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chrischambers86
13 935 abonnés
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4,0
Publiée le 17 octobre 2012
L'un des films les plus drôles de Francis Veber! Pierre Richard est franchement impayable (et en très grande forme) dans cette comèdie joyeusement loufoque de 1976 où il incarne avec le talent qu'on lui connait le tout premier François Perrin de la carrière de Veber! il en sort une satire sociale très bien sentie, à la fois drôle, juste et fèroce! Quant au jeune Fabrice Greco, il est inoubliable en fils de milliardaire ("Le jouet" ètant son seul titre de gloire). On soulignera ègalement l'excellence des seconds rôles notamment Michel Bouquet en odieux richard, Jacques François, Michel Aumont et le regrettè Daniel Ceccaldi! Pour un premier long-mètrage, "Le jouet" est une totale rèussite...
" Le jouet " sympathique comédie de Francis Veber . C'est l'histoire du milliardaire Rambal Cochet ( Michel Bouquet ) et de son fils Éric ( Fabrice Greco ) qui se ballade un jour dans un magasin de jouet . Monsieur Rambal Cochet aimerai trouver un cadeau pour son fils. L'enfant décide de choisir comme cadeau un journaliste nommer François Perrin ( Pierre Richard ) qui se baladait tranquillement dans le magasin . François Perrin va être alors mis a la disposition de l'enfant et devenir bien malgré lui son jouet ... Le réalisateur Francis Veber ( la chèvre , les compères , le dîner de cons ... ) qui réalise ici l'un de ses premier films signe avec " le jouet " une comédie très sympathique. Le scénario est assez originale et va amener a des situations cocasse . Le film est porter par un très bon casting avec à sa tête un Pierre Richard très en forme et hilarant dans le rôle de François Perrin ce pauvre journaliste qui va devenir bien malgré lui le jouet d'un gosse de riche . L'enfant va faire ce qu'il veut de se pauvre journaliste et sa va donner des situations assez drôles . Le jeune Fabrice Greco est très convainquant dans le rôle de ce gosse de riche capricieux qui va vouloir d'un journaliste comme jouet . Un personnage tête à claque au départ mais auquel on va finir par s'attacher quand on va comprendre pourquoi il a décider de choisir un journaliste comme cadeau et qu'on va mieux cerner ses relations avec son père . Michel Bouquet est également excellent dans le rôle de ce milliardaire méprisable nommer Rambal Cochet qui n'a aucun scrupule à ce servir de son pouvoir et de son immense fortune pour satisfaire ses moindre désirs et les moindres caprices de son fiston comme celui de mettre un journaliste à la disposition de son fiston . Le film est également assez touchant par moment . La première partie du film est assez drôle . Dommage tout de même que le filon comique na pas été un peu plus exploiter et s'épuise un peu dans la dernière partie du film un peu plus dramatique même si cette partie est intéressante . En plus d'être une comédie fort sympathique le film est également une critique féroce du pouvoir qu'on les riches sur les plus pauvres comme le milliardaire qui a le pouvoir de se servir d'un journaliste pour qu'il devienne un jouet pour satisfaire les caprices de son fiston . Un bon divertissement .
La fable est certes bien troussée mais s'avère bien timide en matière de gags et d'humour. C'était la première réalisation de Francis Veber et ceci explique peut-être cela. Cela reste pertinent et même avant-gardiste pour montrer les dérives du libéralisme, ou chaque être devient objet, ou les enfants ne font que reproduire les comportements des parents. Pierre Richard et son air lunaire est le contrepoint de ce monde tourné vers l'efficacité. Une comédie qui s'avère plus réflexive que drôle (?).
Tout d’abord il ne faut pas oublier que ‘’Le jouet’’ est le premier film de Veber qui est devenu un des plus grands réalisateurs français. C’est donc un coup d’essai dans un genre difficile : la parodie burlesque parlante sous forme de fable, le cinéma étant un art capable de toutes les adaptations. Il est facile de comprendre que ce film ne plaise pas à tous par sa forme décousue, son pessimisme caché et sa dureté apparente. En tous cas, la leçon porte et le grand talent de Veber se devine à travers quelques plans merveilleux, comme celui du visage de l’enfant barbouillé de crème derrière une minuscule fenêtre de l’hôtel particulier de son père. Quant au message, il est contenu dans cette question importante sans réponse de Michel Bouquet : qui de nous deux est le monstre Blenac ? Moi qui vous demande d’ôter votre pantalon ou vous qui accepter de montrer votre derrière ?
