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Votre avis sur La Revanche des Crevettes Pailletées ?
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Un bon moment et un peu d’émotion, mieux que le premier, et sur l’acceptation de soi, une belle morale et un beau film, un peu léger toutefois à certains moments sur quelques scènes. Il a aussi le mérite rappeler que la liberté des LGBT n'est pas respecté dans certains pays inconcevable pour moi, moins cliché je que le premier !
Dans ce nouvel opus, il y a beaucoup moins de paillettes et d'exubérance. Reste quelques confettis, et surtout l'impertinence de certains membres de l'équipe. Ici, les Gay Games ne sont pas au cœur de l'histoire. Celle-ci est davantage centrée sur les crevettes pailletées. De ce fait, on comprends le choix de l'adaptation de la chanson de Julien Clerc : "Femmes... je vous aime", devenue "Hommes... je vous aime", interprétée par le personnage de Fred. Tout est dit dans cette chanson.
Cette nouvelle aventure est plus dramatique, même si j'ai ri à plusieurs reprises...Et je n'etais pas la seule... C'est avec plaisir, que j'ai retrouvé "Les crevettes pailletées". Elles sont toujours aussi attachantes.
Cette nouvelle aventure est plus dramatique, même si j'ai ri à plusieurs reprises...Et je n'etais pas la seule... C'est avec plaisir, que j'ai retrouvé "Les crevettes pailletées". Elles sont toujours aussi attachantes.
Des sujets et des thématiques plus profondes que le premier opus m'ont fait particulièrement apprécier la revanche des crevettes. Mais la.comédie est toujours là jusqu'au final. Super suite
Si le premier volet des crevettes pailletée était plutôt une agréable surprise, cette suite, beaucoup moins loufoque, prend une tournure nettement plus dramatique dans une Russie homophobe trop caricaturée. Si les intentions sont bonnes, le propos est lourd et l'écriture des dialogues et du scénario manquent de subtilité. Alors certes les personnages sont toujours aussi sympathiques et hauts en couleur mais l'ensemble fonctionne nettement moins bien. On vient pour voir une comédie, on se retrouve face à un film militant mainstream qui se regarde mais manque de mordant et d'idées de mise en scène. Bref, c'est assez poussif et en plus un peu longuet. Dommage.
Bouleversant avec de nombreuses pointes d'humour. La revanche des crevettes pailletées est un film d'utilité publique pour dénoncer ce qui va même au-delà de l'homophobie !
Un virage à 90• comparé au premier film mais tellement passionnant : personne ne s'attendait à voir ce volet traiter avec autant de force le fléau des personnes qui s'attaquent simplement à 2 personnes qui s'aiment (a savoir l'homophobie).
On réfléchis et on ne peut être indifférent à ce que vivent les protagonistes.
Il faut aller voir ce film !
Merci et bravo à toute l'équipe !
Un virage à 90• comparé au premier film mais tellement passionnant : personne ne s'attendait à voir ce volet traiter avec autant de force le fléau des personnes qui s'attaquent simplement à 2 personnes qui s'aiment (a savoir l'homophobie).
On réfléchis et on ne peut être indifférent à ce que vivent les protagonistes.
Il faut aller voir ce film !
Merci et bravo à toute l'équipe !
Un film fort en émotion, mieux que le premier, casting excellent, film sur les valeurs de différences et de tolérance. Très bien filmé, rythmé, jamais vulgaire, jamais cliché.
A voir absolument !
L'humour est au service d'une réalité qui peut être dramatique (homophobie, thérapie de conversion, mensonges,...). Au bord des larmes à plusieurs reprises, sentiment de colère à d'autres moments, je sors de la salle remplis d'espoir ! We can be Heroes !
L'humour est au service d'une réalité qui peut être dramatique (homophobie, thérapie de conversion, mensonges,...). Au bord des larmes à plusieurs reprises, sentiment de colère à d'autres moments, je sors de la salle remplis d'espoir ! We can be Heroes !
Quellle déception !
Autant le 1er opus, fauché et brouillon, m'avait vraiment fait rire, autant ce 2iéme épisode est lourd, sérieux et barbant.
Doté d'un budget visiblement plus confortable, le réalisateur cherche à traiter toutes les thématiques de la cause LGBT. Sans exception et sans finesse.
C'est lourd, indigeste et vraiment peu drôle.
Rarement vu une bande annonce aussi trompeuse.
Autant le 1er opus, fauché et brouillon, m'avait vraiment fait rire, autant ce 2iéme épisode est lourd, sérieux et barbant.
