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    Empire Of Light
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    4,0
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    281 critiques spectateurs

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    pavillon-amiral
    pavillon-amiral

    9 abonnés 12 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 18 mars 2024
    Un film touchant, à l'atmosphère tout autant travaillée que ses personnages. Beaucoup de justesse et de tendresse.
    berdj aghassian
    berdj aghassian

    59 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 mars 2024
    Très modérément "Sam Mendesiste", ce film m'a beaucoup plu. Comme quoi, on peut faire simple et beau. Sacrée révélation, Michael Ward... à suivre de près... bien aidé par Olivia Colman.
    Michael R
    Michael R

    103 abonnés 1 253 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 mars 2024
    Après les Noces Rebelles, Skyfall et 1917, Sam Mendes éblouit encore les pupilles du spectateur avec cette mise en abyme (un film sur un cinéma) qui pourrait n'être qu'un film mineur à la photographie soignée, mais se révèle au fil de la bobine, un grand film. Grand, tant par l'interprétation (et Olivia Coleman est encore grandiose), que les images (tout le film est beau et certains plans sont même iconiques), le fond (le cinéma, le racisme, la résilience, la maladie, l'amour). À la fin, les yeux sont embués et le cœur serré, preuve que Sam Mendes a encore marqué l'esprit, et de la plus douce des manières.
    Shawn Atreides
    Shawn Atreides

    11 abonnés 11 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 21 février 2024
    L'amour a peut-être ses raisons ...

    Mais Sam Mendes a pour lui cet atout ; celui de savoir poser son regard, au travers de sa caméra, sans jugement, pour révéler la vie telle qu'elle se présente. Véritable lecteur social, artiste résolument humain, il est pour moi le réalisateur du point de rupture. 

    Dans ce qui est son film le plus résolument Européen, Mendes conserve son geste subtil, ampli de pudeur. Il contemple forces et failles des âmes qu'il invite dans son cadre. Toujours juste et jamais en surface, il frôle d'abord puis s'abandonne, avec toute l'intensité requise à son sujet. Sans jamais embellir, il retrouve pour la cinquième fois Deakins pour capturer ce qu'il y a de beau et le sublimer ; confronter la noirceur et la douleur, sans jamais tourner les talons.

    Directeur d'acteurs hors pair, il anime ce remous incessant et sonde l'intériorité d'un casting 5 étoiles qui compose les émotions plurielles d'une vie aux détours infinis. Les gestes en disent plus que les mots et le temps, offrira-t-il de quoi panser les maux.

    On pourra regretter l'absence de Thomas Newman, fidèle accompagnateur de ses dissonances et notes fragiles reconnaissables entre toutes. Reznor et Ross s'appliquent à apporter une ambiance feutrée, minimaliste, qui souligne, sur le fil.

    Sam Mendes ; sa plus grande marque de respect, sans doute, est de nous convier, sans jamais s'incliner à nous épargner. Dans un monde idéal, les spectateurs lui auraient rendu la pareille.

    Peut-il y avoir de lumière sans ombre ?
    Baatoou
    Baatoou

    7 abonnés 78 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 février 2024
    Bon moment passé devant ce film que j'attendais tout de même plus comme une célébration du cinéma. Même si le film reste bon. je trouve qu'il abordé trop de sujet pour tous les traiter convenablement : la romance commence de nul part et trop rapidement, le racisme est survolé (et vient uniquement des skinheads), le cinéma est secondaire dans l'histoire et la maladie mentale de l'héroïne n'est pas assez explorée. Un petit arrière goût de déception de mon point de vue, mais sinon le film est très beau, les acteurs très juste et les musiques magnifiques nous amènent de très bonnes scènes
    TUTUR29
    TUTUR29

    32 abonnés 1 113 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 1 février 2024
    Il m’avait paru étonnant qu’Empire of Light, réalisé pourtant par Sam Mendes, passe un peu sous les radars lors de sa sortie. Mais maintenant que je l'ai vu, je comprends pourquoi : Empire of Light n’offre rien visuellement, s’embourbe dans du pathos qui n’avance jamais avec une intrigue qui ne décolle pas et des personnages antipathiques. C'est la définition même du drame ennuyeux ! Je n’y ai vraiment trouvé aucun intérêt et j'avoue n’avoir même pas tenu jusqu'à la fin. Très déçu de Sam Mendes pour le coup !
    Peter Franckson
    Peter Franckson