Pour moi, une des meilleures comédies de Pierre Richard. Veber offre une critique sociale toujours d'actualité et qui permet une suite de gags cocasses bien sentis. Pour commencer, Pierrot ne sombre pas (comme pour certains films) dans la grimace facile ce qui devient énervant car poussif mais montre le côté plus touchant qu'il n'arrivera plus que très rarement à montrer à l'écran dans ses prochains films. Dans ce dernier il est donc plus touchant, plus tendre, tout en restant très drôle. Tous les autres acteurs (Jacques François, Michel Bouquet, Gérard Jugnot...) sont très convaincants et interprètent leur rôle avec conviction, la mise en scène est suffisamment rythmée pour permettre au spectateur de ne pas s'ennuyer, le tout ne souffre d'aucune vulgarité, ni méchanceté mais peut se montrer un peu exagéré sur certains points. N'oublions pas la savoureuse musique de Vladimir Cosma. En bref, une très bonne comédie bien française qu'on a toujours plaisir à voir et à revoir, attachante, juste, du cinéma qui n'existe plus aujourd'hui et c'est bien dommage !
Une seule étoile car c'est quand même un film mineur. Mais il est vrai que les acteurs sont plutôt bons, à commencer par Pierre Richard, et surtout Michel Bouquet, dont la présence et la voix monocorde glacent le sang. La mise en scène est assez laborieuse. Le scénario est intelligent mais mince, non abouti, pas étoffé. Si c'est bien l'aspect comédie qui l'emporte dans la première partie (gags plus ou moins réussis), une véritable réflexion point par la suite, rendant enfin le film réellement intéressant. C'est hélas un peu tard... De bonnes choses donc, mais pas assez, loin s'en faut, pour le rendre inoubliable.
A nouveau un film culte pour Pierre Richard, mais cette fois ci, ce n'est plus lui, mais Veber, spécialiste du genre, qui l'a réalisé. Que dire ? C'est positivement hilarant, génial, mais aussi tendre et poétique. Du grand art comique. Si seulement on pouvait faire à nouveau des films comiques de cet acabit à l'heure actuelle...
Un excellent divertissement!!Drole,intelligent et tendre.Que demander de plus?!Francis Veber,pour son 1er film,faisait déja étalage de ses talents de directeur d'acteurs et de la réplique aiguisée.De plus,sa farce est plus profonde qu'elle n'en a l'air.Ou comment le pouvoir et l'argent peuvent asservir n'importe quel ètre humain.La dignité a un prix.La fin laisse la porte ouverte à une réconciliation des clsses sociales...Pierre Richard,assez calme pour le coup,est plutot émouvant.Sa relation avec l'enfant capricieux est des plus savoureuses et donne lieu à des moments incroyables(dans l'auto,à la garden-party).Le PDG,quant à lui,n'est pas loin de ressembler à un dictateur.Une comédie dont celles de nos jours pourraient prendre de la graine...
Pierre Richard, toujours dans des rôles burlesques mais attachant. Il pourrait même être comparé à ce vieil artiste qu'était Charlie Chaplin. Dans "le jouet" il nous amuse, nous fait rire mais surtout nous attendris. Généralement il y a peu à attendre du cinéma Français, les réalisateurs et acteurs Français qui valent le coup ne sont pas nombreux mais Pierre Richard fais partie d'eux et donne au cinéma Français une originalité hors du commun grâce à son charisme comparable à un clown. Une bonne critique des patrons de grosses entreprises et toute une symbolique sur les humains qui sont achetés à ces dernières. Ce film dénonce l'adage immoral qui est qu'il faut "se vendre aux entreprises" pour se trouver un emploi et gagné sa vie. Une part très attachante du film qui est le lien entre "le jouet" et le fils du tyran. Ce film nous fais le même effet qu'une bonne coupe de champagne avec un bon cigare: savoureux et... que du plaisir
Quand un journaliste aux moyens financiers limités se fait utiliser comme jouet par un gosse de gros richard, et tout cela devant la caméra de Francis Veber, on obtient « Le Jouet », comédie populaire faisant partie des films les plus connus de son réalisateur et de son acteur principal. Comédie à la fois assez tendre et intelligente, « Le Jouet » se montre très critique envers la société Française de la seconde moitié des années 70. Epoque à laquelle les licenciements commençaient à se faire fréquents. Dans un second temps, le film montre les ravages du pognon qui peut inciter n’importe qui à se conduire de façon contre nature. Et en cherchant un peu plus loin, on peut voir que "Le jouet" peut faire office d’objet fédérateur entre des personnes issues de classes sociales différentes. Il faut tout de même avouer un truc: Pierre Richard est vraiment impayable, et même s’il est ici moins gaffeur et malchanceux, il lui arrive encore quelques tuiles que l’on préférerait tous éviter. Le cyclone Richard est donc moins ravageur mais nous fait quand même quelques petites bourdes. Face à lui, un petit gosse tête à claques et capricieux et un père à la conduite tyrannique campé par un Michel Bouquet dont la présence est toujours aussi peu rassurante.