Doté d'un budget visiblement plus confortable, le réalisateur cherche à traiter toutes les thématiques de la cause LGBT. Sans exception et sans finesse.
C'est lourd, indigeste et vraiment peu drôle.
Rarement vu une bande annonce aussi trompeuse.
très très déçue, j'attendais 1 comédie mais on tombe en Russie dans un camp ,que des clichés, on revit en moins bien le clip de Mylene Farmer Désenchantée, bref un navet
Tout comme le premier opus, mon coup de cœur s’est confirmé pour le second. L’impression de connaître ces membres de l’équipe, l’envie de les soutenir, les suivre dans leurs aventures autant touchantes que rocambolesques.
Ce deuxième opus, concerne la société actuelle plus que jamais, et nous devons comme le prouve ce film, pouvoir aimer quelqu’un du même sexe sans se faire juger, sans craindre quiconque.
Des coups de cœur confirmés niveau casting pour ces crevettes pailletées (un peu plus messieurs Martinez & Brau) même si les autres sont tout autant incroyables, niveau musique, niveau écriture, niveau scénographie, bref tout est parfait.
Le casting est incroyable, ils sont tous et toutes aussi parfait(e)s les un(e)s que les autres.
Bref, c’est un grand OUi, merci messieurs les réalisateurs pour ce second film, encore plus enrichissant et engagé que le premier.
Ce deuxième opus, concerne la société actuelle plus que jamais, et nous devons comme le prouve ce film, pouvoir aimer quelqu’un du même sexe sans se faire juger, sans craindre quiconque.
Des coups de cœur confirmés niveau casting pour ces crevettes pailletées (un peu plus messieurs Martinez & Brau) même si les autres sont tout autant incroyables, niveau musique, niveau écriture, niveau scénographie, bref tout est parfait.
Le casting est incroyable, ils sont tous et toutes aussi parfait(e)s les un(e)s que les autres.
Bref, c’est un grand OUi, merci messieurs les réalisateurs pour ce second film, encore plus enrichissant et engagé que le premier.
rien à voir avec les acteurs qui assurent...mais l'histoire est d'une tristesse et se veut dans la revendication...
pas du tout la même énergie positive du 1 er opus. En Fait c'est vraiment pas marrant...
vraiment dommage on était très heureux de retrouver nos petites crevettes.
pas du tout la même énergie positive du 1 er opus. En Fait c'est vraiment pas marrant...
vraiment dommage on était très heureux de retrouver nos petites crevettes.
Loin de la comédie
Le 1er opus des Crevettes était hilarant tout en soulevant un sujet crucial de société. Cette fois, avec ces 113 minutes, Cédric Le Gallo et Maxime Govare ont fait le choix d’une aventure beaucoup plus dramatique et ont visiblement refusé d’opter pour une suite banale d’un film à succès - 600 000 entrées en France -. Gonflé ! Alors qu’elles sont en route pour les Gay Games de Tokyo, les Crevettes Pailletées ratent leur correspondance et se retrouvent coincées au fin fond de la Russie, dans une région particulièrement homophobe… On retrouve donc avec plaisir l’équipe de water-polo la plus déjantée qui existe pour une comédie qui tourne vite à l’aigre voire au drame. Touchant, nécessaire et juste. A voir.
Même si les personnages LGBT ont plus de visibilité aujourd’hui en fiction, le scénario aborde des thématiques beaucoup plus fortes dont le problème de l’homophobie en banlieue, l’homophobie d’état et les thérapies de reconversion. La musique fait partie de l’ADN Crevettes, tout comme le spectacle, le show, la chorégraphie, le déguisement... Aussi, entre l’ouverture du film en costumes de Sailor Moon, sur du Britney Spears et le final somptueux Heroes de Bowie, on est gâtés, sans oublier l’adaptation de Femmes je vous aime de Julien Clerc, devenu pour la circonstance… Hommes, je vous aime. Voila donc comédie très dramatique qui s’inscrit dans le monde actuel en défendant des idées sans pour autant faire de prosélytisme. Les personnages du 1er film, deviennent ici plus attachants, plus sensibles, plus complexes. Incontestablement, on monte d’un cran en nous montrant l’inacceptable. Une piqûre de rappel plus que nécessaire. Comme quoi on peut faire du nouveau en reprenant les mêmes ingrédients. Avis à certains scénaristes sans idées qui plombent tant de comédie à la française.
