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    Les Herbes sèches
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    128 critiques spectateurs

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    Marc L.
    Marc L.

    44 abonnés 1 585 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 août 2024
    Les films de Nuri Bilge Ceylan sont des “films de festival”, des rouleaux compresseurs existentialistes de plus de trois heures, dont chaque plan est cadré à la perfection, dont chaque silence est lourd de sens, dont chaque argumentation philosophique prend la forme d’une succession de champ/contrechamp entre les duettistes dont on se rend compte, vingt minutes plus tard, lorsqu’il se termine, qu’elle était franchement passionnante. Les films de Nuri Bilge Ceylan, visuellement, sont des chef d’oeuvre : même si vous n’aimez pas les drames, même si vous n’y connaissez rien en techniques du cinéma, même si vous préférez le numérique, vous ne pourrez pas faire autrement que de trouver ça à la fois simple, sobre et magnifique. Il y a aussi un thème central : dans une village enneigé d’Anatolie, l’enseignant Samat est accusé de contacts inappropriés avec une de ses élèves. Il faudra presque deux heures pour que survienne cet élément disruptif mais de toute façon, ce n’est pas pour autant que ‘Les herbes sèches’ deviendra un équivalent turc de ‘La chasse’ de Thomas Vinterberg. Comme à chaque fois, beaucoup d’autres thèmes viennent se greffer à celui qui fait bouger les lignes. Il y a le côté antipathique de Samat, qui vient d'Istanbul, considère les gens du coin comme des arriérés et ne se résout pas à faire profil bas. Il y a ce triangle amoureux avec son ami Kenan et une autre enseignante, Nuray, handicapée suite à un attentat, qui voit Samat ne s’intéresser à la jeune femme que lorsqu’il a l’impression que celle-ci s’intéresse davantage à son co-locataire. Il y a cet interminable débat sur la manière de vivre selon ses valeurs politiques, l’idéalisme un peu désabusé de Nuray s’opposant au cynisme et à la désinvolture assumée de Samat. Quand on termine un film de Nuri Bilge Ceylan, on a un peu de mal à déterminer quel était sa principale raison d’être : on pénètre dans un univers riche de nuances, de symboles et de non-dits, un peu comme la saison condensée d’une série, mais en nettement plus esthétique et dans laquelle on finit par s’installer avec une certaine familiarité. Excepté l’extrême justesse dans le décryptage des rapports humains, de leurs paradoxes et de leurs contradictions, il est impossible de résumer un tel film-monde en quelques lignes, tout au plus aura-t-on compris dans les ultimes minutes la signification poétique du titre. ‘Les herbes sèches’ est peut-être du cinéma de festival mais peu de cinéastes savent aussi bien conjuguer plaisir esthétique et plaisir intellectuel au sein d’un seul film.
    Olivier G.
    Olivier G.

    3 abonnés 45 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 août 2024
    Très beau film, paysages somptueux, magnifiques plans séquence dont le réalisateur sait parfaitement se servir pour soutenir la complexité de son scénario.et décrypter la psychologie de ses personnages. La réalité de ces lieux isolés du monde nous semble d'autant plus âpre et rugueuse, aucun des personnages n'échappent à la pesanteur de cette culture anatolienne qui les écrase sous le poids conjugué de la culpabilité et de la réputation. Les dialogues sont omniprésents comme si les personnages se saoulaient de mot (et de vin) sans pour autant parvenir à dénouer les noeuds qui les emprisonnent chacun à leur manière. Seule là encore l'image et l'horizon (magnifiques photos qui ponctuent certaines séquences) apaisent les âmes tourmentées. spoiler: A noter un plan séquence étonnant ou l'acteur principal "s'évade" dans les coulisses du tournage comme s'il ressentait le besoin de respirer et de prendre du recul.
    janus72
    janus72

    48 abonnés 269 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 juin 2024
    Excellent & à voir en prenant son temps comdab et comme il faut 100 caractère et que j' ai juste envie de NOTER ce Film, je vais donc me Répéter : Excellent & à voir
    Claude Huart
    Claude Huart

    5 abonnés 3 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 6 mai 2024
    Si vous avez aimé l'anatomie d'une chute, vous aimerez les herbes sèches. Le premier racontait le triomphe narcissique de la femme établi sur la néantisation de son partenaire conjugal masculin : apologie de la perversion misandre, le second est le symétrique au masculin : triomphe narcissique de l'homme établi sur la néantisation de sa partenaire victime-complice : apologie de la perversion misogyne. La mise en miroir des deux films facilite leur compréhension et leur succès en dit long sur la fascination de notre époque pour la perversion.
    Loïck G.
    Loïck G.

