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Votre avis sur Chien de la casse ?
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Excellent. Tout est juste du début à la fin. Sans fausse note, admirablement construit et mis en scène. Des acteurs au top. La lumière, la bande son. Tout est réussi. Bravo
Film atypique. Sur la vie de campagne, un peu des cassos. Le quotidien de potes dans un ptit village qui sont un peu pommés, qui font pas grand chose, qui n ont pas d ambition. Et une fille vient tout chambouler. Film sur l'amitié aussi. L'un qui essaie d'élever vers le haut l'autre. Particulier et touchant.
J’avoue être passé à côté de ce film l’an passé mais c’est l’engouement qui a suivi son César du meilleur premier film pour Jean-Baptiste Durand que j’ai décidé de le découvrir. L’histoire se déroule dans un village du sud de la France, tandis que Dog et Mirales, deux jeunes adultes, amis depuis l’enfance qui tentent tant bien que mal de s’occuper, rencontrent Elsa dont Dog tombe amoureux. On assiste à la décomposition de leur amitié qui se perd entre trafics de drogue et règlements de comptes.
Tout le long de mon visionnage, je n’ai su dire si j’ai aimé ou non. Globalement, le film m’a plu. Son intérêt ne réside pas tant dans son histoire trop pauvre, mais plus dans ses protagonistes dont on accepte de suivre une parcelle de vie. Les deux personnages nous apparaissent chacun appréciables et agaçants à la fois, les rendant vrais et authentiques. On aime le côté déroutant et contrasté de Mirales brillamment interprété par Raphaël (César de la meilleure révélation masculine suite à « Chien de la casse ») qui use de sa force : jouer des personnages imprévisibles avec son parler atypique et ses expressions désuètes. Mais le personnage nous déçoit aussi car sa rancoeur teintée de jalousie et d’égocentrisme le rend humain. C’est la même impression avec Dog, très bien joué par Anthony Bajon. On s’attache à sa timidité et à sa sensibilité, mais cette-dernière, poussée au paroxysme de l’inertie, épaissit le personnage pour nous le rendre peu supportable. Ils sont donc tous les deux parfaitement bien écrits. D’un point de vue cinématographique, la colorimétrie brune est originale et s’allie bien avec l’atmosphère tandis que la musique de Delphine Malausséna et d’Hugo Rossi apporte une dimension dramatique. Enfin, le film est surprenant car, dans chaque situation, il ne fonce pas tête baissée vers le côté filmique ou romancé auquel on s’attend mais utilise l’aspect humain et réaliste, souvent plus dur.
Tout le long de mon visionnage, je n’ai su dire si j’ai aimé ou non. Globalement, le film m’a plu. Son intérêt ne réside pas tant dans son histoire trop pauvre, mais plus dans ses protagonistes dont on accepte de suivre une parcelle de vie. Les deux personnages nous apparaissent chacun appréciables et agaçants à la fois, les rendant vrais et authentiques. On aime le côté déroutant et contrasté de Mirales brillamment interprété par Raphaël (César de la meilleure révélation masculine suite à « Chien de la casse ») qui use de sa force : jouer des personnages imprévisibles avec son parler atypique et ses expressions désuètes. Mais le personnage nous déçoit aussi car sa rancoeur teintée de jalousie et d’égocentrisme le rend humain. C’est la même impression avec Dog, très bien joué par Anthony Bajon. On s’attache à sa timidité et à sa sensibilité, mais cette-dernière, poussée au paroxysme de l’inertie, épaissit le personnage pour nous le rendre peu supportable. Ils sont donc tous les deux parfaitement bien écrits. D’un point de vue cinématographique, la colorimétrie brune est originale et s’allie bien avec l’atmosphère tandis que la musique de Delphine Malausséna et d’Hugo Rossi apporte une dimension dramatique. Enfin, le film est surprenant car, dans chaque situation, il ne fonce pas tête baissée vers le côté filmique ou romancé auquel on s’attend mais utilise l’aspect humain et réaliste, souvent plus dur.
Que demande t on a un film? Qu’il nous emporte par sa sensibilité sa finesse son émotion
Chien de la casse fait indéniablement partie de cette catégorie
L’amitié irréversible de deux personnages que tout devrait séparer. Tout cela dans un décor de la déshérence de nos villages français
Quelle subtilité quelle finesse dans la réalisation
J’adore
Chien de la casse fait indéniablement partie de cette catégorie
L’amitié irréversible de deux personnages que tout devrait séparer. Tout cela dans un décor de la déshérence de nos villages français
Quelle subtilité quelle finesse dans la réalisation
J’adore
Une pépite, un scénario magnifique et surtout une écriture merveilleuse où chaque mot a son importance, sa musique. Les acteurs sont incroyables. C'est l'histoire d'un groupe de jeunes dans un village, avec des liens qui se nouent et se dénouent. Foncez !
