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I'm A Rocket Man
287 abonnés
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4,0
Publiée le 6 novembre 2024
Contre toute attente cette suite n'est pas mauvaise du tout... pour être honnête, je n'avais pas raffolé du premier film dans son intégralité alors là, j'avais très peur que ce soit pire encore mais en fait j'ai bien ri devant cette équipe des crevettes pailletées car ils se retrouvent coincés en Russie, au milieu d'homophobes notoires et certaines scènes sont vraiment le fun ! En plus le personnage de Célim est intéressant car il n'ose pas admettre son homosexualité et il est assez touchant ! Bref, malgré une fin un peu poussive et un peu kitsch, cette comédie est très sympa et finalement les crevettes pailletées vont nous manquer... à bientôt qui sait ??
Comment empiler clichés sur clichés sur clichés... C'est navrant. Oú sont les répliques drôles ? Où sont les scènes marquantes ? Ne cherchez pas, il n'y en a pas. Les personnages sont aussi profond que le pediluve, le film est aussi plat que l'eau d'une piscine un jour de fermeture.
Le propos est amusant et bien développé. De bonnes réflexions et un moment sympathique à passer. L’humour pourrait être plus soutenu mais dans l’ensemble c’est réussi.
comment surfé sur le succès du premier , pour nous en faire un second purement commercial . qui ne ressemble a rien . le fil conducteur du premier , c'était le water polo , la rien . c'est devenu plus cliché de la communauté gays qu'autre chose . j'ai comme même mis quelques points pour ce film , car il y avait un ou deux trucs pas mal . mais c'est très limite .
Seulement quelques notes d'humour, mais beaucoup de sérieux et de gravité dans cette comédie dramatique, écrite et mise en scène par Maxime Govare et Cédric Le Gallo. Leur scénario bouleversant nous donne de belles séquences d'émotion, mais aussi des dialogues et des moments graves en dénonçant l'homophobie de l’URSS où l'homosexualité est un "fléau" et les membres LGBT des pervertis. La distribution nous offre de belles prestations d'acteur, avec des coups de cœurs pour David Baiot (Alex), Romain Brau (Fred), Félix Martinez (Vincent) et bien sur Bilal El Atreby dans le rôle de Sélim et Nicolas Gob dans celui de Matthias Le Goff.
Le duo de réalisateurs Cédric Le Gallo et Maxime Govare revient en 2022 pour un nouvel opus des « Crevettes pailletées », une équipe de water-polo gay. Il s’agit d’une suite dont il est tout de même nécessaire d’avoir vu le premier film pour bien appréhender les différents personnages. Après un début prometteur, le récit tombe dans une caricature de la cause LGBT+ avec certaines lourdeurs et invraisemblances scénaristiques. La dénonciation de l’homophobie prend ici une tournure plus engagée, même si l’humour reste la ligne directrice. Bref, une comédie dont l’effet de surprise ne fonctionne plus malgré quelques fulgurances (notamment la scène finale).
Une belle suite avec toujours cette équipe de crevettes pailletées prête pour de nouvelles aventures.... Sauf qu'une mauvaise destination va les conduire dans un pays particulièrement homophobe. Chacun va être amené à montrer des facettes inconnues de sa personnalité.... Vivre au plus près de la vérité, de sa vérité... Les valeurs d'amitié, du respect de la liberté, respect de ses choix, la reconnaissance de la valeur de chacun des membres apportent beaucoup de tendresse dans ce scénario. On s attache à ces personnages qui ont bon coeur et partagent malgré leurs divergences des valeurs communes. Un très beau film.....
Petit succès imprévu de 2019, ‘Les crevettes pailletées’ appelaient nécessairement une suite…mais ‘La revanche’ a privilégié une orientation extrêmement surprenante compte tenu de l’aura de comédie bricolée et parfois maladroite du premier film, qui n’avait pas peur de sauter à pieds joints dans des clichés dignes de la ‘Cage aux folles’ et restait pourtant d’une indéniable sincérité. Dans les premières minutes, l’arrivée d’un nouveau membre vaguement homophobe au sein de l’équipe semble indiquer que Le Gallo et Govare se préparent à rejouer exactement la même partition, cette fois lors des Gay games japonais plutôt que croates. Pourtant, une escale en Russie va conduire à l’arrestation d’une partie de l’équipe et permettre au film de dresser un tableau peu réjouissant de la situation des homosexuels dans ce pays. S’il ne renonce pas totalement à l’humour, le film, dont la simplicité était l’atout principal, succombe parfois à l’envie d’en faire un peu trop, comme beaucoup de seconds épisodes de comédies françaises (‘Babysitting 2’, ‘Papa ou maman 2’, etc…), ici avec un seconde partie en forme de Heist-movie dont on se serait à vrai dire bien passé. Surtout, l’heure est moins à la fête, entre les pièges tendus par les casseurs d’homos, le peu d’entrain des forces de police à protéger les homosexuels et les thérapies de conversion. ‘La revanche des crevettes pailletées” est plus militant, en tout cas plus ouvertement militant que son prédécesseur. La démarche n’est pas inutile et le résultat ne passe pas trop à côté de son objectif (même si le choix de la Russie facilite grandement la démonstration à gros traits) mais peut-être le film n’avait-il pas tout à fait les épaules pour porter ce genre d’ambitions…
Ce film est vraiment une belle découverte. Loin de basculer dans les clichés tout en restant à la fois drôle et grave, il nous offre un véritable hymne à la tolérance et à l'amour.
Une suite totalement à la hauteur du premier opus. Toujours aussi frais, drôle et touchant, ce deuxième volet est plus politique que le premier ce qui en fait sa force. Le casting est toujours aussi parfait et la réalisation est superbe. Une belle réussite et un plaisir communicatif de retrouver les crevettes pailletées.
Film très original, ça c'est top et puis du vrai, de l'émotion des acteurs top, j'ai aimé, je ne m'attendais pas à ça, ce n'est pas un film cliché mais pas du tout a voir
Un second opus aurait pu nous ennuyer et non. On est agréablement surpris par l'histoire. De nouveaux thèmes sont abordés tout en humour et avec beaucoup de justesse. C'est intense, émouvant et drôle ! C'est bien réussi
Dernièrement « Les meilleures » de la réalisatrice Marion Desseigne-Ravel abordait avec une certaine fermeté délicate l’homosexualité dans les cités ; ici à travers le personnage de Selim (Bilal El Atreby), l’homosexualité des banlieues est mise en lumière plus discrètement. Dans cet épisode, pas de compétition, pas de bassin, ce qui donne comme impression que cette comédie volet 2 manque de profondeur ! Pas vraiment et peu importe, les thèmes concernant la communauté des LGBT et tutti quanti avec pour toile de fond la Russie sont exposés. Comme c’est une comédie, le trait est prononcé… comme toute comédie ! Pour autant, le discours n’est ni didactique, ni scolaire ni trop appuyé. Sa charge sociale n’est en aucun cas lourdaude ! Bref, c’était plaisant de retrouver la bande à Fred (Romain Brau), ses coéquipiers attachants et son entraîneur officiel Mathias (Nicolas Gob).