    337 abonnés 1 672 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 avril 2024
    3.5 sur la première partie, l'ensemble à 3
    Il est quand même difficile d’appréhender ce genre de film qui sur la longueur ( 3 heures ) ne tient pas les rênes d’un scénario bavard et à la longue un peu confus. Il est question d’une amitié entre deux professeurs qui va s’émousser en raison d’une affaire litigieuse au sein de leur établissement. Le regard sur les relations entre les deux hommes, lié à celui d’une éducation scolaire me parait le plus intéressant dans ce récit dont l’esprit s’échappe complètement lorsqu’il est question d’un triangle amoureux. A l’origine le réalisateur semblait partir sur les rapports hiérarchiques dévoyés vers une oligarchie sans fondement. L’attitude du principal et du recteur ne manquent pas d’à-propos au moment d’exposer les faits reprochés aux deux hommes. Mais ce n’est qu’une parenthèse pour disséquer ensuite l’âme humaine , ses travers, ses contradictions, jusqu’à la confusion des sentiments dans ce trio qui parait se perdre lui-même à force de logorrhée intempestive. La jeune femme qui dévie la trajectoire du film , s’empare d’une distinction cannoise, un peu surprenante, et nous laisse sur l’attente d’un dénouement tout autre. Trois heures plus tard …
    Pour en savoir plus : lheuredelasortie.com
    Valbleue
    Valbleue

    2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 avril 2024
    “Les Herbes Sèches” est un film captivant qui plonge profondément dans les méandres de l’âme humaine. Avec une direction artistique impeccable et des performances d’acteurs émouvantes, le film explore avec subtilité les thèmes de la perte, de la résilience et de la rédemption. L’intrigue, qui suit le parcours d’un groupe de personnes liées par le destin dans une petite ville rurale, est magnifiquement tissée avec des moments de tension palpable et de poésie contemplative. La photographie saisissante capture la beauté austère de la campagne, renforçant l’atmosphère mélancolique du récit. Bien que le rythme puisse sembler lent pour certains spectateurs, il permet une immersion totale dans l’univers du film, offrant une expérience cinématographique profondément enrichissante. En somme, “Les Herbes Sèches” est un chef-d’œuvre poignant qui résonne longtemps après la fin du générique.
    Anis Dridi
    Anis Dridi

    5 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 avril 2024
    Un film assez dérangeant où le jeu des acteurs et la qualité des plans sauvent une intrigue tristement banale, un propos pessimiste et incroyablement cynique. Les débats sur la révolution et le rôle des femmes entre les personnages sont assez vides.

    (Dernier point, je n’;ai pas forcément apprécié le regard neutre du réalisateur sur le professeur qui se comporte comme un manipulateur avec la petite-amie de son ami et un véritable prédateur sexuel avec son élève. Il est même accepté comme protagoniste valable. Assez pesant et écoeurant.)
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 154 abonnés 5 140 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 15 mars 2024
    On quitte le domaine du contemplatif auquel nous étions habitués pour s’immiscer dans une école où la parole s’étale vraiment beaucoup trop. La longueur interminable ne se justifie en rien dans cette histoire d’accusation sous forme de vengeance.
    C’est assez moyen et c’est trop bavard.
    FaRem
    FaRem

    8 670 abonnés 9 541 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 11 mars 2024
    Nouveau long-métrage de Nuri Bilge Ceylan, "Kuru Otlar Üstüne", en version originale, est une œuvre à la fois philosophique, sociale, psychologique et politique. Une étude de caractère complexe, nuancée et saisissante au sein d'un village isolé qui vit au rythme de deux saisons. Pendant la quasi-totalité du film, nous sommes plongés dans un hiver long et rigoureux qui use les gens. Samet veut échapper à cette vie morose et se faire muter à Istanbul, mais en attendant, il profite de sa popularité auprès de ses élèves jusqu'à un certain incident... Le réalisateur s'interroge sur le comportement humain et sur ce qui pousse les gens à agir à travers le portrait et les agissements d'un homme mesquin, égoïste et égocentrique. Plus que ça, c'est une plongée dans les pensées des personnages grâce à de fantastiques séquences avec des échanges intenses et profonds mettant en avant les idées, la complexité, l'espoir et le désespoir de ces gens. C'est remarquablement mis en scène, parfaitement incarné par l'ensemble du casting et fascinant de bout en bout. En somme, un grand film de trois heures que l'on ne voit pas passer.
    mat niro
    mat niro

