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Votre avis sur Le Seigneur des anneaux : la communauté de l'anneau ?
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Fidèle aux livres et un magnifique investissement de toute l'équipe du film, réellement habitée par JRR Tolkien
Le Seigneur des Anneaux : La Communauté de l'Anneau est un film impressionnant, même pour quelqu’un comme moi qui n’est pas particulièrement fan du genre fantasy. La richesse de l’univers est indéniable : chaque détail, des décors aux costumes, respire le soin et la cohérence. Les paysages grandioses de la Terre du Milieu sont sublimés par une réalisation maîtrisée et une bande-son magistrale. Les personnages, variés et complexes, portent l’histoire avec justesse. Malgré tout, ce type de récit n’est pas tout à fait ma tasse de thé, ce qui explique que je ne lui attribue pas la note maximale.
Une immersion au cœur de la fantasy avec des paysages à couper le souffle, une aventure digne d’une odyssée à travers un si petit objet …
Un univers splendide des personnages et commutés au top une belle réalisation joué à merveille les divers acteurs.Bref un chef d'œuvre même 20 ans après un plaisir de le revoir
Tiré d’une des œuvres littéraires les plus connus, ce premier tome a été très bien retranscrit à l’écran. Il ne faut pas non plus oublier qu’il a l’objectif de bien représenter l’univers imaginé par Tolkien, alors que la trilogie du "Hobbit" n’était pas encore sortie. Pour le coup c’est réussi, dès la première demi-heure on découvre la vie des Hobbits dans la Comté (uniquement dans la version longue). L’histoire est fidèlement adaptée et on suit bien le parcours de Frodon, rythmé avec la formation de la fameuse Communauté à venir.
Le casting n’était pas aussi connu qu’aujourd’hui, mais ils ont démontré tous leurs talents dans cette trilogie : chaque acteur nous a offert sa meilleure performance. Elijah Wood et Sean Astin retranscrivent la naïveté de leurs personnages, Ian McKellen a su faire de Gandalf mon personnage préféré de l’univers de par sa sagesse. Quant à Viggo Mortensen, non seulement Aragorn a le parcours le plus surprenant dans cette aventure et sa relation avec Arwen inspire l’amour. La liste est longue, mais le plus important c’est que chacun y a donné de sa personne et leurs personnages sont mémorables.
Comme je l’ai dit, l’univers est très bien représenté et on le doit aux nombreux décors et accessoires construits pour, mais aussi à tous les effets spéciaux et de maquillage qui sont bluffants pour l’époque. Il faut aussi que la musique s’accompagne chaque scène : le thème de la Comté est utilisé quand l’espoir renaît et on varie parfois entre l’épique et le mal. Howard Shore a fait un superbe travail grâce à ses habituelles divers tons de trompettes, avec en prime la chanson "May It Be" qui sonne très « elfe ». Je l’ai dit aussi plus haut, le rythme est simple à suivre et c’est dingue que le temps passe normalement alors que ça dure près de 3h30 (générique non compris). Le seul bémol c’est le montage : on passe entre des combats filmés au ralenti ou charcutés et les scènes rajoutées de la version longue manquent de transitions pour une meilleure fluidité. Et c’est dommage car Peter Jackson ne manque pas d’idées de mise en scène, notamment pour encrer ses personnages dans les paysages de la Nouvelle-Zélande.
J’ai beau adoré l’univers d’"Harry Potter", mais je préfère celui du "Seigneur de Anneaux" et "La Communauté de l’Anneau" est le parfait genre de premier film qui représente fidèlement un univers littéraire. La patte de Tolkien se ressent grâce au travail de Peter Jackson, qui semblait être né pour adapter cette œuvre littéraire, grâce aussi à sa direction artistique, qui est la meilleure que j’ai vue dans un film, et son casting qui nous offre d’incroyables performances.
Le casting n’était pas aussi connu qu’aujourd’hui, mais ils ont démontré tous leurs talents dans cette trilogie : chaque acteur nous a offert sa meilleure performance. Elijah Wood et Sean Astin retranscrivent la naïveté de leurs personnages, Ian McKellen a su faire de Gandalf mon personnage préféré de l’univers de par sa sagesse. Quant à Viggo Mortensen, non seulement Aragorn a le parcours le plus surprenant dans cette aventure et sa relation avec Arwen inspire l’amour. La liste est longue, mais le plus important c’est que chacun y a donné de sa personne et leurs personnages sont mémorables.