    52 abonnés 1 153 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 janvier 2024
    Loin des superproductions [« Skyfall » (2012), « 007 Spectre » (2015) et « 1917 » (2019)], Sam Mendes a réalisé un film intimiste, avec une part autobiographique (santé mentale de sa mère, en plus de son amour du cinéma). Il se déroule, à partir de Noël 1980, dans le cinéma Empire [dirigé par l’odieux Donald Ellis (Colin FIRTH)], à la façade Art Déco, d’une ville balnéaire (tournage à Margate dans le Kent). Il s’agit d’un film très beau [photographie de Roger DEAKINS, 73 ans, 5e collaboration sur 5 avec le réalisateur] et d’une grande richesse : hommage au cinéma [comme « Cinema Paradiso » (1988) de Giuseppe Tornatore], art de l’illusion, à travers le projectionniste Norman (Toby JONES) mais aussi film sur la solitude (excellente, comme toujours, Olivia COLMAN qui a obtenu, pour ce rôle, le Golden Globe de la meilleure actrice dans un film dramatique) et dénonçant le racisme [dont souffre Stephen Murray (Micheal WARD), originaire de Trinidad, ancienne colonie britannique, indépendante depuis 1962] au Royaume-Uni pendant les années Thatcher (Première Ministre de 1979 à 1990) où le réalisateur avait entre 14 et 25 ans (d’où le choix de la musique de l’époque.
    dan47
    dan47

    54 abonnés 154 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 janvier 2024
    voilà du vrai cinéma sans effets spéciaux. sans caméra "folle" qui s'emballe. sans transition intempestive qui casse le film.
    tout est traité avec sobriété : la solitude, les sentiments, le racisme, le féminisme, la folie et tout ça sans voyeurisme. bravo. les acteurs sont tous parfaits et vivent leur rôle respectif.
    jane01
    jane01

    5 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 janvier 2024
    très joli film sur une rencontre, sur les maladies psychologique, sur les clichés, le racisme, la différence, très intéressant, et les acteurs jouent vraiment bien
    Yao _hime
    Yao _hime

    5 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 janvier 2024
    un film qui parle de cinéma ?? je pouvais qu'aimer c'était une pépite. Un film super prenant même si on n'aurait pas dit dans les premières minutes
    DELPHINE SAINT-ORENS
    DELPHINE SAINT-ORENS

    3 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 janvier 2024
    Tout ce que le Cinéma peut nous offrir de meilleur est dans ce film : la tendresse et la magie des relations humaines, la chronique historique et sociale, la différence et son acceptation, l'espoir et l'aventure, la beauté et la puissance cinématographique du front de mer et l'ambiance improbablement douce et mélancolique d'un toit terrasse où se tisse pour toujours un lien indéfectible entre deux êtres incroyables. Grande réussite qui rend hommage au Cinéma avec un grand E de Empire of light.
    bobmorane63
    bobmorane63

    187 abonnés 1 960 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 janvier 2024
    Un très beau film sur le cinéma d'une époque du début des années 80 en Angleterre, mais pas que, il y a aussi comme sujet le racisme et les faiblesses de santé superbement mis en scène par Sam Mendes !
    Déjà, des le début, l'envers du décor se situe dans un multiplexe Britannique qui ressemble beaucoup à celles des salles d'exploitations Françaises, salle de projection, Pop Corn, organisation des employés, de voir ça à l'écran magnifier par le cinéaste, c'est chouette. Ensuite, une relation entre une chef d'équipe avec un jeune homme noir, deux êtres humains qui s'aident et s'aiment, malgré le Hooliganisme et la santé fragile, une belle histoire nous est offerte. Sam Mendes signe la une magnifique réalisation avec Olivia Colman qui se distingue dans un projet d'ampleur avec brio à côté de son partenaire Michael Ward excellent et de bons seconds rôles dont on reconnaît Colin Firth. Superbe.
    Mengzi
    Mengzi

