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James Ford
210 abonnés
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4,5
Publiée le 21 juin 2021
Alors là je pige rien.
Dire que le film est considéré comme le moins bon des Pixar... Bien sûr, cela dépend de chacun, mais de l'avis général c'est le petit film sympa sans plus car trop "simple" dans son intrigue. Alors oui, on passe par une œuvre plus métaphysique avec Soul a quelque chose d'assez classique.
Mais depuis quand un film avec une histoire simple est moins bon qu'un autre (Titanic, Avatar, Mad Max Fury Road, Terminator, ect ect). J'ai clairement été bien plus touché par ce film que Soul perso.
J'y vois une ode à l'amitié (et maybe plus ^^) a la différence, à l'aventure, à l'été, aux vacances et à l'Italie. La simplicité de l'œuvre la rend incroyablement attachante (ainsi que les perso qui entourent le long métrage). Le film a un énorme coeur, qui fera fondre énormément de monde. D'un postulat assez classique, le dernier Pixar a beaucoup de choses à dire. Si on regarde sous la surface du film, on y voit de très belles choses, touchante, humaine, avec un cœur digne de la firme depuis le 1er Toy Story.
Une œuvre qui cache bien des choses, des blessures plus profondes, qui ne devrait jamais nous empêcher de vivre à fond et surtout de s'amuser. J'y ai même vu des écho a Ferris Bueller's Day Off, mais la, c'est mon côté fanboy du film.
Une bien belle réussite, que je reverrai avec grand plaisir. Contrairement a Soul, que je reverrait bien plus tard, pareil pour En Avant (que j'ai beaucoup aimé). Ben fatto.
Bien loin d'une proposition plus adulte à la "Soul", "Luca" ne sera sans doute pas le premier Pixar qui vient en tête pour un top sur les productions les plus marquantes de la firme en termes d'originalité ou de profondeur des thématiques explorées. Cependant, par son ton plus naïf et le dépaysement total qu'il provoque avec ses décors de carte postale d'un petit village de pêche italien, le film d'Enrico Casarosa titille merveilleusement bien cette nostalgie d'enfance que l'on peut avoir des vacances d'été, cette espèce de parenthèse enchantée où tous les rêves semblent permis avant un plus dur retour à la réalité. Cette évocation trouve sa source ici à travers la soif de liberté et d'aventure de deux jeunes créatures sous-marines capables de se transformer en petits garçons le temps d'une compétition qui les berce d'illusions sur un avenir a priori impossible pour eux. Évidemment accompagné d'un message sur l'acceptation des différences et la nécessité d'être soi-même, "Luca" n'est peut-être qu'un Pixar d'été, assez prévisible dans tout ce qu'il met en place, mais il s'accorde merveilleusement bien avec le mood de la saison par son rythme enlevé, la beauté de son cadre (toujours techniquement irréprochable à ce niveau), ses personnages enfantins et attachants, la composition musicale une fois de plus géniale de Dan Romer et son humour (la tête du chat Machiavelli vaut à elle seule le déplacement). La définition même d'un bon divertissement familial, estival et... forcément un peu inconséquent.
Une magnifique histoire avec un message finale qui nous donne une sacrée claque de tolérance ! Pixar nous régale encore une fois... On est pas loin du chef-d'œuvre de Coco !
J'ai bien pris note que Disney refusait à Luca l'idée que le film soit crypto-gay, mais c'est impossible à croire. Très franchement, si j'avais vu ce film plus jeune, j'aurais gagné un temps précieux. Je regrette de ne l'avoir pas vu au cinéma tant l'univers est riche, beau, délicat, poétique ... j'ai beaucoup pensé à Ghibli dans les nuages et les décors de nature (et le nom de la ville laisse peu de doutes sur l'influence : portorosso). Vraiment à voir. Pour moi, une réussite de bout en bout
Une des très grandes forces de Pixar rendre intéressant une histoire avec une idée de base extrêmement simple. Toujours attaché à ses thèmes de prédilections, la découvertes des obstacles de la vie, du dépassements de soi et de ses peurs, du goût de l'aventure, vue aux travers des yeux d'un enfants, des thèmes que l'ont retrouve dans mainte oeuvres de Pixar, Le voyage d'Arlo, le monde de Némo, Vice Vice-versa, Toys Story 1001 pattes etc.. On retrouve des personnages attachants haut en couleurs, et l'humour toujours en finesse du studio. Techniquement irréprochable mais moins novateur qu'à l'accoutumée, les designs des personnages ne seront pas sans rappeler ceux de Ratatouille. Encore une réussite pour le studio après le tout aussi réussi mais plus sérieux Souls.
" Luca" dernier Pixar , directement sortie sur Disney + est un film d'animation plein de charme . En effet cette histoire m'a ému, j'ai beaucoup aimé les paysages méditerranéens restitué avec beaucoup d'authenticité , cette fable est attendrissante, drôle emprunte de mélancolie avec un beau message sur la différence, l'amitié et la famille avec des personnages adorables , une franche réussite.
