Je crois que c'était le 1er film de Francis Veber mais il n est pas drôle ! en tous cas pour ma part je n'est pas ri une seul fois un comble pour une comedie . Le film qui a pour moral le faite quil ne faut pas trop gâter les enfant et que certains croivent quil peuvent tous acheter car ils on de L argent. ce que jai aimer c'est les décor de Marvel très présent et surtout à cette époque où il n'était pas à la mode comme maintenant .histoire bonne mais pas les gags. Cela arrive des navet . tous le monde en a eu c'est normal sa fait parti dune carrière.
Le "Jouet" est un film divertissant, même s’il n’a rien d’exceptionnel. La mise en scène est pas mal, l’humour fonctionne aussi pas mal et les acteurs comme Pierre Richard, Michel Bouquet ou encore Fabrice Greco sont convaincants. Néanmoins le scénario est peut être à revoir et le film manque sérieusement de rythme. Puis la fin se termine brutalement en queue de poisson... 10/20
Pour son premier film, Francis Weber signe une comédie satirique sympathique mais un peu bancale sur la longueur, portée par le duo impeccable Pierre Richard/Michel Bouquet.
Il se dégage de ce film comme une gène. On regarde médusé cet homme devenir le jouet d'un enfant, tandis que tous les salariés de son patron de père sont également à leur manière les jouets de leur employeur. Derrière la blague se cache une critique sévère des rapports entre les puissants et leurs sous-fifres, même ceux qui portent le titre ronflant de directeur et qui ne sont en fait que des sous-fifres en chef. Pierre Richard réussit l'équilibre délicat entre le hochet humain et le journaliste qui a le courage d'écrire ses opinions. On rit peu. On s'agace parfois. La morale de ce film mérite d'aller au bout, en notant au passage une scène d'un autre âge (rappelons que le film est sorti en 1976) montrant un panneau "travaillez en silence" à l'entrée d'une salle pleine de dactylos tapant à la machine dans un vacarme assourdissant. Elles ont désormais disparu des effectifs tandis que les jeux de pouvoir restent les mêmes. À méditer.
Premier film de Francis Veber et pas le meilleur. L'idée reste tout de même intéressante et attractive, un jeune enfant veut et s'accapare Pierre Richard pour qu'il devienne son jouet vivant. Il manque un peu plus de profondeur et de personnage étoffer. Il faut surtout retenir le très jeune acteur Fabrice Greco totalement disparu des écrans du jour au lendemain.
Un film burlesque aux allures de critique sociale un peu surfait avec Pierre Richard aussi maladroit que d'ordinaire mais ici avec un rôle de souffre douleur qui lui va comme un gant.
Premier film réalisé par Francis Veber (dont l’univers existait déjà avec ses scénarios de L’Emmerdeur ou du Grand Blond avec une chaussure noire), Le Jouet surprend un peu dans la filmographie de son cinéaste. En effet, ce n’est pas une pure comédie comme on pourrait s’y attendre : on se rapprocherait plus d’une comédie dramatique. Si on peut rire régulièrement, le film possède une réflexion sociétale assez forte. On est ainsi plutôt surpris de voir un François Perrin plus intelligent qu’habituellement chez le réalisateur-scénariste (il se rend parfaitement compte, pendant tout le film, de ce qui lui arrive), de plus interprété par un Pierre Richard moins naïf que dans la majorité des films de cette époque. En outre, le long métrage offre un casting constitué de visages de cette époque que l’on prend toujours beaucoup de plaisir à retrouver (Michel Bouquet, Jacques François, Daniel Ceccaldi, Charles Gérard, Michel Aumont, Gérard Jugnot ou Michel Robin). Ainsi, même si on rit moins que dans La Chèvre, Les Compères ou Le Dîner de cons, Veber réussit son pari en créant petit à petit une compréhension et une amitié entre cet employé exploité et ce jeune enfant a priori insupportable et en illustrant sa vision très critique du capitalisme. Même s’il n’est pas le film le plus drôle (mais est peut-être le plus acerbe) de la filmographie de Francis Veber, Le Jouet est une belle réussite qui inaugure de manière très réussie la carrière de réalisateur d’une figure incontournable de la comédie française.
Découverte du premier film de Francis vebert Un début de film très bon et quelques scènes très drôle puis le film patauge un peu dommage . Pierre richard toujours aussi bon et plein d'énergie. Une très bonne musique du maître Cosma . Pas mal et l'idée du film est très bonne ainsi que la morale.. on achète pas tout avec de l'argent
Sortie en 1976, cette première réalisation de Francis Veber, qui s’était déjà fait connaître par l’écriture de plusieurs scénarios marquants, raconte l’histoire de François Perrin (personnage fétiche du cinéaste, en alternance avec François Pignon), un journaliste désargenté qui va être choisi par le fils pourri-gâté de son richissime patron comme cadeau humain. Porté par un Pierre Richard grandiose, cette satire autant comique que politique est une superbe réflexion sur le pouvoir de l’argent et la puissance de ceux qui en possèdent beaucoup. Dans une dernière partie maligne et très bien écrite, Le jouet prend une tournure étonnante, proposant des alliances inattendues entre différents personnages qui vont ainsi retrouver leur dignité perdue. Drôle et intelligent.