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    Empire Of Light
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    4,0
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    281 critiques spectateurs

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    corpeziz_
    corpeziz_

    6 abonnés 15 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 novembre 2024
    C’est un bon films dans l’ensemble.
    On y retrouve les veille tradition. Les accessoires et les décors y sont soignés dans ce films. J’aime l’ambiance générale. Le jeux d’acteur y est précis.
    Jolie scénario.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 185 abonnés 5 188 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 octobre 2024
    Le film reprend grosso modo de thème de « loin du paradis ».
    Il y a une ambiance très réussie qui piétine à la façon des héros sur leur propre sort.
    Le film décrit une rencontre en fait banale mais s’avère pudique et jolie.
    Valbd22
    Valbd22

    19 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 septembre 2024
    Effectivement très bon film. Charmant et touchant. Je recommande . Acteurs et actrices très bien. Je recommande 👍
    Y Leca
    Y Leca

    33 abonnés 1 003 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 août 2024
    Tout est beau dans ce film : la photo, les cadrages (les lieux, superbe cinéma et côte anglaise, s'y prêtent et Mendes les magnifie), le scénario, la musique au piano et les acteurs (Olivia Coleman extraordinaire en bipolaire). Superbe réalisation.
    Bernard Boulanger
    Bernard Boulanger

    3 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 août 2024
    Très très grand film .
    Superbes acteurs et une grande actrice.
    Un très bon moment de cinéma on entre dans un cinéma et on y voit un film merveilleux
    utadabottle
    utadabottle

    1 critique Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 août 2024
    Dès le début de ce film, on passe de la surface du personnage joué par Olivia Coleman, à son intimité intérieure et extérieure, cela continue pendant tout le film que ce soit à haute voix ou par des expressions faciales. Olivia Coleman comme à son habitude joue parfaitement toutes les nuances d'émotions et ici surtout le fait d'être au bord de tout. Michael Ward Stephen est lui aussi fort dans son jeu, malgré le fait que son personnage s'exprime avec douceur et subtilité. La rencontre de leurs personnages, de leurs combats quotidien et le soutien, qu'ils ont l'un envers l'autre, nous touche directement. Sans compter, le reste de leurs collègues qui par leur humour, leurs observations silencieuses des uns et des autres, toujours sans jugement et leur soutien intervenant de manière opportune. Tout ça pour dire que l'empathie et la bienveillance sont dissolus tout au long du film et ça fait du bien. Petite pensée pour Colin Firth, que je n'attendais pas dans ce type de rôle, mais tristement bon.
    laurie james
    laurie james

    16 abonnés 173 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 26 juin 2024
    Ce film brille avant tout par sa magnifique photographie et son impeccable interprétation.
    La presque totalité de l’action se déroule dans un vieux cinéma à la beauté surannée. La salle du dernier étage, ouverte à tout vent, avec son vieux piano et colonisée par les pigeons reflète le propos du film nostalgique et mélancolique.
    Un petit bémol cependant l’histoire d’amour entre Hilary et Stephen est assez peu crédible. En effet si l’on peut aisément imaginer qu’elle puisse s’éprendre d’un beau jeune homme noir, il est plus difficile de croire à un attachement sentimental envers une femme entre deux âges dépressive et mal fagotée même si Olivia Coleman sait rendre cette femme absolument émouvante.
    Une très belle ode au cinéma tel que nous l'aimons.
    PauloVentura
    PauloVentura

    1 abonné 21 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 1 juin 2024
    Dans ma tête Sam Mendes est un très bon réalisateur. Jarhead est un chef d'oeuvre et le reste de sa filmographie est très bon (je n'ai pas vu les James Bond). J'étais donc curieux de voir Empire of Light.

    Vous l'avez vu à la note que je n'ai pas du tout aimé. Le film est plat et chiant à mourir. À l'image de la musique d'ascenseur qui passe tout le long du film. Plus insipide que cette musique ce n'est pas possible je crois. Au delà d'être nulle elle est beaucoup trop présente.

    En fait le film se veut sobre et subtil mais il est tout le contraire. À l'image de cette scène où Olivia Colman croise comme par hasard Stephen en ville et se met à le suivre pour observer une scène d'agression raciste. Alors oui, le racisme c'est mal mais j'aimerai que le film fasse un petit effort pour délivrer son message subtilement.

    D'ailleurs c'est quoi le message du film ? Ça parle de cinéma, de racisme, de patriarcat, de dépression. Ça met dans un même moule tous les pires trucs de ce monde, ça mélange et ça recrache, ça vomit son message. On dirait vraiment un film d'étudiant qui veut parler de tout mais qui veut se donner un côté retenu et subtil.