    356 abonnés 1 828 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 10 mars 2024
    Après ses deux chefs-d'oeuvre , "Il était une fois en Anatolie" et "Winter Sleep", le réalisateur turc, Nuri Bilge Ceylan signe une nouvelle fois un film magnifique dans les paysages enneigés de la Turquie profonde. On peut y suivre Samet et son colocataire, qui enseignent dans une école locale, et vont devoir faire face à de lourdes accusations. L'ambiguïté du personnage principal est très bien mise en avant spoiler: quand une femme vient s'immiscer entre les deux hommes
    . Les dialogues sont passionnants et la durée du film (3h17) n'est en rien un frein à sa qualité. C'est à la fois âpre et dense, mais aussi lumineux parfois, et le cinéaste prend un malin plaisir à confronter le mal et le bien chez ses personnages.
    elriad
    elriad

    435 abonnés 1 860 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 février 2024
    Porté par un trio d'acteurs d'une justesse impressionnante malgré des scènes longues truffées de dialogues ( Merve Dizdar a été récompensée à juste titre par un prix d'interprétation à Cannes) la durée du film se fait hélas ressentir quand l'excellent "Winter Sleep" récompensé d'une palme d'or et d'une durée équivalente, lui, ne pesait pas par sa durée. Le personnage central, nihiliste et peu sympathique est l'élément central d'un film bavard trop conceptualisé, se perdant en route à force de vouloir aborder trop de sujets. L'ennui finit par prendre le dessus.
    inspecteur morvandieu
    inspecteur morvandieu

    37 abonnés 2 382 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 février 2024
    Souvent, dans le cinéma de Nuri Bilge Ceylan, les personnages, loins d'Istanbul se morfondent. C'est encore le cas dans "Les herbes sèches" où les personnages principaux, des enseignants, sont comme exilés dans un village de l'Est glacial et couvert de neige, en espérant une mutation prochaine.
    Bilge Ceylan, d'entrée, donne le sentiment d'un no man's land hostile et de personnages écrasés ou accablés par leur existence, persuadés peut-être de leur inutilité. C'est le cas de Samet, instituteur du primaire qui attend de pouvoir enfin quitter cet endroit où chacun s'étiole, résigné ou pas.
    Le fim dure plus de trois heures et Bilge Ceylan prend tout son temps pour observer la vie morose du village et le film n'est pas sans langueurs, même lorsque différents incidents modifient, à peine, le cours de l'existence de Samet. Le cinéaste, conformément à son style, déploie une large réflexion philosophique, imagée ou dialectique (ainsi cette longue discussion entre Samet et une collègue sur l'engagement et la solidarité).

    Pour ma part, je retiens surtout, à travers le personnage de Samet, l'idée de cohabitation du bien et du mal en un seul être, et ce que les deux mensonges d'apparence anodine de Samet, principaux ressorts dramatiques du film, ouvrent de perspectives sur sa personnalité, et par extension sur chacun de nous. Toutefois, il n'est qu'à lire les commentaires critiques, à propos de la portée philosophique du film, pour se rendre compte de la diversité des interprétations et du centre d'intérêt de chacun...
    Sans doute, le cinéma de Bilge Ceylan est complexe et habité. La photographie, toujours superbe, introduit un sentiment de hiératisme. Toutefois, je mettrai "Les herbes sèches", relativement bavard, en dessous de "Il était une fois en Anatolie" et "Le poirier sauvage" parce que j'avais particulièrement aimé dans ces deux films leurs silences douloureux.
    Theo
    Theo

    17 abonnés 897 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 février 2024
    Dans les vastes étendues de l'Anatolie orientale, "Les Herbes Sèches" de Nuri Bilge Ceylan tisse une toile dramatique enveloppante, mettant en lumière les luttes intimes d'un jeune professeur d'art, Samet, joué avec une subtilité captivante par Deniz Celiloğlu. Le rêve d'émancipation de Samet à travers une affectation à Istanbul se heurte brutalement à la réalité rurale, où les frontières entre l'innocence et la transgression s'estompent sous le poids d'accusations accablantes.

    spoiler: Ceylan, en collaboration avec Ebru Ceylan et Akın Aksu, sculpte une narration qui plonge profondément dans les nuances de la solitude, des aspirations brisées et de la complexité des relations humaines, marquée par une accusation d'abus qui ébranle l'existence même de Samet. La relation en dégradation entre Samet et Kenan, interprété avec une intensité palpable par Musab Ekici, ajoute une couche de tragédie à la décomposition de l'amitié sous le fardeau des soupçons et des malentendus.


