et bel accompagnement musical. Cependant je trouve que le rythme du film n'est pas toujours passionnant, et nous laisse parfois l'envie de regarder notre montre et j'aurais aussi aimé que le film aille plus en force sur certains enjeux, selon moi maigrement exploités. Après je respecte totalement le travail des scénaristes et de Sam Mendes, un réalisateur expérimenté qui sait ce qu'il fait, donc si le film est ainsi c'est qu'il a montré ce qu'il voulait, pas plus pas moins. Film à voir.
tout en pudeur et délicat. ce film peut à la fois nous bercer et nous émouvoir à voir un VO un très bel hommage à la musique et au cinéma des scènes et des plans magnifiques les acteurs sont justes
Après The Fabelmans et Babylon, Empire Of Light est aussi un film "d'amour de cinéma". Même si je trouve que parmi ces trois films, c'est celui que j'ai le moins aimé (je l'ai trouvé très bon quand même), c'est celui qui se détache le plus des trois. En effet ce film c'est un cas général et "Monsieur Tout le monde" qui va en particulier, atteindre le spectateur. Scénario simple mais une réalisation magnifique. Photographie magnifique ! Casting excellent également : Olivia Colman est touchante dans ce film. Sam Mendes touche à des thèmes qui vont au-delà du cinéma : Le racisme, la solitude etc. tout ça mis à bout en fond un excellent film. Je remarque qu'en faisant ma critique, que le film a une meilleure saveur une fois que le film est fini. Le film dégage une émotion si particulière qu'elle devient hyper émouvante. Très bon !