    Le film décole lors de la scène de l'avant première où le personnage d'Olivia Colman est inquiétant parce qu'on sait qu'elle peut déraper à tout moment. Quand elle expose Colin Firth auprès de sa femme c'est assez jouissif. Mais bon le film retombe juste après dans ses travers et ne décollera plus jamais.

    J'ai pas envie d'en parler plus longtemps, j'ai vraiment détesté le film. J'espère que c'est juste un passage à vide pour Sam Mendes. Mais son prochain projet de quatre films sur les Beetles me fait très peur...
    Nicolas S
    Nicolas S

    45 abonnés 545 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 avril 2024
    Dans la lignée de ce que Sam Mendes a pu faire ces dernières années, Empire of Light est un film d'un grand classicisme, marqué par le cinéma américain des années 50 et particulièrement par Douglas Sirk. Il raconte une histoire d'amour entre Hilary - une femme entre deux âges qui souffre de schizophrénie - et Stephen - un jeune homme noir qui espère intégrer une université - et se déroule principalement entre les murs d'un beau cinéma Art déco du Sud-est de l'Angleterre, l'Empire. Le film se saisit correctement de son contexte historique - les années Thatcher, la montée de l'extrême droite et des violences racistes - mais convainc surtout quand il dresse un portrait tendre et nuancé de ses personnages, qui sont presque tous fondamentalement bons et sympathiques (cela fait du bien, de temps en temps). Cela donne un film à l'air un peu suranné, à l'image du cinéma où se déroule la majeure partie des scènes ; quelque chose de mélancolique et émouvant.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 199 abonnés 4 182 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 avril 2024
    Pour son neuvième film depuis 1999 et le succès aussi inattendu que fulgurant d’ « American Beauty » raflant cinq Oscars en 2000 dont quatre majeurs, Sam Mendes revient avec « Empire of Light » à sa première vocation qui le vouait à un cinéma intimiste. Après « Away we go » en 2009, il avait réalisé deux James Bond (« Skyfall » en 2012 et « 007 Spectre » en 2015) avant de s’attaquer à « 1917 » film sur le Premier Conflit Mondial inspiré des souvenirs personnels de son grand-père paternel Alfred Mendes. Ce dernier film fut jugé par certains comme un exercice de style truffé d’effets spéciaux mais sans réelle direction narrative. En trois films, le réalisateur anglais a véritablement assis sa réputation de réalisateur « bankable » avec 1375 millions de dollars de recettes pour un total de budget avoisinant les 600 millions de dollars. Il est vrai que les deux épisodes de la saga James Bond ne présentaient pas de risques financiers majeurs. Il convient de souligner peut-être davantage que Sam Mendes y compris pour ses films les plus personnels n’a jamais fait perdre d’argent à ses producteurs. Il décide donc en 2022 soit 14 ans après « Away we go », film sur le couple comme l’étaient avant lui « American Beauty » et « Les noces rebelles » de revenir à ses premières amours. En regardant « Empire of light » principalement soutenu par la prestation admirable de la toujours étonnante et désormais oscarisée Olivia Colman (« La Favorite » de Yorgos Lanthimos en 2018), on sent très rapidement un réalisateur qui a mûrement réfléchi à ce qu’il allait poser sur l’écran comme si ce long intermède commercial lui avait fait perdre une spontanéité qui s’est un peu enfuie alors que Mendes a désormais 57 ans. Se sentant aussi peut-être attendu au tournant il doit songer à la rentabilité d'un retour aux sources qui pourrait n’être que provisoire, un peu comme Faust devant payer le prix de son éternelle jeunesse, sa célébrité dans le cas d’un Sam Mendes marchant sur des œufs. Le réalisateur qui écrit seul pour la première fois le scénario d’un de ses films n’ignore évidemment pas que le climat sociétal a considérablement évolué tant en Europe qu’aux États-Unis, exigeant certains passages obligés pour que le film soit validé dans l’air du temps. Ainsi dans l’Angleterre thatchérienne qui sert d’écrin à cet hommage au cinéma, il lui faudra évoquer le racisme des skinheads pour cocher la case « oppression des minorités », faire de l’habituellement consensuel Colin Firth un gérant de salles « me too » imposant des rapports sexuels à une de ses salariées. Une chef d’équipe interprétée par Olivia Colman qui aura elle aussi son quart d’heure de revanche, occupant sans y être invitée la scène lors d’une avant-première des « Chariots de feu » où elle réglera définitivement son compte à son violeur. Quand il filmait « American Beauty » et « Les noces rebelles » le jeune Sam Mendes n’avait pas sa caméra si lourdement lestée. Il doit se dire après cette expérience qu’il a sans doute raté quelques bons films à réaliser dans les quinze dernières années. Un choix de carrière que n’ont pas fait des cinéastes de sa génération et de sa trempe au sein desquels se trouvent les trois Anderson (Brad, Paul-Thomas et Wes). Il faut donc se contenter d’un film certes un peu en dedans mais offrant tout de même de très beaux moments comme cette entame où Hillary (Olivia Colman) arrivée avant tout le monde déambule dans ce cinéma d’un autre temps pour prendre ses repères, humer l’atmosphère tout en veillant à ce que les choses soient en ordre pour le cérémonial de l’ouverture des portes du temple. Ce joli ballet du labeur quotidien est formidablement accompagné par la musique de Trent Reznor et Atticus Ross. La relation entre Hillary et le jeune Stephen (Micheal Ward) quoiqu’un peu artificielle en raison des règles à suivre évoquées plus haut est joliment rendue tout comme l’ambiance au sein de l’équipe et la passion du projectionniste (Toby Jones comme toujours convaincant) pour son énorme machinerie magique. Manque on l’a dit la spontanéité que Sam Mendes devra retrouver si on lui en laisse le temps. Mais un film de Sam Mendes reste toujours au-dessus de la moyenne. Vu le peu de succès rencontré par « Empire of Light », il ne serait pas étonnant que lui soit fortement conseillé une adaptation Marvel ou DC Comics pour sa prochaine réalisation. La gloire et la fortune ont parfois leurs revers.
    Pierre Chambon
    Pierre Chambon