    1 abonné 102 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 17 janvier 2024
    Je suis assez déçu, je ne vais pas le cacher. J'avais pas mal d'attentes pour ce film, réalisé par Sam Mendes - un réalisateur qui a pour moi un grand talent, et qui m'a subjugué par Skyfall ou 1917.
    On est ici sur un film plus personnel je suppose, un peu plus poétique et engagé certainement, mais qui ne m'a malheureusement que peu emporté, que peu intégré...
    Le film est certes beau, je trouve au final qu'il manque de vigueur. Il n'est pas seulement lent - la lenteur peut avoir ses avantages - mais il passe à côté. Il ne développe pas suffisamment l'amour du cinéma, tel qu'on aurait pu l'attendre pour un film si basé sur le cinéma. L'histoire d'amour, je suis navré de le dire, ne fonctionne pas - ou alors je n'y ai peut-être pas été réceptif. Mais la relation des deux personnages sonne à mes yeux assez faux.
    Quelques moments de sincérité assez prenants, sont les accès de folie de Olivia Colman qui joue parfaitement ce rôle de femme torturée par les évènements qu'elle a vécue.
    Je suis donc assez mitigé, c'est un film sympathique mais sans plus, au grand potentiel mais à l'exécution quelque peu ratée.
    DAVID MOREAU
    DAVID MOREAU

    129 abonnés 2 228 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 janvier 2024
    CHACUN SON CINEMA. L'illusion du mouvement dans un rêve nostalgique ponctué de quelques sommes. Mendes dans des êtres et des choses, entaille ses souvenirs derrière sa camera et devant sa séance. Vivre est un état d'esprit. Damien Chazelle et Steven Spielberg ont aimé.
    Diabloxrt
    Diabloxrt

    37 abonnés 1 435 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 2 janvier 2024
    Aimant beaucoup le cinéma de Sam Mendes, "Empire of Light" était une évidence pour moi, même avant de voir le film. Je sentais venir le projet vraiment excellent et qui allait parfaitement fonctionner sur moi, et j'avais totalement raison ! Avec des décors et un budget plus restreint que ces dernières productions, le metteur en scène a choisi de proposer un récit plus intimiste avec ce projet. Basant son film durant les années 80, il place son environnement dans une société où les valeurs étaient bien différentes de celles que nous connaissons actuellement. Le film créait donc une romance entre deux personnes subissant une tyrannie de leur société, pour pouvoir développer ces thématiques. Du côté de l'excellente Olivia Colman, qui livre une performance extraordinaire, l'objectif est de traiter la place de la femme dans le monde de l'époque. Les mœurs avaient déjà commencé à changer, mais beaucoup de choses étaient encore compliquées pour elles. Sous pression de n'être qu'un objet et après avoir été traumatisé par d'anciennes relations, Hilary est un personnage extrêmement torturé et complexe. Quant à Stephen, le racisme sera évidemment traité tout au long du récit. La relation entre ces deux personnages va donc être très intéressante à observer, chacun ayant leur complexité et leur difficulté. Le film traitera cela avec beaucoup de pudeur, mais en ne se privant pas de montrer ces sujets via un réalisme assez dur. Le but n'est pas de s'apitoyer sur le sort de ces personnages et de revenir sur ce type de dénonciation que l'on a déjà vu des centaines de fois. L'objectif du film est de montrer nos héros en souffrir, mais surtout, de montrer la libération de leurs chaînes. Globalement, le long-métrage ne tombe jamais dans une représentation victimaire de ces personnages, mais uniquement dans un ensemble cruel et teinté d'optimiste. Une vision positive qui peut paraître niaise, mais qui est pourtant très efficace. Le point de vue de Stephen sera surtout dominé par le fait de poursuivre ces rêves quoi qu'il arrive, une vision un peu classique, mais qui est assez bien mise en perspective par le film. Et du côté d'Hillary, j'ai particulièrement aimé ce que sa relation avec Stephen va apporter, notamment par l'apport du cinéma. Tout son développement sera sur l'oppression et sur le renfermement, mais j'aime beaucoup l'idée de la faire prendre conscience du "besoin d'évasion". Une évasion qui sera mise en avant par le cinéma, un lieu qu'elle voit souvent, mais dont elle n'a jamais profité. Par ailleurs, j'aime beaucoup cet apport, et je pense que tous les amoureux du cinéma pourront s'y reconnaître, ainsi que toutes les nombreuses références et clins d'œil à apprécier. Le film est vraiment beau au sens large du terme, et réussit vraiment à viser juste. Le réalisateur a parfaitement compris son sujet et l'a très bien retranscrit à l'écran. Avec une esthétique simple, mais léchée, et un casting en grande forme, j'ai beaucoup apprécié mon visionnage. Clairement, Sam Mendes montre qu'il sait aussi proposer des œuvres plus personnelles et il se place vraiment dans les plus grands réalisateurs de ces 10 dernières années désormais. Pour conclure, une petite gifle.
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