C'est le genre de film qui nous fait garder espoir dans le cinéma français. Profond et touchant, porté par R.Quenard qui fait le taff!
Sans trop savoir pourquoi, on ressent énormément de choses. Le jeu d’acteur est d’ailleurs exceptionnel.
Une belle claque.
J'en entendais parler depuis un moment, j'étais sceptique, mais j'ai littéralement été transporté dans leur univers, tellement morose et réaliste à la fois.
Je ne sais pas si le réalisateur conte des souvenirs, mais on sent au minimum de petits tacles face à des comportements humains, presque comme s'il analysait froidement une faune à l'abandon.
On sent pourtant énormément d'humanité chez tous les personnages, même les pires.
J'en entendais parler depuis un moment, j'étais sceptique, mais j'ai littéralement été transporté dans leur univers, tellement morose et réaliste à la fois.
Je ne sais pas si le réalisateur conte des souvenirs, mais on sent au minimum de petits tacles face à des comportements humains, presque comme s'il analysait froidement une faune à l'abandon.
On sent pourtant énormément d'humanité chez tous les personnages, même les pires.
Il était une fois : l'amitié, l'amour, la jalousie, un village proche de la Provence et ses habitants, le début subtil d'une vie qui débute pour les protagonistes de cet ouvrage. Prix d'interprétation pour Raphaël Quenard et galatea Bellugi. Un pur film d'auteur sans fautes loin des clichés conformistes de l'audiovisuel de la TNT. Un chef d'oeuvre d'authenticité. A voir absolument.
Un film surprenant !
Raphael Quenard est extraordinaire dans ce film !
Son personnage est detestable et en même temps tellement attachant !
Tous les acteurs sont top ! A voir si vous ne l'avez pas encore vu.
Raphael Quenard est extraordinaire dans ce film !
Son personnage est detestable et en même temps tellement attachant !
Tous les acteurs sont top ! A voir si vous ne l'avez pas encore vu.
Déjà je me suis faite avoir par la catégorisation de ce film en tant que "comédie dramatique", je n'ai ni ri, ni même souri à une seul reprise pendant ce film. Film qui dure 1h30 avec un ressenti de plus de deux heures : les mêmes scènes se répètent, un choix scénaristique certes mais sans doute trop appuyé pour qu'on puisse garder un quelconque intérêt pour l'histoire. Le scénario est extrêmement linéaire et prévisible, simple comme la façon dont les héros de ce film sont représentés. Un ennui san relief.
Premier film de Jean-Baptiste Durand, Chien de la casse frappe fort. Le métrage est très bien écrit et propose une histoire complexe sur l'amitié masculine. L'ensemble du casting est très bon à tel point que l'en vient presque à oublier qu'il s'agit d'une fiction. Raphaël Quenard crève l'écran tout comme son acolyte Anthony Bajon, qui, en ayant très peu de répliques, va faire passer un nombre fou d'émotions. Tout sonne juste ce qui donne l'impression que les personnages nous semblent même familier. Pour un premier film, la mise en scène est bonne même si peut-être un peu timide. En tout cas, Chien de la casse est une œuvre touchante et efficace qui fait du bien.
Film sans intérêt à mon goût.
Les acteurs jouent bien leurs rôles, mais l’histoire n’apporte aucun message… j’ai perdu mon temps.
Les acteurs jouent bien leurs rôles, mais l’histoire n’apporte aucun message… j’ai perdu mon temps.
Encore une performance brillante de la part de Raphaël Quenard, mis en valeur dans ce film qui raconte l’histoire ordinaire de gens que nous avons tous rencontrés au moins une fois.
Le personnage de Miralès est un puzzle que nous avons du mal à assembler au départ de par la multitude de facettes qu’il représente. Et puis l’histoire avance, et tout fait sens.
Ou comment un personnage complexe et fascinant s’y prend pour occuper l’espace, trop petit pour lui.
Le personnage de Miralès est un puzzle que nous avons du mal à assembler au départ de par la multitude de facettes qu’il représente. Et puis l’histoire avance, et tout fait sens.
Ou comment un personnage complexe et fascinant s’y prend pour occuper l’espace, trop petit pour lui.
Intéressant dans le fond, mais la forme c'est du vu et revu avec les clichés sur la jeunesse en ruralité ! Pour un premier film je dirais que c'est encourageant !
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