Avis sur Menteur

Déjà quand tu vois la qualité de réalisation graphique de l'affiche ....Tu sais que si tu y vas ; mmmm , tu vas au fond de la ratière !!!!!!! Allez , on fonce voir car Olivier Baroux il a fait des trucs marrants quand même !! Mais , hélas , c'est bien ce qui était prévu avec Tarek , le comparse de la bande à FiFi , c'est la daube assurée !!
Et si tu rajoutes à la sauce le bel ARTUS ( le seul pas trop mauvais ici , c'est vous dire ....) tu as ton tandem de baltringues assuré.
Le pitch de départ est cocasse (un film québécois , parait il ?) pendant 1/4 heure ça marche , c'est même assez amusant, mais au bout d'1 h 30 ça devient d'un gonflant et d'un lourdingue , pfffff!!! C'est un mix "d'UN jour sans fin " et de "Bruce tout puissant" sans envergure , ni implication des acteurs; ça joue l'impro en roue libre .
Les gags sont usées jusqu'à la corde , les gars !! Les prêtres farceurs , les Russes alcolos, le Kung Fu du naze?? Il faudrait un peu se renouveler , non???
Mais ça plaira aux "Tucheux" et donc ça nous fera les dimanches soir sur Tf1 et M6 pendant 10 ans .....

Foutoir.
La première partie (amusante) du film transpire le sentiment de déjà vu à cause d’une bande annonce en montrant trop, s’en suit en suite une perte de rythme, le film se terminant très brutalement.
Prévisible, le film manque de logique dans son propre univers.
Extrêmement léger, même en ne s’attendant à rien.
La manière dont l’interprète Russe redevient elle-même? L’histoire de l’enfant sauvé de la noyade omis par le film mais en même temps non mais en même temps oui?
Les personnages principaux ont au moins le mérite de transpirer la sympathie.
Dommage

Le cinéphile se méfie toujours un peu des adaptations. Mais comme l’original québécois n’a a priori pas été à l’affiche de nos salles hexagonales (si ce n’est qu’il était présenté au Festival d’Angoulême en 2019) on considérera que c’est la version initiale pour nous et on la jugera comme telle sans rechercher une vaine comparaison. Le fil conducteur est intéressant. Il est propice à une avalanche de situations cocasses. Les affabulations d’abord puis, de nouveau, quand ces mensonges deviennent réalité par l’effet d’une quelconque puissance mystique. Mais ça finit quand même, sur la durée, par s’essouffler et manquer de ressorts. Et puis on est un peu comme en face de ces scénaristes de bande dessinée qui mettent leur héros dans une situation impossible à la dernière vignette d’une page et qu’il va bien falloir ramener à la vraie vie ensuite par un quelconque artifice. On dira ici que c’est poussif. Mais l’impression générale est bonne, le moment passé agréable. Un film qui ne manquera pas d’être recyclé à l’infini à la télévision pour meubler les programmes. Vous pouvez attendre si vous voulez... sans forcément rater quelque chose.

Olivier Baroux mélange Menteur Menteur et Bruce Tout puissant pour nous servir un plat bien réchauffé sans rythme ni même une once d'originalité. Tous les gags tombent à plat et malgré la sympathie que peut générer son interprète principal on compte les minutes en attendant la fin.

Bon je dois avouer que je suis extrêmement mitigé sur ce film. Scénario pauvre. Des faux raccords. (Oui oui) sans compter une belle incohérence bref…j'ai perdu mon temps! Passez votre chemin. Mention spéciale à Artus.

Le spécialiste français des navets (saga Tuche) récidive et frappe fort puisqu'il dépasse en médiocrité ses oeuvres antérieures.
Dans la salle, un silence de mort devant des non-gags qui se ramassent. Un moment pénible.

Sympathique comédie d'Olivier Baroux qui est selon ses dires une adaptation d'un film Québécois . Le film est léger et sympa à voir d'autant que la plus part des gags ne tombe pas à plat et on note une réelle entente entre Tarek Boudali et Artus .

Alors là, on touche le fond du panier.. Des non gags, aucun sens, les russes, pas les russes., je n'arrivais pas à comprendre ou on voulait en venir... Long, très long, j'avais hâte de quitter la salle.. A fuir

Oye oye ... Après le succès des films de la bande a fifi je me suis dis alléz jy vais Soyons fou...javais vraiment adoré 30 jours max qui sortait un peu de l'ordinaire ,avec une idée très conne mais franchement c'était vraiment sympa a voir !!! Mais la...Tarek je te respectais mais avec ce "film" tu n'as vraiment pas respecté le spectateur ...1h30 de nullitude ... Tristesse aucun scénario tous les gags tombent à l'eau...c'est le pire film français de la décennie j'ai l'impression....quelle énorme déception !