Comme je l’ai dit, l’univers est très bien représenté et on le doit aux nombreux décors et accessoires construits pour, mais aussi à tous les effets spéciaux et de maquillage qui sont bluffants pour l’époque. Il faut aussi que la musique s’accompagne chaque scène : le thème de la Comté est utilisé quand l’espoir renaît et on varie parfois entre l’épique et le mal. Howard Shore a fait un superbe travail grâce à ses habituelles divers tons de trompettes, avec en prime la chanson "May It Be" qui sonne très « elfe ». Je l’ai dit aussi plus haut, le rythme est simple à suivre et c’est dingue que le temps passe normalement alors que ça dure près de 3h30 (générique non compris). Le seul bémol c’est le montage : on passe entre des combats filmés au ralenti ou charcutés et les scènes rajoutées de la version longue manquent de transitions pour une meilleure fluidité. Et c’est dommage car Peter Jackson ne manque pas d’idées de mise en scène, notamment pour encrer ses personnages dans les paysages de la Nouvelle-Zélande.
J’ai beau adoré l’univers d’"Harry Potter", mais je préfère celui du "Seigneur de Anneaux" et "La Communauté de l’Anneau" est le parfait genre de premier film qui représente fidèlement un univers littéraire. La patte de Tolkien se ressent grâce au travail de Peter Jackson, qui semblait être né pour adapter cette œuvre littéraire, grâce aussi à sa direction artistique, qui est la meilleure que j’ai vue dans un film, et son casting qui nous offre d’incroyables performances.
N'ayant pas lu l'oeuvre de Tolkien, je ne pourrai dire si ce film de Peter Jackson est fidèle ou pas. Et c'est donc vierge de toutes références que je suis ce film. Ce qui ressort ce sont les superbes décors (naturel, en studio ou de synthèse). En ce qui concerne la synthèse, quelques incrustations ont mal vieillies du fait qu'elles sont un peu trop visibles.
Au niveau du scénario, c'est bien structuré. L'histoire fantastique se suit facilement malgré ses 3h et malgré parfois quelques longueurs.
Au final, j'ai vu un bon divertissement sans que cela soit un chef d'oeuvre.
Au niveau du scénario, c'est bien structuré. L'histoire fantastique se suit facilement malgré ses 3h et malgré parfois quelques longueurs.
Au final, j'ai vu un bon divertissement sans que cela soit un chef d'oeuvre.
Alors oui, je met que 3/5, malgré que j'ai passé un bon moment devant ce film, je le met pas plus que 3. Cela ne veut pas dire que c'est à film moyen, au contraire c'est un bon film ! On nous introduit les personnages, l'histoire et des scènes cultes. Je comprends les gens qui mettent plus pour cette merveille.
La Communauté de l’Anneau, premier volet de la saga monumentale réalisée par Peter Jackson, est bien plus qu’un simple film d’aventure fantastique. Il incarne une œuvre magistrale qui transcende le genre, offrant une immersion totale dans l’univers riche et complexe de Tolkien. Contrairement à de nombreuses adaptations cinématographiques, Jackson parvient ici à respecter l’essence même des écrits originaux tout en apportant sa propre vision.
Dès les premières minutes, le spectateur est plongé au cœur de la Terre du Milieu, un monde à la fois sublime et menaçant, peuplé de créatures fascinantes et de paysages époustouflants. La force de cette adaptation réside non seulement dans la qualité des effets visuels, mais surtout dans la manière dont les personnages prennent vie à l’écran. Chacun d’eux est traité avec une profondeur remarquable, des hobbits attachants aux figures plus sombres comme Saroumane et Sauron, qui incarnent avec brio le mal rampant.
Le travail de mise en scène de Jackson est à couper le souffle. Il parvient à équilibrer des scènes d’action palpitantes avec des moments plus intimes et émouvants, créant ainsi un rythme parfaitement maîtrisé. L’adaptation scénaristique est également une véritable réussite, offrant un juste équilibre entre fidélité à l’œuvre de Tolkien et liberté créative. Jackson fait des choix judicieux, en modifiant ou en supprimant certains éléments pour renforcer la fluidité narrative, tout en conservant l’intégrité de l’univers.
