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    Chien de la casse
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    340 critiques spectateurs

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    Fryzer
    Fryzer

    15 abonnés 338 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 novembre 2024
    La forme est incroyable, le fond est mal exécuté c’est dommage. On sent une longueur, l’œuvre a dû mal à tenir en haleine tout le long malgré certains passages poignants, heureusement qu’on a un message plus qu’excellent, une amitié fraternelle qui est comme chien et chat, chacun a besoin de l’autre d’une différente manière. Raphaël Quenard est parfait, honnêtement tous les louanges à son égard sont logiques quand tu vois la proposition du bonhomme à chaque fois, il porte clairement tout le film ici. Un peu plus du mal avec Anthony Bajon où je l’ai trouvé inintéressant dans son jeu, trop plat. 
Malabar on t’oublie pas!
    Fabienne R.
    Fabienne R.

    3 abonnés 41 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 novembre 2024
    Une belle histoire d’amitié dans un village où il y a peu de choses à faire pour des jeunes. Les 2 héros sont d’une grande justesse. Un film sans paillette. Un premier film encourageant pour la suite.
    Adrien89
    Adrien89

    14 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 25 octobre 2024
    Super film sur la jeunesse oubliée des campagnes. Les acteurs sont plutôt inexpérimentés mais ils livrent une prestation exceptionnelle. Raphaël Quenard est grandiose.
    Y Leca
    Y Leca

    30 abonnés 988 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 octobre 2024
    Tranche de vie sur l'amitié toxique mais profonde qui lie 2 gamins désœuvrés (dealant un peu) dans un village. Le tchatcheur sûr de lui (seulement en apparence) qui humilie sans cesse son ami taiseux. Quenard est impressionnant en baratineur lettré et tourmenté. Le chien est parfait (le pauvre...).
    Freeman
    Freeman

    4 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 4 octobre 2024
    Un excellent film Français tourné dans ma région qui plus est ! Anthony Bajon très bon dans le second rôle, et que dire de Raphaël Quenard qui crève l'écran. Fabuleux.
    Shown F.
    Shown F.

    2 abonnés 2 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 4 octobre 2024
    film très ennuyeux 1h30 interminable le seul point positif du film ses que le volage ou le film et tourné à l’air jolie et un chien qui transmet plus d’émotions que les 3 personnages principaux
    Léo Peteytas
    Léo Peteytas

    13 abonnés 101 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 octobre 2024
    Brossant à grands traits le caractère d'une jeunesse isolée de la France rurale, sans véritables perspectives, Chien de la casse décortique une amitié toxique et déséquilibrée entre deux jeunes aux caractères très différents. Est-elle pourtant seulement malsaine ? Ou ne révèle-t-elle pas, au fond, le mal-être de ses protagonistes ? Là est toute la question. Détestable pendant la majeure partie du film, Miralès est un jeune en manque de repères dont la bonhomie apparente et les excès révèlent beaucoup d'une situation peu enviable ; le sentiment d'abandon inhérent à la vie dans un village reculé, conjugué à une sphère familiale restreinte, sans cadre. Une proposition qui est à saluer ; nonobstant la modicité de son budget, Jean-Baptiste Durand livre un film brassant des thèmes forts. On peut toutefois regretter la simplicité du récit, qui repose exclusivement sur l'interprétation du duo de tête ; enfin, chien de la casse est peut-être, avant tout autre chose, l'histoire d'une amitié bizarre, convoquant chez ses personnages beaucoup de sentiments contradictoires. C'est tout à fait perturbant.
    Crepinio
    Crepinio

    3 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 29 septembre 2024
    il y a un peu de Ken Loach, ambiance quartier à la campagne. Emmanuel Quelard est excellent.
    Fred Dque
    Fred Dque

    1 abonné 8 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 septembre 2024
    Magnifique. Dans les liens réels qui unissent des jeunes en province et qui galèrent, magnifique dans la retranscription des liens amoureux et fraternels… sans parler de l’acting, des dialogues brillants tout en étant naturalistes. Un des plus beaux films sur l’amitié, la jeunesse, la vie en province ses bonheurs et ses malheurs… et surtout qui change des cadres habituels et servis sempiternellement depuis 30 ans. En dehors des villes et des quartiers il y a aussi des jeunes de tous horizons, pas moins intéressants que les autres, des problématiques sociales différentes… à voir et revoir
    Marceau F
    Marceau F