J’ai envie de citer tous les acteurs de la troupe des Crevettes, car ils sont tous à mettre au même niveau de qualité et de justesse : Nicolas Gob, Michael Abiteboul, Bilal El Atreby, David Baiot, Romain Lancry, Romain Brau, Roland Menou, Geoffrey Couët, Félix Martinez… Bravo à eux pour leur engagement et leur conviction. La plus belle façon de lutter contre les préjugés, une ode à la tolérance et à l’acceptation de la différence, même si elle est dérangeante pour certains… sans jamais oublier le cinéma. Chapeau !
Le 1er opus des Crevettes était hilarant tout en soulevant un sujet crucial de société. Cette fois, avec ces 113 minutes, Cédric Le Gallo et Maxime Govare ont fait le choix d’une aventure beaucoup plus dramatique et ont visiblement refusé d’opter pour une suite banale d’un film à succès - 600 000 entrées en France -. Gonflé ! Alors qu’elles sont en route pour les Gay Games de Tokyo, les Crevettes Pailletées ratent leur correspondance et se retrouvent coincées au fin fond de la Russie, dans une région particulièrement homophobe… On retrouve donc avec plaisir l’équipe de water-polo la plus déjantée qui existe pour une comédie qui tourne vite à l’aigre voire au drame. Touchant, nécessaire et juste. A voir.
Même si les personnages LGBT ont plus de visibilité aujourd’hui en fiction, le scénario aborde des thématiques beaucoup plus fortes dont le problème de l’homophobie en banlieue, l’homophobie d’état et les thérapies de reconversion. La musique fait partie de l’ADN Crevettes, tout comme le spectacle, le show, la chorégraphie, le déguisement... Aussi, entre l’ouverture du film en costumes de Sailor Moon, sur du Britney Spears et le final somptueux Heroes de Bowie, on est gâtés, sans oublier l’adaptation de Femmes je vous aime de Julien Clerc, devenu pour la circonstance… Hommes, je vous aime. Voila donc comédie très dramatique qui s’inscrit dans le monde actuel en défendant des idées sans pour autant faire de prosélytisme. Les personnages du 1er film, deviennent ici plus attachants, plus sensibles, plus complexes. Incontestablement, on monte d’un cran en nous montrant l’inacceptable. Une piqûre de rappel plus que nécessaire. Comme quoi on peut faire du nouveau en reprenant les mêmes ingrédients. Avis à certains scénaristes sans idées qui plombent tant de comédie à la française.
J’ai envie de citer tous les acteurs de la troupe des Crevettes, car ils sont tous à mettre au même niveau de qualité et de justesse : Nicolas Gob, Michael Abiteboul, Bilal El Atreby, David Baiot, Romain Lancry, Romain Brau, Roland Menou, Geoffrey Couët, Félix Martinez… Bravo à eux pour leur engagement et leur conviction. La plus belle façon de lutter contre les préjugés, une ode à la tolérance et à l’acceptation de la différence, même si elle est dérangeante pour certains… sans jamais oublier le cinéma. Chapeau !
Pour ce second volet des aventures de l'équipe de water-polo gay (succès du premier oblige!), notre joyeuse troupe se rend à Tokyo avec un petit nouveau. De water-polo, il n'en est ici pas question, l'essentiel du film se déroulant lors d'une escale imprévue en Russie (tiens donc! visionnaires les cinéastes?). Il reste toujours le côté comique avec des blagues pas toujours très fines, mais la volonté de dénoncer l'homophobie est encore plus présente. Malheureusement, une nouvelle fois le trait est forcé et le scénario n'apporte guère de surprises sur l'issue finale. Ce n'est pas déplaisant car il y a des scènes cocasses mais l'ensemble reste trop prévisible. Même note que pour le premier.
une suite plus politique, moins drôle mais tout aussi intéressante..
Film tourné en Ukraine, mais dont l'action dans le film se passe en Russie, pays connu pour son homophobie.
Les centres de conversion sont bien montrés et lorsqu'on pense qu'en France la loi les interdisant ne datent que de janvier 2022, nous ne pouvons qu'être consternés
Film tourné en Ukraine, mais dont l'action dans le film se passe en Russie, pays connu pour son homophobie.
Les centres de conversion sont bien montrés et lorsqu'on pense qu'en France la loi les interdisant ne datent que de janvier 2022, nous ne pouvons qu'être consternés
Touchant, émouvant, si drôle...et qui interpelle sur l'homophobie avec tact !! Le film étant tourné en Ukraine, cela nous interpelle d'autant plus ... J'ai passé un excellent moment !
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