Les thèmes abordés – l’amitié, la lutte contre la corruption du pouvoir, le courage face à l’inconnu – résonnent de manière universelle, touchant à la fois les fans de longue date de l’œuvre de Tolkien et les novices. La musique grandiose de Howard Shore accompagne magnifiquement chaque scène, ajoutant une dimension épique à l’ensemble.
La Communauté de l’Anneau n’est pas simplement un film, c’est une expérience cinématographique immersive qui vous transporte littéralement dans un autre monde. Chaque visionnage révèle de nouveaux détails, et la qualité narrative ainsi que visuelle en fait une œuvre intemporelle.
En somme, Peter Jackson a su, avec ce premier volet, poser les bases d’une saga épique, une aventure à la fois visuelle et émotionnelle qui continue de captiver, année après année. C’est un chef-d’œuvre à voir et à revoir, un modèle de l’adaptation cinématographique. Que dire de plus si ce n’est que l’aventure ne fait que commencer ?
Dès les premières minutes, le spectateur est plongé au cœur de la Terre du Milieu, un monde à la fois sublime et menaçant, peuplé de créatures fascinantes et de paysages époustouflants. La force de cette adaptation réside non seulement dans la qualité des effets visuels, mais surtout dans la manière dont les personnages prennent vie à l’écran. Chacun d’eux est traité avec une profondeur remarquable, des hobbits attachants aux figures plus sombres comme Saroumane et Sauron, qui incarnent avec brio le mal rampant.
Le travail de mise en scène de Jackson est à couper le souffle. Il parvient à équilibrer des scènes d’action palpitantes avec des moments plus intimes et émouvants, créant ainsi un rythme parfaitement maîtrisé. L’adaptation scénaristique est également une véritable réussite, offrant un juste équilibre entre fidélité à l’œuvre de Tolkien et liberté créative. Jackson fait des choix judicieux, en modifiant ou en supprimant certains éléments pour renforcer la fluidité narrative, tout en conservant l’intégrité de l’univers.
Les thèmes abordés – l’amitié, la lutte contre la corruption du pouvoir, le courage face à l’inconnu – résonnent de manière universelle, touchant à la fois les fans de longue date de l’œuvre de Tolkien et les novices. La musique grandiose de Howard Shore accompagne magnifiquement chaque scène, ajoutant une dimension épique à l’ensemble.
La Communauté de l’Anneau n’est pas simplement un film, c’est une expérience cinématographique immersive qui vous transporte littéralement dans un autre monde. Chaque visionnage révèle de nouveaux détails, et la qualité narrative ainsi que visuelle en fait une œuvre intemporelle.
En somme, Peter Jackson a su, avec ce premier volet, poser les bases d’une saga épique, une aventure à la fois visuelle et émotionnelle qui continue de captiver, année après année. C’est un chef-d’œuvre à voir et à revoir, un modèle de l’adaptation cinématographique. Que dire de plus si ce n’est que l’aventure ne fait que commencer ?
Le meilleur film d'introduction pour un univers aussi grand, tout est parfait, comme quoi, il ne faut pas de grande batailles, de centaines scènes d'actions pour pouvoir faire un grand film. Nous avons ici le plus grand univers Cinématographique ( avec Star Wars ) des elfes, des nains, des hobbits, des hommes, des magiciens, des créatures, des orcs, le paysage est juste a couper le souffle, c'est magnifique. Les personnages sont tous bien construit, il n'y aucun faux pas, les acteurs jouent tous parfaitement leur rôle. Peter Jackson a su maîtrisé parfaitement l'univers de Tolkien, toutes les scènes sont d'une grand précision que ca soit avec les détails de chaque décors ou dialogue. C'est toute mon enfance '' Les seigneurs des anneaux '', je n'oublierais jamais quand j'ai découvert cette saga, j'étais très jeune et j'ai directement adhéré malgré le jeune âge que j'avais. C'est un excellent film pour introduire une trilogie dans cet univers, personne de nos jours arrivera a battre cette saga, Le seigneur des anneaux a projeté le monde de la fantaisie au cinéma, tout a commencé ici, tout le monde s'inspire des œuvres du grand Tolkien et de la réalisation de Peter Jackson. Bref, un chef d'œuvre.
Splendide
Un chef d'œuvre cinématographique !
Tout y est, bravo !
Un début bien mené, de l'action, des rebondissements, une fin aboutie.
Des acteurs qui sont à leur place
À voir et à revoir
Un chef d'œuvre cinématographique !
Tout y est, bravo !