    8 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 10 septembre 2024
    Chien de la casse est un bijou du cinéma français. Raphaël Quenard y est flamboyant et Anthony Bajon d'une grande justesse. Les plans sont beaux, souvent remplis de sens, la lumière également. Les jeux d'angles et de dispositions dans le cadre sont très réussi et révèlent les rapports de force. Le discours y est nuancé, sans morale mais avec une grande volonté de montrer ce qui n'a pas été assez montré : les classes moyennes/populaires de campagne périurbaines. On y voit la violence symbolique du manque de capital culturel, l'ennui, les paysages de ces campagnes, les relations amoureuses et amicales. Le tout est montré avec une précision et un grand réalisme. Certaines prestations sont un peu moins justes mais c'est léger. Je recommande, l'un de mes films favoris de ces dernières années, et en plus c'est un premier film. Bravo !
    Nitnelav
    Nitnelav

    7 abonnés 26 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 27 août 2024
    Jean-Baptiste Durand se distingue dans le paysage cinématographique français avec Chien de la casse, un premier long-métrage qui impressionne par sa subtilité et sa profondeur. Ce film, qui explore les tumultes de l'amitié, se révèle être une œuvre prometteuse pour un cinéaste dont l'avenir semble radieux.

    Chaque année, le cinéma français accueille une multitude de premiers films d'auteurs émergents, offrant des perspectives diverses et souvent surprenantes. Dans ce contexte, Chien de la casse se démarque par sa capacité à capturer des émotions brutes avec une justesse rarement vue. Ce film pourrait bien être une des perles rares de cette génération de nouveaux talents.

    L'histoire se déroule dans un petit village du sud de la France, où Dog et Mirales, amis d'enfance, mènent une existence tranquille, faite de discussions sans fin sur la place du village et de parties de FIFA. Leur quotidien est bouleversé par l'arrivée d'Elsa, une étudiante qui provoque des remous inattendus dans leur relation. Ce trio, à la dynamique complexe, sert de base à une exploration touchante de l'amitié, des tensions latentes, et de la recherche de soi.

    Chien de la casse ne se contente pas de raconter une simple histoire d'amitié ; il s'agit aussi d'une réflexion sur la solitude moderne, la peur de l'abandon, et la quête d'identité dans un monde en mutation. Le film joue habilement avec ces thèmes, évitant les pièges du manichéisme et du misérabilisme pour offrir une vision nuancée et profondément humaine.

    Le film brille également par son ancrage rural. Jean-Baptiste Durand, amoureux des territoires ruraux et périurbains, capture avec une sensibilité rare la beauté des petits villages français. Il parvient à faire de cet environnement un personnage à part entière, dont les paysages et les silences renforcent l'intensité dramatique de l'histoire.

    Avec une mise en scène épurée et un ton juste, Chien de la casse trouve son propre rythme, évitant la surcharge narrative souvent présente dans les premiers films. Les performances des acteurs, notamment celle de Raphaël Quenard, apportent une profondeur supplémentaire, rendant les personnages à la fois touchants et crédibles.

    En conclusion, Chien de la casse est une œuvre poétique et émotive, qui célèbre la beauté de la simplicité et la complexité des relations humaines. Ce premier film de Jean-Baptiste Durand est une véritable réussite, qui annonce l'émergence d'un auteur à suivre de très près. Un film à voir pour son authenticité, son réalisme poétique, et sa capacité à capturer l'essence de la vie rurale française.
    LpKz86
    LpKz86