    1 abonné 210 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 avril 2024
    manque un peu de profondeur dans les personnages, qui sont survolés sans être vraiment révélés - ça affaiblit le scénario - aucune donnée sur l'époque du film, a priori les années 50 ?
    JeremGar
    JeremGar

    96 abonnés 1 569 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 avril 2024
    Ce qui se caractérisait, par le synopsis, comme une ode au cinéma des années 80 se conclut finalement en romance. Mais ce n'est pas pour nous déplaire. Cette période britannique tumultueuse est bien dépeinte et se ressent dans les émotions des personnages. Hilary gère cet Empire, magnifique bâtisse servant de cinéma local. Seule et dépressive, elle fait alors la rencontre de Stephen, nouvel employé. Très rapidement complices, une romance s'installe entre ces deux personnages qui, au départ, n'ont pas grand-chose en commun. Victime de racisme « banalisé », Stephen n'a d'autre choix que de continuer son chemin et d'accepter cette fatalité (« C'est arrivé à ma mère, cela m'arrive à moi, ça arrivera aussi à mes enfants »). Hilary, elle, réapprend à vivre et à sourire grâce à ce jeune garçon débordant de gentillesse. Tout ceci au sein d'un décor somptueux de cinéma des années 80 et d'une musique dominante. Mention parfaite à Olivia Colman qui, après The Father, les séries Broadchurch et The Crown, nous offre une prestation sur mesure.
    antho77570
    antho77570

    2 abonnés 39 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 avril 2024
    Une preuve que les histoires les plus belles ne sont pas forcément les plus sensationnelles !
    "Empire of the light" transporte le spectateur dans le sud de l'Angleterre au début des années 80 et le plonge dans un univers baigné de calme et de mélancolie.
    Mais sous ces airs d'amourette en bord de mer, ce film cache en sous texte un propos plus profond en traitant avec légèreté l'amour intergénérationnel, mais également la difficulté du traitement des maladies mentales ou encore de la montée du racisme à cette époque.
    Olivia Colman est toujours juste et le reste du casting tout aussi convaincant.
    Enfin les décors (en particulier le cinéma) sint magnifiques et la lumière sublime.
    Un film parfait pour s'évader tout en douceur.
    Hotinhere
    Hotinhere

    569 abonnés 4 993 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 avril 2024
    Un drame élégant, mélancolique et délicat sur la solitude dans l’Angleterre des années Thatcher, traversé de scènes lumineuses mais manquant dans l’ensemble d’intensité, et porté par l’interprétation bouleversante d’Olivia Colman. 3,25
    Roub E.
    Roub E.

    983 abonnés 5 015 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 31 mars 2024
    Comme toujours chez Sam Mendes le film est beau (forcément avec Roger Deakins à la photo), sa direction d acteur est une fois de plus remarquable avec dans le premier rôle Olivia Colman toujours formidable. Il instille dans cette reconstitution d une station balnéaire anglaise qui traverse les tumultes des années 80 une véritable émotion. On peut reprocher au film d être trop lisse et sans surprise mais il est très soigné.
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