L'idée du film est trop bien. Cette idée que des mensonges deviennent réalités ! Mais le résultat du film pas trop... Ça reste quand même une distraction.
Peut-être que l'idée aurait pu être de voir ces mensonges devenir réalités au moment où ces mensonges sont proférés. Comme dans le film de 1997 avec Jim Carrey Menteur Menteur (Liar Layer). Mais ça aurait demandé une sacrée gymnastique du visage à Tarek Boudali ! De toute façon, ce film français est un remake d'un film canadien de 2019 (qui a le même titre), et dont le scénario ne pouvait peut-être pas s'écarter.
Le résultat de ce film est donc ce qu'il est. Mis à part l'introduction cool avec des moines sombres en communication avec l'au-delà, l'hystérie est la règle du début à la fin. C'est exagéré, c'est surjoué, en conséquence. Et puis tout le monde n'est pas Louis de Funès quand le rythme est à la nervosité. Même la musique est hystérique (sans doute pour la cohérencedu tout).
Il aurait fallu, avec ce scénario, que ces mensonges soient distillés, c'est-à-dire choisis, par exemple un toutes les dix minutes, au lieu de dix à la seconde... On aurait plus ri, on aurait eu le temps de rire !
Ça n'enlève rien au talent de Tarek Boudali, qu'on connaît déjà bien. Mais ça reste énervant ces auteurs de films qui n'ont pas le sens du dosage.
A.G.

Un mythomane invétéré exaspère son entourage professionnel et familial depuis très très longtemps.
Un beau matin, une malédiction lui tombe dessus : tous les mensonges qu'il a racontés depuis des années prennent vie !
C'est le début pour lui (et ceux qui l'entourent) d'une longue descente aux enfers...
Alors certes, ce divertissement potache aux ficelles bien grasses ne restera pas dans les annales du cinéma comique, loin s'en faut.
Il n'empêche, j'ai plutôt bien apprécié la petite touche "fantastique" de cette réalité parallèle délirante issue de tous les boniments du personnage central, incarné par un Tarek Boudali toujours aussi extravagant et amusant.
Une récréation cinéma potable pour passer le temps sans se faire trop mal au cerveau.
Site CINEMADOURG.free.fr

Le film québécois original peinait déjà à cause d'un scénario trop léger et des situations hors sols. La version française s'est débarrassée de l'épaisseur des personnages et, à force de simplification et d'implication du réalisateur et des acteurs, il ne reste vraiment rien à regarder sinon la chemise d'Artus qui imprime plus la rétine que le reste du film. Vivement que la comédie française retrouvent ses lettres de noblesse, à commencer par celles qui composent un scénario.
Indice : quand à une avant première le débat a lieu avant une projection, c'est que l'équipe a conscience que le film est nul... ça s'est encore vérifié ce soir !

Une paresseuse comédie de quiproquos, égocentrique (BOUDALI est de tous les plans), sale gosse au mauvais sens du terme et ratant systématiquement sa cible. Le visionnage de la bande annonce suffit amplement pour cette comédie sans intérêt.

La formule selon laquelle, les remakes ou adaptations sont souvent peu recommandables, est ici vérifiée ! Olivier Baroux compte un grand nombre de films à son actif, tels les "TUCHE", assez inégaux. La perspective d' une heure trente de fraîcheur, m'a sans doute influencé..... Tarek Boudali (Jerôme) est de bonne volonté, hyperactif, mais son personnage encore une fois en fait trop. Il est bien entouré de Chloé (Pauline Clément) ou Virginie (Louise Coldefy) impressionnante en registre déjanté, pour se mettre en valeur et opérer de son charme ravageur (?) Parlons scénario : bien maigre et si peu crédible. Ne restent que les décors naturels et ses jolies plastiques, cela fait un peu juste....!!**

C’est une réalisation de Olivier Baroux qui peine à trouver un succès en dehors des Tuche. Contrairement à d’habitude, il a écrit le scénario seul. Menteur est une adaptation du film québécois Menteur d’Émile Gaudreault, sorti en 2019.

Le cinéma aime tourner en ridicule le mensonge. On pense notamment naturellement à Menteur, menteur avec Jim Carrey. Cette fois-ci, Tarek Boudali ne sera pas obligé de dire la vérité, mais tous ses anciens mensonges se transforment en réalité. Bien entendu, ça va rapidement être un périple pour lui.

En soi, le concept est vraiment bien trouvé. On s'amuse de l'arroseur arrosé. Qu'il est plaisant de voir un homme dont les mensonges vont se retourner contre lui. En revanche, appliqué à cette comédie française, c'est plutôt raté. Une fois l'idée balancée, il n'y a pas grand-chose qui suit derrière. On aurait aimé que l'histoire soit plus développée. Cela va donc entraîner automatiquement des incohérences et des contradictions. Les explications comportent de nombreuses zones d'ombre. C'est dommage, car on sent juste une envie de balancer un concept sans se fatiguer.

Si seulement l'humour avait été travaillé, cela aurait pu être excusable, mais ce n'est pas le cas. Ça va devenir rapidement très lourd. Énormément de choses s'enchaînent et c’est épuisant. Les sketchs ne sont pas du tout efficaces. Les sourires se font rares. On aurait aimé d'ailleurs un peu plus de finesse dans les blagues et qu'elles sont moins linéaires. À aucun moment, cette comédie ne nous surprend.

Il faut dire que Tarek Boudali patine. Ce dernier, connu par Bande à Fifi, est clairement en manque d'inspiration. Alors qu’il régalait dans Epouse-moi mon pote et Alibi.com, cela fait plusieurs films que ça ne marche pas. Pas convaincant sur la partie humoristique, il n'y arrive non plus quand il s'agit de changer de gamme émotionnelle. Heureusement, le casting secondaire assure. Que ce soit Artus, Pauline Clément, Karim Belkhadra ou encore Bertrand Usclat, chacun va réussir à se démarquer dans cette comédie qui est au bord du naufrage.