Un début bien mené, de l'action, des rebondissements, une fin aboutie.
Des acteurs qui sont à leur place
À voir et à revoir
"Le Seigneur des Anneaux : La Communauté de l'Anneau" est souvent acclamé comme un chef-d'œuvre de la fantasy, mais malgré ses nombreux atouts, il m'a laissé sur ma faim. Visuellement, c'est une réussite incontestable : les paysages sublimes de la Terre du Milieu, magnifiquement capturés, nous immergent totalement dans cet univers magique. Les effets spéciaux, même des années après sa sortie, restent impressionnants et la musique de Howard Shore, véritable point fort du film, transcende certaines scènes et apporte une dimension épique indéniable.
Cependant, au-delà de ces qualités esthétiques, le film souffre à mes yeux d’un réel manque de développement des personnages. Frodon, censé être le protagoniste central, m’a paru trop passif. spoiler: Bien que sa pureté justifie qu’il soit l’élu pour porter l’Anneau,
il peine à vraiment se démarquer en tant que héros. Les personnages secondaires, à l’exception de Gandalf qui possède une aura indéniable, et d’Aragorn, dont le potentiel se devine pour la suite, manquent de relief. La relation ambiguë entre Frodon et Sam m’a également dérangé et n’apporte, selon moi, rien de pertinent à l’histoire.
Côté intrigue, bien que celle-ci soit logique et linéaire, je l’ai trouvée trop simple. Certains moments m’ont semblé répétitifs, spoiler: comme lorsque Frodon est blessé à plusieurs reprises,
donnant une impression de stagnation dans l’action. Par ailleurs, les enjeux, bien qu’importants, m’ont semblé stéréotypés et manquaient d’originalité. Je me suis demandé si ce n’est pas parce que Le Seigneur des Anneaux a créé ces archétypes que cela semble désormais prévisible, mais malgré cette reconnaissance, l’effet de déjà-vu reste présent.
En résumé, "La Communauté de l'Anneau" est un film qui brille par sa maîtrise technique et son univers visuel enchanteur, mais il peine à offrir l’émotion et la profondeur que j’attendais. Le manque d’attachement aux personnages et la simplicité de l’intrigue ont limité mon immersion dans cette aventure pourtant pleine de promesses.
Cependant, au-delà de ces qualités esthétiques, le film souffre à mes yeux d’un réel manque de développement des personnages. Frodon, censé être le protagoniste central, m’a paru trop passif. spoiler: Bien que sa pureté justifie qu’il soit l’élu pour porter l’Anneau,
il peine à vraiment se démarquer en tant que héros. Les personnages secondaires, à l’exception de Gandalf qui possède une aura indéniable, et d’Aragorn, dont le potentiel se devine pour la suite, manquent de relief. La relation ambiguë entre Frodon et Sam m’a également dérangé et n’apporte, selon moi, rien de pertinent à l’histoire.
Côté intrigue, bien que celle-ci soit logique et linéaire, je l’ai trouvée trop simple. Certains moments m’ont semblé répétitifs, spoiler: comme lorsque Frodon est blessé à plusieurs reprises,
donnant une impression de stagnation dans l’action. Par ailleurs, les enjeux, bien qu’importants, m’ont semblé stéréotypés et manquaient d’originalité. Je me suis demandé si ce n’est pas parce que Le Seigneur des Anneaux a créé ces archétypes que cela semble désormais prévisible, mais malgré cette reconnaissance, l’effet de déjà-vu reste présent.
En résumé, "La Communauté de l'Anneau" est un film qui brille par sa maîtrise technique et son univers visuel enchanteur, mais il peine à offrir l’émotion et la profondeur que j’attendais. Le manque d’attachement aux personnages et la simplicité de l’intrigue ont limité mon immersion dans cette aventure pourtant pleine de promesses.
vue lors de ça sortie il y a 23 ans et revue ce weekend au cinéma à l'occasion d'un marathon Tolkien. Toujours autant incroyable, un classique devenu culte.
Nath Visuals
C'est donc en 2024 que enfin, je découvre Le Seigneur des Anneaux : La communauté de l'anneau. Un film qui a donc 23 ans et qui prouve comme d'autres films vieux de plus de 15/20 ans que quand on prend son temps et quand on veut faire les choses bien au niveau des effets visuels, tout est possible et ce n'est pas qu'une question d'avancés technologiques. Connaissant l'univers de cette trilogie, je m'attendais forcément à adorer ce film. Un film où l'on peut rêver avec la fantaisie.