    Le choix de Merve Dizdar pour Nuray offre un contrepoint lumineux à l'obscurité enveloppante, apportant une lueur d'espoir et de rédemption dans le tourbillon d'épreuves de Samet. La prestation de Dizdar, couronnée d'un prix à Cannes, est un témoignage de la force tranquille qui peut émerger de l'adversité.

    La beauté austère de l'Anatolie, capturée avec une majesté cinématographique par Kürşat Üresin et Cehavir Şahin, sert de toile de fond poignante à ce drame humain, où chaque paysage semble refléter l'état d'âme des personnages. Le film, bien que soutenu par une production impressionnante et des contributions significatives d'ARTE France, TRT et du Doha Film Institute, réussit à maintenir une intimité qui rend l'expérience cinématographique profondément personnelle et universellement résonnante.

    Bien que "Les Herbes Sèches" puisse parfois sembler s'attarder un peu trop longuement sur certaines scènes, diluant peut-être l'impact de ses moments les plus puissants, cette approche permet également une immersion complète dans l'expérience vécue par les personnages. Le film navigue habilement entre le drame personnel et les commentaires sociaux, sans jamais se laisser submerger par l'un ou l'autre.

    La bande sonore, discrète mais efficace, complète l'atmosphère, ajoutant une couche supplémentaire d'émotion sans jamais dominer le récit visuel. Les performances, en particulier celles de Celiloğlu et Dizdar, sont d'une telle authenticité qu'elles donnent l'impression de ne pas jouer mais de vivre véritablement leurs rôles, soulignant la capacité du film à capturer la complexité de la condition humaine.

    "Les Herbes Sèches" est un film qui reste avec vous, ses thèmes et ses images vous hantant bien après la fin du générique. C'est une réflexion mélancolique sur les choix, les conséquences et la recherche incessante de vérité et de rédemption dans un monde qui, trop souvent, préfère la simplicité des jugements hâtifs à la complexité de la compréhension. En fin de compte, "Les Herbes Sèches" est un voyage cinématographique qui, bien qu'il puisse ne pas atteindre la perfection absolue, laisse une empreinte indélébile sur l'âme du spectateur, un exploit remarquable qui justifie pleinement l'attention qu'il mérite.
    Joël DI DOMIZIO
    Joël DI DOMIZIO

    13 abonnés 127 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 février 2024
    Tous les 3 ou 4 ans Nuri Bilge Ceylan revient au Festival de Cannes avec son dernier film en date, qui en général est d'une durée de 3 heures, voire même plus parfois. L'actrice Merve Dizdar a décroché le prix d'interprétation féminine pour Les Herbes Sèches. Le réalisateur Turc continue de creuser son sillon très personnel qu'il a déjà mis en pratique dans ses précédents métrages. Même si l'on ne maîtrise pas la langue turque, les échanges entre les personnages principaux semblent intenses et captivants également.
    Après la neige, le froid, la grisaille, les dernières images nous montrent le fameux site historique du Nemrut Dağı, dans l'Est de la Turquie, et que j'avais visité à l'été 1997 ...
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    134 abonnés 1 626 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 février 2024
    Abonné à Cannes mais aussi de mes séances ciné, un Nuri Bilge Ceylan mérite toujours de se caler une demi-journée ciné. Là, il ne déroge pas à son style : un film fleuve de 3h20, très bavard et au cœur de la Cappadoce enneigée et reculée. Une des grandes qualités du maitre turc est de filmer avec une grande élégance les coins paumés de son pays. L’autre qualité est de nous montrer les intellectuels y vivant, englués dans ces territoires sans avenir ni perspective. Le tout donne des échanges entre les protagonistes dont certains de très grande volée ; donc sa qualité ultime est l’écriture des dialogues. Ils sont tellement riches qu’il faudrait couper le film en deux ou le voir très vite une seconde fois. Celui-ci par contre pêche par son scénario. Les histoires humaines ne s’imbriquent guère et l’unité du film en pâti ; par exemple le fil rouge autour de la relation entre la jeune fille et le professeur d’art plastique fonctionne peu.
    Par contre, dans « Winter Sleep », il avait atteint le graal ; jamais on n’avait filmé aussi bien un hiver interminable et les batailles dialectiques au coin du feu qui l’accompagne. Ici, cette même idée fait naitre des sentiments moins forts.
    Parti bredouille de Cannes, celui-ci et d’autres prouvent que la sélection 2023 était de qualité. Il faut cependant être bien armé pour se confronté à 3h20 de langueur monotone et intellectuel en langue turc.
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