Pixar traversa en 2019/2020 ce qui s'apparente à un cycle introspectif. En avant et Soul pouvaient être interprétés autant comme un nouvel horizon qu'une fenêtre ouverte sur l'état d'esprit régnant aux studios d'Emeryville. Donc en 2021, le retour aux affaires ? À vrai dire, le retour à un cadre beaucoup moins ambitieux (et chargé) sur le plan thématique avec Luca. Finies les épopées fraternelles ou les méditations existentielles, nous nous situons ici dans une intemporelle aventure sur fond d'appel à la tolérance et à la coexistence. Quelque chose d'étonnamment classique pour le studio à la loupiotte. C'est le principal écueil que se prend le premier long de Enrico Casarosa, qui ne tente jamais vraiment d'habiter son univers ou de transgresser les attentes, là où ses prédécesseurs faisaient mine de s'égarer pour mieux prendre à revers le spectateur. Plus embêtant, le film ne contient aucune fulgurance sur le terrain du spectacle ou même de l'humour qui reste gentillet. À la rigueur, je mets un bon point aux passages oniriques où le héros divague, infusant une note d'enfance assez tendre. Enfin, si le folklore et l'imagerie italienne sont traitées avec dévotion, cet aspect est nettement plus discret et artificiel que dans Coco (et la culture mexicaine) par exemple. Consciemment ou non, Luca choisit d'accepter ces failles mais de ne pas s'appesantir dessus. S'il doit rejouer une ritournelle déjà entendue ici ou ailleurs, il le fera avec vélocité. Les surprises sont réduites mais Pixar dynamise son intrigue avec beaucoup d'entrain, bien assez pour ne jamais ennuyer. Une fois encore, l'excellence technique est au rendez-vous, avec un rendu sur l'eau ou les effets de réverbération hallucinants. Pour terminer, la bande originale sans être mémorable s'intègre naturellement avec le périple estival de ses héros. Un Pixar mineur, mais ça reste un plaisir de barboter avec ces petits rêveurs qui ont soif du grand air.
Un film qui nous fait voyager, par le côté idyllique du décor beau et esthétiquement italie, etpar le côté magique et rêveur de ce film. Cette amitié, ce trio auquel on s'attache très vite, les petites répliques qui restent en tête, les perdonnages très tendres, le dessin incroyable, des scènes merveilleuse, et une petite touche d'humour par moments qui fait du bien. Un film qui fait du bien oui, réconfortant et qui nous pousse vers l'avant et vers le voyage.
5 etoiles, une histoire extraordinaire à regarder en famille, et surtout avec les plus jeunes, après le film "en avant" ( au cinéma) et "Soul" ( Disney +) tout 2 compliqué à comprendre pour les plus jeunes. Pixar offre au plus jeune un magnifique conte sur l'amitié, la famille et la peur de l'autre .
Quelque part entre un "Call Me By Your Name" et un "Kiki la petite sorcière" en Italie, le réalisateur du court-métrage "La Luna" nous propose une histoire modeste sur l'amitié, l'abandon et l'acceptation de la différence.
Un Pixar mineur, mais une parenthèse enchantée au ton enjoué et coloré, avec sa petite touche d'émotion et de poésie. Et un film d'animation qui fleure bon l'été et l'évasion.
Ce film est ultra bien rigolo triste de tans en tans et ce qui est drôle c'est que moi aussi je m'appelle Luca mais avec un S j'espère qu'il va vous plaire moi en tout cas il m'a plus.
Un Pixar mineur, dont le scénario, cousu de fil blanc, ne convainc guère, mais qui a deux atouts : ses décors fabuleux de paysages italiens des Cinque-Terres, et une poésie dans les épisodes de rêverie. En revanche, les personnages de monstres sont ratés, hideux, indignes d'un Pixar. Le film est clairement destiné aux bambins.
Moins catastrophique que "soul", mais loin des chefs-d'oeuvres auquel Pixar nous a habitué.Le film est plaisant, sans plus, mais manque de surprise et parfois de folie. J'ai l'impression que Pixar traverse une période un peu creuse, gageons qu'ils vont vite se reprendre et relancer la machine. En attendant je vais retourner voir "En avant", ça va me rappeler pourquoi je les aime tant!
Une jolie réalisation d'Enrico Casarosa. Les animations en motion capture des Studios Pixar se révèlent très brillantes. Le réalisateur et scénariste Italien nous offre le cadre coloré d'une petite ville Italienne, une atmosphère sympathique et rétro avec Vespa et Pasta. Le scénario, destiné aux plus jeunes, démontre un bel esprit et beaucoup d'originalité. Il nous conte une aventure animée et drôle, une histoire pleine de charme sur la famille et l'amitié, avec des personnages attachants. Après les excellents Wall-E, Là-haut, Ratatouille, Vice Versa ou dernièrement Soul, Luca dans un style plus enfantin reste une réalisation Pixar à ne pas négliger.