L'oeuvre tiré du roman de Tolkien et adapté par Peter Jackson met pas mal de temps à démarrer histoire de bien présenter le monde dans lequel on est et les personnages. Certains peuvent trouver cela long mais je n'ai pas du tout trouvé cela ennuyeux. On sait que l'on rentre dans un univers complexe où il faut poser de solides fondations pour bien comprendre les enjeux que l'on nous présente. Et cette attente n'est que récompensé par la suite des évènements du film où j'ai été complètement happé.
On a pas mal de personnages principaux et une personnalité est donné à chacun et tous ont un rôle dans l'histoire.
En voyant le premier volet, je ne puis m'empêcher de me questionner sur le succès de cette œuvre. L'univers de cette histoire joue sur une dualité entre le bien et le mal. C'est quelque chose que l'on retrouve évidemment dans les religions et ce film a quelque chose de religieux. Gandalf le dit bien à Frodon que l'anneau a un pouvoir énorme et prononcé la phrase "ne me tente pas". C'est surtout sur cette facette du film que je me suis accroché. L'anneau a un pouvoir de destruction pour celui qui le possède. Il est et peut être la cause de division chez les hommes, entre les différents peuples. Mais l'anneau est confié à Frodon, un jeune garçon au coeur pur en qui Gandalf a confiance. Il ne va pas chercher à le confier à quelqu'un qui peut le protéger et bien le garder mais à quelqu'un qui ne va pas s'en servir à des fins maléfique. Parce que sinon Gandalf l'aurais gardé lui-même, il est capable de le protéger mais il connaît cette tentation et ne veut pas sombrer dedans. Sa sagesse va même lui faire dire à Frodon que c'est de l'extérieur que le danger arrive mais également de l'intérieur de la communauté de l'anneau.
Bref, Le Seigneur des anneaux est un film qui m'a bien bouleversé et notamment sur cette partie du bien et du mal. Un film qui ne vieillit pas, qui nous parle et qui nous fait rêver.
L'oeuvre tiré du roman de Tolkien et adapté par Peter Jackson met pas mal de temps à démarrer histoire de bien présenter le monde dans lequel on est et les personnages. Certains peuvent trouver cela long mais je n'ai pas du tout trouvé cela ennuyeux. On sait que l'on rentre dans un univers complexe où il faut poser de solides fondations pour bien comprendre les enjeux que l'on nous présente. Et cette attente n'est que récompensé par la suite des évènements du film où j'ai été complètement happé.
On a pas mal de personnages principaux et une personnalité est donné à chacun et tous ont un rôle dans l'histoire.
En voyant le premier volet, je ne puis m'empêcher de me questionner sur le succès de cette œuvre. L'univers de cette histoire joue sur une dualité entre le bien et le mal. C'est quelque chose que l'on retrouve évidemment dans les religions et ce film a quelque chose de religieux. Gandalf le dit bien à Frodon que l'anneau a un pouvoir énorme et prononcé la phrase "ne me tente pas". C'est surtout sur cette facette du film que je me suis accroché. L'anneau a un pouvoir de destruction pour celui qui le possède. Il est et peut être la cause de division chez les hommes, entre les différents peuples. Mais l'anneau est confié à Frodon, un jeune garçon au coeur pur en qui Gandalf a confiance. Il ne va pas chercher à le confier à quelqu'un qui peut le protéger et bien le garder mais à quelqu'un qui ne va pas s'en servir à des fins maléfique. Parce que sinon Gandalf l'aurais gardé lui-même, il est capable de le protéger mais il connaît cette tentation et ne veut pas sombrer dedans. Sa sagesse va même lui faire dire à Frodon que c'est de l'extérieur que le danger arrive mais également de l'intérieur de la communauté de l'anneau.
Bref, Le Seigneur des anneaux est un film qui m'a bien bouleversé et notamment sur cette partie du bien et du mal. Un film qui ne vieillit pas, qui nous parle et qui nous fait rêver.
Excellent... Histoire épique... Grand réalisateur... Acteurs et personnages tous intéressants... Très belle mise en scène... La magie opére... Bref un grand film...
Le premier volet de la meilleure trilogie du cinéma, il y a tout, l’univers, la musique, l’intrigue, plongez les yeux fermées dans cet univers qui vous ne laissera pas indemne!
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