Une comédie très rigolote, mais qui manque de fin, c'est dommage. J'ai eu l'impression qu'ils n'ont pas su comment terminer le film, ce qui est bien dommage, car j'ai adoré le début.
Je n'ai jamais trop aimé de films avec Pierre Richard, mais celui-là m'as véritablement bien plu. Francis Veber à réussi ici une parfaite fusion avec la comédie et le respect personnel. En faite, la seul chose qui m'as gêné dans la continuité de ce film, c'est le gamin. C'est vrai qu'il joue très bien, mais on à un peu l'impression que le gamin s'attache de trop à son rôle de début (le rôle de je-m'en-foutiste de ce qui m'entoure). Eh bien on voit qu'il continue son personnage comme si de rien n'était, bien qu'on aperçoit quelques onces d'amitiés envers son "jouet". Mais bon, à part ça, le film est très drôle et bien réalisé.
P.S. : J'adore la fin : spoiler: Le petit qui saute dans les bras de Pierre Richard sous les yeux de son paternel! Quel scène!!
Bon, ce n’est pas vraiment de la grande comédie, mais on sent quand même une certaine efficacité, étonnement moins dans l’humour pur que dans la critique assez acerbe des puissants ! Le casting peut compter sur de bons acteurs qui sont l’atout du métrage. Pierre Richard ne surprend pas mais il est dans son élément et il performe dans ce registre, donc rien à redire, si ce n’est que son personnage aurait pu avoir un peu de relief supplémentaire. Michel Bouquet est convaincant, mais il se fait néanmoins voler la vedette par un mémorable Jacques François qui sort ici un peu des rôles d’arrière-plan qu’il a souvent campé pour réellement s’imposer et prendre une place déterminante. Autour de ces acteurs, quelques noms plus ou moins connus font leur numéro, et il faut quand même souligner la prestation réussie du jeune Fabrice Greco. Le scénario par sur une idée un peu bouffonne pour ainsi dire ! Franchement c’était culotté, et le début laisse pour le moins dubitatif, d’autant que plusieurs scènes apparaissent prévisibles vu le speech. Et puis finalement au fur et à mesure le film gagne en consistance, et sans jamais s’avérer ni pleinement drôle, ni pleinement rythmé, le petit message social pointe son nez, et Le Jouet finit par gagner en force. Il n’en reste pas moins que c’est un peu gros et donc souvent maladroit, mais c’est pardonnable dans un premier film ! Pour le reste Francis Veber se débrouille honorablement, avec des décors simples mais bien vus, quelques petits moments délirants (la voiture), une mise en scène pas aussi percutante que celle des grands classiques du maître mais prometteuse, le tout malheureusement un peu desservi par une bande son trop discrète et pourtant pas inintéressante. J’aurai tout de même vu un peu plus de fantaisie dans ce film. Le Jouet n’est donc pas une sommité dans la carrière de Veber, mais c’est une honorable comédie qui se laisse voir sans déplaisir particulier mais sans un réel plaisir non plus. Je ne peux pas dire que j’ai été vraiment transporté par ce métrage, pas assez costaud niveau humour, et doté d’un scénario un peu trop empesé. 3
Agréablement surpris par cette comédie réalisé par Francis Veber, un très bon réalisateur français qui signe sa première réalisation. Pittoresque, original, farfelue, absurde, ironique, ridicule. Le "jouet" (Pierre Richard) excelle dans la prestation d'un chômeur prêt à tout pour garder la première bonne situation qu'il a trouvé depuis longtemps, il n'en fait pas trop et prend des airs sérieux et engagés parfois, le film est donc aussi une critique de la société d'avant mais qui est peut être aussi un peu celle d'aujourd'hui. Donc le scénario a traversé les années sans trop de rides, il est rythmé de gages, de scènes inoubliables (la scène où Michel Bouquet propose une offre grandiose si ils partent de la maison le plus vite possible, le fameux "maintenant" d'un ton si caricatural, un bijou ce petit passage), avec des traits de caractères parfois un peu exagéré, notamment celui du patron (Michel Bouquet), mais cela reste une très bonne comédie, à voir! Culte...
Cité parmi les meilleurs Veber, ce film ne m'a pas plu. Même quand j'étais môme, cette petite merde d'enfant m'irritait la couenne. La relation pathétique entre le père et le fils me saoûle. M'effraie peut-être un peu? En tout cas, c'est un film qui ne m'arrache pas un sourire. Je trouve cette comédie très triste.