    3 abonnés 10 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 juillet 2024
    J'ai découvert ce film grâce à l'acteur au premier rôle Raphaël Quenard qui commence à venir sur le devant de la scène cinématographique. j'ai pris connaissance par la suite que c'était le premier film réalisé par Jean-Baptiste Durand, agréablement surpris par l'histoire de ce film, pour un 1er, c'est une belle réussite.
    L'histoire de 2 amis et d'un chien qui se retrouve régulièrement dans la rue pour parler et rien faire de la journée, une chute profonde qui donne a réfléchir
    JSCooper
    JSCooper

    5 abonnés 481 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 juillet 2024
    Une histoire d'amitié touchante et drôle avec des personnages aux caractères loin des clichés habituels et dans un environnement (un petit village rural) plutôt rare dans ce genre de film, ce qui fait déjà des point positifs. Le scénario est plutôt banal et simple, mais c'est là une des forces du film, qui n'a pas besoin d'artifices mais simplement d'une certaine grâce et de bons acteurs pour nous émouvoir, nous faire sourire et passer les sentiments de l'autre côté de l'écran.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 12 juillet 2024
    Il s'agit d'une belle découverte pour ma part. Le film se distingue par son originalité et son impact émotionnel. Raphaël Quenard incarne son personnage avec brio, et ses paroles sont justes. Par ailleurs, ses citations m'ont marqué et m'ont fait réfléchir. Les personnages, bien développés, sont attachants. La direction artistique est soignée et pertinente. Sur le plan technique, le film présente des qualités globalement solides. Un drame profond.

    https://critiqueslucas.blogspot.com/
    Max Rss
    Max Rss

    197 abonnés 1 767 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 5 juillet 2024
    Ouais...l'amitié de deux potes, potentiellement menacée par l'amour porté par l'un d'eux à une donzelle de passage, une passante du clair de Lune, pour la faire à la Pagnol. Théoriquement, voilà une histoire aussi intéressante qu'un concert de musique de chambre diffusé sur Arte. Mais, ce coup-là, y a un truc de taille qui change : on y croit. On y croit vraiment, je veux dire ! On croit à la vie de ce village du Sud de la France. On y croit parce que le peu qui y grouille est dépeint dans son jus. Il n'est jamais rendu plus (ou moins, comme vous voulez, ça revient au même) ennuyeux qu'il ne l'est. Pas de misérabilisme, pas d'angélisme. Une bonne case de cochée. On croit à ce groupes de jeunes puisqu'ils se comportent de manière naturelle. Tout nous semble logique dans leurs façons de faire, leur langage et tout ce qui va avec. Ils ne sont jamais montrés ni plus intelligents, ni plus bêtes qu'ils ne le sont. Tout semble tomber juste à chaque coup. Et, bien évidemment, il y a le fameux tandem. Dog, le taiseux, le timide, presque effacé, presque blasé de tout. Miralès, le mec ultra loyal, le mec qui bombe le torse, le fort en gueule, le (en apparence) dominant et qui balance sa pédanterie au visage de qui veut bien la recevoir, en se rendant plus d'une fois ridicule. Au début, leur amitié nous est présentée de manière extrêmement classique. Mais, plus le film avance, plus leur relation apparaît ambigüe. La jalousie de Miralès ne donne pas l'impression d'être du seul ressort d'une amitié menacée par une fille. Cela semble aller plus loin que ça. On peut se poser la question d'une homosexualité refoulée. Si tel est le cas, Durand a l'intelligence d'amener ça si subtilement qu'on est en droit de douter. Là où d'autres nous aurait lancé le bébé à la tronche à grands coups de grolles dans les portes. On pourrait discourir un long moment également sur la tension entre Miralès et Elsa. Dès leur première rencontre, on la ressent alors qu'ils échangent des banalités. Et là aussi, il y a un truc sous-jacent. Officiellement, elle ne peut pas le voir en peinture mais, au fond, n'est-ce pas là le genre de mec qu'elle préfère (avec tout ce que ça implique), plutôt qu'un mec, certes sympathique mais qui ne bronche pratiquement pas quand on lui marche sur les pompes ? Si l'interprétation de certains seconds rôles laisse vraiment à désirer, celle de la doublette Bajon/Quenard est sans failles. Les mecs ne font tellement qu'un avec leur personnage qu'on ne croirait pas que ce sont des acteurs.
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